Le Talk : Revivez l'émission du jeudi 13 avril 2023
Ce soir dans le Talk : on parle piano avec un concert organisé ce week-end à Bras-Panon. Les bénéfices seront reversés à l’association Autisme Réunion. Une grande pianiste internationale fait le déplacement spécialement pour l’évènement. On parle aussi de l’affaire Galtier, et l’avis d’Arthur sur le film Donjons et Dragons. Tout ça c’est dans le Talk et c’est maintenant !
Transcript
00:00 ♪ ♪ ♪
00:03 ♪ ♪ ♪
00:04 - 100% La Réunion, la nouvelle marque du savoir-faire réunionnais
00:08 pour soutenir nos producteurs pays.
00:10 100% La Réunion, garantie aux consommateurs des produits
00:13 aux matières premières 100% locales.
00:15 Marque authentique, gage de qualité.
00:17 100% La Réunion a été créée par le département de La Réunion
00:21 et ses partenaires.
00:22 Retrouvez tous les produits 100% La Réunion sur le site
00:25 100%réunion.fr.
00:27 Consommer pays, consommer 100% La Réunion.
00:30 Le département aux côtés des réunionnais.
00:33 - Vous saviez-vous ?
00:34 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant
00:36 dans les commentaires Facebook ni en scrollant sur TikTok ?
00:39 ♪ ♪ ♪
00:42 (cris)
00:43 (bip)
00:44 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire,
00:48 incroyable et peu estoufflante.
00:51 (tousse)
00:52 On exagère peut-être un peu.
00:53 Pour trouver son emploi en un clic...
00:55 Wow ! Un clic ? Mais c'est super !
00:57 Clic en fin.
00:59 ♪ ♪ ♪
01:05 Avec Clic emploi, vous aussi, trouvez le job qu'il vous faut en un rien de temps.
01:08 Martine, on dit merci qui ?
01:10 (bip)
01:11 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
01:14 Bah ouais, elle bosse.
01:16 Merci Clic emploi !
01:17 ♪ ♪ ♪
01:20 ♪ ♪ ♪
01:43 (clic)
01:45 Nouveau !
01:47 Vizu devient 100% digital.
01:49 Retrouvez vos rubriques habituelles.
01:52 Agenda, Interview, Zerbage, Télévision, Jeux, Horoscope.
01:57 Vous retrouverez aussi votre programme télé.
02:01 ♪ ♪ ♪
02:04 Vizu, à vos côtés depuis 40 ans.
02:07 ♪ ♪ ♪
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02:15 Ensemble, suivons le talk et luttons contre le gaspillage alimentaire avec Leclerc et Zerogashi.
02:22 ♪ ♪ ♪
02:24 Leclerc.
02:25 ♪ ♪ ♪
02:34 Bonsoir La Réunion et bienvenue dans Le Talk, l'émission la plus fraîche de Lille.
02:38 Aujourd'hui, évidemment, on va parler cinéma parce qu'on est jeudi.
02:42 On va parler aussi emploi parce que Laurent est là.
02:45 Et on aura aussi une association qui sera avec nous, Autisme Réunion.
02:49 On va parler d'un concert de piano.
02:51 Ce sera hyper intéressant.
02:52 On aura Claudie aussi.
02:53 Mais aussi, elle va faire un sympa saccade aujourd'hui.
02:55 Elle ne s'est pas trop foulée, mais ce n'est pas grave.
02:57 On va passer à une belle émission quand même les amis.
02:59 On va commencer, c'est Le Talk et c'est maintenant.
03:01 ♪ ♪ ♪
03:22 Salut à vous.
03:23 Bienvenue dans Le Talk.
03:24 Si tu as raté le jingle et le sommaire, tu as raté plein de choses.
03:27 Non, je rigole.
03:28 On va commencer un petit tour de table.
03:29 Mademoiselle Lerose aujourd'hui.
03:31 Ah oui, je m'y connais.
03:32 Ah, tu es influencée.
03:35 Tu m'as influencée là.
03:36 Je crois que je vais aller acheter un truc rose.
03:37 Ça va la forme ?
03:38 Ça va super.
03:39 Et bien génial.
03:40 Moi, ça va la forme.
03:41 Il y a Laurent, Jean-Plateau, mais ce n'est pas grave.
03:42 J'ai quand même la forme.
03:43 Je rigole.
03:44 Ça va Laurent ?
03:45 Ça va, bonsoir à tous.
03:46 Très belle chemise blanche.
03:47 Oui.
03:48 À col blanc.
03:49 Ça, on va dire à col blanc.
03:50 À col blanc.
03:51 Un de plus.
03:52 Un de plus dans nos locaux, bien évidemment.
03:54 Ça va Thibault ?
03:55 La forme, toujours.
03:56 La forme, toujours.
03:57 Quand il y a Laurent, Claudie, je vois la vie en rose du coup.
04:00 En rose et blanc ?
04:01 En rose et blanc.
04:02 C'est la team amour.
04:03 Comment ça va Arthur ?
04:04 Le gars est jeune.
04:05 Le gars est jeune.
04:06 Le gars est jeune.
04:07 On va être jaunisse aujourd'hui ?
04:08 Non.
04:09 Non.
04:10 En mode quoi alors ?
04:11 Soleil.
04:12 En mode soleil.
04:13 Gilets jaunes.
04:14 Il faut éliminer votre journée.
04:15 Ah, mais ainsi d'éliminer notre journée.
04:16 Tu es prêt pour ta chronique ?
04:17 Je vois.
04:18 Génial.
04:19 On va commencer cette émission par une parenthèse.
04:20 Maître Gims a tenu des propos que j'aimerais bien discuter avec vous.
04:24 On va regarder cette parenthèse les amis.
04:26 Et on en parle tout de suite ensemble.
04:28 L'Afrique c'est Wakanda bordel.
04:30 C'est le futur normalement chez nous.
04:32 A l'époque de l'Empire de couche, il y avait l'électricité.
04:36 Les pyramides qu'on voit là.
04:38 Au sommet, il y a de l'or.
04:40 L'or c'est le meilleur conducteur pour l'électricité.
04:42 C'était des foutues antennes.
04:45 Les gens avaient l'électricité.
04:47 Les gens, ils n'arrivent pas à comprendre ça.
04:49 Les Égyptiens, la science qu'ils avaient, ça dépasse l'entendement.
04:53 Et les historiens le savent.
04:55 L'Afrique a peuplé l'Europe avant les Européens.
04:59 On les appelait les Afropéens.
05:01 Ils ont été décimés par les vrais Européens qui venaient d'Asie.
05:06 On les appelait les Yamnayas.
05:08 50 000 ans avant les Européens, la notion de la chevalerie, on l'avait déjà.
05:14 Tu retrouves aujourd'hui des tableaux qui sont classés, cachés dans des catacombes.
05:19 C'est des renois qui sont Monsieur Vallier, Sir Lancelot, tout ça.
05:21 Bien sûr, ça existait déjà.
05:23 Il faut connaître notre histoire.
05:25 Eh ben les gars...
05:29 Ça vous rappelle pas quelqu'un ?
05:31 Ça nous rappelle Kenny West ?
05:33 Jean-Claude Van Damme ? Il est au ware !
05:35 C'est à dire ?
05:37 Quand il partait dans ses délires, c'était un peu ça.
05:39 Il allait déjà loin là.
05:41 Je pense pas que ça soit vraiment un délire.
05:43 Quand on dit délire, c'est quoi genre ?
05:45 C'est quoi le délire ?
05:47 Qu'est-ce qui est vrai, qu'est-ce qui est pas vrai ?
05:49 Il prend des éléments du bout de choses vraies, comme par exemple le haut des pyramides était en or, etc.
05:55 C'est vrai que c'est l'Afrique qui a eu le peuplement du monde, etc.
05:59 Mais il prend des éléments vrais pour les amener à où lui, il en vit.
06:03 Pour moi, ça, c'est un délire.
06:05 Il prend des petits produits vrais.
06:07 Son investigation personnelle.
06:09 Sa propre vérité à lui.
06:11 Parce que l'or, chez les Incas, il y en avait partout.
06:13 C'était des gens qui adoraient l'or.
06:15 C'était Versailles, c'était Las Vegas.
06:17 Les Incas, attention !
06:19 Les Espagnols, quand ils sont arrivés, ils étaient jaloux.
06:21 T'en penses quoi toi Thibaut ?
06:23 Moi, je pense que ce qui m'énerve, c'est...
06:25 Il a craqué son slip.
06:27 Pas complètement.
06:29 Moi, ce qui m'énerve, c'est tout ce qu'on lui met sur la gueule dans les médias depuis que c'est sorti.
06:37 C'est avec ce truc hyper facile de dire "complotiste".
06:41 C'est ce qui m'énerve.
06:43 Dès que tu penses un peu autrement, ou que tu as une réflexion autre, on te dit "complotiste".
06:47 Il y a peut-être une partie de théorie du complot dans le côté un peu caché.
06:51 Mais en fait, "complotiste", qu'est-ce que ça veut dire ?
06:53 Il n'est pas en train de dire qu'il y a un ordre mondial qui nous cache tout.
06:55 Il n'est pas en train de dire ça non plus.
06:57 C'est quoi un complot ?
06:59 Un complotiste, c'est quoi ?
07:01 Un complotiste, c'est quoi ? Des complots cachés.
07:03 Pas obligatoirement un ordre mondial, etc.
07:05 Non, mais il y a une diaphrèse.
07:07 Un complot, c'est une théorie qui n'est pas...
07:09 Non, qui n'est pas la théorie officielle.
07:13 Ce n'est pas un complot...
07:15 Mais en fait, quand il dit "théorie du complot", c'est-à-dire que...
07:17 Tu vois la théorie officielle que toi, tu connais.
07:19 S'il y a une autre théorie qui n'est pas dit, le complot, il est là.
07:21 D'où l'expression "théorie du complot".
07:23 C'est ça qui me dérange un peu, c'est de dire...
07:25 Et dans ce que tu viens de dire, effectivement, la théorie officielle.
07:27 Là, on est sur l'histoire, et l'histoire, c'est hyper compliqué.
