l'affaire Bassirou Diomaye Faye, procès renvoyé , Birame souleye fait des précisions de taille

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Transcript
00:00 On va faire des choses.
00:02 - Il y a beaucoup de micro-ondes. - C'est vrai.
00:05 - On va les prendre. - Oui.
00:08 - C'est le micro-ondes. - Non, c'est le BAM.
00:18 - C'est le BAM. - C'est le micro-ondes.
00:20 - C'est le BAM. - Non, c'est le BAM.
00:23 - C'est le BAM. - C'est le BAM.
00:26 Voilà, le député Bram Suley Diop, qui est en train de parler avec Mme Hachélé.
00:30 Vous savez que le procès est en cours avec les deux députés de Yonatango.
00:39 - Ils vont le faire. - D'accord.
00:43 Wow, on n'a pas de commentaire sur le procédure.
00:51 C'est un député qui a fait un rapport sur la situation. Il a fait un rapport.
00:59 Il a fait le rapport et on le constate ensemble.
01:04 Il a fait un rendez-vous sur la date de fixation du procès.
01:08 Il n'y a pas eu de débat sur la situation.
01:16 On a deux timbres devant la justice.
01:20 Le président Ousmane Sonko est en appel.
01:25 Il a été en appel jusqu'au 29 avril.
01:33 La cour a décidé de faire un rapport jusqu'à une prochaine date.
01:42 On a fait un rendez-vous.
01:45 On n'a pas changé de position.
01:48 On n'a pas changé d'idée.
01:53 On a fait un rapport en trois mois.
01:58 On a fait un rapport avec Ousmane Sonko.
02:03 Mais on a compris que le procès était un projet.
02:09 On a fait un rapport avec les députés, les militants, les sympathisants et le peuple.
02:17 La justice a été très intéressée.
02:21 Mais on ne peut pas rester en réunion.
02:23 La justice veut donner un filtre au parrainage.
02:26 C'est devenu une conviction établie et profonde.
02:30 Les éléments concordants ont été mis en place.
02:38 Vous avez dit que vous voulez écarter Ousmane Sonko.
02:44 Vous avez aussi dit que vous voulez qu'il soit arrêté.
02:49 La conclusion est simple.
02:52 Si c'est le cas, on peut perdre le mandat de député.
02:59 Mais ce n'est pas le cas pour nous.
03:03 C'est la première fois que l'Assemblée nationale a eu des contentiens.
03:09 On a parlé de ça avec le président de l'Assemblée nationale.
03:16 On ne peut pas condamner les députés parce qu'ils ont été condamnés.
03:22 On ne peut pas faire de députés dans l'Assemblée nationale.
03:27 C'est pourquoi on a demandé aux députés de se faire entendre.
03:32 On a demandé à la Sécurité sociale de se faire entendre.
03:36 Mais on a demandé à tous les députés de se faire entendre.
03:40 Les plaintes que nous avons prises pour les députés
03:44 pour lesquels nous avons été condamnés, nous avons été ennuyés, nous avons été ennuyés...
03:48 On a demandé à tous les députés de se faire entendre.
03:53 En ce qui concerne Ousmane Sonko, il n'y a pas de Madame Tédic.
03:58 C'est un procès fantoche pour interdire à un candidat de se faire entendre.
04:04 Une partie de la justice veut décider sur le premier filtre aux parrainages.
04:12 Maxal a dit que les deux candidats se sont confiés.
04:18 Et que les deux autres ont été confiés.
04:22 Il a dit que c'était fini.
04:24 Il a dit qu'il fallait appeler le conseil constitutionnel.
04:29 Avis de décision, on sait ce qui se passe.
04:33 Il faut que le conseil constitutionnel soit prêt pour déposer une troisième candidature.
04:39 C'est ça la vérité.
04:41 On a décidé de préparer les choses pour nous.
04:46 C'est l'occasion pour nous de remercier nos enfants.
04:50 Ils ont compris que nous avons fait tout ça pour eux.
04:56 - Et le basseur du FAI? - Il est là depuis ce matin.
04:59 Il a fait une autre idée.
