Quelques jours après sa 2e place sur le Tour des Flandres, Mathieu van der Poel (Alpecin-Deceuninck) avait fait le choix de participer à la 111e édition du Grand Prix de l'Escaut, ce mercredi, histoire d'aider son coéquipier Jasper Philipsen à s'imposer mais également d'emmagasiner des kilomètres avant son futur objectif : Paris-Roubaix qui se tiendra ce dimanche 9 avril. Celui qui espère décrocher la première "Reine des Classiques" de sa carrière a fait le point sur son état de forme à quelques heures du grand rendez-vous. "J’ai vu que c’était nerveux dans le final, donc je ne voulais prendre aucun risque", explique-t-il dans des propos rapportés par son équipe avant de s'en expliquer davantage en conférence de presse ce samedi.
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00:00 Est-ce que Paris-Roubaix c'est devenu une obsession pour vous ?
00:08 Non pas vraiment, je l'ai seulement fait deux fois aussi donc j'ai encore des chances
00:15 mais oui c'est surtout un monument que j'aimerais bien gagner.
00:19 Est-ce que c'est une course que vous aimez plus que les autres ?
00:22 Non pas vraiment, quand je suis honnête c'est vraiment dur et tout fait mal après
00:28 200 km déjà mais c'est une des plus belles courses à gagner.
00:33 Votre état de forme après les Flandres, la semaine s'est bien passée ?
00:38 Oui j'ai fait Skia de Prez encore pour aider Asper et je pense que c'était pas mal sinon
00:46 je devais faire encore un autre entraînement et je pense que des fois c'est mieux de faire
00:50 une course.
00:51 Les pavés seront secs demain, il y aura beaucoup de poussière, c'est mieux ?
00:54 Ça dépend, j'ai aussi bien aimé il y a deux ans l'édition mais comme je dis j'ai
01:03 seulement fait deux fois donc c'est difficile à dire ce que j'aime le plus mais on va
01:08 voir la course demain.