07:29 Parce que plus tu remontes les Égyptiens, c'est avant...
07:31 C'est 2000 ans.
07:33 Je crois que c'est 2000 ans avant déjà.
07:35 Avant Jésus-Christ.
07:37 Donc, en termes de preuves historiques, c'est hyper compliqué de savoir.
07:39 Parce que plus tu remontes dans le temps,
07:41 moins il y a de traces, en fait.
07:43 Donc, le Moyen-Âge, c'est encore assez facile.
07:45 Il y a encore des constructions, des trucs comme ça.
07:47 L'Égypte, l'Antiquité, tout ça, c'est hyper compliqué.
07:49 Donc, même les historiens...
07:51 En fait, aujourd'hui, c'est des hypothèses
07:53 basées quand même sur quelles choses se sont retrouvées.
07:55 On sait, par exemple, effectivement qu'ils ont retrouvé
07:57 des débuts de piles électriques
07:59 au moment des Égyptiens,
08:01 même avant le début de la guerre.
08:03 Des piles électriques au moment des Égyptiens,
08:05 même en Mésopotamie.
08:07 Et les Incas, effectivement,
08:09 on a retrouvé aussi des traces
08:11 de connaissances,
08:13 de débuts de connaissances, par exemple,
08:15 de l'électricité, même de l'astronomie.
08:17 - Donc, c'était peut-être Las Vegas, comme disait Laurent.
08:19 Avec son gros sac à jambes.
08:21 - Juste parce que lui, en plus, il a dit qu'il y a des preuves.
08:23 On a retrouvé des tables dans les cas.
08:25 Et le truc, c'est que, si on part dans sa logique,
08:27 les gars, ils avaient l'électricité.
08:29 Les chevaliers et tout, ils connaissaient, je ne sais pas combien de temps avant,
08:31 une société comme ça aurait laissé si peu de traces ?
08:33 - Eh bien, si une société est décimée...
08:35 - Alors, pourquoi les antennes,
08:37 leurs antennes paraboliques,
08:39 sont restées et pas le reste ?
08:41 - Parce que si tu as enlevé une antenne...
08:43 - C'est-à-dire que leurs antennes étaient plus solides que
08:45 leur bâtiment, le...
08:47 - Comme toute civilisation,
08:49 il reste toujours des vestiges.
08:51 Tu peux décimer une culture entière,
08:53 tu peux décimer une nation entière,
08:55 mais il restera toujours des vestiges.
08:57 - Les États-Unis, il y a très peu de...
08:59 - Comment ils vivaient ? - On ne sait pas tout.
09:01 - On ne sait pas tout, mais on sait qu'ils n'avaient pas de voitures.
09:03 - Déjà, par exemple, ils communiquaient avec la fumée.
09:05 C'est un truc de ouf, ça. - Oui.
09:07 - Je ne sais pas si tu te rends compte. - Ils arrivent très bien.
09:09 - Oui, c'est vrai, ils arrivent très bien ici.
09:11 Mais je ne sais pas si tu te rends compte, c'est un truc de ouf.
09:13 Déjà, à l'époque, les gars, ils ont trouvé
09:15 un système pour communiquer avec la fumée. - C'est ouf, mais c'était un système
09:17 qui n'avait pas d'électricité. - Je sais faire,
09:19 mais je veux te dire, c'est quand même innovant
09:21 et innovateur pour l'époque. Franchement, c'était le clic à l'emploi de l'époque.
09:25 - C'était le Laurent de l'époque. - C'était le Laurent de l'époque.
09:27 Ils passaient des annonces avec leur drap, là, comme ça.
09:31 - Quels auraient mon nom ? - Chasseur.
09:33 - Ça serait... - Laurent de Zaka.
09:35 - Non. - Non, non, en plus, il avait des noms.
09:37 - L'emploi visage pâle.
09:39 L'emploi pâle.
09:41 - Toi, tu disais quoi ? - Oui, je disais, en fait,
09:43 je pense que ce qui fait polémique un peu autour de
09:45 cette histoire, autour de Gims,
09:47 c'est que tous les faits qui l'avancent, il y a plusieurs hypothèses, en fait.
09:49 Tu vois, il donne son avis,
09:51 mais une autre personne va donner le sien,
09:53 et au final, c'est pas qu'on n'a pas de preuves,
09:55 mais il y a plusieurs recherches, en fait.
09:57 Voilà, il en parle comme une vérité,
09:59 parce que c'est son discours, je sais pas si ça...
10:01 C'est surtout cette vidéo, mais je pense qu'on lui a posé
10:03 une question et il a dû répondre, il a donné son propre analyse
10:05 de ce qu'il a dû lire et des informations
10:07 qu'il a en sa possession.
10:09 Mais je pense qu'aujourd'hui, il n'y a pas encore
10:11 de vérité qui a été...
10:13 - Moi, ce qui me dérange dans le truc de Gims,
10:15 c'est quand il parle des tableaux, effectivement,
10:17 il dit "ouais, il y a des tableaux",
10:19 ils sont où, frérot ? Il parle des tableaux,
10:21 mais où sont ces tableaux ? - Après, il y a un parti pris,
10:23 ça c'est sûr, parce que déjà, il est africain,
10:25 c'est normal que... - Ah ouais ?
10:27 - Non, mais c'est normal qu'il défend aussi sa culture,
10:31 ses origines, etc. - Et c'est vrai,
10:33 il y a plein de choses qu'il dit, par exemple, l'Empire d'Éthiopie,
10:35 à une certaine époque, était aussi fort, voire plus fort
10:37 que les empires européens...
10:39 - Ouais, les gars avaient des lions,
10:41 les gars, clairement, ils...
10:43 - Non, mais là, ça... - C'est ouf, mec,
10:45 il y avait des lions aussi en Europe à l'époque.
10:47 - Non, il y avait des lions, mais ils ne dressaient pas des lions
10:49 dans des... comment... Enfin, à l'armée, je veux dire.
10:51 - C'est sûr, on n'a même pas besoin de Mansa Moussa,
10:53 c'est le gars qui a été le plus riche au monde. - Qui ça ?
10:55 - Mansa Moussa, c'était en Afrique. - Tu as dit Moussa, là ?
10:57 - Et puis même, je pense qu'il y avait,
10:59 il y avait une théorie aussi, c'était dans l'époque
11:01 Athènes, au 5e siècle, un truc comme ça,
11:03 je crois qu'il y a eu une histoire
11:05 qui est similaire, qui a été retrouvée en Afrique,
11:07 que ce qui a été...
11:09 Bon, mais de toute façon,
11:11 à vos tableaux, ça passe ou ça casse ?
11:13 - Ben non, c'est pas ça passe, ça casse. - Non, c'est pas ça passe...
11:15 Ah ouais, c'est la parenthèse, ouais, carrément, tu vois ?
11:17 J'ai été... - Vous avez pas enlevé ?
11:19 - Non, j'ai été matrixé parce qu'on était trop dans...
11:21 Effectivement, c'est juste la parenthèse, les amis,
11:23 on a été un petit peu lourds sur la parenthèse,
11:25 et bien, c'est en transition, on envoie le "ça passe
11:27 ou ça casse". Allez, c'est maintenant.
11:29 [♫ Musique ♫]
11:31 [♫ Musique ♫]
11:33 - Alors, ça passe, ça casse, qui ne va pas du tout nous faire réagir
11:35 parce qu'on a déjà mis ça sur la gueule ?
11:37 C'est quoi ? - Ben du coup, on va parler
11:39 d'un chiffre qui est sorti récemment
11:41 de l'INSERM, qui est l'Institut national
11:43 de la santé et de la recherche médicale,
11:45 qui alerte sur le temps
11:47 d'écran chez les enfants de 2 ans.
11:49 En moyenne, un marmai de cet âge
11:51 passe une heure devant
11:53 un téléphone, une tablette, la télé,
11:55 sachant qu'il n'est pas recommandé
11:57 de laisser son enfant avant l'âge de 3 ans
11:59 devant les écrans, car ça
12:01 multiplierait les risques de développer
12:03 des troubles primaires du langage
12:05 et autres troubles aussi.
12:07 En tout cas, selon cette enquête,
12:09 ces troubles sont plus élevés chez les familles
12:11 ayant des origines immigrées
12:13 et/ou un niveau d'études
12:15 de la mère faible.
12:17 Donc, du coup, que pensez-vous
12:19 de ce fait ? A 2 ans,
12:21 passer plus d'une heure devant
12:23 son écran, est-ce que ça passe ou ça casse ?
12:25 - A votre tableau.
12:27 Ça passe, ça casse,
12:29 ça passe, casse,
12:31 ça passe... Bon, alors, je ne comprends pas
12:33 du tout. - Je ne peux pas mettre ça.
12:35 - Bonne journée.
12:37 - C'est qui qui fait les...
12:39 - C'est qui, effectivement.
12:41 On dit "qui est-ce qui".
12:43 Dis-moi, Arthur, qu'est-ce qui passe là-dedans ?
12:45 - De vrai, sur le principe, c'est chaud.
12:47 Par exemple, j'ai des potes qui ont des enfants
12:49 parce que moi, je n'ai pas d'enfants, je suis moi-même un enfant.
12:51 Et ils disent qu'à un moment donné,
12:53 des fois, des comptines
12:55 ou des vidéos bêtes
12:57 et avec quand même un cétabli éducatif
12:59 arrivent à soulager le gosse.
13:01 Et quand tu as passé une journée de travail, il est 23h,
13:03 le gosse n'arrive pas à dormir, ça peut être un soulagement
13:05 pour les parents.
13:07 - Je comprends mieux.
13:09 - Tu as dit juste parce que ça casse.
13:11 - Qu'est-ce qu'on comprend mieux, Laurent ?
13:13 - Quand il sera parent, il suivra plus. C'est la facilité.
13:15 Dans le temps, les parents s'occupaient de leurs enfants.
13:17 C'était marrant, d'ailleurs.
13:19 À la maison, il y avait une certaine discipline.
13:21 On ne pouvait pas faire ce qu'on voulait.
