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Court métrageTranscription
00:00 *Musique*
00:16 Bonjour à tous, c'est par ici les sorties, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les films à l'affiche.
00:21 Drames, comédies dramatiques et biopics sont au programme cette semaine,
00:24 avec tout d'abord "Uria", le deuxième film de Mounia Medhour et sa deuxième collaboration avec Lina Koudry.
00:30 Nous visiterons la Chambre des Merveilles de Lisa Azuelos,
00:34 nous prendrons la direction de Bogota pour le premier film de Fabienne Hernández "Un Valon".
00:39 Le milieu hospitalier sera à l'honneur avec "Sage-homme" de Jennifer De Volder
00:43 et nous retrouverons Emma Mackay à l'affiche d'Emily, premier film de Francis O'Connor.
00:50 Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine, nous vous proposons de découvrir le classement des films en salles,
00:56 établi par les étoiles des spectateurs sur le site Allociné.
01:00 En troisième position, Scream 6 obtient 3,6/5.
01:07 Juste au-dessus, avec 4/5, on retrouve "Mon crime".
01:12 Et cette semaine se place en première position, "The Well" qui obtient 4,1/5.
01:19 Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:22 Après "Papicha", c'est la deuxième fois que Lina Koudry tourne sous la direction de Mounia Medour.
01:27 Ouria est une jeune et talentueuse danseuse, mais suite à une agression, ses rêves de carrière de ballerine s'envolent.
01:33 Entourée d'une communauté de femmes, Ouria va retrouver un sens à sa vie.
01:47 Sans "Papicha", il n'y aurait pas eu d'Ouria. C'était vraiment une continuité, presque un diptyque.
01:52 Ces deux films sont, je pense, un peu inséparables et racontent cette Algérie, Algérie du passé, Algérie d'aujourd'hui.
01:59 Et Algérie qui, finalement, est sortie de cette guerre civile, mais qui garde quand même au fond d'elle quelques petits traumatismes.
02:09 Donc c'est effectivement Ouria, à travers ce personnage de femme, qui veut dire liberté,
02:13 qui va, en fait, incarner, finalement, ce parcours avec cet accident.
02:18 Et elle va devoir, tout simplement, transcender cette difficulté pour être beaucoup plus forte et pour dépasser ces obstacles.
02:26 Donc oui, c'est un accident réparateur, quelque part.
02:29 Karima, hapse les feuilles de ce lecteur, t'enlèves les couilles et serre les fesses.
02:34 - J'ai appris des liens. - 5000.
02:39 - 5000. - Prends des fringues pour Poutine, OK ?
02:40 Premier combat, Poutine versus Shakira !
02:44 J'aime bien quand ça me fait peur.
02:46 J'aime bien quand je mets la barre haute et que je me dis, voilà, ça va me demander beaucoup de travail.
02:51 Je suis une vraie... Je suis très studieuse, j'aime beaucoup travailler.
02:54 - Tu coulisses, hein ? - Pardon.
02:57 - Arrêtez les drames. - C'est un jeu, t'as perdu.
03:00 Vous avez fait un grave accident, Houria.
03:10 Houria, s'il te plaît.
03:11 Tout le monde est muet.
03:14 Je trouve que c'est une des parties les plus, pour moi, excitantes de la création d'un film.
03:22 C'est toute la préparation, toute la documentation, toutes les répétitions.
03:27 Et là, on a eu la chance de pouvoir le faire presque sur un an.
03:30 J'ai eu 8 mois de prépa avec une chorégraphe dédiée qu'à moi,
03:36 avec des cours de danse intensifs pendant 3 mois, de 10h à 18h,
03:39 et ensuite, des cours de langue de signes.
03:42 C'est pas la fin du voyage. C'est une nouvelle vie qui commence.
03:45 J'avais deux gros challenges, c'était monter sur pointe, faire le grand écart.
04:01 Et donc, je me suis acharnée à faire du set de Venette.
04:05 C'était drôle, je faisais des pointes en lavant des fruits, en coupant des légumes.
04:08 Je faisais des pointes tout le temps, tout le temps.
04:11 Je suis arrivée, je suis très fière.
04:12 La Chambre des Merveilles de Lisa Azuelos raconte le pari fou d'une mère
04:28 prête à tout pour aider son fils à sortir du coma après un accident.
04:31 Elle décide de réaliser, à sa place, les 10 choses à faire avant la fin du monde
04:36 qu'il avait inscrites dans son journal intime.
