SP7: La nuit du KO à l'Aréna pour le Fight Nigth One 2023

  • l’année dernière
Vélo - Course cycliste élite femmes
1ère compétition féminine de cyclisme de haut niveau organisée dans le département. Le Loire Ladies Tour est une course de 2 étapes avec des parcours en étoile.


Baseball - Les Ducks, un club ligérien à l'accent américain
Ce mois-ci, nous vous proposons une immersion dans le club ligérien des Ducks Baseball. 35 ans d'existence, 120 adhérents.
Nous avons testé pour vous le baseball, et grâce à Jean, nous avons un peu mieux compris les règles de ce sport hors du commun en France.

Equitation - Former l'élite des cavaliers jeunes chevaux
Le Lycée agricole privé St André à Sury le Comtal a lancé cette année la première session certifiante de spécialisation option éducation et travail des jeunes équidés. C'est un diplôme de niveau 4 (post BAC), qui va permettre de former des jeunes aux métiers de l'élevage, d'entraîneurs, grooms ou encore cavaliers de concours ou cavaliers jeunes chevaux.
Pierre VOLLA, athlète Olympique Français, intervenait lors d'une session de travail auprès des jeunes au centre équestre O'Hara à L'Hôpital Le Grand.



Portrait - Le tennis de table depuis l'enfance pour Florent
Florent Lambiet, 4ème meilleur joueur belge de tennis de table a choisi le LNTT pour évoluer en Pro B française.
Arrivé en 2022, le joueur de 28 ans a annoncé sa prolongation de 2 ans au Club Loire Nord tennis de table.
Après avoir été champion de Pro B avec Chartres, Florent espère participer à la montée du club Roannais en Pro A.



Invité - Fight Night One – Kick Boxing
La nouvelle aréna de St-Étienne métropole , va revêtir le ring pour une soirée d'exception. Ne manquez pas l'événement numéro 1 français en Kick Boxing et Muay thaï. Alliance de show et de combats de haut niveau.


Basket - La Chorale de Roanne U17 a remporté la Coupe de France
C'est le premier titre de Coupe de France de la Chorale de Roanne depuis 1985 pour les U17, qui ont battu le grandissime favori Cholet 75-71 en menant tout au long du match. Après avoir compté 18 points d'avance, les Roannais ont su maîtriser le retour des Choletais notamment grâce à Robin Pluvy (16 points, 6 passes).

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Transcription
00:00 [Musique]
00:17 Vous faites comme ça !
00:19 Bonjour ! Bonjour et bienvenue sur Sporcell !
00:23 Sporcell c'est l'acuité locale de votre département dans le sport et en public cette semaine.
00:27 On peut les applaudir quand même chroniqueur avant de vous présenter.
00:30 Voilà, ils sont là !
00:32 Bon, ça y est, on va pas vous mentir, on dit que c'est 42 minutes, on sait qu'à chaque reprise...
00:37 C'est mort là aujourd'hui !
00:38 C'est mort ! Il y a trop d'actualités pendant ces vacances donc en général, voilà, il faut qu'on récupère un petit peu.
00:44 Sans plus tarder, notre invité, Nabil Masri !
00:47 On va applaudir, on va parler du "Facts like wine". C'est quoi le "Facts like wine" ?
00:51 C'est l'une des plus grandes soirées de boxe pieds de poing en France.
00:54 Kickboxing et Muay Thaï.
00:55 Et unique !
00:56 Unique !
00:57 Et vous êtes là pour nous en parler parce que ça sera du côté de l'aréna.
01:00 Lignan Bard avec vous, on va parler de...
01:02 On va parler de tennis de table !
01:04 Donc on monte dans le nord du département, à Rouen avec le LNTT pour parler du portrait de la semaine avec Florent Lambier qui est le 4ème meilleur pongiste belge et qui a choisi le LNTT pour évoluer.
01:15 Bravo ! Passe ton bac d'abord Marie-Ève Larroin !
01:18 C'est ce que disaient ses parents, passe ton bac d'abord !
01:22 J'ai mon bac, Julien !
01:23 On parle souvent des sportifs, des athlètes de haut niveau sur le plateau parce qu'on est une émission de sport, mais savons-nous vraiment comment former les luttes ?
01:31 Les futurs cavaliers français, comment les former ?
01:33 Vous vous êtes posé la question ?
01:34 Je vous ai posé la question ce soir.
01:35 Incroyable ! Et Fendi Demir, notre spécialiste consultant.
01:37 Bonsoir Julien, bonsoir à tous !
01:39 Une semaine de folie.
01:41 Une semaine de folie, 38 ans après, un club ligérien, notamment chez les jeunes, la Coral de Rouen, remporte la Coupe de France à Bercy.
01:47 Elle a presque l'âge de Marielle.
01:49 Presque.
01:50 Exactement. Notre invité, Nabil Mazri, le Fight Night, aujourd'hui, faut-il encore le présenter au bout de 11 ans, 14 ans en France ?
02:00 Oui, il faut encore le présenter.
02:02 Si, je suis là pour ça d'ailleurs.
02:04 Pour un respect aussi du public, on fait toujours de la communication, plus, plus, plus, toutes les années.
02:11 On arrive à remplir de plus en plus de grandes salles.
02:15 Vous avez commencé quand ? Enfin, où au début ?
02:18 On a commencé en 2012. On parlait des spectacles à Sainte-Étienne.
02:21 C'était pas mal déjà.
02:23 C'était pas mal, mais on n'avait pas fait grand monde. On avait fait 350 personnes.
02:27 Aujourd'hui, l'an dernier, on a fait le Zenith.
02:29 Ouais, quand même.
02:30 On a fait le Zenith, on a fait 5300 personnes.
02:32 C'est tout ?
02:33 Voilà, c'est tout.
02:34 Mais là, ça baisse un petit peu parce que vous êtes à 4002.
02:37 Ouais, à 4002. Mais bon, la salle s'y prête beaucoup. Ça s'y prête bien pour le spectacle. C'est une arène.
02:42 C'est magnifique.
02:43 L'arène, c'est un bijou.
02:45 C'est un bijou, mais c'est vrai, c'est un bijou architectural.
02:48 Tu le refais à Guichard, l'ordi sinul.
02:50 Honnêtement, la configuration de l'arène, déjà pour le basket, c'est vrai que c'est exceptionnel,
02:55 mais pour accueillir, avec le ring central, avec tous les gradins qui sont autour,
03:00 je pense que c'est vraiment...
03:02 C'est plaisant aussi d'organiser un événement de telle ampleur dans quelque chose de tout neuf, en plus.
03:08 C'est exceptionnel. C'est exceptionnel.
03:10 Il y a beaucoup de promoteurs en France et même en Europe qui ont vu certaines images de l'arène,
03:15 ils m'ont envoyé des messages. C'est exceptionnel. C'est juste exceptionnel.
03:17 Il y aura des chaises autour du ring ? Ça a grandit un peu plus, c'est plus que 4002.
03:20 Oui, non, c'est 4002 avec les chaises.
03:22 Ah, avec les chaises.
03:23 Donc, il y a 200 chaises autour du ring et 4000 spectateurs dans les gradins.
03:28 Alors, je vois que Lilian, vous connaissez la Rite du Lion, là.
03:31 Il ne comprend pas tout, qu'il boxe.
03:33 Parce que nous, on est né avec Jean-Claude Van Damme.
03:36 On s'est soucié avec O'Gordieu, j'ai l'impression qu'il y a mille disciplines.
03:40 Il y a la boxe, il y en a un, il faut mettre les poings, l'autre pas la tête, mais les pieds, mais le cou, t'as pas le droit.
03:45 L'autre, t'as des protections, mais là, il n'y a pas de protection.
03:48 En fait, c'est quoi exactement le kickboxing ?
03:50 Il y a kickboxing, Muay Thai.
03:51 Je vais vous expliquer.
03:52 Dans la Fédération française de kickboxing, on a plusieurs disciplines, notamment le Punk Cross.
03:58 Mais on va s'arrêter au kickboxing.
04:00 C'est les disciplines que vous verrez dans le circuit de la Fight Night One.
04:05 Donc, on a le kickboxing, K-1.
04:07 En fait, le kickboxing, c'est une grande famille qui rassemble le full contact, le K-1 et le kickboxing aussi.
04:13 Le kickboxing, c'est seulement de la boxe poing.
04:16 On va voir des images, ça peut aider.
04:18 Avec des low kick.
04:19 C'est coup de pied ?
04:21 Coup de pied sur la cuisse.
04:22 Vous avez le K-1.
04:24 Le K-1, c'est du kickboxing avec coup de genou direct.
04:29 Il n'y a pas de coup de genou en kickboxing ?
04:31 Non, en kickboxing, il n'y a pas de genou.
04:32 D'accord, voilà, c'est facile.
04:33 Vous avez le full contact que tout le monde connaît,
04:35 parce que c'est le sport le plus ancien, avec les pantalons, les coups de peau, la ceinture.