13:23 En allant dans le pire, on ne pouvait même pas prendre la parole,
13:25 je dirais, comme ça fait la table.
13:27 C'est tellement bien. Allez, hop, tiens.
13:29 - Tablette.
13:31 - Peppa Pig, le gamin est scotché dessus.
13:33 D'ailleurs, on peut l'appeler, il peut se passer n'importe quoi.
13:35 Il rechouche dans la mouille, l'Ukraine s'écrase.
13:37 Le gamin est dedans, il n'en bouge plus.
13:39 Mais honnêtement, pédagogiquement,
13:41 il n'y a rien, il ne se passe rien.
13:43 C'est le vide absolu.
13:45 Et puis ce même môme, 5 ans, 10 ans, 15 ans après,
13:47 il ne sait pas faire de vélo.
13:49 Parce que lui, il ne sait pas ce que c'est de sortir.
13:51 - J'ai lu une étude la dernière fois qui disait
13:53 que les écrans, c'est de la 2D.
13:55 Il n'y a pas de forme, etc.
13:57 Et en fait, ça crée un trouble
13:59 de la spatialisation de l'enfant,
14:01 donc de son cerveau,
14:03 donc de sa façon d'interagir
14:05 avec son environnement
14:07 est extrêmement touchée,
14:09 surtout à cet âge-là.
14:11 - Du coup, il faut lui acheter une télé 3D.
14:13 - Il faut acheter une télé 3D et des lunettes en 3D.
14:15 - Il est horrible.
14:17 - C'est le pire.
14:19 Je rejoins totalement ce que tu dis, Laurent.
14:21 C'est inadmissible.
14:23 C'est vraiment l'infacilité.
14:25 Nos parents, on ne pouvait pas.
14:27 On avait la télé. Nous, on est une génération proche de ça.
14:29 - Ils te mettaient dehors pour être tranquille.
14:31 - Quoi ? Alors ?
14:33 Ma mère, elle ne me laissait pas avoir
14:35 plus de 30 minutes de Game Boy
14:37 par jour à l'âge de 10 ans.
14:39 - Moi aussi, j'ai triché.
14:41 - Oui, tu trichais, tu vois.
14:43 Mais nos parents ne se servaient pas de ça
14:45 pour nous laisser tranquille.
14:47 Au contraire, c'était agaçant.
14:49 - C'est agaçant.
14:51 - C'est agaçant.
14:53 - C'est agaçant.
14:55 - C'est agaçant.
14:57 - C'est agaçant.
14:59 - C'est agaçant.
15:01 - C'est agaçant.
15:03 - C'est agaçant.
15:05 - C'est agaçant.
15:07 - C'est agaçant.
15:09 - C'est agaçant.
15:11 - C'est agaçant.
15:13 - C'est agaçant.
15:15 - C'est agaçant.
15:17 - C'est agaçant.
15:19 - C'est agaçant.
15:21 - C'est agaçant.
15:23 - C'est agaçant.
15:25 - C'est agaçant.
15:27 - C'est agaçant.
15:29 - C'est agaçant.
15:31 - C'est agaçant.
15:33 - C'est agaçant.
15:35 - C'est agaçant.
15:37 - C'est agaçant.
15:39 - C'est agaçant.
15:41 - C'est agaçant.
15:43 - C'est agaçant.
15:45 - C'est agaçant.
15:47 - C'est agaçant.
15:49 - C'est agaçant.
15:51 - C'est agaçant.
15:53 - C'est agaçant.
15:55 - C'est agaçant.
15:57 - C'est agaçant.
15:59 - C'est agaçant.
16:01 - C'est agaçant.
16:03 - C'est agaçant.
16:05 - C'est agaçant.
16:07 - C'est agaçant.
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16:11 - C'est agaçant.
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17:31 - C'est agaçant.
17:33 - C'est agaçant.
17:35 - C'est agaçant.
17:37 - Il y a un truc qui est paradoxal, c'est que quand ma mère me raconte son enfance, ils allaient jouer avec rien.
17:43 - C'est-à-dire, ils allaient dans le jardin, ils s'amusaient, enfin, c'est l'imagination.
17:47 - Les initiatives venaient d'eux-mêmes.
17:49 - Oui, elles venaient d'eux-mêmes.
17:51 - Aujourd'hui, le souci, c'est que tu as des jeunes, j'ai l'impression qu'ils n'ont pas envie.
17:53 - C'est ça, c'est pour ça, ça tue l'imagination.
17:55 - C'est l'envie, parce qu'on leur donne.
17:57 - Voilà, tu vois, on leur donne de quoi.
17:59 - En fait, je pense à un moment donné, le cerveau humain, il n'aime pas le vide.
18:03 Il faut le combler. Et aujourd'hui, il y a une facilité à combler.
18:05 Mais même nous, à combler le vide, hop, on va sur TikTok.
18:09 - Je pense que c'est faux. - C'est faux ?
18:11 - Moi, je pense que ce que tu dis est faux. - Ah ouais ? Pourquoi ?
18:13 - Parce que je pense qu'on peut très bien vivre dans le vide, et pendant des millénaires, c'est ce qu'on a fait, il n'y avait rien.
18:17 - Non, je ne suis pas... - Mais si, parce qu'on n'a plus l'habitude d'aujourd'hui.
18:19 - On n'a plus beaucoup de temps, mais conclue juste ce que tu allais dire.
18:23 - Non, mais juste pour dire que, là, c'est parce qu'il y a tellement de trucs qui nous captent à droite, à gauche,
18:27 que ce soit des panneaux publicitaires, que ce soit des télés, des écrans, il y en a partout.
18:31 Mais vraiment, si tu coupais tout d'un coup, les gens vivraient aussi très bien. On l'a fait pour...
18:34 - Oui, mais clairement, c'est ce que je dis. - Non, tu dis... L'humain n'est pas fait pour...
18:38 - Non, je ne dis pas ça. J'ai dit l'humain. On comble le vide.
18:42 C'est-à-dire que si on n'a rien à faire, au lieu de forcément aller sur son téléphone,
18:45 si on coupe tout, on ne va pas aller sur notre téléphone. On va trouver un truc à faire.
18:48 On va faire une activité, on va faire de la peinture, on va combler le vide,
18:51 pas par un téléphone, pas par le numérique, dans ce sens-là.
18:54 Donc voilà. Bon, on n'a plus le temps. On va passer à la suite.
18:57 On va passer à Scandale. Moi, en fait, je suis allé en immersion.
19:00 On est allé interviewer un producteur réunionnais. Vous savez, les producteurs que ce soit.
19:04 Toi, tu connais bien. Dans la musique, dans tout ce que vous voulez, la musique, l'artistique,
19:09 il y a des producteurs, c'est des requins. C'est des producteurs avec des grosses parenthèses.
19:16 Et voilà. On est allé à la rencontre d'un de ces producteurs.
19:19 On va aller le voir pour voir ce qu'il en pense. Monsieur le producteur, c'est à vous.
19:24 Ah, vous êtes déjà là ? Je ne vous avais pas vu.
19:39 Ah là là. Bonjour, à moi, c'est Dodo.
19:43 Tout le monde m'appelle à moi Dodo. Des fois, « D ».
19:46 En fonction de comment vous vous dites, je me représente à la taille basse prod.
19:49 Taille basse prod, c'est vraiment des artistes qui commencent du plus bas,
19:52 qui arrivent au milieu de la taille basse. Et après, je les élève jusqu'à la taille haute.
19:57 Donc là, mes artistes, pour qu'ils arrivent, ils sont en retard.
20:00 Si vous regardez mon poignet, il n'y a même pas de montre.
20:02 C'est les bonnes guizzottes, mais à la maison de maman.
20:04 Pour qu'ils arrivent, maman est l'artiste. Mon artiste préféré.
20:08 Alors ça, c'est une artiste en essence. Elle va bientôt faire péter le game.
20:14 Qu'est-ce que vous faites encore ? - Moi, je chante.
20:16 - Elle chante. Allez là.
20:18 Regarde comment ça va se mettre sur la route. Ce sera incroyable.
20:21 Chantez là. Chantez un petit coup. Chantez-nous.
20:24 Attends, attends, attends. Comment on chante ?
20:31 Là, là. Combien d'abonnés on a là-haut ? - 13 000.
20:35 - 13 000 abonnés. Vous entendez ça ? Vous voyez son talent là ?
20:39 Vous le voyez, c'est le talent. Elle est à bout de ça.
20:41 13 000 abonnés. Quand vous aurez ça là, là vous allez venir me voir.
20:45 Là, je pourrai peut-être penser, à songer, peut-être que je vais vous produire.
20:49 Donc là, là je vais vendre des places. Là, ça c'est l'avenir.
20:53 C'est l'avenir ça. Vous comprenez ?
20:55 Allez entraîner dans la cité des arts. Toute la cité pour apprécier.
20:59 Vous savez, les lottes qui t'emmènent. J'ai plaisir à l'artiste moi.
21:02 Moi, je gère plaisir à l'artiste parce que je suis polyvalent.
21:06 Je suis omnitrix, comme on pourrait dire.
21:08 - Ah Louss ! Comment ça va Louss ? Ça fait longtemps que je t'attends là.
21:11 - Ça va, merci. - T'as pas trop faim, tu vois, tu m'as laissé là.
21:13 Ah voilà. Donc je vous présente Louss. Un artiste à redevenir aussi.
21:17 Il n'est pas encore monté sur la route mais bientôt tu vas monter.
21:19 - Je monte toujours. Ça n'a pas aucun sens.
21:21 - Non mais tu vas monter sur la route bientôt là.
21:23 T'inquiète pas pour ça toi. C'est bon ?
21:25 - Non, en passant, j'ai déjà écrit mon texte. - C'est quoi ?
21:27 - J'ai déjà écrit mon texte en sketch.
21:29 - Qui est-ce qui t'a dit d'écrire ?
21:32 Qui est-ce qui t'a donné l'ordre d'écrire ?
21:35 - Je suis ton producteur, je décide. Je te dis quand il faut écrire.
21:39 Combien d'abonnés tu as toi ?
