Polémique après la vidéo d’Emmanuel Macron chantant dans Paris, l’Élysée tente d’éteindre l’incendie

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Polémique après la vidéo d’Emmanuel Macron chantant dans Paris, l’Élysée tente d’éteindre l’incendie…

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Transcription
00:00 Lundi 17 avril, Emmanuel Macron a donné une allocution.
00:12 Après son discours, le président de la République ceste baladé dans les ruelles parisiennes avec sa femme, Brigitte.
00:24 En rencontrant un groupe de jeunes, il a accepté de se prendre au jeu en fredonnant le champ pyrénéen Le Refuge, d'Edmond Duplan.
00:35 La vidéo a rapidement été diffusée sur les réseaux sociaux, notamment sur le compte Facebook de l'association Projet Canto, avec pour légende, "Il n'y a que la mafia et Projet Canto pour faire chanter un chef d'état. Réenchantons ce pays", est vu par de nombreux Français.
00:54 Mais cette séquence fait désormais polémique, puisque l'application utilisée, sur laquelle les paroles de ce titre traditionnel étaient inscrites, intitulée Canto, a pour l'un de ses fondateurs une personne liée à l'extrême droite.
01:10 Il s'agirait en effet d'un proche d'Éric Zemmour et les jeunes ayant incité Emmanuel Macron à chanter avec eux cette chanson populaire seraient aussi des membres de la droite radicale.
01:22 La raison de cette polémique est notamment que l'association Canto, qui assure s'engager pour la sauvegarde du patrimoine depuis 2020 et qui est subventionnée par le ministère de la Culture à hauteur de 40
01:37 000 euros, répertorierait sur son application de nombreux champs nationalistes et nazis, comme la rapporté Libération
01:48 Supérieur à Supérieur a découvré les femmes qui ont compté dans la vie d'Emmanuel Macron un président qui n'avait pas connaissance des antécédents des jeunes de son côté, comme le soulignent nos confrères de RTL ce mercredi 19 avril, l'Élysée a réagi en déclarant qu'Emmanuel Macron n'était pas au courant du lien des chanteurs et de l'application avec l'extrême droite.
02:11 Il ne pouvait connaître, à ce moment-là, les antécédents de chaque personne avec laquelle il discutait, a assuré l'entourage du président de la République pour répondre aux détracteurs.
02:25 L'application Canto, pour sa part, a tenu à se dépendre en affirmant qu'elle ne souhaite que répertorier tous les champs populaires.
02:36 Une enquête a toutefois été ouverte par le Centre National de la Musique.
02:43 Article écrit avec la collaboration de 6 médias crédit photo, Backgrid US
02:52 Le président Macron a dit à la télé que les chanteurs ne souhaitaient pas être le premier à se défendre.
03:01 Il a dit que les chanteurs ne souhaitaient pas être le premier à se défendre.
03:11 Le président Macron a dit à la télé que les chanteurs ne souhaitaient pas être le premier à se défendre.
03:21 Il a dit que les chanteurs ne souhaitaient pas être le premier à se défendre.
03:31 Le président Macron a dit que les chanteurs ne souhaitaient pas être le premier à se défendre.
03:41 *musique*

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