04:39 D'accord.
04:40 Et le Muay Thai, c'est du physique K-1.
04:43 Seulement, le Muay Thai, c'est avec saisie, coup de genou et coup de coude.
04:48 Mais alors, vous, il y a les gants ou il n'y a pas les gants ?
04:51 Si, si, bien sûr, il y a les gants.
04:53 Il n'y a aucun sport qui se fait sans les gants.
04:55 Et donc, le match part...
04:57 En France.
04:59 Ce sera un Français et un Américain, mais ça...
05:02 On le dira après.
05:04 Exactement.
05:05 Est-ce que vous savez ce qui s'est passé, Nabil, ce week-end sur toute la Loi ?
05:09 Oui, un petit peu. J'étais à Paris.
05:12 Oh, prétentieux ! Bon, ça tombe bien.
05:13 J'étais à Paris, donc j'ai suivi un petit peu.
05:16 On va regarder si vous connaissez toutes les actualités de En Bref.
05:18 En Bref, c'est toute l'actualité de la Loi.
05:20 On envoie Lilian et il dit "débrouille-toi, tu dois nous trouver 16..."
05:23 Il y avait quand même pas mal d'infos, puisque c'était les vacances,
05:25 donc il y avait 10 semaines à rattraper.
05:27 Il y avait de l'info, quand même.
05:28 Tant qu'il les a fait, les 16, facile, regardez.
05:31 Salut En Bref, il s'est passé quoi ce week-end ?
05:34 Salut les filles !
05:35 Bon, c'est retour de vacances, alors on va élargir un peu les infos
05:38 et on commence avec votre événement.
05:40 En Bref direction l'espace Jean Vernier à Saint-Étienne
05:42 pour assister au championnat Auvergne-Rhône-Alpes de Ligue Nationale 3 de Twirling Baton.
05:46 Ça représente pas moins de 28 clubs et 500 athlètes.
05:48 Bon, alors par contre, j'ai deux questions Géraldine.
05:50 Comment on fait pour accueillir un tel événement ?
05:52 Et c'est quoi le Twirling Baton ? Est-ce qu'on peut reposer les bases ?
05:55 Donc on candidate au début de l'année pour organiser le championnat
05:58 et on a à cœur à Saint-Huron de faire connaître notre club
06:01 donc c'est pour ça qu'on se bouge pour réussir à organiser ça.
06:04 Alors Twirling Baton c'est un sport qui associe la danse, la gymnastique et le maniement du bâton
06:09 et donc on fait une chorégraphie d'environ 2 minutes sur une musique, voilà.
06:12 En Bref, une superbe ambiance.
06:14 Week-end passé à Saint-Chamond, convivialité, bonne humeur autour du Handball.
06:17 Un très gros niveau de jeu avec 8 équipes venant de toute la France
06:21 mais aussi 6 arbitres officiels de la Fédération Française de Handball.
06:24 Pour ce qui est du classement, c'est une très belle 3ème place pour Saint-Chamond.
06:28 En Bref, il y avait du rugby au cœur de l'hippodrome de Ferr pour le 2ème tour de challenge de Ligue Auvergne-Rhône-Alpes
06:33 qui réunit les meilleurs joueurs de chaque département U14.
06:37 Donc 12 départements représentés mais seulement les 6 meilleurs étaient à Ferr,
06:41 les 6 autres étaient à mes yeux.
06:43 Mais dis-moi Olivier, toi qui es secrétaire général de la Ligue Aura de Rugby,
06:47 pourquoi Ferr accueille cet événement pour la 2ème fois consécutive ?
06:50 Clairement très central par rapport à la Ligue Auvergne-Rhône-Alpes
06:54 avec la sélection de Savoie qui est ici et aussi celle du Cantal.
06:59 Et que demander de plus qu'un site aussi adéquat avec 2 terrains,
07:04 avec des bénévoles excellents, toujours de bonne humeur et qui nous accueillent très très bien.
07:10 Donc tout est fait pour revenir ici.
07:13 En Bref, le 15 avril dernier, Arthur Faurissier était à Taïwan pour la 1ère manche de Coupe du Monde en XTERRA.
07:18 1,5 km de natation, 29 km de VTT et 9 km de course à pied.
07:24 Le vice-champion du monde, le Stéphanois, commence donc la saison en grande forme.
07:29 Cela promet une belle année 2023.
07:31 En bref, on va terminer avec cette photo après une saison remarquable
07:35 et une 1ère place incontestée pour le Futsal Club du Forêt qui est promu en R1.
07:40 Une montée logique tant ils ont dominé ce championnat de R2.
07:43 Ce sera aussi le retour de la Loire à ce niveau, une 1ère depuis André Zieux en 2013.
07:49 Bon ben voilà, on est complet. Gros bisous les sportifs !
07:52 Oh là là, on était de partout !
07:54 On est plus que tout là !
07:55 Ah ouais, il y avait de l'actu là !
07:56 Et l'actu continue avec la folle semaine en basket.
08:00 FnD, vous étiez comment dingue ?
08:02 Ah ben, des Ligériens, c'est vrai qu'on a eu une semaine bien chargée et surtout avec de belles victoires.
08:06 Ça, c'est intéressant.
08:07 Alors, ça a fait le tour un peu...
08:09 Ça a fait le buzz.
08:11 Vraiment, même sur les réseaux sociaux, cette victoire de la Coral Doran, on va voir des images...
08:16 U17 !
08:17 En U17. Alors déjà qu'ils sont venus en finale, on va dire qu'ils étaient loin d'être favoris.
08:22 C'était pas les favoris.
08:23 Ils ont battu qui ?
08:24 Lasvelle.
08:25 Tony Parker, quoi !
08:27 Ils ont battu Lasvelle en demi-finale, mais vraiment au buzzer la dernière seconde pour se qualifier pour cette finale à Bercy.
08:33 Et ils rencontraient pas n'importe qui, ils rencontraient Cholet, qui est une académie qui a vraiment tant de formations.
08:39 Cholet, qui a été quoi ? 4 fois ? 3, 4 fois ?
08:41 Voilà, ils ont été plus de 4 fois vainqueurs de la Coupe de France, mais c'est vraiment une académie de basket
08:45 où les grands joueurs comme Rudy Gobert, tout ça, ils sont tous passés par Cholet.
08:50 Et là, il y a eu vraiment une première mi-temps exceptionnelle des joueurs de Loic Baar,
08:55 mais vraiment exceptionnelle avec première mi-temps.
08:57 Ils se sont fait un peu peur.
08:58 Vous voulez qu'on regarde un petit peu ?
08:59 On va regarder, on a les images du match.
09:03 On y était.
09:04 On y était pas, non. La prochaine fois, on va y aller.
09:07 On va y aller, ouais.
09:08 Rémi Pupier, la prochaine fois, je serai là-bas.
09:10 C'est notre directeur.
09:11 On voit qu'il n'y a pas beaucoup de monde comme ça.
09:14 On en parlait tout à l'heure en off, mais il y a eu beaucoup de monde pour une finale U17.
09:18 Grosso modo, c'est comme la Gambardella, mais au basket.
09:22 À part que ça faisait 38 ans qu'on n'avait pas vu un club ligérien.
09:24 Exactement, 38 ans qu'il n'y a pas un club ligérien, notamment la Corral de Rouen,
09:29 qui c'est eux qui l'avaient remporté il n'y a plus de 38 ans.
09:32 Donc, un match où les hommes de Loic Baar, les jeunes pousses, on va dire, de Loic Baar,
09:37 l'ont largement dominé.
09:42 Ça s'est joué quand ? Les deux premiers cartons ?
09:44 Les deux premiers cartons, non. Dans les deux premiers cartons, ça se joue.
09:47 On voit qu'ils rentrent. Alors, là, ça veut tout dire.
09:49 Vous savez, souvent, quand on est en finale, on dit, une finale, on ne la joue pas, on la gagne.
09:55 On la gagne.
09:56 Et là, ça a vraiment pris tout son sens. Ils l'ont gagnée.
09:59 Ils avaient les dents qui rayaient le sol.
10:01 Ils y ont cru. Il y a eu un discours, il y a eu une vidéo qui a tourné de Loic avant.
10:06 Loic, c'est qui ?
10:07 Loic Baar, le coach, jeune coach.
10:09 On l'a pas eu, d'ailleurs, le coach ?
10:10 On l'a eu, le coach. On l'écoute ?
10:12 Oui, je pense.
10:13 38 ans et encore, le club ne s'appelait pas Coral de Rouen à ce moment-là.
10:19 Donc, forcément, la fierté, elle est immense.
10:21 La fierté de rentrer dans l'histoire et d'avoir accompli quelque chose d'immense.
10:27 Donc, voilà. Après, les recettes, c'est forcément un engagement de tous les instants.
10:32 C'est aussi la fixation d'objectifs.
10:34 Savoir pourquoi on est là et comment on va y arriver.
10:37 Et puis, après, c'est dans les derniers instants, la demi-finale, surtout.