21:41 - 5 000. - Combien ?
21:42 - 5 000. - 5 000 abonnés ?
21:44 Et tu oses encore faire comme si tu écrivais quelque chose là ?
21:47 T'inquiète pas, toi t'es là pour moi.
21:49 C'est pour la street ça. C'est la validation de la street.
21:52 J'ai besoin de me protéger, de sécurité.
21:54 Toi tu es là toi !
21:55 Tu sais quoi ? Chante un petit peu gratuitement pour moi dans les affaires,
21:59 dans les mouvements, dans les festins.
22:01 Après moi je t'emmène en France. - C'est vrai ça ?
22:03 - Je t'emmène en France. T'as déjà pris le R1, toi ?
22:06 T'es jamais allé à Marne-la-Vallée ? - Non, c'est ouf.
22:08 - Mais je vais te montrer Marne-la-Vallée.
22:10 T'inquiète pas, je vais bien t'expliquer.
22:13 - Et oui, voilà, je voulais vous partager cette parenthèse.
22:15 Parce qu'en fait il y a des producteurs, on n'a pas beaucoup de temps,
22:17 on va passer à la pub rapidement.
22:18 Il y a beaucoup de producteurs à l'aréna qui promettent mondes et merveilles.
22:21 Chante pour moi, fais ci pour moi, je vais t'emmener en France.
22:24 Ou bien qui se focalisent seulement sur le nombre d'abonnés des artistes.
22:27 Et je considère que c'est pas comme ça qu'on travaille en fait.
22:29 C'est pas ce qui fait la valeur d'un artiste, que ce soit son nombre d'abonnés,
22:32 que ce soit là où il habite, peu importe.
22:34 Donc à tous ces producteurs véreux, ils se reconnaîtront.
22:37 - Un mot très rapide, une anecdote justement par rapport à ça.
22:40 Vous vous souvenez de Tatiana Barbar, qu'on avait reçue en plateau,
22:43 qui avait fait le concours en 5,80 secondes.
22:46 Donc en soit c'est un truc très scientifique et tout.
22:47 Derrière, parce qu'elle est passée ici et sur d'autres télés,
22:50 il y a un agent qui l'a appelée en me disant "j'ai envie de faire un truc avec toi
22:54 parce que je t'ai vu, en gros t'es très jolie".
22:57 Et c'est le producteur d'une chanteuse assez connue ici.
23:01 Et pour le coup je l'ai rappelée elle en lui disant "fais gaffe,
23:04 parce qu'en soit, faut bien choisir aussi,
23:06 faut pas qu'on te demande n'importe quoi, parce que là ça brille et tout".
23:09 Mais à la base t'es scientifique, t'es pas non plus.
23:12 Voir un producteur de chanteuse qui t'appelle, toi qui es scientifique
23:16 parce que t'as gagné un concours et que t'es passée deux secondes à la télé,
23:18 ça me semble pas très bien.
23:19 - Ça c'est totalement les producteurs rayonnés.
23:20 Et en tout cas si vous nous regardez, vous vous reconnaîtrez
23:24 parce qu'effectivement c'était totalement une balle réelle
23:27 en direction de toi là qui me regarde droit dans les yeux.
23:30 On va passer à la suite et on envoie une petite page de pub,
23:32 comme ça tu peux avaler un peu la pilule.
23:34 - Allez !
23:36 [Musique]
23:39 Stop au gâchis ! Leclerc continue sa lutte contre le gaspillage alimentaire.
23:44 Vos magasins Leclerc de Lille adoptent la démarche zéro gâchis.
23:48 Tous les jours, des produits frais à dette courte sont remisés jusqu'à 70%.
23:53 En rayons ou dans les corners dédiés, profitez de bons produits à petit prix
23:57 et luttons ensemble contre le gaspillage alimentaire.
24:00 [Musique]
24:02 Leclerc.
24:03 Exagerez-vous. Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires Facebook
24:07 ni en se collant sur TikTok.
24:09 [Musique]
24:14 Non. Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire.
24:17 Incroyable et peu estouflante.
24:20 On exagère peut-être un peu.
24:22 Pour trouver son emploi en un clic.
24:24 Waouh ! Un clic ? Mais c'est super !
24:27 Clique en fin.
24:28 [Musique]
24:34 Avec Clique emploi, vous aussi, trouvez le job qu'il vous faut en un et un temps.
24:38 Martine, on dit merci qui ?
24:40 [Rire]
24:41 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
24:44 Bah ouais, elle bosse.
24:45 Merci Clique emploi.
24:47 [Musique]
24:58 100% La Réunion.
25:00 La nouvelle marque du savoir-faire réunionnais pour soutenir nos producteurs pays.
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25:21 Consommer pays. Consommer 100% La Réunion.
25:24 Le département aux côtés des réunionnais.
25:27 [Musique]
25:43 [Applaudissements]
25:46 [Musique]
25:50 Ensemble, suivons le talk et luttons contre le gaspillage alimentaire avec Leclerc et Zerogachi.
25:57 [Musique]
25:59 Leclerc.
26:00 Et de retour sur le plateau, on accueille l'association Autisme Réunion qui est avec nous.
26:06 Bonjour mesdames, comment allez-vous ?
26:07 Bonjour, ça va très bien.
26:09 Ça nous fait très plaisir d'être avec vous aujourd'hui.
26:12 Vous êtes notre dose du jour, on envoie le jingle et on est tout de suite à vous.
26:16 [Applaudissements]
26:19 Et oui, aujourd'hui on va parler d'un concert qui va avoir lieu ce week-end.
26:23 Avec vous, Marie Strauté et Nathalie Fauché, la présidente de l'association Autisme Réunion.
26:28 Ce concert que vous organisez, ça se passe dimanche à 17h à l'église de Brapannon avec la pianiste Myriam Barbeau-Cohen.
26:34 D'abord, mesdames, est-ce que vous pouvez nous présenter ce concert ?
26:37 Comment ça se passe ?
26:38 Alors, en fait, je suis la facilitatrice de ce concert, je dirais, de l'organisation de ce concert.
26:44 Et ce n'est pas tout à fait un hasard, parce que Myriam Barbeau-Cohen, c'est la deuxième fois qu'elle vient à La Réunion.
26:50 Et elle m'a contactée, elle me dit "je voudrais offrir un concert pour une cause".
26:56 Donc, comme elle arrive au mois d'avril, c'est le mois de l'autisme.
27:00 Hier, j'ai entendu dire que c'est aussi le mois de l'environnement.
27:03 Mais enfin, la cause qui nous intéresse, c'est l'autisme.
27:05 Là, non pas ce soir.
27:06 Oui, bien sûr. Donc, j'ai proposé à Nathalie Fauché ce concert au bénéfice de son association.
27:14 Et vous, Nathalie, vous connaissiez déjà Myriam Barbeau-Cohen ?
27:17 Pas du tout. Mais je pense qu'il n'y a pas de hasard, c'est ce qu'on discutait avec Maryse.
27:22 Et cette dame-là, elle a joué, elle fait du piano avec des personnes autistes.
27:27 Donc, je pense que quelque part, les grandes idées se rencontrent.
27:31 Donc, ça tombe très bien.
27:32 Depuis tout à l'heure, on parle de cette pianiste sans forcément savoir de qui on parle.
27:36 Je vous propose de regarder un extrait d'une composition, mais de ce qu'elle joue au piano.
27:41 On écoute ça tout de suite.
27:42 On y va.
27:43 [Musique]
27:45 [Musique]
27:47 [Musique]
27:50 [Musique]
27:52 [Musique]
28:20 Technique.
28:21 Il y a un public, certainement.
28:24 À La Réunion, j'ai l'impression qu'il y a quand même un public pour les concerts de piano.
28:28 Après, c'est un truc très de niche et on n'a pas l'habitude de voir.
28:31 Et quand tu es pianiste et que tu es passionné, tu connais tout le monde.
28:35 Par exemple, je dégraisse deux secondes, mais la Cité des Arts, je trouve qu'ils jouent un rôle important là-dessus
28:40 pour faire découvrir, apporter quand même ce type de culture et de musique, l'opéra, le piano,
28:46 auprès du grand public quand même.
28:48 Pour revenir à ce concert et à la musique par rapport aux personnes autistes, justement,
28:52 on sait qu'il y a plusieurs formes d'autisme, mais est-ce que la musique peut aider justement
28:56 à communiquer peut-être avec des personnes vraiment très refermées sur elles-mêmes
29:01 ou en tout cas à libérer peut-être ces personnes autistes ?
29:04 Alors, on a plusieurs variantes dans l'autisme.
29:07 Il n'y en a pas un qui ressemble à l'autre, ce qui fait la complexité de l'autisme d'ailleurs.
29:11 Mais dans notre association, nous avons donc des personnes autistes
29:16 qui aiment la musique et qui sont musiciens sans avoir appris une note de solfège.
29:20 Rien qu'à l'oreille, ils sont capables donc de vous recomposer un Mozart, un Chopin ou autre chose.
29:27 Ils ont tous un talent, si vous voulez, au niveau de la musique,
29:31 mais il y en a d'autres qui ont un dessin, d'autres, je veux dire, ils ont des dons, on dirait.
29:37 Ils sont capables de vous dire telle musique, et on en a plein,
29:42 donc c'est telle, telle personne, il a écrit il y a telle, telle année, etc.
29:45 Alors que nous, on est complètement perdu là-dedans,
29:48 mais ils sont incapables par contre de vous dire, d'aller chez le coiffeur
29:52 ou de pouvoir savoir combien deux et deux font.
29:55 Donc il y a vraiment des pics comme ça.
29:58 Einstein ne savait pas faire ses lacets, il était autiste et il a découvert la loi de la relativité,
30:03 ce qui est quand même un peu paradoxal, on va dire.
30:06 En même temps, non, parce qu'effectivement, il y a des personnes autistes,
30:09 qui ne font pas toutes les formes non plus, mais je sais que des fois,
30:12 en gros, ils bloquent sur un domaine en particulier, par exemple les mathématiques,
30:15 et du coup, ils vont être hyper formats, calculer plus vite que beaucoup de personnes,
30:18 mais effectivement, par exemple, avoir plus du mal dans les tâches du quotidien.