04:39 - Et il a des notes de B aujourd'hui ? - 12 en maths.
04:44 - 12 ? C'est pas génial ? - Bah si, en sachant que la moyenne est à 14.
04:48 À partir du moment où on a un enfant, on a tout le temps peur.
04:51 Et du coup, on a tellement peur que parfois, on passe bizarrement à côté de l'essentiel.
04:55 Et je lui disais, par exemple, je sais que mes parents ont fait ça,
04:57 et que moi, j'ai fait la même chose.
04:59 C'est de parler tout le temps de l'école.
05:01 Ce qui est ultra chiant pour les gamins.
05:04 Tu sors de l'école et pourtant, toi, t'as détesté quand tes parents faisaient ça.
05:07 Et tu fais la même chose.
05:09 Excuse-moi, c'est le Lolo. Je suis désolée. Même le week-end.
05:11 Allô ?
05:14 Louis !
05:17 Votre fils est dans un coma induit. Son pronostic vital est engagé.
05:22 J'ai eu un espèce de scénario clé en main,
05:26 un film à faire sur lequel je n'avais pas à réfléchir.
05:29 Et je me suis dit, pour une fois, je ne vais pas parler de moi, ça va être super.
05:32 Et puis en fait, c'est encore l'histoire d'une mère avec son enfant.
05:36 J'étais encore en terre très très connue.
05:38 Ça fait six mois que je fais tous les jours hôpital, entrepôt.
05:41 On a vu tous les spécialistes et puis...
05:45 Et puis rien.
05:46 Elle s'excuse même à un moment donné parce qu'elle n'a peut-être pas été là,
05:48 parce qu'elle n'a pas écouté, parce qu'elle a eu peur.
05:52 Et je trouve que ça, ça permet aussi effectivement, comme vous le disiez,
05:54 de déculpabiliser et de se dire, je me retrouve en elle.
05:57 Oui, ce n'est pas la mère parfaite.
05:58 Oui, il n'y a pas. De toute façon, personne n'est comme ça.
06:00 À réaliser avant la fin du monde, parce que ça va peut-être arriver plus vite qu'est prévu.
06:04 Tu crois vraiment que si tu réalises tout ce qu'il y a là-dedans, on va se réveiller ?
06:08 Je ne sais pas, maman.
06:09 Mais tu trouves que je suis folle ?
06:10 Oui.
06:12 Mais ça me plaît.
06:12 Quand je fais des films, je fais vraiment des films pour que les gens aillent mieux.
06:16 Et ce thème-là, j'ai senti qu'il y avait une grande opportunité de lumière avec ce sujet.
06:22 Et c'est ça que j'avais envie d'apporter.
06:24 Et dans tous mes films, ce qui m'importe, c'est que les familles aillent mieux,
06:28 que les mères comprennent la puissance qu'elles ont
06:33 dans l'amour qu'elles sont capables d'apporter à leurs enfants, à leur famille,
06:37 mais aussi à toute la planète.
06:38 Taguer mon loup sur la caserne militaire.
06:41 Allez, maintenant !
06:43 S'excuser auprès d'Amara.
06:44 Bonjour, Amara !
06:45 Tu sais, Louis s'excuse.
06:46 Faire dédicacer mon skate par KGI à Tokyo.
06:50 Allô ?
06:50 Vous n'êtes pas en Asie, par hasard ?
06:52 Ah non, non, pas du tout. Je suis au boulot.
06:58 Dans tous mes films, les gens rient alors qu'ils ont pleuré,
07:01 ils pleurent alors qu'ils pensaient aller voir une comédie.
07:04 Et je trouve que la vie, c'est ça, c'est simplement...
07:09 C'est un grand surf sur la vague des émotions.
07:13 Les émotions, c'est l'énergie en mouvement, c'est ça que ça veut dire, l'émotion.
07:17 Donc c'est pas forcément une émotion, c'est plein d'émotions.
07:20 Tu vois le petit poil, là-bas ?
07:22 Eh bien, c'est moi.
07:23 C'est une aventure géographique, mais c'est une aventure intérieure.
07:26 Parce qu'elle aussi, elle va se découvrir.
07:28 Elle aussi, elle va vivre tout ça en elle.
07:32 Et ça, je crois que c'est la force aussi du film,
07:34 et comme vous disiez, qui est lumineuse aussi.
07:36 Vous croyez que je me bats pour rien ?
07:37 Non, c'est pas fini.