10:42 C'est la capacité à aborder correctement les choses,
10:45 à tourner la pression en manière positive pour retirer le meilleur des joueurs sur l'événement.
10:51 Oui, ça va être ça le plus dur maintenant.
10:53 C'est-à-dire la capacité à basculer et à se remettre au travail.
10:57 On a le quart final du championnat de France U18 qui arrive dès ce week-end contre Strasbourg.
11:01 Donc, il va falloir travailler cette semaine, redescendre entre guillemets de ce petit nuage,
11:08 que ce soit pour les joueurs comme pour les coachs,
11:10 pour être capable de réitérer ce genre d'exploit, pour espérer quelque chose en championnat de France.
11:15 Concernant la suite, je suis toujours sous contrat avec la Coral de Rouen.
11:19 Donc, la volonté de rester, elle est toujours là.
11:23 Et pour l'instant, il n'y a pas plus.
11:26 Est-ce qu'on peut dire que c'est un joueur en particulier ou toute l'équipe ?
11:30 Non, c'est toute l'équipe. On ne peut jamais en basket... Non, sérieusement.
11:34 Réellement, on ne peut pas dire dans le basket...
11:36 Alors, on sait qu'il y a des joueurs qui font la différence,
11:38 mais on ne peut pas dire que l'équipe a gagné grâce à un joueur.
11:41 C'est un sport collectif, le basket.
11:43 Il suffit qu'il y en ait un qui va marquer, les autres vont défendre.
11:46 Chacun a des rôles bien précis.
11:47 Par exemple, le MVP, qui veut dire quoi MVP d'ailleurs ?
11:49 Pour moi, papa qui regarde.
11:51 Most Valuable Player, c'est meilleur joueur.
11:53 Meilleur joueur de la rencontre.
11:55 C'est dans la famille Pluvie.
11:57 On connaît Laurent, c'est le fils de Laurent Pluvie,
12:00 qui a été meilleur joueur MVP.
12:02 David, vous savez qui est Laurent Pluvie ?
12:04 Laurent Pluvie, ancien international français,
12:07 qui jouait à Las Velles, dans les années 90, 94, 95,
12:12 notamment dans la grande époque de l'équipe de Las Velles,
12:15 qui a été coach à la Chorale de Rouen, il y a trois ans de ça,
12:19 qui a été entraîneur à la Chorale de Rouen chez les pros,
12:21 et actuellement qui est coach de l'équipe d'André Zuboutéon à la B.S.
12:24 Et c'est son fils qui a fini...
12:27 Et c'est son fils qui a été MVP.
12:29 Il a fait un match extraordinaire dans tous les comportements,
12:31 aussi bien dans le score, dans les passes, dans les rebonds.
12:33 Ils ont même fait une boîte, les cinq dernières minutes...
12:36 Une boîte, c'est quoi une boîte ?
12:37 Une boîte, ça veut dire qu'on ne canalise pas que plus que le ballon.
12:39 Ils l'ont pressé.
12:40 On a pressé tout le terrain, en fait.
12:42 Il y a un joueur qui se détache...
12:43 C'est bien, ils ont mis trois quarts de temps pour comprendre,
12:45 c'est pas mal.
12:46 Ils ont mis un peu avant de comprendre.
12:48 Mieux de voter que jamais, mais bon...
12:49 En tout cas, félicitations à Loïc, félicitations à la chorale de Rouen.
12:52 Juste rapidement, est-ce que vous pensez que ces joueurs,
12:54 comme Linguin Bardella, on peut en trouver deux, trois,
12:56 qu'on verra prochainement en équipe une ?
12:59 Alors, c'est peut-être parfois un peu trop tôt, encore en U17,
13:02 pour dire...
13:03 Après, des potentiels, forcément.
13:04 Il y a des super potentiels sur ces jeunes joueurs.
13:07 Même s'ils ne sont pas en proie, en fin, en deep edit directement,
13:10 peut-être qu'ils vont faire leur apprentissage avec de la National 1,
13:13 de la Pro B, et pour...
13:15 Mais en tout cas, on espère.
13:16 Le but, c'est ça.
13:17 Quand on a des centres de formation, c'est que ces joueurs
13:20 puissent un jour intégrer l'équipe professionnelle.
13:22 On reste toujours à Andrézio, si vous voulez bien ?
13:24 On reste à Andrézio.
13:25 On fait une transition.
13:26 On reste sur Andrézio.
13:27 On parlait de Laurent Pluvie.
13:28 Laurent Pluvie, le coach de l'ABLS Andrézio Boutéon,
13:31 s'est qualifié cette semaine pour les playoffs en terminant deuxième.
13:34 On va voir le tableau.
13:35 Il va rencontrer ce vendredi.
13:37 Ce vendredi, il rencontre Mulhouse.
13:39 Donc, on est à droite.
13:40 À droite.
13:41 Voilà. Il rencontre Mulhouse.
13:42 Alors, comment ça se passe ?
13:43 Comment ça se passe ?
13:44 Il faut bien le dire.
13:45 Il y a Andrézio Boutéon et puis il y a surtout les Enfants du Forêt.
13:47 Les Enfants du Forêt qui ont fait un parcours exceptionnel
13:49 qui sont juste au-dessus.
13:50 Non, non, à droite.
13:51 Ah oui, ah oui, ah oui.
13:52 Ils sont déjà en côté.
13:53 Ils sont déjà en côté.
13:54 Et qui rencontrent Vitré.
13:55 Parce que c'est possible qu'un quart final, on espère,
13:57 ça sera top, Andrézio Foehr en quart final,
13:59 ça peut être jouable.
14:00 Ah oui, ça serait bien comme ça en demi-finale,
14:02 on est sûr d'avoir un club...
14:03 Ah ben voilà, on sera sûr d'avoir un club libéral.
14:05 Ça joue quand ?
14:06 Ça joue ce vendredi.
14:07 Alors, premier match, à Foehr et à Andrézio.
14:10 Deuxième match, la semaine d'après, en déplacement.
14:12 En cas d'égalité, troisième match, à Vitré et à Mulhouse,
14:16 parce qu'ils sont mieux classés le dimanche.
14:18 Ah merde !
14:19 Ah mince !
14:20 Ah ça fait flic, ça !
14:21 On va parler quand même rapidement, on parlait de l'aréna.
14:23 Saint-Chamond, vous savez, qui a assuré son maintien hier,
14:25 avec la victoire face à Saint-Quentin.
14:27 Deux victoires, Vichy et Saint-Quentin dans la même semaine.
14:30 Donc, ouf !
14:31 96% de chance que c'est bon ?
14:33 Ouais, ouais.
14:34 Que ce soit bon ?
14:35 Ouais, que ce soit bon.
14:36 Très bien, merci à vous.
14:37 Et fini, on a été complet, etc.
14:38 Marielle Charmoix, je sais que vous avez une petite spécialité,
14:41 vous aimez bien casser le poignet et jouer aux tennis de table.
14:44 Oui, comment le savez-vous, Julien ?
14:45 Je sais tout sur vous, Marielle.
14:46 J'en sais tout, oui.
14:47 Et justement, il est fini.
14:49 Alors, moi j'ai cru par contre qu'on allait voir d'abord mon Damien qui poireaute là.
14:54 Attends, est-ce qu'ils me l'ont dit ?
14:55 Je vais demander, est-ce qu'on a du réseau ?
14:57 Parce que déjà que t'as pas mis les bordeaux.
14:59 Ah oui !
15:00 Il est là, Damien, il est à Saint-Just-Arambert ou pas ?
15:02 Oui, Julien, nous sommes aujourd'hui à Saint-Just-Arambert,
15:05 dans les locaux des Ducks, le baseball de la Loire.
15:09 Et je suis en présence de Jean, qui a eu l'honneur de nous accueillir.
15:14 Merci Jean !
15:15 Bienvenue.
15:16 Et parlez-nous un peu de l'histoire de ce club.
15:18 35 ans, je crois, c'est ça ?
15:19 35 ans d'existence, avec un club qui…
15:22 En fait, c'est le seul club de la Loire à exister et avoir un terrain officiel,
15:26 qui peut donc accueillir des compétitions internationales.
15:29 D'ailleurs, en Auvergne-Rhône-Alpes, nous sommes aussi à peu près 4, 5 clubs du même genre,
15:34 donc un terrain vraiment officiel et aux normes.
15:37 Et vous me disiez également que vous avez des équipes qui sont mixtes ?
15:41 Oui, alors le baseball peut se jouer en mixte,
15:44 donc avec garçons-filles, et on a aussi un autre sport qui s'appelle le softball,
15:49 qui a à peu près les mêmes règles,
15:51 et qui se joue sur des distances plus courtes, avec une balle plus grosse,
15:55 mais par contre, ça va beaucoup plus vite.
15:57 Et finalement, est-ce qu'on peut venir avec des enfants chez vous ?
16:01 Comment ça se passe ?