30:21 Mais ils sont hyper envahissants aussi, parce qu'ils ne parlent que de ce sujet-là,
30:25 et nous ne sommes pas dans les mêmes mondes.
30:27 Nous, ils nous appellent donc les non-autistes ou les neurotypiques, d'accord ?
30:30 Et souvent, écoutez, je vais vous donner un exemple,
30:33 dernièrement, on a eu une personne qui est médecin en biologie,
30:38 donc quelqu'un qui est...
30:40 Elle essayait de nous faire comprendre, nous, les neurotypiques,
30:43 c'est-à-dire les non-autistes, les probabilités dans une ratatouille.
30:47 Je peux vous dire que 5 minutes après, tout le monde en avait décroché.
30:51 Elle était toujours en train de dire, quand l'obéagine est au-dessus,
30:54 la carotte est en dessous, et tout le monde en avait décroché.
30:58 On était 300 dans la salle, et elle, elle continuait avec passion,
31:01 et elle ne comprenait pas pourquoi il fallait qu'elle s'arrête,
31:03 puisqu'à un moment donné, on l'a fait arrêter,
31:05 parce qu'on aurait eu une migraine pas possible.
31:07 - Ça va, 2 minutes, mais j'aurais dû...
31:09 - Vous imaginez !
31:11 - J'ai vu aussi un reportage, il faisait survoler New York, un autiste,
31:16 et ensuite, il a réussi à redessiner tout New York,
31:19 mais juste avec sa mémoire.
31:22 - Et quand on entend de facultés comme celle-ci,
31:25 finalement, y a-t-il réellement besoin d'aider un autiste,
31:29 ou clairement, il s'en sort très bien tout seul, grâce à toutes ces facultés ?
31:34 - Non, il faut vraiment l'aider, parce qu'il n'a pas les aptitudes sociales.
31:37 C'est-à-dire que quand je vous disais, il est incapable d'aller chez le coiffeur,
31:40 il est vraiment incapable, il est incapable d'aller s'acheter une chemise et un pantalon.
31:44 Il faut lui apprendre, donc, à savoir prendre un bus.
31:48 Il a vraiment... Souvent, ils vivent de façon isolée.
31:52 Ils sont très, très... Enfin, ils sont beaucoup dans la solitude.
31:54 Et le travail qu'on fait, enfin, les parents font cela, surtout,
31:58 et les éducateurs, puisque moi, je suis une ancienne éducatrice spécialisée,
32:01 avant d'être tombée dans la marmite comme Obélix,
32:04 donc, depuis 30 ans, je suis présidente d'Autisme Réunion,
32:06 et c'est vrai que notre travail, à nous, c'est de lui apprendre à être autonome
32:10 dans la vie quotidienne, et c'est pour ça qu'il faut quand même les aider.
32:13 Ils ont l'air d'être performants, mais ils sont pas performants en tout.
32:16 - Est-ce que vous avez des... Pardon. Vous avez... Après, on...
32:19 - Partez-vous. - Je te laisserai poser la question.
32:21 Juste pour avoir un peu de contexte, est-ce que vous avez des chiffres,
32:23 à la Réunion, de combien de personnes, par exemple, sont autistes sur l'île, ou pas ?
32:27 - Alors, on prend 1% de ma population.
32:29 Donc, si on est à peu près 890 000 habitants, je crois, un truc comme ça.
32:33 Donc, je vous laisse faire le calcul, parce que moi, en calcul mental, je suis nulle.
32:36 - C'est 8 000 ? - À peu près 8 000.
32:38 - C'est 10 % ? - Ouais, effectivement.
32:40 - Donc, ils sont bien là, sauf que... - Un peu, excuse.
32:42 - Les maths, c'est pas... - Non, non, je crois que...
32:45 Il est pas autiste, en tout cas. - Il est pas du tout autiste.
32:47 - Il est pas autiste, ça, c'est sûr. - Il est neurotypique,
32:49 un peu tout-typique, même, je dirais.
32:51 - Du coup, Claudine ? - Ah oui, moi, ma question, c'était genre...
32:54 Oui, en effet, il faut aider les personnes autistes,
32:56 mais est-ce qu'il faut pas aussi aider, du coup, les personnes neurotypiques
32:59 à vivre ensemble ?
33:03 Parce que, moi, je vous parle d'une expérience,
33:05 quand je faisais ma licence, donc il y avait un autiste qui était avec nous.
33:08 Donc, il avait fait la première année, donc il a fallu qu'on s'adapte, nous aussi,
33:11 qu'on comprenne, du coup, c'était quoi, ces troubles liés à l'autisme,
33:15 quel comportement on devait avoir avec lui.
33:17 Il y avait justement ce côté où, quand il s'intéressait à un sujet,
33:20 c'était vraiment... Il pouvait en développer pendant une heure, deux heures, etc.
33:23 Mais, du coup, ça retardait un peu aussi, du coup, les cours, on va dire.
33:28 Donc, c'est pour ça qu'il est resté qu'un an avec nous,
33:30 il a pas pu faire les trois ans.
33:32 Mais j'ai trouvé cette expérience-là, du coup, géniale,
33:36 parce que, enfin, je pense que ça devrait se multiplier un peu plus,
33:39 mais est-ce qu'il y a des mesures, du coup, dans ce cadre ?
33:43 Je dirais ce que Joseph Chovanec, qui est le globe pour autistes,
33:48 a passé une semaine à La Réunion.
33:50 Il a été très médiatisé, en même temps, il a donné des conseils
33:54 aux neurotypiques que nous sommes.
33:56 Il disait toujours, et ça, je pense que ça m'a beaucoup marquée,
33:59 parce que tous les ans, il arrive avec un message bien précis
34:01 en tant qu'autiste. Il est docteur en philosophie,
34:03 il parle une douzaine de langues, donc vous voyez, c'est quelqu'un qui...
34:06 Mais il est incapable, par exemple, d'aller chez le coiffeur
34:09 ou de s'acheter des chaussures, il faut que quelqu'un l'accompagne.
34:13 Et il disait, il faut vraiment que nous, les neurotypiques,
34:17 acceptent que les autistes, elles, les valident.
34:21 Ça veut dire, quelque part, il disait qu'on a des grandes leçons de vie
34:25 à apprendre, donc, des personnes TSA,
34:27 parce qu'ils ont une façon de voir le monde
34:30 qui n'est plus du tout la nôtre, vous voyez.
34:32 Nous, les neurotypiques, on va trouver des excuses
34:36 pour ne pas faire ci, pour ne pas faire ça,
34:38 on est un petit peu vicieux et tordu, quoi.
34:40 Même si une personne n'est pas très jolie, on va dire
34:42 "Qu'est-ce que tu es belle, franchement !"
34:44 - Très bien, cette voix. - Voilà.
34:46 - "Je suis le rouge, je suis le bleu."
34:48 - "Ah, le rouge, ça va bien."
34:50 Et donc, du coup, eux, ils peuvent pas mentir.
34:53 Et donc, ils vont vous dire "Qu'est-ce que tu es laide ?"
34:56 Ou "Vraiment, tu sers à quoi ?"
34:58 Et puis, franchement, "Je ne t'aime pas."
35:00 Donc, quelque part, ça nous donne un coup de poing dans la figure,
35:03 mais en même temps, ça nous apprend aussi,
35:05 ça rectifie un petit peu le tir en disant
35:07 "C'est vrai, mais dans quel monde on vit aujourd'hui ?"
35:09 - C'est incroyable. En fait, comme on me souffle dans l'oreillette,
35:12 c'est pour ça qu'Einstein, il avait une sale coupe,
35:14 il savait pas aller au coiffeur, en fait.
35:16 - Il pouvait pas aller au coiffeur. - Il avait les cheveux toujours...
35:19 - Il a pas trop asé des autistes qui ont dit "Mec, t'es laid, en fait.
35:22 OK, t'as trouvé la relativité."
35:24 - Mais que vous dites à quelqu'un, un autiste,
35:26 il est moche, ça s'en fout littéralement,
35:28 il est dans son monde à lui, et puis c'est pas ça
35:30 qui compte pour lui, tandis que nous, on est sensible à tout ça.
35:33 - Le paraître et puis le savoir complet,
35:35 même si les trois quarts des personnes en pensent pas à nous.
35:38 - On est sensible à la gâchette. Quelqu'un, une dernière question
35:41 de la page du jour ? - Déjà, comment on fait
35:43 pour la billetterie, pour le concert ?
35:45 - Alors, ça, c'est de mon ressort, en fait,
35:48 puisque, comme je disais au départ,
35:50 je suis la facilitatrice pour l'organisation de ce concert,
35:54 parce que j'étais en contact avec la pianiste elle-même
35:57 tous les jours, par Messenger,
35:59 parce qu'elle vit à Francfort, elle arrive demain matin.
36:02 Donc, elle se prépare pour ce dimanche.
36:05 Pour la billetterie, j'ai mis sur les affiches
36:08 et sur tous les réseaux sociaux des numéros de téléphone
36:12 où les personnes peuvent nous contacter réservés
36:15 ou venir directement, une demi-heure avant le concert,
36:18 et acheter des places à l'entrée.
36:21 - Et du coup, ce sera au bénéfice de l'association.
36:23 - Ce sera au bénéfice de l'Autisme Réunion.
36:25 - Super. - Et les réseaux sociaux, c'est ?
36:27 - FB, on a Autisme Réunion, etc.
36:32 Et ce qu'il faut savoir, c'est que ces dons,
36:35 ça va servir à faire une sensibilisation
36:38 des personnes neurotypiques dans les lycées.
36:41 Parce que l'adolescence, c'est le pire moment
36:44 pour une personne autiste, et souvent,
36:46 il y a un décrochage scolaire à ce niveau-là.
