SUNDAY NIGHT LIVE (30/04)

  • l’année dernière
Le dimanche soir, avant le match NBA diffusé en prime-time, retrouvez l’émission SUNDAY NIGHT LIVE avec la team NBA de beIN SPORTS.

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Transcript
00:00 *musique*
00:02 *musique*
00:04 (Musique hip-hop)
00:09 (Musique hip-hop)
00:14 (Musique hip-hop)
00:19 [Musique]
00:48 New York tiens donc, bonsoir tout le monde c'est dimanche soir et dimanche soir
00:52 vous le savez sur Beansport c'est NBA, un Sunday Night Live absolument
00:56 monumental qui nous attend aujourd'hui. Deux affiches, du monde, des choses à voir
01:01 des machettes, un match, on va voir plein de choses aujourd'hui et on va surtout
01:05 voir sur le canapé Audrey Story. Bonsoir Audrey. Bonsoir. Comment ça va cette
01:08 semaine ? Ça va bien merci. Ça va ? On a une belle soirée de NBA qui nous attend
01:12 Audrey là. Oui oui sympa. Deux grosses affiches au programme, t'as
01:16 bien regardé un petit peu d'ailleurs ce qui nous attend avec ce premier match. Je
01:19 vous emmènerai à New York pour commencer ce dimanche soir, cette fin de journée.
01:23 L'Enix qui accueille le hit match 1 du deuxième tour de ses playoffs. Une
01:28 affiche absolument délicieuse, historique, une rivalité, plein de choses à vous
01:31 présenter. Et puis dans le reste de cette soirée, un petit peu plus tard sur les
01:36 coups de 21h30, je vous emmène cette fois de l'autre côté du pays à Sacramento
01:39 en Californie où les Kings et les Warriors vont jouer ce qu'on appelle le
01:43 Graal Ultime Audrey d'un match de basket en NBA, un Game 7, ce match 7 du premier
01:47 tour cette fois des playoffs. On fait rien de mieux qu'un match 7 Audrey, non ?
01:50 Non parce que c'est les matchs en fait où il se passe toujours quelque chose
01:53 d'inattendu. C'est vrai en général. Graal Ultime pour aller chercher une qualification
01:58 pour le deuxième tour et affronter les Lakers dans ce second tour. Bon on a le
02:02 temps de vous présenter tout ça, on a une bonne demi-heure avant que ça se lance
02:04 au Madison Square Garden. Je vais aller saluer nos commentateurs. La première
02:07 paire de commentateurs ce soir, Fred Shwaker, Jacques Monclar live
02:11 from la cabine 5. Bonsoir messieurs ! Bonsoir à vous !
02:14 Bonsoir Rémi, bonsoir André, bonsoir à tout le monde. Tout le monde va bien là-haut ?
02:19 Ecoutez, jusqu'ici tout va bien. Pour une demi-finale de conférence je vais être tout à
02:24 fait franc avec vous. Je ne pouvais pas espérer un plus beau match.
02:28 Vous n'auriez pas préféré un Cleveland Milwaukee ? Vous me faites hésiter mais non.
02:36 C'est tellement bien dit. Regardez ce que j'étais obligé de faire en rentrant.
02:40 Parce que moi vous savez, Lennix, Lennix, mais j'adore le hit. Et j'étais obligé de faire
02:45 enlever ça de la tête du Shwanker. Je lui ai dit "tu veux jouer à ce jeu là ? La
02:53 prochaine fois t'es mort". Et encore il n'a pas réussi à me faire enlever les chaussettes.
02:57 Il a des chaussettes l'animal. De quel but ? Non, ça va, on est safe.
03:04 Si on passe ce tour là, je vous promets... Peut-être, peut-être, on verra. Tu le prêteras à Singleton.
03:08 On est ravis de vous avoir messieurs ce soir en tout cas pour cette belle soirée de basket.
03:16 Donc ce New York face à Miami. Audrey, il y a une odeur un peu historique à ce duel là.
03:20 Ça nous rappelle plein de choses. Les années 90, Pat Tewing, The Morning Enface, Charles
03:26 Oakley, tout le monde, il y avait de l'électricité entre ces deux franchises.
03:28 Oui, ça ne joue plus exactement pareil. C'est vrai que c'est des franchises, notamment New
03:33 York, désolé Jacques, qui a été en souffrance et en qui on ne croyait pas vraiment même
03:38 avant le début de ces playoffs. Et c'est vrai qu'aujourd'hui, ils sont là, ils sont
03:42 présents. On voit que même les salles, il va y avoir un peu d'animosité, d'ambiance.
03:49 C'est vrai que sur un match comme ça de playoffs, dès le match 1, on devrait sentir un petit
03:54 peu cette histoire qui refait surface. Il y a plein de old school qui vont être là.
