31e j. - Gradit sur le chambrage de Kimpembe : "Si encore ils étaient 20 sur le terrain..."

  • l’année dernière
Blessé, Presnel Kimpembe est descendu sur la pelouse puis a chambré les Lensois, en reprenant leur chant de la victoire "On les a chicotés", après le succès du PSG face aux Sang et Or (3-1) samedi soir en Ligue 1. Une blague que le défenseur nordiste Jonathan Gradit n'a pas vraiment appréciée, même si ce dernier, pas rancunier, admet que "c'est de bonne guerre".

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Transcript
00:00 Oui, des regrets au vu de la physionomie du match.
00:04 On sait que le rouge nous handicap aussi pour la suite du match.
00:07 Après, malgré ça, on a offert quand même une bonne partie parce qu'on a continué
00:13 à vouloir jouer.
00:14 Après, forcément, ça a amené des risques.
00:15 Ils ont eu des occasions.
00:16 Mais nous, je pense qu'on a eu des bonnes occasions aussi.
00:19 C'est frustrant.
00:20 On sort du match un peu frustré.
00:21 Compliqué.
00:22 Je pense que c'est une équipe qui nous craignait aussi au vu du cri de guerre de Kipembe à
00:27 la fin.
00:28 Ils étaient quand même sous tension.
00:30 Après, on sait que c'est des grands joueurs.
00:33 Mbappé, Messi.
00:34 On l'avait vu à la vidéo.
00:36 Dès qu'ils ont des occasions, ils sont hyper réalistes.
00:38 Et ça a été le cas.
00:39 Donc, ça reste quand même une bonne équipe.
00:42 Mais on sent qu'il y avait la place.
00:43 Et c'est ça qui est frustrant.
00:44 Vous pensez de quoi ce petit chambre-là ?
00:45 Je n'en pense pas à grand-chose.
00:48 Pour le coup, je ne comprends pas trop.
00:50 Et puis, s'ils n'étaient que cinq sur le terrain, ça aurait été encore plus beau
00:53 s'ils étaient 20.
00:54 S'il y avait toute l'équipe.
00:55 Mais là, ils étaient cinq.
00:56 Donc, c'était un peu particulier.
00:58 Après, comme je l'ai dit, c'est de bonne guerre.
01:00 Ça montre que, justement, on ne reste que lance.
01:04 Et on sent qu'on a eu crainte.
01:05 Ils étaient libérés d'avoir gagné.
01:06 Donc, on est content pour eux.
01:07 Malheureusement pour nous.
01:09 Oui, forcément, on a un calendrier qui nous attend.
01:12 Ce n'est pas forcément facile.
01:13 Après, on a des concurrents forcément directs.
01:15 Donc, ça va être à nous, dans notre stade, de retrouver notre public aussi.
01:19 On va prendre beaucoup de plaisir.
01:20 Et on sait que ça va être un gros match contre Monaco.
01:23 Donc, on a hâte de repartir de l'avant.
01:25 Parce que pour vous, c'était possible.
01:27 On est lance.
01:31 Oui, mais il faut être réaliste aussi.
01:35 Et bien sûr que tout le monde y a cru.
01:38 Parce qu'au nombre de points.
01:39 Mais au vu des deux budgets, on comparait un petit peu.
01:41 Je ne sais pas si vous avez regardé un petit peu l'équipe, la différence de budget et
01:45 de masse salariale.
01:46 Je pense qu'il ne faut pas non plus s'enflammer.
01:47 Donc, forcément, on peut être fier de nous.
01:49 Et on restera fiers jusqu'à la fin.

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