36:48 Donc, on va essayer de mettre en place
36:50 une caravane de l'autisme pour justement sensibiliser
36:52 les jeunes de 3e, 4e, parce que forcément,
36:56 ils sont un peu chahutés, nous, TSA,
36:59 lorsqu'ils arrivent dans ces classes-là,
37:01 dans cette tranche d'âge-là,
37:03 et parce qu'ils ont une grande naïveté,
37:05 ils n'ont pas les aptitudes sociales pour se défendre,
37:07 ils ont envie d'avoir des amis, ils ont envie d'être amoureux,
37:09 et ils ne savent pas s'y prendre, et donc, du coup,
37:11 forcément, les neurotypiques que nous sommes,
37:14 ça devient le bouc émissaire des autres.
37:17 Donc, on va faire une sensibilisation.
37:19 - Même si l'immersion, quand même, reste, j'ai envie de dire,
37:21 quelque chose de positif, et important pour eux.
37:23 - Mais le problème, c'est qu'ils n'arrivent pas à se défendre.
37:25 C'est leur gros problème.
37:27 - Ils ne sont pas d'un mot, ils ne peuvent pas s'y défendre.
37:29 - C'est vraiment deux mondes qui se...
37:31 - Exactement.
37:32 - En tout cas, merci de nous avoir éclairés.
37:34 C'était un plaisir de vous accueillir sur le plateau,
37:36 et j'espère que le concert, il y aura énormément de gens.
37:38 - Il y a 600 places.
37:40 - 600 places. J'espère qu'il y aura au moins 700 personnes, alors.
37:42 (Rires)
37:44 Merci à vous. On va passer à la suite.
37:46 Vous restez avec nous. On va faire un petit...
37:48 C'est quoi, c'est un focus... - Un focus info.
37:50 - Un focus info. Petit focus info sur l'affaire Galtier.
37:54 On envoie le jingle ? - Allons.
37:56 - Allez.
37:57 (Générique)
37:59 - Alors, Thibault Galtier, qu'est-ce qu'il a fait encore ?
38:01 - Effectivement, on focus sur cette affaire
38:03 qui va avoir de grosses répercussions.
38:05 Je ne sais pas si vous avez vu déjà passer l'information.
38:07 En début de semaine, on parlait de Christophe Galtier,
38:09 mais en victime, par rapport aux insultes sur sa mère
38:11 par les ultras niçois.
38:13 Cette fois, ce serait plutôt lui, l'agresseur,
38:15 selon le témoignage de l'ancien directeur
38:17 de football de Nice,
38:19 Julien Fournier, qu'on voit à droite de l'image.
38:21 Christophe Galtier aurait eu des propos racistes
38:23 contre son équipe niçoise, qu'il coachait à l'époque.
38:25 Ça se passe en 2021.
38:27 Il serait plaint du trop grand nombre, par exemple,
38:29 de joueurs noirs et musulmans dans l'équipe de Nice
38:31 à cette époque-là.
38:33 Selon Julien Fournier, c'est via le fils de Galtier,
38:35 qui est aussi l'agent sportif de son père,
38:37 que les propos lui ont été rapportés.
38:39 Je vous lis en fait quelques extraits.
38:53 Une partie...
38:55 - Les propos rapportés...
38:57 - Mais attends, ça, il a dit que...
38:59 On lui a dit ça ?
39:01 - En fait, c'est Christophe Galtier qui a dit ça à son fils.
39:03 Son fils étant son agent sportif, il est allé voir
39:05 le directeur de football de Nice en lui disant
39:07 "Mon père, il en a marre, il en pleure, machin,
39:09 voilà ce qu'il te dit."
39:11 Et ça, ça a été envoyé...
39:13 "Clarisse pleure, trop d'arabes dans mon équipe,
39:15 on peut pas manger du porc, pas du porc, pas du porc."
39:17 Et il a craqué, lui !
39:19 Donc ça, c'est un extrait de mail.
39:21 - Et la situation de cette équipe, elle marche bien ?
39:23 - L'année dernière, ouais, elle a fini 4e, je crois.
39:25 Elle joue l'Europe, elle est en Coupe d'Europe,
39:27 donc ça s'est super bien passé.
39:29 Donc comme quoi, les Arabes, ils jouent bien au foot.
39:31 - Voilà, j'ai envie de dire, tout le monde est content.
39:33 Les sponsors sont contents.
39:35 - J'ai envie de te dire, en 98,
39:37 qui est-ce qui a ramené la Coupe du Monde à la maison ?
39:39 Zinedine Zidane.
39:41 Donc s'il était pas là, c'est pas un mec de Lorraine...
39:43 de Lorient, pardon !
39:45 Qui allait grimper la Coupe du Monde.
39:47 - Il est la Suisse, toi ?
39:49 - Il est le mec de Lorraine dans ton équipe ?
39:51 - Non, non, j'aime pas. Tous les dimanches, ils vont à la messe.
39:53 Franchement, on en a jusque là.
39:55 - Mais pourquoi, tu sais, on sort d'une semaine, c'est un truc...
39:57 - Moi, je suis pas très sain, moi.
39:59 - Alors justement, je vous rappelle que ces documents
40:01 ont été transmis à des journalistes sportifs
40:03 sans en-tête, donc on peut pas encore confirmer...
40:05 - Sans en-tête, c'est-à-dire ?
40:07 - Sur les documents, enfin, du mail et tout,
40:09 il n'y a pas écrit...
40:11 - Oui, c'est un bon ordre de limites.
40:13 - Ça peut être Julien Fournier qui a écrit, lui,
40:15 là, sur Google Docs.
40:17 - Ça va être encore à confirmer.
40:19 - Interne ?
40:21 - Voilà, vraiment, de la date et de quand a été diffusé,
40:23 a été fait ce document.
40:25 Pour l'instant, c'est donc la parole de Julien Fournier
40:27 contre Christophe Galtier. La direction du Paris Saint-Germain
40:29 et elle, va mener une enquête interne
40:31 auprès de Christophe Galtier
40:33 et de son entourage pour savoir si c'est vrai.
40:35 Mais en attendant, elle affirme que
40:37 si cette affaire avait été connue par la direction,
40:39 jamais Christophe Galtier n'aurait pu signer
40:41 au Paris Saint-Germain. Affaire à suivre, donc.
40:43 - Il y a pas de pouvoir qui en réagit, non plus.
40:45 - En tout cas, moi, pour vous dire la vérité,
40:47 connaissant un peu le personnage, il était à Saint-Étienne avant,
40:49 il a fait une grande carrière.
40:51 Il en a connu des racailles, pour le coup,
40:53 juste en reprenant ses propos. Il en a connu
40:55 des musulmans dans ses équipes. Je pense vraiment
40:57 que c'est des propos hyper détournés. Parce que déjà,
40:59 c'est illogique que son fils ait rapporté
41:01 ce genre de propos. - C'est ça qui est bizarre.
41:03 - C'est pas comme si il aurait pu
41:05 avoir une conclusion et la direction aurait dit
41:07 "Ah ouais, c'est vrai, il y a un peu trop d'arabes là,
41:09 on va embaucher un peu plus d'asiatiques."
41:11 - C'est des propos sortis dans le milieu familial.
41:13 - Il y a un professionnel entre eux.
41:15 - Mais si c'est ton agent, ton agent va rapporter
41:17 un truc à ta direction s'il sait que quelque chose
41:19 peut être changé. Là, en l'occurrence,
41:21 qu'est-ce qu'on peut changer ? On les vire,
41:23 on embauche des asiatiques ? Enfin, tu vois,
41:25 à un moment donné, ça n'a aucun sens.
41:27 Moi, je trouve que, voilà, c'est encore
41:29 un truc de neurotypique.
41:31 - Je pense que là, derrière tout ça,
41:33 certainement, oui, on va vite se rendre compte
41:35 qu'on fait bien le buzz, ça va
41:37 certainement jouer sur la carrière
41:39 de certains, ou tout au moins la sienne.
41:41 Mais alors, par contre, la relation père-fils,
41:43 ça va être compliqué. - Oui, mais en tout cas,
41:45 si ça m'est vrai, effectivement,
41:47 hyper compliqué. En tout cas, on attend de voir les entêtes.
41:49 - Il y a des soupçons que...
41:51 sur la légitimité du fils
41:53 à être agent sportif. Il y a eu un cas
41:55 qui est en cours depuis un an ou deux déjà.
41:57 - Ça rappelle des feuilles de temps.
41:59 - Après, j'ai envie de te dire, agent sportif,
42:01 c'est pas non plus... Enfin, c'est pas...
42:03 C'est un peu un métier sur le tas, quoi.
42:05 T'arrives, tu te dis agent sportif, tu trouves les bons trucs.
42:07 - J'ai l'impression que t'es l'agent sportif pro
42:09 d'un coup, tu vois. - C'est comme
42:11 les producteurs réunionnais.
42:13 - Voilà. - Vous êtes toujours là, vous regardez toujours l'émission,
42:15 même si on est toujours là. On va passer
42:17 à la suite de l'émission. Merci d'avoir été avec nous.
42:19 J'espère que ce sera un succès.
42:21 C'est tout ce qu'on vous souhaite. On va passer
42:23 à la suite. Nous, on va envoyer une petite page
42:25 de publicité, les amis, avant de vous parler
42:27 cinéma et emploi. Allez.
42:29 ...
42:31 ...
42:33 ...
42:35 - Nouveau.
42:37 Vizu devient 100 % digital.
42:39 Retrouvez
42:41 vos rubriques habituelles.
42:43 Agenda, interview,
42:45 herbage, télévision, jeu,
42:47 horoscope.
42:49 Vous retrouverez aussi votre
42:51 programme télé.
42:53 ...
42:55 Vizu, à vos côtés depuis 40 ans.
42:57 ...
42:59 ...
43:01 ...
43:03 ...
43:05 ...
43:07 ...
43:09 ...
43:11 ...
43:13 ...
43:15 ...
43:17 ...
43:19 ...
43:21 ...
43:23 - 100 % La Réunion,
43:25 la nouvelle marque du savoir-faire réunionnais
43:27 pour soutenir nos producteurs pays.
43:29 100 % La Réunion, garantie
43:31 aux consommateurs des produits aux matières premières
43:33 100 % locales. Marque authentique,
43:35 gage de qualité.