07:38 Pour son premier long métrage, "Un Valon",
07:46 Fabienne Hernandez s'inspire de sa propre expérience.
07:49 Le film dénonce la toxicité masculine dans la société colombienne.
07:53 Jeune homme vit dans un foyer du centre de Bogota
07:56 et se retrouve confronté à la loi du plus fort.
07:59 Il lui faudra faire un choix,
08:00 tomber dans la violence ou accepter sa nature profonde.
08:03 C'est quoi la série ?
08:06 C'est comme pour un homme.
08:10 Je vais lui donner des coups de main pour qu'on se fasse des photos,
08:13 mais je vais lui dire qu'il doit parler avec des hommes et qu'il doit prendre des décisions sérieuses.
08:16 Avec des hommes, oui ou non ?
08:17 Pour prendre le rôle masculin dans le cas du film,
08:21 ou le rôle masculin dans le cas de beaucoup de garçons dans les quartiers de Bogota.
08:27 Et du coup, ce rôle à avoir avec certains codes
08:30 et certaines impostures qu'il faut faire pour être accepté
08:34 dans un contexte très particulier.
08:36 On vous considérait un petit peu des marranos ?
08:38 Ah, si on ne va pas encore ?
08:40 Si on ne va pas encore ?
08:45 Là, on parle de masculinité hégémonique.
08:47 Et c'est la masculinité hégémonique du quartier à avoir avec la violence,
08:50 à avoir avec la force et assumer une position dominante.
08:55 Et du coup, c'est ce que je voulais réfléchir autour de la question de la masculinité dans les quartiers.
09:01 Tu veux passer la Navidad avec ta famille ?
09:04 Alors viens ici.
09:05 J'ai 25 ans, je suis arrivé sur la presse,
09:07 et j'ai décidé de quitter.
09:09 Je pensais que je ne la voyais pas mal,
09:10 mais je l'ai vu.
09:12 Le départ du film, c'est un peu le passé que j'ai vécu dans les quartiers,
09:16 justement, avec mes mémoires et tout ce que j'avais passé avec la violence.
09:22 Je fais partie aussi des gangs et des groupes de Bogotá, au centre-ville.
09:26 Et du coup, c'était au départ un exercice de mémoire pour écrire le film.
09:30 Donc j'écris un peu tous mes doutes, toutes les ambiguïtés que j'ai vécues aussi.
09:35 Tous les doutes que j'avais par rapport à ma sexualité aussi,
09:38 mais par rapport aussi à mon rapport avec les autres garçons.
09:42 - Et toi, tu es où ? - J'analyse le scénario.
09:45 - Tu analyses le scénario ? - Oui.
09:47 - La trompe-nous ? - Oui.
09:48 C'est un film qui se débat entre mes mémoires,
09:51 mais aussi le présent.
09:53 Le présent qui ont beaucoup de garçons dans les quartiers aussi,
09:56 et principalement Philippe, le protagoniste,
09:59 qui a donné un peu aussi sa présence et sa façon de voir très contemporaine,
10:04 et de vivre de façon très contemporaine,
10:06 ce que c'est de devenir un homme dans le contexte.
10:09 Si je me confonds, qui tient la faim ?
10:11 À mediocre amiral, l'argent me dit c'est à moi.
10:14 Levante la caméra et affronte la vie,
10:17 car tu es né pour survivre.
10:19 "Ça jaune" de Jennifer DeVolder est centré sur un étudiant déçu
10:29 qui est contraint, après avoir raté le concours d'entrée en médecine,
10:32 d'intégrer l'école des sages-femmes en cachant la vérité à son entourage.
10:38 - Alors s'il te plaît, tu le nettoies. - OK.
10:41 Tu lui mets une couche, mais tu l'habilles pas.
10:43 Ses parents veulent faire du coup à pot. D'accord ?
10:46 Ça va, petit gars ?
10:47 Bon, allez, je lui colle...
10:50 Alors...
10:52 Allez, on va vite t'enlever tout ça.
10:55 Voilà.
10:56 Te débarbouiller.
10:59 Alors...
11:00 OK, nickel.
11:04 Et ben voilà.
11:08 Ah, je sais que c'est pas agréable, ça.
11:10 J'aime ce film féministe,
11:13 parce qu'on parle du miracle que c'est d'être une femme,
11:15 de l'importance d'être une femme,
11:17 de l'importance pour les hommes d'accepter les femmes pour ce qu'elles sont.
