• l’année dernière
Le rappeur havrais a provoqué l'indignation de l'extrême droite après avoir collé les visages d'élus du RN et d'un cadre de Reconquête sur une piñata lors d'un concert à Agen. Marine Le Pen dénonce les "menaces du rappeur islamiste".

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Transcription
00:00 Le rappeur Medin a provoqué l'indignation après avoir collé des visages d'élus RN
00:05 sur une piñata lors d'un concert.
00:07 Ça s'est passé à Agen le 8 avril dernier.
00:09 L'artiste a débuté son spectacle en incitant le public à frapper ses piñatas.
00:13 Sur celle-ci, on pouvait voir les visages de Julie Réchagneux et d'Edwidge Diaz
00:17 qui s'étaient insurgés contre la venue du rappeur.
00:20 Avant cet épisode, une pétition avait été lancée pour demander l'annulation de son concert.
00:24 Alors Medin avait publié une vidéo où il lançait des fléchettes
00:28 sur les portraits du député RN du Tarn Frédéric Cabrelier
00:31 et du maire LR de Lavore Bernard Carayon, ouvertement opposés à cet événement.
00:35 Ces provocations ont rapidement fait réagir le Rassemblement National.
00:39 Marine Le Pen a dénoncé un véritable appel à la violence et à la haine.
00:43 Le rappeur, lui, a répondu que la violence était de leur côté.
00:47 Quant aux deux élus visés pendant le concert, elles ont annoncé porter plainte.
00:52 Sous-titrage Société Radio-Canada

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