En clôture de la 28e journée de Ligue 1, l’Olympique de Marseille, porté par le doublé d’Alexis Sanchez, a stoppé la série d’invincibilité de Will Still à la tête du Stade de Reims. Une victoire précieuse (2-1) qui permet aux hommes d’Igor Tudor de récupérer leur deuxième place et de revenir à sept longueurs du PSG. Coup d’arrêt pour les Rémois.
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00:00 Comme la réalité du football qui nous a frappés de plein de faces.
00:12 Je pense qu'on a, sur l'ensemble du match, on a été assez entreprenants, on a été
00:18 assez intéressants dans le contenu.
00:19 Et on a réussi à mettre en difficulté une très belle équipe de Marseille jusqu'à
00:24 la 94ème minute, je pense que c'était.
00:27 Donc je ne peux qu'être fier, je pense.
00:30 Je ne peux qu'être fier parce qu'il n'y a pas beaucoup d'équipes qui vont jouer
00:34 19 matchs sans perdre.
00:35 Et il n'y a pas beaucoup d'équipes qui vont mettre en difficulté cette équipe de Marseille.
00:39 Mais comme je le dis, c'est la réalité du football.
00:45 On a encore perdu des matchs.
00:46 Peut-être que je deviens un vrai entraîneur maintenant, après avoir perdu.
00:49 Je pense que le premier but, on fera un coup de pied arrêté qui est très bien frappé.
00:57 Est-ce qu'il était plus proche que la faute subie ? C'est une autre question.
01:01 Mais le deuxième but est parfaitement évitable.
01:04 Ça vient d'une petite erreur de concentration ou de prise d'info.
01:07 Parce qu'à part ça, je n'ai pas vraiment senti notre équipe en grosse difficulté.
01:13 Alors oui, c'est un match un peu atypique, avec énormément d'intensité, beaucoup
01:17 de duels et pas mal de moments de transition.
01:20 Il y a peu de temps pour des attaques placées, des attaques posées et pour mettre le pied
01:26 sur le ballon.
01:27 Et au final, on n'a pas été assez efficaces sur notre dernier geste en deuxième mi-temps.
01:35 Nous voilà face à la première défaite.
01:39 Mais je me répète, c'est surtout un sentiment de fierté, de positivisme.
01:44 Et c'est ce que j'ai dit au joueur.
01:46 On a écrit une très belle histoire.
01:47 Et à nous maintenant d'aller en écrire une autre.
01:53 Parce qu'il reste dix matchs et qu'on a envie d'aller se pousser jusqu'au bout.