03:58 On annonce notamment Pat Tewing qui va être dans le Madison Square Garden. Et on sait
04:02 que Zo est souvent à côté de Pat Riley. Donc autant vous dire que les deux anciens
04:06 pivots de Georges Tarn vont avoir l'occasion de se retrouver, mais pas sur beaucoup d'accolades.
04:09 Il n'y a pas Trilay comme il y a entre les deux franchises. Moi, j'ai vécu un playoff
04:15 une fois, je crois que c'était en 2002 ou quelque chose comme ça.
04:17 En Polémo ? Oui, une matinée Rémi, matinée comme ça.
04:21 J'ai fini comme le public, j'ai commencé comme le public.
04:24 Au Garden ou à Miami ? Au Garden. Et les Knicks ont gagné. Et ce
04:32 jour-là, j'ai trouvé que Spreewood était un joueur un peu comme Jimmy Butler.
04:38 Il y a un peu de ça, le côté phobie. C'est vrai qu'il y a un peu de ça entre ces deux.
04:42 Non, non, c'est spécial. C'est vrai que ces deux franchises, Audrey a raison, on n'attendait
04:47 pas les Knicks, mais enfin, ils ont quand même fait 5e de la saison régulière. On
04:50 n'attendait surtout pas Miami. Le Miami 8. Donc merci Nono, le Miami 8 qui a détruit
04:56 le numéro 1. Et ça, ça restera comme une des... Alors on me dit, c'est arrivé 5 fois
05:04 dans l'histoire de la Coney, ni non point. C'est arrivé 3 fois sur 7 matchs. C'est arrivé
05:09 3 fois. Et donc, c'est rare. Et donc, c'est rare.
05:13 Et jusqu'au play-in face à Atlanta, on ne voyait absolument pas Miami être capable,
05:18 ne serait-ce que d'accéder au play-off. Parce qu'après le play-in face aux Hawks, on les
05:21 voyait même pas accéder au play-off. Et après, il y a eu cette pascule.
05:25 3 minutes à la fin contre les Bulls. Ils sont à la casserole.
05:28 Ne défrichez pas tout, messieurs. Ne défrichez pas tout. On a tout le temps de présenter
05:32 cette belle affiche. Je vous vois déjà parti au jardinage. Là, on va prendre le temps
05:35 tranquillement. Tiens, juste une info, Fred, tu me confirmes, on a quand même une mauvaise
05:38 nouvelle en termes d'effectifs. C'est Julius Randle, sa blessure à la cheville. On s'inquiétait
05:42 pour lui. Absent sur ce Game 1, alors ? Exactement, Julius Randle absent. Cheville gauche,
05:47 celle qui s'était déjà blessée avant la fin de la saison régulière. Il se l'est
05:51 de nouveau blessé dans la série face à Cleveland. On se souvient que sur le dernier
05:54 match, il n'avait pas joué le dernier quartan. Du coup, il ne sera pas là pour ce premier
05:58 match. Il y a eu beaucoup de suspense gardé par l'organisation de l'Enix. Du coup, c'est
06:01 Hobbit Hopin, sans surprise, qui sera titulaire à sa place. Autre changement, on va dire,
06:07 dans le 5 de départ de Tom Thibodeau, c'est Quentin Grimes, qui était de retour aujourd'hui,
06:12 qui est de retour aujourd'hui, qui a eu des soucis au niveau de l'épaule. Habituellement,
06:15 c'est lui le titulaire. Eh bien, il va revenir, mais il sera remplaçant. Et c'est Josh Hart
06:20 qui va démarrer dans le 5 de départ pour l'Enix, certainement, pour s'occuper tout
06:23 de suite du cas Jimmy Butler. Et puis, pour être dans la continuité de ce qui a été
06:26 fait en l'absence de Quentin Grimes, ce sont deux joueurs qui ont effectivement, Fred,
06:31 le morphotype pour s'opposer ou essayer, en tout cas, à Jimmy Butler. Il y en a d'autres.
06:36 Il va falloir, je pense. Et bon courage à eux, parce que ça risque d'être un boulot
06:39 compliqué de garder Jimmy Butler sur cette série. Bon, on verra tout ça tout à l'heure.
06:43 Évidemment, puisqu'on est dimanche soir et qu'on a un petit peu de temps, le match
06:45 commence dans une demi-heure à peu près maintenant. Eh bien, je ne veux pas déroger
06:49 la tradition. Je ne veux surtout pas décevoir Audrey et Jacques et Fred, qui pour le coup,
06:52 je pense, aiment vraiment ça. Je vous propose donc un quiz pourri dans ce SNL qui ce soir
06:59 va s'intéresser, alors non pas à New York, non pas à Miami, non pas à Sacramento ou
07:05 aux Warriors, mais à l'univers de ce qui nous attend tout à l'heure, c'est-à-dire
07:10 les matchs sets, les Game 7. Oh, le vice là, il a passé une nuit à réfléchir.