05:03 Il a dit que si on ne l'a pas fait, tout le monde mourra.
05:08 Il est là et il va nous parler de ce qu'on lui reproche.
05:16 Il a dit qu'il allait nous parler de ce qui se passe.
05:21 Il a dit qu'il allait nous parler de ce qui se passe.
05:24 Il a dit qu'il allait nous parler de ce qui se passe.
05:29 Il a dit qu'il allait nous parler de ce qui se passe.
05:37 C'est un homme respectable, sérieux, très poli.
05:41 Les députés de la coalition sont venus ici pour assister à ce qui devait être les procès en appel.
05:51 Le juge, la cour ont la possibilité de faire des reports sans donner de motivation.
05:57 Nous n'avons pas de commentaires à faire là-dessus.
06:00 Nous voulons juste nous donner rendez-vous aux dates qui ont été arrêtées pour les prochaines tenues de ces procès.
06:06 Ce qu'il y a à dire, c'est que notre coalition est profonde et établie.
06:11 Nous avons entendu un avocat Bavard dire ce matin tout ce qu'il a voulu sur les appréciations.
06:16 Notre coalition est établie.
06:18 Dans ce pays-ci, nous avons vu, nous savons que tout l'argumentaire, tous les débats qu'il y a eu sur la place publique,
06:24 la coalition des citoyens est que ce procès-là est un procès pour interdire à Ousmane Songo d'être candidat en 2024,
06:29 mais il sera candidat. Il sera candidat, on ne pourra pas l'en empêcher.
06:33 Ce que l'on attend de ceci, c'est que nous restions mobilisés et déterminés.
06:39 Parce qu'aujourd'hui, on ne peut pas accepter dans ce pays que la justice soit un premier filtre du parrainage
06:44 pour choisir qui sera candidat et qui ne le sera pas.
06:47 Je rappelle également, c'est dans cette même circonstance qu'on parle de la situation des massacres d'ensemble.
06:52 Ils sont capables, si la peine est confirmée, de perdre leur mandat.
06:57 Mais on ne peut pas concevoir que dans une démocratie, dans toutes les démocraties du monde,
07:01 dans les assemblées nationales, les anciens chamayes, on a dit tous les contentieux de l'assemblée,
07:07 on ne peut pas accepter que le pouvoir législatif accepte que ces contentieux que le pouvoir judiciaire le règle.
07:11 Nous avons dit, nous sommes à l'assemblée, il était possible, l'assemblée a dans ses entrailles les moyens de régler tous ces contentieux.
07:18 Le président de l'Assemblée nationale a décidé de faire un requisitoire contre nos collègues députés
07:23 et c'est la conséquence de ce qui s'est passé aujourd'hui.
07:25 Le risque est qu'ils perdent leur mandat, nous ne l'accepterons pas,
07:28 nous serons là encore à la date qui a été retenue pour leur apporter notre soutien et notre soldat absolu.
07:32 Et enfin, pour le cas de Djamal Faye, je répète encore et je le dis,
07:36 Bassour Djamal n'a absolument rien dit qui peut lui valoir qu'on le garde dans ses niens-ci.
07:41 Aujourd'hui, il est là pour être entendu, il sera entendu, nous espérons, nous espérons que cette fois-ci,
07:47 la justice prendra la hauteur nécessaire parce qu'on ne peut pas du matin au soir,
07:51 le coordonateur du World Number de PASTEF en prison, le coordonateur du Némé Koutour en prison,
07:56 le responsable de la sécurité en prison, le responsable de la communication, branche électronique,
08:01 le secrétaire général en prison, le président du parti menacé, 400 militants en prison.
08:07 Mais écoutez, s'il veut continuer, il n'a plus à s'embarrasser de procédures,
08:12 il n'a qu'à ouvrir les prisons, nous sommes prêts à marcher dignement la tête haute pour rentrer directement dans les prisons.
08:16 Il faut qu'on arrête, il faut qu'on arrête, merci beaucoup.
08:19 Merci.
08:20 - Je vais vous montrer. - Je vais vous montrer.

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