43:37 100 % La Réunion a été créée par le
43:39 département de La Réunion et ses partenaires.
43:41 Retrouvez tous les produits 100 % La Réunion
43:43 sur le site 100%réunion.fr.
43:45 Consommer pays,
43:47 consommer 100 % La Réunion.
43:49 Le département, aux côtés des
43:51 réunionnais.
43:53 ...
43:55 ...
43:57 ...
43:59 ...
44:01 ...
44:03 ...
44:05 ...
44:07 - Les aviez-vous ?
44:09 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant
44:11 dans les commentaires Facebook, ni en scrollant sur TikTok ?
44:13 ...
44:15 ...
44:17 ...
44:19 - Non. Martine s'est juste rendue sur une
44:21 plateforme révolutionnaire. Incroyable.
44:23 Et pfff, c'est offlante.
44:25 On exagère peut-être un peu.
44:27 Pour trouver son emploi en un clic ?
44:29 - Wouah ! Un clic ? Mais c'est
44:31 super ! - Clic emploi.
44:33 ...
44:35 ...
44:37 ...
44:39 - Avec clic emploi, vous aussi,
44:41 trouvez le job qu'il vous faut en un rien de temps.
44:43 - Martine ? On dit merci qui ?
44:45 ... - Pour des raisons
44:47 évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
44:49 - Bah ouais, elle bosse. Merci clic
44:51 emploi.
44:53 ...
44:55 ...
44:57 ...
44:59 ...
45:01 ...
45:03 ...
45:05 ...
45:07 ...
45:09 - Ensemble, suivons le talk
45:11 et luttons contre le gaspillage alimentaire
45:13 avec Leclerc et Zerogachi.
45:15 ...
45:17 - Leclerc.
45:19 - Et de retour sur le plateau
45:21 du talk, Laurent, t'as mis ta petite
45:23 chemise blanche pour nous parler d'emploi.
45:25 Toi qui a un beau col blanc.
45:27 Alors Laurent, t'as quoi nous dire aujourd'hui ?
45:29 - Jingle ? - Non, non, juste t'as quoi nous dire.
45:31 - Non, je rigole. - Allez, jingle. Les impôts.
45:33 ...
45:37 - Ah, t'as oublié carrément la vanne que t'avais faite la dernière fois
45:39 sur son générique. - C'est pas grave. Pardon de passer en avec ça.
45:41 - Il a dit que ça te faisait penser aux impôts, mais c'est pas grave.
45:43 - Passons à autre chose. - Tu augmenteras
45:45 d'ailleurs ces impôts. En passant, Laurent.
45:47 - Je me suis intéressé à une structure.
45:49 Je m'y suis intéressé d'abord par le biais de
45:51 Clic Emploi, parce qu'ils ont déposé beaucoup d'annonces
45:53 et une structure qu'on dépose autant,
45:55 ça mérite qu'on s'y intéresse. Puis après,
45:57 j'étais sur leur site. Puis après, j'ai regardé vraiment à l'échelle nationale
45:59 ce qu'ils faisaient, voire même à l'échelle,
46:01 j'ai envie de dire, pas mondiale, mais on les retrouve
46:03 quand même sur pas mal de bassins. L'océan Indien, bien sûr,
46:05 ce qui nous intéresse, La Réunion,
46:07 Mayotte, France Volontaire.
46:09 France Volontaire recrute vraiment
46:11 beaucoup, beaucoup de personnes ici
46:13 sur l'océan Indien et sur La Réunion.
46:15 Ce qui m'intéressait, c'est la quantité,
46:17 surtout c'est aussi,
46:19 des fois, c'est bien d'être rassuré,
46:21 de savoir s'ils recrutent, mais est-ce que c'est sûr ?
46:23 Est-ce que c'est quelque chose de sérieux ?
46:25 Là, clairement,
46:27 France Volontaire, on se rend compte que
46:29 mis à part des missions militaires
46:31 qu'ils ont pu faire à travers le monde,
46:33 à l'échelle nationale, c'est quand même
46:35 une très très grosse structure. Et c'est plutôt
46:37 rassurant et plutôt intéressant de savoir qu'ils sont à La Réunion,
46:39 qu'ils proposent énormément,
46:41 je dirais, d'offres, cadres,
46:43 missions salariées, missions
46:45 un petit peu, je dirais, du CDD, du CDI,
46:47 ils passent par différents biais et dispositifs,
46:49 et pour le coup,
46:51 voilà, j'ai préféré qu'on fasse
46:53 une belle lumière sur eux,
46:55 aller sur leur site internet,
46:57 vous verrez l'adresse mail
46:59 et l'adresse du site internet par la suite,
47:01 tout simplement pour que les personnes qui sont
47:03 en quête de recherche d'emploi dans différents secteurs
47:05 d'activité, la communication,
47:07 le tertiaire, beaucoup de places en tertiaire,
47:09 les chefs de projet, ils ont énormément besoin
47:11 des chefs de projet, comme toute structure
47:13 qui s'implante, les chefs de projet, c'est eux qui vont
47:15 un petit peu ouvrir le bal, aller sur des secteurs d'activité
47:17 qui sont porteurs et recruteurs, de telle manière
47:19 à pouvoir porter ces projets de recrutement,
47:21 mais pas que, aussi sur la mission
47:23 principale, c'est aussi démontrer que
47:25 certains métiers ont toutes leurs places à La Réunion
47:27 et démontrer que clairement les jeunes réunionnais
47:29 auront toutes leurs chances en postulant,
47:31 à partir du moment où ils ont le profil, à partir du moment où
47:33 clairement ils peuvent intégrer. Donc voilà, voilà un petit peu
47:35 pour cette chronique emploi spécial
47:37 focus sur cette structure,
47:39 qui n'a pas fini de faire parler d'elle,
47:41 je parlais de clic emploi, mais on va la retrouver aussi
47:43 sur d'autres portails, on va la retrouver aussi sur
47:45 des événements et sur, je dirais,
47:47 des jobtobs,
47:49 - Wow !
47:51 - Des jobdatings !
47:53 - Des dromcoms, des jobtobs, c'est où ?
47:55 - C'est lui !
47:57 - Non, je repensais à un concurrent,
47:59 désolé, ça arrive. Non, non,
48:01 sur des jobdatings, sur des événements tels que des salons,
48:03 des forums, et bien sûr,
48:05 leur plateforme, leur site internet, qui en dit long
48:07 et qui mérite vraiment qu'on s'y intéresse.
48:09 - Et tout ça, c'est possible d'avoir accès sur un clic emploi ?
48:11 - Voilà, et tout ça... - Je crois qu'il y a une limite d'âge, non ?
48:13 - Oui, alors, ils sont limités, pas sur tout,
48:15 il y a des secteurs d'activité où il y a une limite d'âge,
48:17 et il y a d'autres offres, clairement, ouverts à tous,
48:19 et d'où l'intérêt d'aller sur le site
48:21 pour justement voir les spécificités.
48:23 - En tout cas, je sais que si, par exemple,
48:25 le jeune postule pour travailler,
48:27 genre, en Afrique du Sud,
48:29 ou en Madagascar,
48:31 ou au Seychelles, ils ont
48:33 le logement qui est pris en charge,
48:35 enfin, ouais, et en plus du salaire,
48:37 et ça, c'est trop cool, en fait,
48:39 ça te fait genre 7 mois, 1 an à l'étranger,
48:41 où t'as tout qui est pris en charge, et tu travailles avec des gens...
48:43 - Oh, allez, merci !
48:45 - C'est bien, c'est cher.
48:47 - Question un peu bête, alors, ne t'inquiète pas,
48:49 comme d'hab', vu qu'il y a l'étranger et tout,
48:51 je suppose qu'il y a parler anglais
48:53 dedans qui correspond, non mais, je veux dire,
48:55 il y a aussi un par rapport... - C'est pas systématique, mais effectivement.
48:57 - Est-ce qu'il y a un par rapport qui peut t'aider, par exemple,
48:59 à être en lien ? - Non, non, en fait, le truc, c'est que les petites finances volontaires,
49:01 ce sont des structures françaises
49:03 qui sont implantées à l'étranger,
49:05 comme les alliances françaises et tout, donc,
49:07 tu travaillerais avec des gens en français,
49:09 on va dire, mais après...
49:11 - C'est multiplié, alors, moi, je te parlais, par exemple,
49:13 dans le domaine de la communication, où ils ont mis un gros taxe là-dessus,
49:15 parce que, pour eux, ça va être le biais, justement,
49:17 de communiquer leur mission, mais pas que,
49:19 aussi, les entreprises qui les appellent.
49:21 Tu vas retrouver, alors, dans le tertiaire,
49:23 l'administratif, au sens le plus terme, le secrétariat,
49:25 les ressources humaines, tu vas retrouver...
49:27 Alors, sur le domaine
49:29 chef de projet, c'est lié
49:31 au culturel, lié aussi aux associations,
49:33 voilà, je te dis qu'il y a
49:35 énormément, énormément d'offres. - Moi, j'ai une amie
49:37 qui est partie faire au Seychelles,
49:39 et, tu vois, elle était dans le secteur de la communication,
49:41 et, en fait, elle aidait juste
49:43 les jeunes à utiliser un ordinateur,
49:45 tu vois, à apprendre à utiliser,
49:47 comment faire une visite au Quai de France,
49:49 comment... Voilà, quoi.
49:51 Mais moi, j'allais le faire, j'allais le faire à Madagascar,
49:53 parce que je voulais y aller pour un an, une fois, mais, après, finalement,
49:55 ça ne s'est passé, et j'ai allé... - Tu n'as pas payé tes billets ?
49:57 - Non, bah non, ils ont payé en plus.
49:59 - C'est bien, c'est bien, c'est bien. - Mais, en plus,
50:01 c'était dans ma ville natale, donc ça aurait été trop cool,
50:03 en vrai, mais je n'y suis pas allée.
50:05 Mais mon rôle, ça aurait été, en gros, d'apprendre
50:07 à parler français aux petits
50:09 qui venaient à l'Alliance française. - Eh bien, pour ça, il faut réussir
50:11 à parler français, et bien évidemment, je ne vais pas.