11:21 Mais ça le fait de façon assez subtile,
11:23 à travers les yeux de ce...
11:25 Voilà, de ce gosse de banlieue qui a été élevé
11:28 avec tellement de stéréotypes et de prêt-à-penser
11:32 qu'il arrive vraiment...
11:33 Il débarque frais dans cet univers très féminin.
11:36 - Salut. - Bonjour.
11:38 J'ai fait les bassins, j'ai mis à jour le tableau.
11:43 - Suivez vos dossiers. - Merci.
11:46 Et il y a madame Dutay Primi-Parr, en salle 5,
11:50 qui vous a demandé personnellement.
11:51 Vous voulez pas accoucher avant votre arrivée ?
11:53 OK.
11:54 On est en fait vraiment dans le métier de sage-femme,
11:58 qui est un métier qui est assez méconnu
12:00 et qui est pas valorisé suffisamment, à mon avis.
12:04 C'est-à-dire que ce sont des femmes qui donnent la vie,
12:07 mais encore aujourd'hui,
12:08 il y a un moment qui dure quelques fractions de secondes, en fait,
12:12 où tout peut basculer,
12:13 c'est-à-dire où la vie de la mère et de l'enfant
12:16 est suspendue à un fil.
12:18 Et ce sont elles, ces sage-femmes, qui sont garantes de ça.
12:22 Voilà. Doucement.
12:25 Maintenant, parlez-lui.
12:27 Je sais pas quoi lui dire, moi.
12:29 Commencez par lui souhaiter la bienvenue.
12:32 C'est une poupée, hein ?
12:34 Bon, tenez-le bien sous les aisselles et déposez-le sur la maman.
12:38 Elles font un geste médical extrêmement fort, je trouve.
12:46 En fait, c'est un des métiers que j'aurais pu faire, moi.
12:48 J'aurais pu être sage-femme.
12:50 Ouais, il y a tout ce que j'aime dans le fait de choisir un métier.
12:54 La complicité, l'intensité, le sens.
12:58 Voilà. Je trouve que ça te rend heureux, en fait.
13:01 Il faut que tu saches que les femmes se confient
13:03 beaucoup plus facilement à nous qu'à un médecin.
13:05 Donc c'est très important que tu les écoutes.
13:07 Dans le monde de l'hôpital, il y a des gens de toutes les couleurs, en fait.
13:10 Aussi bien soignants que les femmes qui viennent à coucher.
13:13 On est tous égaux, en fait, devant la couleur.
13:16 À un moment donné, que t'aies de l'argent ou que t'en aies pas,
13:19 que tu sois noir ou que tu sois blanc, en fait,
13:21 voilà, tu viens à coucher d'un enfant, le premier ou pas,
13:24 et à ce moment-là, il se passe quelque chose.
13:26 Et on est au cœur même de l'existence.
13:29 C'est ça que j'aime bien.
13:30 Tu vois la question que tu posais l'autre jour,
13:32 si tu devais être médecin ou sage-femme.
13:34 C'est ton engagement qui compte,
13:36 qui fera de toi l'homme que tu as envie d'être.
13:38 Le personnage que Jennifer de Voldemort me proposait me plaisait beaucoup.
13:43 Personnage de femme très libre, comme ça, j'aime beaucoup.
13:46 Et il se trouve que Jennifer est une amie dans la vie,
13:48 donc voilà, tout était réuni pour que je le fasse.
13:50 C'est à toi de pousser ton cri.
13:52 Je veux être sauvée.
13:55 Pour son premier film, Emily,
14:01 l'actrice australienne Frances O'Connor nous livre un biopic
14:04 sur l'une des autrices les plus célèbres au monde,
14:06 Emily Bronte.
14:07 Le film imagine le parcours initiatique de cette jeune femme rebelle
14:11 qui la mènera à écrire son chef-d'oeuvre,
14:13 Léo de Hurlevent.
14:15 Miss Emily Bronte.
14:17 Tu es en train de devenir une merveilleuse professeure.
14:20 Tu sais que je n'aime pas rencontrer de nouvelles personnes.
14:22 Que veux-tu faire ?
14:26 Je pense que je peux être écrivaine.
14:28 J'étais intéressée à explorer l'intersection
14:30 entre la personne d'Emily Bronte
14:32 et les jeunes filles qui vivaient à l'époque.
14:36 Je voulais montrer comment elle avait trouvé sa vocation.
14:40 C'était vraiment quelqu'un de différent.