16:02 Pas de problème, c'est un sport familial, on va dire,
16:04 donc on peut commencer à partir de 6 ans, on prend les enfants à partir de 6 ans,
16:07 jusqu'à vieux, 77, comme on dit.
16:10 Donc, on a toutes les catégories engagées dans différents championnats en Auvergne-Rhône-Alpes.
16:15 Ça va des minimes, des 9u, 12u, jusqu'aux seniors et juniors.
16:21 Un peu comme le foot finalement ?
16:22 Un peu comme le foot, en catégorie, c'est ça.
16:24 Et quel est finalement le projet du club cette année ?
16:27 Alors le projet du club, il faut savoir que c'est un club qui a eu une histoire quand même
16:31 assez importante au niveau du baseball, avec une équipe en National 1,
16:35 donc en première division, on va dire.
16:37 Et là, on est en train de remonter un petit peu la pente,
16:40 comme certains clubs des Verts.
16:43 C'est le maillot, c'est ça ?
16:45 C'est un peu le maillot, voilà.
16:46 Pour jouer l'année prochaine en deuxième division Rhône-Alpes-Auvergne,
16:53 et monter en première division Rhône-Alpes-Auvergne aussi.
16:56 Finalement, je vous souhaite de remonter le plus rapidement possible,
17:00 et surtout, moi ce qui m'intéresse, c'est de faire un home run aujourd'hui,
17:03 mais j'aimerais bien qu'on prenne les règles quand même.
17:05 Ah ok, c'est le minimum, ça d'accord.
17:07 Donc les règles, pour faire simple, c'est un sport assez simple,
17:11 vous avez deux équipes sur le terrain, de neuf joueurs chacune,
17:15 une équipe qui est avec le bâton, donc qui va tenter de taper la balle le plus loin possible,
17:19 et de faire le tour du terrain pour marquer un point.
17:23 Et pendant ce temps, vous avez l'autre équipe qui est avec les gants de baseball,
17:27 qui va essayer de récupérer la balle et éliminer le batteur ou le coureur,
17:32 pour à son tour passer en attaque.
17:35 Finalement, le batteur est un peu seul quand il doit jouer ?
17:39 Effectivement, le baseball c'est un sport individuel et collectif,
17:43 le batteur se retrouve absolument seul face aux neuf joueurs adverses,
17:47 et quand il est en défense avec le gant, le joueur joue avec ses coéquipiers,
17:54 et c'est un sport collectif à ce moment-là.
17:58 Vous me disiez que ça durait trois heures en France, c'est effectivement le créneau qui est choisi,
18:04 j'espère en tout cas pas durer aussi longtemps, je ne veux pas vous prendre en otage,
18:09 mais j'ai très hâte de toucher la batte.
18:11 Bah écoutez Damien, il a dit il a hâte, hâtez-vous mon ami.
18:20 Tiens, il y a Jean-Marc Puget qui m'appelle, il n'a toujours pas compris notre ancien chroniqueur tennis.
18:26 On est en direct les lundis.
18:28 Oui !
18:29 Et bah tennis de table !
18:30 Ah mais la transition est faite !
18:32 Ah la la !
18:33 Tennis de table !
18:34 On va prendre du département, on va à Rouen pour faire...
18:38 Alors à la fois c'est un portrait de sportif avec Florent Lambier,
18:41 avec qui on va parler et on va voir son portrait,
18:44 mais à la fois je vais un peu parler aussi du LNTT,
18:46 qui est un très gros club de probé de tennis de table.
18:50 On a peu de bons clubs dans la Loire et il en fait partie et il est très bien représenté.
18:55 Bien sûr, on l'a déjà reçu lui.
18:56 Bien sûr, on l'a déjà reçu, mais du coup c'est vrai que c'était intéressant de pouvoir le mettre un peu en lumière.
19:01 Et il y a une histoire aussi derrière le LNTT, parce que donc Florent en fait partie,
19:05 Florent est belge, il est quatrième meilleur belge à évoluer aujourd'hui en France.
19:12 Il a choisi le LNTT pour évoluer parce qu'il a envie de se challenger
19:15 et de participer à la montée du LNTT en Croix.
19:18 Mais attends, Florent, il n'est pas belge ?
19:20 Si, il est belge.
19:21 Il est belge une fois ?
19:22 Oui.
19:23 Allez, c'est retypé.
19:24 Si, si.
19:25 Les belges viennent jouer à Rouen.
19:27 Et donc les belges viennent jouer à Rouen, oui.
19:29 Ils viennent jouer à Rouen et c'est lui qui a décidé de choisir le LNTT.
19:34 C'est Marielle qui a reconnu que c'était un belge, elle m'a dit "oui, la coupe de cheveux, le côté gaufré".
19:37 Les frics !
19:38 C'est bon, on a fait le tour.
19:41 On a fait le tour.
19:42 C'est incroyable.
19:44 Il nous regarde.
19:46 En tout cas, Florent qui évolue en Pro B, il a choisi le LNTT dans des conditions qui ne sont finalement pas hyper simples
19:54 parce qu'il n'a pas assez de monde pour pouvoir s'entraîner à Rouen.
19:57 Donc il fait les allers-retours avec la Belgique.
19:59 Il s'entraîne en Belgique et il vient par contre représenter en France en Pro B.
20:05 Pour la compète, représenter le LNTT.
20:08 C'est rentable.
20:09 On regarde le sujet et après on revient sur la saison de Florent et sur les futurs objectifs pour Florent et pour le club.
20:17 Et une fois !
20:33 J'ai commencé quand j'avais 5-6 ans parce que mon père, ma mère jouaient, mes grands-parents avaient fondé un club.
20:41 Toute la famille vienne dedans.
20:43 Pour moi, c'était naturel.
20:46 Il s'est avéré que je n'étais pas si si mauvais en étant jeune.
20:50 Du coup, j'ai persévéré et j'ai décidé de passer Pro à mes 18 ans.
20:54 Le plus gros palmarès, je dirais d'avoir fait Champion de Pro B avec Chartres et finaliste du tournoi des Soldats.
21:01 J'ai fait 5 fois vice-champion de Belgique et 5 fois champion de Belgique en double.
21:05 Ce qui est intéressant, c'est que je peux continuer à m'entraîner en Belgique.
21:09 Le centre d'entraînement, depuis quelques années, est devenu très bon.
21:12 Je sens que je progresse et que ça m'aide à progresser.
21:15 Je voulais absolument rester en Belgique.
21:17 Le LNTT est attrayant parce que c'est une équipe vraiment compétitive qui joue quelque chose.
21:23 On ne joue pas le milieu de classement de Pro B, on ne joue pas le maintien.
21:27 Notre objectif est de faire une équipe, de faire des résultats pour monter en Pro A.
21:32 La première journée se passe, on joue en simple, on joue vraiment pas mal.
21:40 D'habitude, les doubles, c'est le lendemain ou le sur-lendemain.
21:44 Après les matchs, il est déjà assez tard, on rentre, on a 30 minutes de bus pour arriver à l'hôtel.
21:50 Et là, on se rend compte qu'on avait un match de doubles le soir.
21:53 On a complètement zappé le match.
21:55 C'est la première fois que ça nous est arrivé, mais on n'était pas les seuls.
21:58 On était, je pense, deux ou trois autres paires qui se sont fait avoir là-dessus.
22:02 Ma première belle victoire, je dirais, sur le plan international,
22:10 c'est quand j'ai gagné un tournoi en 2015 en Biélorussie, en moins de 21.
22:14 J'ai gagné un tournoi qui avait, je pense, vraiment de la valeur à mes yeux.
22:23 La veille des matchs à domicile, on va toujours manger au chinois.
22:26 Et le midi du match, toujours chez Bruno, un restaurant, ils sponsorisent juste à côté, qui est très très bon.
22:34 À court terme, je veux dire, pour personnellement, hors LNTT, c'est les championnats du monde,
22:40 qui vont aller en Afrique du Sud en mai.
22:42 Ça me tient à cœur de performer là-bas, parce que j'ai pas énormément joué ces derniers mois sur le plan international.
22:49 J'ai vraiment envie de montrer de quoi je suis capable aux championnats du monde.
22:53 La saison prochaine, performer au plus haut niveau et monter en pro A.
23:00 Monter en pro A, c'est l'objectif.
23:03 C'est drôle, parce qu'à chaque fois, depuis avec Paris 2024 forcément qui arrive,
23:07 ma question à la fin, c'est toujours c'est quoi les objectifs ?
23:10 Oui, c'est vrai.
23:11 À 90%, alors ça dépend le sportif qui est en face de moi, mais à 90%, la réponse c'est les Jeux Olympiques.
23:17 C'est d'être dans le top pour faire les JO de Paris 2024.
23:20 Et là, Florent, pas du tout, parce qu'en fait, c'est très compliqué de rentrer dans la haute sphère du tennis de table.
23:26 Et il est 4e meilleur.
23:27 Y a pas un Français qui a gagné le meilleur champion du monde ?
23:30 Non, c'est un paralympique, je crois.