50:13 - Je vais t'emmerder. - Non, je ne vais pas, je ne vais pas.
50:15 - Je t'emmerde, Claudie, bien sûr.
50:17 Je suis gentil. Eh bien, merci beaucoup,
50:19 Laurent, de nous avoir partagé ça. - Et moi aussi,
50:21 j'ai complété sa chronique. - T'as vu comment elle est venue la prendre ?
50:23 - Ah, mais... - Je rigole !
50:25 - L'union fait la force.
50:27 - La réunion,
50:29 effectivement, merci beaucoup, Laurent.
50:31 En tout cas, ceux-là qui ne trouvent pas de travail,
50:33 ceux-là peuvent voyager, tout ferait payer, et en plus que ça,
50:35 ils auront une taf tranquille.
50:37 Il dépend, au Seychelles ou au Madagascar, apprendre le français,
50:39 apprendre à utiliser les ordinateurs, ça peut être
50:41 cool, les amis, donc plus d'excuses,
50:43 plus d'excuses. On va passer à la suite,
50:45 et on va aller voir un gars qui est allé au cinéma
50:47 pour nous. Il est allé voir un film avec
50:49 des dragons, c'est ça ?
50:51 - Et des donjons. - Some dragons and dungeons,
50:53 my English is so, so, so beautiful,
50:55 - Tu vas travailler aux Echelles. - I go to the Seychelles,
50:57 because... ordinateur,
50:59 etc., etc. Alors, dis-nous tout,
51:01 Arthur, on t'écoute. - Alors, la semaine
51:03 dernière, je vous ai parlé du film "Super Mario Bros."
51:05 - Oui. - Inspiré des jeux mondialement
51:07 connus du même nom. Et cette semaine,
51:09 je vais vous parler d'un film fait sur
51:11 le jeu de rôle le plus connu au monde.
51:13 C'est quoi ? - Dungeon & Drogon.
51:15 - Non ! - Non, dungeon
51:17 et dragon. Eh ben oui, on regarde
51:19 un petit extrait, et je vous en parle après.
51:21 - Alors, dans le film, on va suivre
51:43 un voleur beau gosse et sa troupe
51:45 d'alcooliques atypiques... Pas alcooliques,
51:47 hein, j'ai dit. Alcooliques !
51:49 - Aucun "alcoolique". - D'une
51:51 folle aventure pour retrouver une relique
51:53 perdue. Et, grâce
51:55 à ce groupe d'aventuriers pas comme les autres,
51:57 - Sobre, par contre ! - On va
51:59 découvrir un monde magique rempli
52:01 de... - Dungeon & dragon.
52:03 - Il y a des dragons, il y a des dungeons,
52:05 mais pas que ça. Il y a des objets magiques,
52:07 il y a de tout. Bon.
52:09 Pour ceux qui seraient dans un coma depuis
52:11 70 ans, Dungeon & dragon, de base,
52:13 c'est un jeu de rôle
52:15 sur le thème médiéval
52:17 fantastique qui a été inventé en 1970
52:19 et qui a été un succès mondial.
52:21 Et, comme Mario, lui aussi a
52:23 eu le droit à des véations qui lui ont
52:25 pas toujours rendu hommage, comme
52:27 la véation de 2000, par exemple.
52:29 Je sais pas si vous l'avez déjà vue. - On n'a pas d'extrait ?
52:31 - Non. Mais, il est connu.
52:33 - C'est un truc très cheap.
52:35 - C'est très, très cheap.
52:37 Mais, cette fois-ci, ça va bien. Ça marche
52:39 bien. Et ça, pour plusieurs raisons. Parce que, déjà,
52:41 les réalisateurs. Cette fois-ci, c'est
52:43 Jonathan Goldstein et jeune
52:45 Francis Dalé. Vous avez dit
52:47 bien les noms, tout à coup.
52:49 Qui sont les réalisateurs. Et ce sont
52:51 deux réalisateurs connus pour faire de
52:53 bonnes comédies, comme, par exemple, Vive les vacances
52:55 ou encore Game night.
52:57 Et, comme à leur habitude, ils utilisent
52:59 une intrigue classique
53:01 qui a pour but de faire rire à la galerie.
53:03 Enfin, d'amuser la galerie. Et, pour le coup,
53:05 ils y arrivent tout en respectant le code
53:07 de la héroïque fantaisie. Et, en plus
53:09 de super réalisateur,
53:11 ils ont, surtout, un casting de fou.
53:13 Avec, déjà, Chris Pine, connu pour son rôle
53:15 dans Wonder Woman.
53:17 Michel Rodriguez, l'une des stars de la
53:19 saga Fast and Furious.
53:21 René Jean-Page. Je suis sûr
53:23 que ça se prononce pas comme ça. Mais,
53:25 c'est le beau gosse de la...
53:27 Comment ça s'appelle encore la série ?
53:29 Les chroniques de Brinkerton.
53:31 - Ah !
53:33 - J'étais sûr que... J'allais
53:35 dire le Black Lant. - C'est le Black Lant ?
53:37 - Ouais, le...
53:39 - Le Black Lant ! Le mort, là !
53:41 Elle basanait ! - Oui, je connais.
53:43 - Au gosse ? - Ouais, d'attrape-toi, ouais.
53:45 - Et, Justice Smith,
53:47 le gars connu pour avoir fait
53:49 Pikachu... Non, Pokémon détective Pikachu.
53:51 Et, encore, plein, plein
53:53 d'autres stars, comme Bradley Cooper,
53:55 etc., etc.
53:57 Et, moi, ce que j'ai aimé dans le film, c'est que, tout en alternant
53:59 comique de situation
54:01 et action,
54:03 les réalisateurs ont réussi à rendre hommage
54:05 au jeu en piochant dans la mythologie
54:07 de celui-ci pour créer des péripéties,
54:09 des nouveaux personnages,
54:11 des objets magiques. Et c'est vraiment très bien.
54:13 Et, en plus de ça, on a des costumes
54:15 incroyables, de superbes décors.
54:17 Et, ce qu'ils ont fait fort, c'est, pour
54:19 donner ce côté années 90,
54:21 ils ont fait les monstres, mais comme
54:23 si on les aurait fait
54:25 des années 80. - OK. - Mais,
54:27 sans le côté cheap, bien sûr. Du coup, c'est un bon
54:29 film avec tous les codes d'un blockbuster,
54:31 à aller voir en famille ou entre amis.
54:33 - Eh bien, merci beaucoup, Arthur. Ça donne envie d'y aller.
54:35 On va y aller ? Vous allez y aller ? - Ouais.
54:37 - J'y vais, là.
54:39 - Eh bien, écoute. - Je vais pas traîner.
54:41 - Eh bien, écoute, si tu veux y aller, je conclue l'émission.
54:43 Comme ça, tu pourras aller au cinéma. - Je vais y aller. - Voilà.
54:45 Eh bien, merci à tous d'avoir suivi le Talk, l'émission
54:47 la plus fraîche de l'île. Plus qu'un jour
54:49 avant le week-end, les amis. Et après,
54:51 on pourra se reposer un peu. Et n'oubliez pas,
54:53 demain, vendredi 14, "Journal
54:55 de l'île", les gratuits de Marmaille. Où ça va ? Dans un kiosque.
54:57 Où ça va ? Peu importe. Où ça va,
54:59 vous voyez un "Journal de l'île". Où peut prendre ?
55:01 Je connais que 2, 3 gars qui n'ont pas acheté.
55:03 Non, je rigole. Je casse les cuis. Pas besoin de voler
55:05 cette fois. Vous êtes les gratuits pour tout le monde.
55:07 Il n'y a pas de
55:09 payants pour certaines personnes.
55:11 Donc voilà, rendez-vous dans votre kiosque
55:13 préféré pour récupérer le journal. Sur ce,
55:15 on va clore cette émission,
55:17 les amis. Et comme je dis à vous à chaque fois,
55:19 ne changez pas de chaîne.
55:21 Brûlez vos yeux. Demain, 18h35,
55:23 même chaîne, même l'heure. Bonne soirée,
55:25 La Réunion. Salut à vous !
55:27 ...
55:29 ...
55:31 ...
55:33 ...
55:35 ...
55:37 ...
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55:49 ...
55:51 ...
55:53 -Stop au gâchis ! Leclerc continue
55:55 sa lutte contre le gaspillage alimentaire.
55:57 Vos magasins Leclerc de Lille adoptent
55:59 la démarche zéro gâchis.
56:01 Tous les jours, des produits frais à dette
56:03 courte sont remisés jusqu'à 70%.
56:05 En rayons ou dans les
56:07 corners dédiés, profitez de bons produits
56:09 à petit prix et luttons ensemble
56:11 contre le gaspillage alimentaire.
56:13 ...
56:15 Leclerc.
56:17 ...
56:19 Nouveau. Visu devient
56:21 100% digital.
56:23 Retrouvez vos rubriques habituelles.
56:25 Agenda, interview,
56:27 zerbage, télévision,
56:29 jeux, horoscope.
56:31 Vous retrouverez aussi
56:33 votre programme télé.
56:35 ...
56:37 Visu, à vos côtés
56:39 depuis 40 ans.
56:41 -Les aviez-vous ? Martine n'a pas trouvé un emploi
56:43 en demandant dans les commentaires Facebook
56:45 ni en scrollant sur TikTok.
56:47 ...
56:49 ...
56:51 ...
56:53 Martine s'est rendue sur une plateforme révolutionnaire.
56:55 Incroyable et
56:57 époustouflante.
56:59 On exagère peut-être un peu.
57:01 Pour trouver son emploi en un clic...
57:03 Un clic ? Mais c'est super !
57:05 ...
57:07 ...
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57:11 ...
57:13 Avec Clic Emploi, vous aussi,
57:15 trouvez le job qu'il vous faut en un instant.
57:17 Martine, on dit merci qui ?
57:19 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
57:22 Bah ouais, elle bosse.
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58:17 Le département, aux côtés des réunionnais.
58:21 Sous-titres par Jérémy Camus
58:23 ♪ ♪ ♪
58:25 Merci à tous !