Isabelle Balkany dans «Chez Jordan» sur C8 : «Pas simple d’en placer une quand papa prend la parole !»

  • l’année dernière

Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.

Retrouvez "La session de rattrapage" sur : http://www.europe1.fr/emissions/la-session-de-rattrapage
Transcript
00:00 - Et bonjour Jean-Luc Lemoyne. - Bonjour Philippe.
00:02 - Jean-Luc, tous les jours vous intéressez à un programme.
00:04 Pour nous c'est votre session de rattrapage.
00:06 Et aujourd'hui, je crois que vous avez succombé, c'est ce qui se dit, à votre péché mignon.
00:10 - Exactement Philippe, j'ai été faible. J'ai craqué.
00:13 J'ai encore regardé chez Jordan sur C8.
00:15 - Ah génial ! - On adore !
00:18 - Je ne sais pas comment l'expliquer. Jordan, c'est comme un pot de Nutella.
00:22 Tu dis qu'il ne faut pas y aller avec modération et puis tu ne peux pas t'empêcher de mettre tes doigts dedans.
00:25 Enfin je parle du pot de Nutella, pas de Jordan.
00:28 - Vous avez vraiment l'esprit mal placé quand même.
00:30 Jordan, c'est la tentation. Il faut dire qu'il te chauffe aussi.
00:33 C'est un des mecs de télé qui te vend le mieux ses invités.
00:36 - Aujourd'hui, une invitée exceptionnelle et je pèse mes mots.
00:41 Vous le savez, je suis prêt à tout pour recevoir des invités extraordinaires.
00:45 - Alors ça ne fait pas envie ça ? - C'est Madonna ?
00:47 - Non mais attendez, doucement.
00:49 Des invités extraordinaires. En plus il ne ment pas, lundi il avait eu Jean-Pierre Descombes.
00:53 Donc là, je me demandais ce qu'il nous réservait.
00:56 - Parce que ça avait l'air encore mieux que d'habitude.
00:58 Madonna pour faire plaisir à Anitta, Catherine Deneuve, Angelina Jolie, Milène Farmer.
01:02 - La femme que j'ai en face de moi fait très peu de plateau.
01:06 Vous savez évidemment tous et toutes qui c'est.
01:08 Bonjour, Isabelle Balkany.
01:10 - Ah oui, très peu oui.
01:12 - Bon là j'avoue que j'ai eu une petite descente.
01:14 J'aime bien Isabelle Balkany mais Jordan nous l'a un peu survendue.
01:17 Même si lui avait l'air sincèrement content qu'elle soit là.
01:19 - Je suis content de vous recevoir parce que déjà vous êtes rares.
01:22 Et ensuite parce que vous avez accepté je ne sais pas pourquoi.
01:24 - Bah peut-être parce qu'elle n'est pas super débordée non plus.
01:29 Ou peut-être pour autre chose.
01:32 Parce qu'Isabelle avait l'air de bien savoir pourquoi elle était venue.
01:35 - Mais il y a peut-être eu quelque chose qui s'est passé au téléphone.
01:37 Et je vous en remercie.
01:39 Merci beaucoup Isabelle.
01:40 - Oui, votre voix.
01:41 Et puis alors depuis que je suis arrivé, vos yeux et votre sourire.
01:45 - J'ai cru qu'elle allait bouffer tout cru le Jordan.
01:48 Il y avait une tension érotique.
01:50 Ils ont dû passer la nuit au téléphone à se raconter leurs petits secrets.
01:53 Je les imagine en train de se dire "c'est toi qui raccroche".
01:55 - Non c'est toi.
01:56 - Non, toi d'abord.
01:58 D'ailleurs ce genre de rencontre, ça vous rappelle pas une émission dont on parlait il y a à peine 15 jours ?
02:02 - Ces gens sont tombés amoureux virtuellement.
02:05 Et ce soir, ils vont enfin se rencontrer pour la première fois en vrai.
02:09 Bonjour Isabelle Balkany.
02:11 - Bonjour Jordan.
02:12 Et oui, et si on se rencontrait ?
02:14 Peut-être que Jordan a senti le danger, qu'il s'est senti fragile d'un seul coup.