23:31 C'est un paralympique ?
23:32 Il me semble que c'est un paralympique.
23:33 Le numéro, alors je ne vais pas donner une mauvaise info, j'ai juste vu effectivement que le numéro 1 mondial,
23:39 je ne sais pas si c'est en paralympique ou pas, mais vient d'être détrôné par quelqu'un de lambda.
23:44 Il n'y a pas longtemps lors d'une compétition internationale, en paralympique, je sais que,
23:49 alors je ne sais pas si c'est les championnats d'Europe, mais on avait des Français qui étaient très bons,
23:53 à vérifier, qui avaient gagné des médailles.
23:56 Mais il faut dire qu'à Rouagne, il y a ce petit vivier.
23:58 Il y a ce petit vivier qui va continuer de grimper.
24:00 C'est le seul étranger ou pas ?
24:01 Et il a choisi le LNTT pour espérer faire grimper le LNTT en pro A.
24:06 Et il y a d'autres étrangers ?
24:07 Et il y a d'autres étrangers au club, oui, bien sûr.
24:09 C'est incroyable, parce que ce sport, Julien, souvent on appelle ça le ping-pong,
24:12 on joue quand on est en vacances, et tout comme ça.
24:14 En plaquettes.
24:15 On fait des tournantes même.
24:16 Non mais ouais, c'est vrai.
24:17 Toi, t'as fait des tournantes.
24:18 Et en fait, c'est un sport... C'est impressionnant.
24:21 C'est impressionnant.
24:22 Ça va très très vite.
24:23 On voit les Chinois quand ils jouent, c'est impressionnant.
24:25 Je regarde, on est abonnés, quand je regarde.
24:27 Je ne sais pas comment ils arrivent à faire ça.
24:28 C'est incroyable, ça va trop vite.
24:29 Ça va.
24:30 Ils vont loin, nous, on va se manquer.
24:31 Mathieu Bolle-Doire aurait aimé être là, notre chroniqueur de tour.
24:33 Ah oui, toujours, on en fait exprès.
24:34 On en fait exprès.
24:35 Toujours être par accord avec Mathieu Bolle-Doire.
24:38 On ne veut pas.
24:39 Nabil, on voit de plus en plus le Tour de France.
24:42 C'était une première cette année, le Tour féminin.
24:45 Une semaine seulement, mais ça y est, la pierre est posée.
24:48 Et il nous manquait aussi une compétition dans la Loire.
24:50 C'est chose faite, n'est-ce pas, Eloïse Léni ?
24:52 N'est-ce pas ?
24:53 On peut l'applaudir bien fort.
24:54 Elle est plus détendue.
24:56 Parce que quand je l'ai appelée, ça me dit "ouais, ouais, j'ai pas le temps, ouais, ouais, je veux encore deux".
25:01 On a préparé l'émission comme ça.
25:03 Plus apaisée, je trouve.
25:04 Plus détendue.
25:05 Ça va.
25:06 Non, mais c'était super.
25:07 Une belle aventure.
25:08 Expliquez ce que c'est que le Loire-Les Distos.
25:10 Je dis bien le LLT.
25:12 Le LLT, oui.
25:13 Pas le LLTT.
25:14 Il y a presque, il y a de l'idée quand même.
25:16 Il y a presque, oui.
25:17 Donc le Loire-Les Distos, on est sur une course cycliste élite femme.
25:22 Donc on est sur le plus haut niveau du cyclisme.
25:26 Féminin ?
25:27 Féminin, féminin, oui.
25:28 C'est l'équivalent du Grand Prix de Saint-Étienne ?
25:30 À part qu'il y avait un trou, il n'y avait pas de compétition pour les femmes.
25:33 Alors c'est l'équivalent, oui, parce que le Grand Prix de Saint-Étienne,
25:36 c'est une compétition nationale, non fédérale,
25:39 qui accueille aussi des équipes nationales, continentales.
25:42 On va voir quelques images, d'ailleurs.
25:43 Nous, on a eu la chance d'accueillir, sur cette première édition, donc voilà.
25:47 Alors il y avait de tout niveau, il y avait du professionnel,
25:50 il y avait des jeunes, il y avait un peu de tout, j'ai vu, sur la ligne de départ.
25:57 On va le voir. Le UU, c'est comment ça s'appelle ? Le World Tour ?
26:01 Non, alors on n'est pas encore sur les World Tour.
26:03 Ça, c'est vraiment les équipes qui font notamment le Tour de France.
26:06 Donc là, c'est vraiment les équipes professionnelles,
26:08 le meilleur niveau mondial chez les filles.
26:10 Mais nous, on a accueilli des équipes continentales UCI,
26:13 qui sont, elles, le deuxième niveau professionnel.
26:16 Dans le SAS, elles pourraient être dans le SAS Pro, presque, non ?
26:19 Elles sont professionnelles.
26:21 C'est des filles qui commencent à être salariées, qui peuvent en vivre.
26:26 Et 80 coureuses, quand même ?
26:29 80, oui. 86 au départ de Fœhr. Après, il y a eu quelques abandons.
26:34 Sur deux étapes, il y a eu quelques abandons.
26:37 Là, on voit, donc, le samedi, c'était du côté de Fœhr, qui n'ont jamais vraiment voulu...
26:41 Oui, Riorge a l'habitude. Riorge, le Rouennais, ils ont l'habitude de voir du cyclisme.
26:45 Fœhr, pas du tout. Ils étaient contents, je pense, d'avoir...
26:49 Ils étaient très contents et ils ont bien joué le jeu, comme Riorge aussi.
26:52 On a eu la chance d'avoir pas mal de visibilité de la part des communes.
26:56 Ils vous ont prêté une belle infrastructure.
26:58 Oui, ils nous ont prêté une belle infrastructure.
27:00 C'est-à-dire ?
27:01 C'est vrai, ils s'y prêtaient très bien.
27:03 C'était chouette. On pouvait mettre vraiment tout le monde, les équipes d'un côté,
27:06 et tout le staff et l'organisation au niveau de l'hippodrome.
27:10 C'était chouette. Et puis, l'avenue de l'hippodrome fermée, pour le départ et l'arrivée.
27:14 Est-ce qu'on peut dire que ça y est, la pierre, elle est lancée ?
27:17 Il y a le mouvement qui est là, il y a une envie du département.
27:21 Et des autres sponsors.
27:23 On aurait une édition numéro 2, voire même numéro 3.
27:26 Oui, bien sûr.
27:27 Vous ne voyez pas l'antenne, mais j'ai vu la queue de cheval bouger.
27:29 Elle ne bouge pas beaucoup, la queue de cheval.
27:31 Oui, c'est le but.
27:34 Et puis, c'est pour ça aussi qu'on a mis la barre quand même assez haute sur cette première édition.
27:39 Après, on est très contents.
27:41 La barre, c'est-à-dire à quel niveau ?
27:42 Justement, en plaçant cette course directement au niveau national,
27:48 en calendrier fédéral, comme on appelle sur la FFC,
27:51 et en accueillant des équipes du meilleur niveau.
27:54 Alors, un national 2, national 1, c'est ce qu'on appelle le plus haut niveau amateur français.
27:59 Et après, les équipes comptiles, les avoir, c'était...
28:02 C'était facile de le mettre en place, quand on s'appelle Héloïse,
28:04 et qu'on vient de Saint-Etienne, et qu'on dit "Bonjour, je voudrais organiser",
28:06 c'était facile de dire "Ah, enfin, quelqu'un qui veut se bouger et qui veut l'organiser, ça".
28:10 Non, ce n'est pas facile.
28:11 Ce n'est jamais facile d'organiser un événement,
28:13 et encore moins un événement de cette envergure,
28:15 parce que bon, on a un gros dispositif, comme on peut le voir sur les images.
28:18 En fait, c'est comme un Tour de France, mais en plus petit.
28:22 On a exactement le même cortège de véhicules,
28:24 des voitures, des directeurs sportifs qui suivent.
28:27 Il y a 16 équipes, donc vous imaginez déjà 16 véhicules qui suivent,
28:30 plus plotons de gendarmerie,
28:33 il y avait 20 motards qui assurent la sécurité,
28:36 les voitures des arbitres, donc on est vraiment dans ce qu'on appelle cette grosse bulle qui passe.
28:40 Donc c'est assez impressionnant quand on est sur le bord de la route.
28:43 C'est vous là, regardez, dans tout le sens.
28:45 Alors, on vous connaissait, vous êtes déjà venue sur le plateau
28:48 pour le Tour de la Loire Féminin.
28:52 Ce n'est pas la même chose.
28:53 Là, c'est une vraie compétition, il faut le redire.
28:55 Voilà, c'est ça. La différence, c'est que le Tour de la Loire Féminin,
28:57 on est du côté vraiment amateur,
28:59 plutôt sur une rando cyclo,
29:01 où les filles sont plaisir et c'est très convivial.
29:03 Là, on est sur de la compétition pure et dure.
