Geoffroy Roux de Bézieux: "Les 100 jours, je n'y crois pas"

  • l’année dernière
Geoffroy Roux de Bézieux, président du Médef, était l’invité de BFMTV–RMC. 
Transcript
00:00 une négociation globale, senior, nous on est prêts à le faire, il faut que les syndicats soient d'accord
00:03 et on peut démarrer ça dès que, alors certainement après le 1er mai, ça c'est sûr, mais dès qu'on peut
00:09 se mettre d'accord autour d'une table. Et d'ailleurs au passage, pardon, je pense qu'il faut qu'avant de
00:14 retourner voir le président de la République ou le Premier ministre, il faut qu'on se voit entre nous,
00:17 entre syndicats et patronat pour essayer de dessiner les contours de l'accord. Ce qu'il faut pas, si vous
00:22 voulez, c'est qu'on soit dans une contrainte ni de temps, je l'ai dit, les 100 jours j'y crois pas,
00:27 et deuxièmement une contrainte qui nous dirait faut négocier sur ça, ça et ça. Faut qu'on soit nous
00:32 capables... Vous voulez vous débrouiller sans lui ? Parce que quand je dis lui, je parle du président de la
00:37 République, il est aujourd'hui plutôt un motif de contrainte, de difficulté, il rajoute un coin
00:43 en fait entre vous ? Je dirais pas les choses comme ça, on est dans une impasse politique assez forte
00:48 puisqu'il n'y a pas de majorité et on voit bien que sur un certain nombre de sujets c'est compliqué

Recommandée