GALA VIDÉO - “Une blinde !” : François Valéry cash sur sa retraite

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Transcript
00:00 -Quand on s'appelle François Valéry,
00:02 combien on touche de retraite ?
00:05 -Une blinde.
00:06 -Ha ! -Non.
00:07 C'est comme ça que ça marche, en ce qui me concerne.
00:10 J'ai entendu Herbert, au jour, dire... C'était émouvant.
00:14 Il est un grand chanteur populaire. Contrairement à ce qu'il dit,
00:18 en province, il fait toujours du monde.
00:20 Moi, comme je vous racontais,
00:23 je suis devenu... J'ai monté mon propre label
00:26 en 8 ans après. -D'accord.
00:29 -Et...
00:30 Donc, j'ai une retraite d'éditeur, de compositeur, de coauteur.
00:35 -Si je vous dis dans les 5 000 euros ? -Non, plus que ça.
00:39 -Dans les 10 000 euros ? -Non, mais...
00:41 -Un peu plus de 1 000 euros. -Je suis propriétaire
00:44 de mon catalogue discographique, que j'ai racheté en 89.
00:48 -Ah là là ! -L'année où vous êtes né.
00:50 -Ah bah oui ! Mais vous me faites peur, François !
00:53 -Je suis un professionnel. -La vache ! C'est tout sur moi !
00:57 -Ah oui, mais là, c'est la position. -Donc, 74-84.
01:01 La première...
01:03 Bon, là, il y a du disque vendu, quand même.
01:06 84-83, je fonde ma boîte, qui s'appelle Franceval.
01:11 Et là-dessus, je deviens donc éditeur.
01:15 Et j'ai, cette même année, en 3 ans,
01:19 "L'été d'enfer", avec Thierry Lhermitte et Véronique Jeannot,
01:23 et "Motion", chanté par David Davis, "Carton".
01:27 "J'aime l'amour avec toi", "Carton".
01:29 "Joy", "Carton". "Elle danse mari", "Carton".
01:32 Ca faisait beaucoup de cartons.
01:34 Donc, voilà. Et donc, j'avais des responsabilités,
01:37 mais des revenus beaucoup plus...
01:39 Et le catalogue discographique, j'ai racheté mes premières années,
01:43 en 1989, 50 %,
01:46 donc j'ai 50 % des 10 premières années,
01:48 et tout le reste est à moi.
01:50 Ca veut dire que quand on me demande, par exemple, pour un film,
01:53 une chanson ou un truc, c'est...
01:56 -Vous touchez. -Donc c'est...
01:57 -Donc 15 000 euros par mois de retraite, on est pas loin.
02:00 -Non, parce qu'il y a les concerts aussi.
02:02 -Si on est honnête, c'est dans les 15 000 euros.
02:04 -Non, je peux pas vous dire. -D'accord.
02:06 Ca aussi, entre 10 et 20 ?
02:08 -Je... Très honnêtement, je...
02:11 -D'accord. Mais plus de 10 ?
02:13 -Je... Si je vous dis que ça m'intéresse...
02:18 Honnêtement... -Ca vous intéresse pas ?
02:21 -Ca m'intéresse. Je gagne bien ma vie. Voilà.
02:24 -Quand on s'appelle François Vélérique,
02:25 elle a eu le titre avec lequel on a gagné le million d'euros.
02:28 -Putain, c'est pas... C'est qu'il y en a, hein.
02:31 -Il y en a plusieurs ?
02:32 -Le million d'euros, je sais pas, mais...
02:35 Vous savez...
02:36 -Celui qui a le plus fonctionné, qui a été le plus "rentable".
02:39 -Ils sont rentables encore aujourd'hui.
02:41 "Emmène-moi danser ce soir", y a pas un karaoké qui le joue pas.
02:44 -Bien sûr. -Et "Monde où vivant", y a pas un kara...
02:47 "Monde où vivant", pareil, y a le danse-marie, Emmanuel,
02:50 chanson, joy, j'aime l'amour avec toi. Donc c'est une folie quoi.

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