29:05 Pour vous, l'année prochaine, une édition réussite,
29:07 c'est quoi, une édition plus longue, plus d'équipes ?
29:10 Quelles sont vos attentes ?
29:12 Très bien résumé.
29:14 Plus d'équipes, déjà, ça peut être pas mal.
29:17 Et puis après, à voir si on rajoute une petite étape,
29:20 un petit prologue.
29:21 Une étape le vendredi.
29:22 Une étape le vendredi, un petit contrôle à la montre.
29:25 Ça peut être pas mal.
29:27 Un service des sports de Fermini.
29:30 Faudra changer les villes.
29:32 C'était l'idée.
29:34 Ça s'appelle le Loire de Pisto, c'est pas pour rien.
29:36 C'est aussi de faire découvrir un maximum de routes du département.
29:40 Parce que vous n'avez pas repris, comme le Grand Prix de Saint-Étienne,
29:44 des étapes du Tour de France ?
29:46 Eux, ils ont repris quelques...
29:48 Non, nous, on a vraiment tracé nos propres étapes.
29:51 100 km, ça, à peu près ?
29:52 Deux fois, ouais. 100 à 103 km, ouais.
29:54 D'ailleurs, je vous avais vu lors du Grand Prix de Saint-Étienne
29:57 sur les bords de la route.
29:58 On est en quoi ? En repérage, espionnage ?
30:00 Non, moi, j'aime le vélo, alors du coup...
30:03 J'aime bien regarder tout ça.
30:04 Vous savez que lundi, c'est le 1er mai,
30:06 et au mois de mai, on fait ce qui nous plaît.
30:08 Ce qui nous plaît ? Oui, c'est ce qui paraît.
30:10 Et on avait suivi cette école, l'Excel, justement,
30:12 parce qu'on connaît que par le Grand Prix,
30:14 mais qu'est-ce que c'est que cette école de l'Excel, exactement ?
30:17 Oui, il vient de dire "Tiens, j'ai oublié le mot".
30:19 On fera le tien tout à l'heure, parce qu'il y a le 8 mai aussi.
30:22 Et si vous voulez bien, on regarde un petit extrait de ce magazine
30:25 que vous verrez de 26 minutes lundi prochain.
30:27 Donc, Maxime Larue, manager sportif de l'Espoir Cycliste Saint-Étienne.
30:32 Salut Marlène, ça va ?
30:37 Ça va les gars ?
30:39 Vous êtes prêts pour ce petit entraînement spécifique au Grand Prix de Saint-Etienne ?
30:44 Ça va Ko ?
30:46 Ça va, ouais.
30:47 Après, on est dans la partie bureau administratif du club,
30:51 avec l'historique des différents maillots de l'équipe.
30:55 Là, c'est les maillots des coureurs qui sont passés professionnels ces dernières années.
31:00 Donc là, il y a Yako Haninen, qui est chez G2 R Citroën La Mondiale,
31:05 Clément Russo chez Arkea Samsic, et puis Sandy Dujardin chez Total.
31:10 Et pour la petite anecdote, ils ont participé à la Milan-San Remo.
31:17 Ils sont passés par le club ?
31:18 Oui, ils sont passés par le club.
31:20 Donc voilà, c'est une petite fierté, et puis après une reconnaissance aussi
31:24 de mettre ça en exergue.
31:26 Et puis surtout pour les jeunes qui intègrent nos structures,
31:28 de voir ça, ça leur fait briller les yeux.
31:31 J'espère que ça leur suscitera des vocations.
31:34 [Musique]
31:42 Voilà, on était présents, nos équipes étaient présentes.
31:45 Ça, ce sera le 1er mai.
31:46 Et celui qui a oublié de lancer son propre teaser.
31:49 Je voulais dire, on est au NTT à Rouen, et on reste à Rouen.
31:54 Il y a Héloïse, il y a Riorge.
31:56 Donc du coup, on reste à Riorge, ou pas loin en tout cas,
31:59 puisque le 8 mai, du coup, pour cette émission spéciale,
32:03 on aura un documentaire de 21 minutes dédié...
32:06 Vous saviez qu'il y avait du hockey, Héloïse ?
32:08 Au CHR ?
32:09 Et dans la loi ?
32:10 Oui, oui, oui, bien sûr.
32:12 On s'est immergés.
32:13 Et ben voilà, une immersion avec le club du CHR,
32:16 donc direction les Renards de Rouen,
32:19 et un petit teaser pour pouvoir le regarder le 8 mai.
32:22 Si le 8 mai fait chaud, on pourra se rafraîchir.
32:24 Exact.
32:25 [Musique]
32:31 Vous savez que tout ce qu'on a fait avant,
32:34 c'était une préparation à ce moment.
32:36 Ça fait maintenant 4 ans que je joue ici à Rouen.
32:38 C'est déjà le sport collectif le plus rapide au monde.
32:40 Le hockey, au-delà d'être un sport, c'est un spectacle.
32:43 Tous les matchs à guichet fermés toute la saison,
32:45 donc ça, ça aide aussi sur les matchs à domicile.
32:48 Parce que personne ne joue avec la même courbe,
32:52 le même flex, la dureté.
32:54 Let's go boys ! Une grosse semaine de pivotage, let's go !
32:57 C'est beau ça !
32:58 Ça va vite.
32:59 En immersion, wow, c'est un petit teaser.
33:00 Vous avez pratiqué ? Non, vous n'avez pas pratiqué ?
33:02 Non, non, non.
33:03 Non, non, chacun sa place.
33:05 J'ai mis la caméra sur le temps.
33:08 Sur le thème.
33:09 On croit que vous êtes en immersion totale.
33:12 On retourne du côté de Saint-Chamond.
33:14 Vous voyez, on fait des kilomètres, on ne les voit pas passer.
33:16 Avec vous, Nabil.
33:17 Si vous le cherchez sur le conducteur, c'est là.
33:19 Vous êtes en haut.
33:21 Est-ce qu'on peut avoir un peu les têtes d'affiche ?
33:23 Ça va commencer...
33:24 Il a commencé à combattre.
33:25 C'est un vrai show, il faut le dire, c'est un show.
33:27 On a des images.
33:28 C'est ça la clé de la réussite.
33:30 Effendi, Mariel, c'est le show.
33:32 On va voir les images.
33:33 Oui, mais le show, c'est important.
33:35 Mais après, les grands connaisseurs regardent aussi pour la technique, pour le combat.
33:40 Il y a des belles affiches, des têtes de gondole.
33:42 On a des grandes affiches, il y a quand même 8 combats pros internationaux.
33:45 Les meilleurs mondes, pratiquement, dans leur catégorie de combat.
33:48 Attendez, alors Seb s'est trompé.
33:50 Il y a un problème sur l'affiche de Michael Palambre.
33:52 Parce qu'on l'a reçue il n'y a pas longtemps.
33:54 C'était un Américain, il n'était pas comme ça à droite.
33:56 Enfin à gauche.
33:57 En fait, il y a eu un changement.
33:59 Maraoush s'est blessé il y a quelques mois.
34:02 Sa blessure ne s'est pas rétablie.
34:04 Il a combattu contre Diop.
34:06 C'est celui qui l'a blessé ?
34:08 C'est lui qui l'a blessé.
34:09 C'est vrai ?
34:10 Il l'a blessé.
34:11 Et donc, on pensait que sa blessure allait se rétablir, guérir.
34:15 Mais en fait, non.
34:16 Donc, naturellement, on s'est tourné sur Diop.
34:19 Donc la photo du tram, elle est fausse, maintenant.
34:21 Il faut rechanger, là.
34:22 C'est ça.
34:23 Le niveau est le même.
34:25 C'est un Américain, déjà.
34:26 C'est quand même un niveau au-dessus.
34:28 Surtout que Diop nous avait sollicité au moins 10 mois à l'avance pour boxer par l'Allemagne.
34:33 Mickael est au courant ou pas ?
34:35 Oui, il est au courant.
34:36 De toute façon, il s'en fiche.
34:37 Il s'en fiche, il voulait les prendre tous les deux.
34:39 On avait déjà signé avec Maraoush.
34:45 Et le fait, c'est le destin.
34:47 Donc, ça sera Diop.
34:48 Diop qui est hyper motivé, qui reste sur trois victoires.
34:51 Donc, deux victoires au Glory, le grand tournoi international.
34:55 Donc, il est classé au Glory.
34:57 Il est dans l'avion.
34:59 Ça y est, il va arriver.
35:01 Ça serait bien pour le fois qu'il le rade, normalement.
35:03 Est-ce qu'on peut voir, Sébastien, c'est notre réalisateur,
35:06 l'entrée, le show, le côté show.
35:08 On aura le même show.
35:09 C'est-à-dire qu'il faut allumer son petit téléphone portable, la fumer.
35:12 C'est ça, hein.
35:14 C'est ça qui la réussit pour vous ?
35:16 Moi, je dis à 70%, c'est ça.
35:19 À 70%, c'est ça.
