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00:00 on a décidé de faire cette conférence de presse parce que je me suis dit qu'à un moment donné
00:04 il faut tout dire et je crois qu'on va dire. Il y a vraiment un mauvais fonctionnement dans
00:09 cette mairie mais ça on en parle depuis une belle heurette, mais à un moment donné je crois qu'il
00:13 faut lâcher, il faut dire parce qu'on ne peut pas continuer de travailler dans des conditions
00:17 pareilles. Je suis désolé. Vous vous rendez compte depuis trois ans on n'a pas eu d'évaluation ? Comment
00:22 comment on peut travailler dans une collectivité pareille ? On ne peut pas. Même les instances
00:26 paritaires on a eu très peu l'année dernière. On a fait un débrayage le 8 septembre de l'année
00:31 dernière pour montrer aux maires justement qu'il y a des choses que nous on ne tolère pas mais je
00:36 veux dire que ça n'a pas vraiment évolué. Je veux dire que nous on essaie de le faire entendre mais
00:42 c'est sous d'oreille. On n'a pas de réponse. Je ne sais pas quand on est au pouvoir, écoutons
00:47 d'abord les syndicats. On ne vient pas là pour vous demander un sou, une monnaie. Là on vient
00:52 pour parler du problème en interne. C'est tout. Et c'est ça qui est dommage parce que nous là,
00:58 notre but ce n'est pas de dire qu'on est à l'écart. On veut travailler avec l'autorité mais
01:03 malheureusement ça ne se fait pas dans de bonnes conditions. Je suis désolé. Et c'est pour ça que
01:07 nous à un moment donné vous savez on apaise, on apaise, on apaise mais à un moment donné je
01:12 pense qu'on va lâcher. On ne peut plus. Vu l'état actuel de la situation en mairie, on ne peut pas
01:18 rester insensé. Je suis désolé. Moi j'en ai parlé avec notre fédération sur le plan national. C'est
01:24 catastrophique. Comment pouvez-vous, comment on peut travailler dans des conditions pareilles ? Nous,
01:29 on ne peut pas. Nous sommes des représentants du personnel avec la masse des salariés qui viennent
01:34 nous voir et qui nous disent que voilà ça ne va pas. Vous savez que mine de rien il y a quand
01:37 même des choses qui sont entre les mains, des dossiers qui sont entre les mains du cabinet
01:44 juridique. Je veux dire que les choses sont en cours mais nous on ne reste pas insensibles.
01:48 Je veux dire, on attaque. Quand il y a des dossiers comme ça, on attaque directement.
01:52 On attaque.
01:53 On attaque.
01:53 On attaque.
01:54 On attaque.
01:55 On attaque.
01:55 On attaque.
01:56 On attaque.
01:56 On attaque.
01:57 On attaque.
01:57 On attaque.
01:58 On attaque.
01:58 On attaque.
01:59 On attaque.
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02:00 On attaque.
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02:01 On attaque.
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02:02 Sous-titrage ST' 501
02:04 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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