Tiempo después Bande-annonce (RU)

  • l’année dernière
Transcription
00:00 Le début de la guerre
00:05 L'année 9177, mille ans en haut ou en bas, nous ne voulons pas nous en prendre les doigts.
00:12 La race humaine se réunit autour de cet édifice, le seul à se maintenir en place.
00:17 Les parades de tout le monde survivent avec des salaires à l'extérieur.
00:21 Dans le cœur, un capitalisme extrême et féroce se impose, gouverné par un roi tyrannique.
00:29 Pardonnez-moi, j'ai dormi.
00:31 Deux gardiens civils, un barbare illustré,
00:35 Vert, je veux que tu sois vert.
00:37 Le secteur religieux.
00:39 Pour moi, le sujet des pauvres me fait mal.
00:42 Un maire, sa chef de cabinet,
00:44 Ne l'oublie pas, je suis la chef de cabinet.
00:46 Et un conserge.
00:47 Donc, les choses étranges que vous pouvez voir et entendre à partir de maintenant, c'est pour ça.
00:54 Où vas-tu ?
00:55 Je vais vendre mon limonade.
00:56 Oui, une merde que tu vas vendre.
00:58 Allez, à la rue.
00:59 Ne me touche pas, je vais te tuer.
01:01 Je vais te faire tomber, perroquet.
01:03 Pardonnez-moi.
01:04 Vous pouvez aller en paix.
01:07 Nous sommes agglomérés, monsieur le maire.
01:08 Parce qu'il y a un homme qui a voulu vendre.
01:10 Et bien sûr, je lui ai dit, si tu ne peux pas vendre, pourquoi tu te dénaturalises complètement ?
01:13 Mais, ce raisonnement est super.
01:16 Ce qui se passe, c'est que ni Dieu ne rentre dans ma barbarie.
01:18 Et Agustin a plein de diaries et des critiques qui te caissent.
01:21 Je veux que tu me peines comme celui-là.
01:22 Bon, on verra.
01:23 Euphémiano !
01:24 Oui, dis-moi, monsieur le maire.
01:26 Je vais te faire tomber avec la main.
01:28 Mais, monsieur le maire.
01:29 Vous vous souvenez de la convocation qu'a eu le jour où tous les valeurs traditionnelles de l'église
01:34 ont tombé au precipice à cause d'un désarmement idéologique estérilisant
01:37 et d'une praxis politique insultantement pragmatique ?
01:40 Vous vous souvenez ?
01:41 Putain, si je me souviens.
01:42 Si on ne parlait pas d'autre chose.
01:44 Il ressemble à ce que je n'ai jamais vu, mais c'est le Cabose.
01:54 Un temps plus tard, une film monumental de José Luis Cuerda.
01:59 Ce n'est pas peu.
02:00 [Bruit de la mer]