35:21 Et Louis, l'année prochaine, tu fais rentrer comme ça sur scène, les filles.
35:25 Voilà, aujourd'hui, regardez le spectacle qu'il y a aux Zénith.
35:28 C'est du pratiquement, c'est du jamais vu.
35:30 On a déjà vu ça dans les années 90 à Bercy, avec Samy Kébsi,
35:34 mais qui a fait des grandes soirées.
35:37 Et donc, je me suis un petit peu inspiré de Samy Kébsi,
35:40 des organisations hollandaises aussi, américaines.
35:43 Et c'est ce qui nous manquait, nous, dans notre discipline.
35:45 Et je dis, c'est le show parce que...
35:47 C'est bien une discipline, hein.
35:48 Parce que je sais qu'il y a des gens qui critiquent, qui se tapent dessus.
35:50 Mais c'est une discipline, il y a des règles, etc.
35:52 Parce qu'un combat, ça dure combien de temps, grossièrement ?
35:54 Ça dépend.
35:55 Donc, on a réduit quand même la durée du combat.
35:58 C'est bien que vous pointiez du doigt la durée.
36:00 C'est une experte.
36:01 Parce que maintenant, on fait du 3 fois 3 minutes.
36:03 Donc, c'est très très intense.
36:04 Et c'est ce que recherche...
36:06 Ça ne va pas tout le temps, 3 fois 3 minutes.
36:09 Des fois, ça s'arrête à 3 minutes.
36:11 Rapidement, on va voir quelques affiches.
36:14 Ça va commencer à quelle heure ?
36:15 Ça commence à 18h15.
36:17 On a 5 combats, on va dire, semi-pro.
36:20 Amateurs semi-pro de très très haut niveau.
36:22 Sans protection, on ne sait rien.
36:24 Et après, la soirée, on va commencer à 19h30 à peu près.
36:27 Il reste des places, un peu ?
36:28 Il reste quelques places.
36:29 On a vendu pratiquement les 3/4 des places.
36:31 Ah, c'est pas mal.
36:32 Donc, voilà, toutes les places.
36:33 Et nous, on peut venir ?
36:34 Oui, il n'y a pas de problème.
36:35 Vous êtes invités, bien sûr.
36:37 Oh là là là là là !
36:38 C'est grâce à toi, Marc.
36:39 Par expérience, vous en vendez des places le jour J ou non ?
36:42 On n'en vend pas trop trop le jour J.
36:44 Mais il ne nous en reste pas beaucoup.
36:46 Il va nous en rester, je pense qu'on va en boquer une centaine.
36:49 Avec le grand écran.
36:50 Ça va être magnifique.
36:52 La retransmission.
36:53 Ça va être génial.
36:55 On va vraiment faire un show.
36:56 Cette année, on va vraiment faire un show à l'américaine, un petit peu.
36:59 Nabil, vous êtes notre invité.
37:01 Je sais que vous adorez les canassons et les chevaux.
37:03 Un petit peu, oui.
37:04 Je l'ai vu tout de suite quand je me suis déduit, Nabil.
37:07 C'était votre dada.
37:08 C'est ça.
37:09 Vous savez, les parents nous disent toujours,
37:11 quand on a une passion, les études d'abord.
37:13 Et on peut allier les deux ?
37:15 Oui, c'est la question que je me suis posée.
37:17 Je me suis dit, on parle des sportifs, on parle des athlètes de haut niveau.
37:20 Mais est-ce qu'on s'est posé la question de comment on les forme ?
37:23 On ne devient pas comme ça, cavalier professionnel, en claquant des doigts.
37:26 Alors oui, il y en a effectivement qui font ça dans le sang.
37:28 Mais bon, il y a des formations qui sont mises en place.
37:31 Et notamment une formation qui a débuté cette année, en octobre 2022.
37:35 Du côté de ?
37:36 De Cyril Contal.
37:37 Et je crois que vous m'avez dit que c'est presque unique en France.
37:39 Alors, il y en a en France.
37:40 Mais là, c'est la première session de formation qui a été lancée.
37:43 Sur une période de un an, de octobre à octobre.
37:46 Une session spécialisation éducation, travail des jeunes chevaux.
37:50 Donc là, effectivement, on voit les cavaliers.
37:53 C'est sur un an, en alternance.
37:54 Avec un rythme en entreprise et puis un rythme à l'école.
37:58 Et la particularité vraiment de cette formation,
38:01 c'est qu'en plus, bien entendu, des cours scolaires, des cours...
38:05 Un plus un, trois.
38:07 Pardon, je n'ai pas fouillé, excusez-moi.
38:10 C'est de l'alternance, oui.
38:11 Oui, c'est ça.
38:12 Il y a des professionnels, des cavaliers professionnels expérimentés
38:15 qui viennent faire des sessions de formation auprès des jeunes.
38:18 Oh là là, dis-moi pas que t'es venue, et ?
38:19 Si.
38:20 Si, si, si.
38:21 Si, je suis venu.
38:22 C'était qui ?
38:23 C'était Pierre Vola.
38:24 Alors, pour vous, ça vous compte peut-être pas.
38:26 Parce que Nabil...
38:27 Nabil, calme-toi, c'est Pierre Vola.
38:28 Par contre, dans le monde de l'équitation, Pierre Vola, on ne le présente plus.
38:31 Il a fait les JO à Rio dans la discipline de dressage.
38:35 C'est un athlète olympique français.
38:37 C'est Tony Parker du basket ?
38:38 Oui, dans les disciplines du dressage.
38:40 Effectivement, Lilian, vous disiez tout à l'heure, par rapport aux objectifs,
38:44 c'est la question qu'on pose.
38:45 Alors, est-ce qu'on y va ?
38:47 Paris 2024, on y va, on n'y va pas ?
38:49 C'est effectivement la question qu'on se pose tous au niveau de Pierre.
38:53 Et donc, il est venu.
38:54 Il est venu tout seul ou accompagné avec son cheval ?
38:56 Il est venu non tout seul pour divulguer des conseils
38:58 et puis faire progresser ses jeunes sur des sessions de stage.
39:01 Je vous propose tout de suite de regarder les images.
39:03 T'es juste à régler ça.
39:07 Ok, petite foulée, grande foulée.
39:09 L'idée, c'est de vraiment préparer des jeunes chevaux
39:13 de façon organisée, avec une trame de travail qui, sur un an,
39:19 de manière à pouvoir les préparer jusqu'à la finale des jeunes chevaux
39:23 en fonction de la discipline.
39:24 Alors, cette formation, elle s'adresse à des cavaliers
39:26 qui ont déjà un niveau galo 6 minimum.
39:30 On va beaucoup travailler sur le fonctionnement aussi des cavaliers,
39:34 avec quand même un travail de base de mise en selle
39:39 et après un travail aussi de position sur tout ce qui est obstacle
39:44 de manière à pouvoir former après les jeunes chevaux
39:47 avec des cavaliers qui soient bien en place
39:49 et qui ne gênent pas surtout les jeunes chevaux.
39:51 Un établissement agricole qui propose le CAP Palfreunier Soigneur,
39:58 le CAP Maréchal Ferrand.
40:00 Nous proposons aussi le Bac Pro Conduite et Gestion de l'Entreprise EPIC.
40:03 Ainsi que des formations en apprentissage
40:06 avec le CAP Palfreunier Soigneur et Maréchal Ferrand.
40:09 Nous avons aussi l'Animateur Equestre,
40:11 le Brevet de Monitora en équitation
40:14 et le CS Éducateur et Travail des Jeunes Équidés.
40:17 Tout simplement leur apporter mon expérience,
40:23 l'expérience que j'ai eue autant à l'obstacle qu'en dressage,
40:26 autant avec les jeunes chevaux qu'avec des chevaux de Grand Prix.
40:31 Mon expérience aussi peut-être sportive sur le haut niveau,
40:34 mais aussi en tant que cavalier et marchand de chevaux.
40:38 J'ai eu toutes les flèches à mon arc.
40:42 J'essaie de leur apporter tout ce que je sais du métier
40:45 et toutes mes connaissances.
40:47 C'est une formation qui est certifiante.
40:51 Les élèves auront un certificat de spécialisation.
40:54 Cela dépend du ministère de l'Agriculture.
40:57 Elle se passe sur un an, avec 16 semaines de formation
41:02 et 560 heures de formation.
41:04 Elle se déroule en apprentissage sur une année.
41:08 C'est la première session.
41:10 Je pense que c'est le début d'une grande aventure.
41:13 Parce que d'être là pour former des cavaliers pour les jeunes chevaux,
41:18 je pense qu'on va en avoir besoin de cavaliers et jeunes chevaux à l'avenir.
41:22 Je pense que la formation va prendre de l'ampleur.
41:25 Très beau ce ciel.
41:27 Les images sont magnifiques.
41:29 Les chevaux également.
41:31 C'est parce que c'est des pursans arabes, FNÉ.
41:33 Non, pas du tout, je viens.
41:35 Mais bon, c'est pas grave.