14:43 Quelqu'un de très authentique,
14:46 mais qui passait pour étrange.
14:49 Une image qu'elle a traînée toute sa vie.
14:52 Tu as écrit ça ?
14:54 C'est un livre dégueulasse.
14:56 Il y a quelque chose de divine dans ton livre.
14:59 Je le sens quand nous sommes ensemble.
15:01 Tout le monde est étrange si on le regarde longtemps.
15:03 Elle est un peu...
15:05 Il faut dire qu'elle avait une personnalité plutôt introvertie
15:09 et qu'il est rare que l'on se penche au cinéma
15:11 sur des personnes aussi discrètes.
15:13 Il faut toujours que l'on nous présente des hommes et des femmes héroïques.
15:15 J'ai souvent du mal à te comprendre.
15:18 C'est ton livre.
15:20 C'est ton poésie.
15:22 Ne fais pas de la honte à cette maison, Emily.
15:27 Je pense que nous avons fait ça.
15:29 J'ai fait une histoire sur les trois grandes filles.
15:31 J'avais le sentiment d'ailleurs que Emily avait été un peu négligée
15:34 dans l'histoire de la littérature.
15:36 C'est pourquoi j'ai voulu mettre son personnage au cœur de cette histoire.
15:40 J'ai beaucoup de histoires.
15:42 Mr. Layton va vous enseigner le français.
15:47 Il parle avec telle poésie.
15:50 Cette fascination qu'on a pour cette famille et pour ces femmes spécifiquement
15:53 ne va pas s'éteindre parce qu'il y a un mystère autour d'elles.
15:56 D'avoir cet accès à la culture et d'avoir tous ces cerveaux
15:58 réunis sous un même toit, c'est fascinant.
16:00 Et de voir ce qu'elles ont pu produire respectivement.
16:03 D'ailleurs les livres ne se ressemblent pas du tout.
16:05 Charlotte, oui, elle a censuré, elle a même réécrit les poèmes d'Emily
16:08 après que l'Emily soit morte.
16:09 C'est-à-dire qu'elle a corrigé les vers qui ne lui plaisaient pas.
16:12 C'était sa manière peut-être d'exercer son contrôle.
16:15 Je ne vais pas l'analyser.
16:16 Et Charlotte, oui, faisait partie d'une autre veine de la société qu'Emily.
16:20 Qui es-tu ?
16:21 Tu ne verras pas.
16:26 Et tout de suite le reste de l'actualité en bref et en images.
16:30 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
16:34 La guerre des cerveaux
16:40 La guerre des cerveaux
16:46 La guerre des cerveaux
16:49 Le plat est posé.
17:00 On le met en place.
17:01 On parle de l'arrêt du pétrole.
17:12 Se réapproprier notre production alimentaire,
17:15 ça me paraît vital et il faut vite prendre le tournant
17:19 pour pouvoir continuer à manger.
17:21 Peut-être qu'il était sous l'ombre de la baraque.
17:38 Le baraque Mont-34.
17:40 Où nous venons de passer.
17:42 C'était justement le baraque Mont-Défense.
17:44 Oui.
17:45 Les voleurs sont en ville. Je les ai vus.
17:53 Il faut les attraper.
17:55 On est des brigands, oui ou non ?
17:57 Faites attention.
17:59 Rendez-vous.
18:01 La guerre des cerveaux
18:05 La guerre des cerveaux
18:07 Ma vengance contre la famille Sackler, c'est personnel.
18:25 Quand on pense au profit de la douleur des gens,
18:29 on peut être seulement furieux.
18:31 Le cinéma muet italien
18:33 fut l'un des plus inventifs de son temps.
18:35 Il sombra dans l'oubli avec l'arrivée du parlant.
18:42 La guerre des cerveaux
18:45 La guerre des cerveaux
18:48 Il sombra dans l'oubli avec l'arrivée du parlant.
18:52 La guerre des cerveaux
18:54 Beaucoup de cocaïne a été perdue.
19:19 Je pense que les gens ne vont pas comprendre.
19:21 Non, non, non, ne mange pas ça.
19:26 Voyons ce qu'il y a de plus effrayant.
19:28 Les cerveaux ont fait de la cocaïne.
19:34 Les cerveaux ont fait de la cocaïne.
19:41 Voilà par ici les sorties, c'est fini.
19:43 Rendez-vous la semaine prochaine et en attendant, n'oubliez pas d'aller au cinéma.