02:17 Alors pour faire diversion, il a demandé à Isabelle de réagir à des photos de personnalités politiques.
02:21 Et là on ne s'y attendait pas.
02:23 Isabelle Balkany a été plutôt élogieuse avec Sandrine Rousseau.
02:26 - Moi qui suis une femme, je la trouve belle.
02:28 - Oui.
02:29 - Je trouve que c'est une belle femme.
02:31 - Bien sûr, mais c'est une belle femme.
02:32 - Je la trouve extrêmement intelligente.
02:35 Et je trouve qu'elle ne dit que des conneries.
02:36 - Ben oui, ça pouvait pas durer.
02:39 Bon là c'était la partie tête à tête avec Jordan.
02:41 Après, Patrick Balkany est arrivé.
02:43 Et d'un seul coup, c'est toutes les années 80 qui sont rentrées avec lui sur le plateau.
02:48 L'époque où quand le mari prenait la parole,
02:50 la femme avait juste le droit de hocher la tête pour être d'accord.
02:52 - Ils ont eu leurs deux enfants, on s'est occupés d'eux comme si on était leurs parents.
02:59 Et s'il te plaît, tu veux bien ne pas me couper la parole.
03:03 J'ai vu son frère hier.
03:06 Si ma femme faisait très bien la cuisine, je la laisserais à la maison.
03:10 - Oui, passons dans la scène où on parle de la parole.
03:13 - Ça manque un petit revival comme ça.
03:16 - Et c'est là où Jordan s'est dit "Oh, j'ai les deux, peut-être que je leur parle de graineries".
03:20 Est-ce que vous vous souvenez de cette histoire ?
03:21 - Oui, bien sûr.
03:22 - C'était le surnom donné à un employé municipal de Levallois-Péret,
03:25 à cause de ses origines asiatiques.
03:26 - Isabelle, vous le doutiez bien qu'en disant ça, ça ne peut plus passer.
03:30 - Mais bien sûr que non !
03:31 Mais bien sûr que non !
03:32 Tout le monde l'a appelé pendant 15 ans.
03:35 D'abord, il avait effectivement un prénom compliqué asiatique.
03:40 - Ah ben oui, mais alors c'est de sa faute, hein !
03:42 S'il a un prénom compliqué asiatique.
03:43 C'est normal qu'on le trouve un surnom à lui et à sa soeur, fleur de lotus.
03:46 Moi, bêtement, voyant la séquence, je me disais "On leur tend la perche au Balkany,
03:50 ils vont faire un petit mea culpa, ils vont minimiser le truc
03:54 en disant que ça n'arrivait pas tout le temps".
03:55 Ben tu parles !
03:56 - Et effectivement, depuis toujours, toute la mairie était au service du courrier.
04:02 - Il était ravi qu'on l'appelle grainerie.
04:03 - Et toute la mairie l'appelait grainerie.
04:04 Et tout le monde était ravi.
04:05 - Moi j'avoue, ma mère est vietnamienne.
04:07 Si vous pouvez arrêter de m'appeler Jean-Luc, appelez-moi Boboun.
04:09 - Et Anissa, comme elle vient de Franche-Comté, maintenant ça sera saucisse de mortaux.
04:13 Parce que nous aussi, on veut connaître le bonheur qu'elle ressentait grainerie quand il allait au boulot.
04:18 - C'est vrai, c'était son surnom, il était ravi.
04:20 - Tout le monde le connaissait, c'était une vedette.
04:22 - Il allait dans tous les services puisqu'il distribuait le courrier,
04:25 et tout le monde lui disait "Salut grainerie".
04:26 - Je vais être honnête, parfois je ne sais pas à quoi rejeter de plus.
04:29 Alors je vous laisse là-dessus.
04:30 - Pas de chute après la chute.
04:33 Merci beaucoup Jean-Luc Lemoyne.
04:34 On vous retrouve tout à l'heure, de 16h à 18h.
04:37 - Il est possible.
04:37 Avec Stéphane Bern sur Europe 1, c'est l'émission historiquement votre !

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