41:37 Vous l'aurez compris, la formation est indispensable.
41:40 C'est indispensable pour les jeunes,
41:42 parce qu'on va former des futurs athlètes.
41:44 Mais pas que. Certains vont devenir éleveurs.
41:46 On a besoin d'avoir des connaissances hypologiques.
41:49 On a besoin d'avoir des connaissances de la nature.
41:52 On a besoin d'avoir des connaissances hypologiques
41:54 sur les soins vétérinaires, sur l'alimentation.
41:56 Il y en a d'autres qui vont devenir cavaliers pros.
41:58 Et puis il y en a d'autres qui vont devenir des chefs d'entreprise.
42:01 Donc là, on va les former à la conduite et à la gestion
42:04 de l'exploitation agricole à proprement parler.
42:06 Mais c'est dingue que ça n'existait pas.
42:08 Alors là, c'est la première session qui a été mise en place en octobre.
42:12 Et c'est vrai qu'on parle aussi de la formation des jeunes,
42:15 des futurs cavaliers, mais on parle aussi de la formation des chevaux.
42:18 Les chevaux ne deviennent pas des athlètes de haut niveau comme ça.
42:20 - Ils vont à l'école des chevaux. - Alors, est-ce que vous savez
42:22 comment ça s'appelle, Julien ? - Non, je ne savais pas.
42:26 - Ça s'appelle le débourrage. - Ah, c'est ce que je savais.
42:29 - J'en étais sûre que ça allait vous plaire. - J'adore ce mot.
42:31 - Donc le débourrage, ça attaque très jeunes, chez le cheval.
42:34 - Tu m'étonnes. - C'est déjà les premières interactions
42:36 que va avoir le poulain avec l'homme.
42:39 Donc ça va être le fait de le licoler.
42:41 Alors le licol, qu'est-ce que c'est ? C'est le harnais qu'on met
42:43 sur la tête du cheval pour pouvoir le déplacer.
42:45 - Je vous apprends des choses, Julien, ou pas ?
42:47 - Au strabble avec Malise et Megan, le débourrage.
42:49 - On va apprendre au poulain à donner les pieds
42:52 pour pouvoir faciliter le travail du maréchal ferrant
42:54 quand il sera plus âgé pour pouvoir ferrer.
42:57 Et puis on va pouvoir lui apprendre aussi l'acceptation,
43:00 l'acceptation de la selle, du filet avec le mort
43:03 et puis du cavalier sur le dos, tout simplement.
43:05 Donc c'est une étape qui se situe généralement,
43:07 qui se passe avant les cinq ans du cheval.
43:09 - C'est mieux. - Généralement vers les trois ans.
43:11 - Parce que sinon... - Mais ça va dépendre de la discipline
43:14 parce que par exemple, si on part dans le milieu des courses,
43:16 les chevaux, ils n'ont qu'à courir à deux ans.
43:18 Et puis des chevaux avec une ossature un peu plus cossue...
43:20 - À deux ans, les chevaux, déjà ? - Oui, dans les courses hippiques,
43:22 c'est deux ans, les courses. - Ah, je les voyais un peu plus.
43:24 - Et puis dans d'autres disciplines, ça peut être un peu plus tard
43:26 en fonction de la croissance du cheval.
43:28 - Merci pour tout ce que vous m'avez dit. - Je remercie Emmanuel également.
43:30 - Oui, elle est là. - Voilà, qui est là
43:32 et qui nous a permis aussi de rencontrer Pierre.
43:34 - Elle était vite, elle était à l'hôpital Le Grand tout de suite,
43:36 pour le montage de l'air en pop-pop. - Immédiatement, oui.
43:38 - Voilà. On n'a pas oublié Damien,
43:41 qui voulait têter de la batte.
43:43 Quand même, on n'oublie pas. Oui, Damien, il crie dans l'oreille.
43:45 - Je suis là, je suis là ! - Il va taper du monde ?
43:47 Est-ce qu'il va taper du monde ? - Alors, ce qu'il va y arriver
43:49 à faire à home run... Damien ?
43:52 - Il va taper quelqu'un. - Non, je ne vais pas taper quelqu'un.
43:55 Mais en tout cas, je vais essayer d'envoyer la balle à 122 mètres
43:58 ou de là même, parce que ce sera donc le fameux home run.
44:02 Vous avez vu, j'ai mis ma plus belle casquette exprès
44:04 et on va pouvoir y aller.
44:06 - On y croit. - Même le coach, il y croit zéro.
44:10 - Il y croit. - Allez.
44:12 - Chou-blanc. - Ne bouge pas, on regarde derrière la balle.
44:14 - C'est quoi le défaut de Damien ? - Allez, Damien, on se reçoit.
44:17 - Ça va être long, Damien. - On va rendre en temps, c'est comme ça.
44:21 - Au moins une, non ? - C'est dur pour la France.
44:24 - Il y a un tapé. - Il y a arrivé, je pense que c'est pas simple.
44:27 - C'est pas simple. - Je pensais que ça allait être plus simple que ça.
44:30 - Allez, c'est parti encore. Le home run de Le Grand, on est prêts.
44:33 - Allez, l'ombert. - On le sent bien.
44:35 - Détendu, détendu. - Bien.
44:37 - On a un futur. - On est pas 120 m, on est quoi ?
44:39 - Il garde le style. - Il est style quand même.
44:41 - Il est un peu golfeur quand même. - Oui, c'est vrai.
44:44 - Il a quitté la casquette.
44:46 - Je pense que ça va être dur. - C'est pas évident.
44:49 - Allez. - Il les enchaîne, là.
44:52 - Il les enchaîne quand même. - Bon.
44:54 - On rigole pas chez les deux. - Je pense pas qu'il commence au bas.
44:56 - C'est dangereux pour moi.
44:59 - De faire, en fait, avec du liège autour.
45:02 - Ah, ça y est. - Pas bien, pas bien.
45:04 - Là, joli. - Attends, mais c'est la ratée, quand même.
45:06 - Il va être éliminé par le joueur. - C'est ça, je sens bien,
45:08 sur les bornes noires, c'est ça. - Bien, tapez.
45:10 - Vous y êtes plus, les gars, là. - Je crois que ça progresse pas mal.
45:12 - Allez, Damien, on vous laisse taper deux balles et faire une montaine.
45:15 - J'avais parti, en plus.
45:17 - Vous voyez, c'est un match fort.
45:19 Sans y avoir joué,
45:21 on a beaucoup d'expérience, on y arrive assez rapidement
45:24 et on prend du plaisir. - Allez.
45:26 - Ouais, on prend du plaisir, on s'amuse bien.
45:28 - C'est fini, quand même. - On vous laisse, Damien.
45:30 - Bien. - Voilà, jouez à la baballe.
45:32 - C'est bien. - Terminez bien.
45:34 - Merci, terminez bien. En fait, il est oublié
45:36 qu'il me fait de la téné, en fait.
45:38 - Il s'est pris au jeu, là. - Il s'est pris au jeu,
45:40 mais pas mal, quand même. - Non, franchement, pas mal.
45:42 - Les dunks qui existent depuis plus de 15 ans,
45:44 je crois, un truc comme ça. Incroyable.
45:46 J'avais fait mes débuts avec eux, presque.
45:48 Plus que 15 ans, parce que c'était mes débuts.
45:50 Voilà, eh bien, cette émission a été complète.
45:52 Nabil, le sourire.
45:54 - 29 avril, on est à Mariena.
45:56 - C'est ce week-end.
45:58 - Le Pike Night, ouah ! - Voilà.
46:00 Et l'année prochaine, vous savez où vous serez ou pas ?
46:02 - J'espère encore à Mariena. - Ah, ça y est.
46:04 - On a fait quand même le tour des salles. - On arrête de tourner, hein.
46:06 - On a fait le Zénith, le Palais des Sports,
46:08 le Palais des Congrès.
46:10 - Vous avez le pétrole. - On a fait le Pétrole.
46:12 - Il y a un beau Palais des Sports,
46:14 mais c'est vrai qu'il n'y a pas trop de place.
46:16 - C'est un peu serré. - Non, mais il n'y a pas trop de place.
46:18 Mais par contre, il y a de l'ambiance. - Merci à vous, mes spécialistes.
46:20 Voilà, si vous voulez revoir cette émission...
46:22 - Je vous envoie un t-shirt, je crois pas.
46:24 - C'est bon, je me clôture, mais si vous le voulez pas,
46:26 on va le rendre.
46:28 Il y a le replay, si tu veux revoir l'émission.
46:30 - On est sur toutes tes boxes. - Exactement.
46:32 La semaine prochaine, pas d'émission.
46:34 Un best-of, et l'Excel, et l'8.
46:36 Un peu de fraîcheur avec vous, Lilian.
46:38 - Avec le CHR, les renards de roi.
46:40 - Il aime bien les petits renards. Le loup, le renard, la belette.
46:42 Voilà, allez, dans 15 jours.
46:44 Bisous, ciao, bye.
46:46 ...

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