07:16 Moi, j'ai tout noté sur la rivalité New York/Miami, j'ai tout noté et on se retrouve
07:23 avec des matchs sets. Alors, sortez-vous plus belzardoise, je vous prie messieurs-dames.
07:28 Et je vais vous demander, il y aura quatre questions dans ce quiz aujourd'hui. Sur cette
07:30 première question, il y a trois points potentiels à la clé. Alors, on va voir si vous avez
07:33 un petit peu de mémoire. On discute ce soir le premier Game 7 de cette année, évidemment.
07:38 L'année dernière, on en a eu trois des Game 7. Est-ce que vous êtes capable de me
07:42 citer lesquels ? J'ai besoin des deux équipes qui s'affrontaient face à face l'année
07:47 dernière. Les deux équipes ?
07:52 Oui, l'affiche qui a opposé les deux équipes dans un Game 7 l'année dernière, on en
07:56 a eu trois. Moi, je vous le dis comme ça, il y en a deux affiches qui me sont très
07:59 vite revenues. La troisième, c'est vrai que j'ai dû fouiller un peu pour m'en
08:02 souder. Je ne m'en soudais pas. Tu n'en as aucune Fred ?
08:06 Non, non, non, il n'y a rien qui me vient de moi.
08:08 Il y en a un en particulier où il m'a flashé direct. Je l'avais vu en direct et qui nous
08:13 avait tous choqué ce match 7. Il y en a deux autres, tu vas faire "ah mais oui" quand
08:19 même. Non, mais oui, c'est ça le pire.
08:20 Je ne suis sûr de rien. Je suis comme le tiercé, je suis dans le désordre.
08:25 Alors, dites-moi, Audrey, est-ce que tu en as au moins toi ?
08:27 J'en ai fait un, on ne sait jamais. Tu en as tenté un ? Fred, tu veux tenter
08:30 un truc ou pas ? Philadelphia, quelque chose.
08:33 C'est qu'à l'Est. C'était tout à l'Est. Jacques, vous en avez ou pas ?
08:39 Non, par contre, je dis des bêtises. Une série à l'Ouest et deux à l'Est.
08:43 C'est ça. Moi, j'ai Boston Bucks et Miami Bucks. Miami, Boston, visite.
08:49 Miami, en P1 en 7, suit. Oui, c'est en finale de conférence.
08:56 C'est en finale de conférence, donc c'est Boston.
08:58 Jacques, vous étiez sur la voie, donc je vais vous donner les points.
09:02 Le Boston Bucks, c'est faux. Audrey, c'est bon. Point pour Audrey Sauré.
09:07 Donc, j'en ai deux. Jacques, vous avez les deux de l'Est.
09:10 Boston Bucks et Boston Miami. Et l'Ouest, les gars, ça m'étonne
09:15 que vous ne l'ayez plus. L'incroyable Dallas Phoenix.
09:19 Oui, mais c'était trop. Dallas qui passe en finale de conférence.
09:24 Le pire, c'est que je les ai commentés ces matchs. C'est ça, le pire.
09:27 Tu en fais tellement, Fred, en même temps que tu as des charges.
09:29 C'était fiche à trois. Ça efface le résultat à la fin.
09:34 En plus, il y a eu plus de 40 à la mi-temps, je crois, Dallas Phoenix.
09:38 Incroyable ce match-là. Deux points pour Jacques, un point pour Audrey,
09:41 zéro pour Fred pour l'instant. La deuxième, c'est à qui suis-je ?
09:43 Vous n'aurez pas besoin des ardoises. Vous allez deviner.
09:45 Je vais essayer de vous faire deviner un joueur de basket.
09:48 Alors, qui suis-je ? Je suis l'homme qui a marqué dans l'histoire de l'NBA
09:51 le plus de points sur un Game 7. J'ai inscrit 48 points ce soir-là.
09:57 Kevin Durant. Et je suis Kevin Durant. Bravo, Audrey Sauré.
10:00 C'est un match qui est rentré un petit peu dans l'histoire.
10:02 Jacques, Fred, vous vous souvienez duquel ?
10:04 Ce n'est pas Brooklyn-Milwaukee, match 7 2021 ?
10:08 C'est totalement Brooklyn-Milwaukee, l'histoire de la chaussure.
10:11 Et s'il en met 49, ils vont en prendre en place.
10:13 C'est ça, le petit orteil. Et le shoot à trois points qui tombe peut-être au point
10:16 et qui permet à Milwaukee d'avancer et d'être champion par la suite.
10:19 Bien joué, Audrey. Un point pour Audrey Sauré.
10:21 Je pourrais avoir un point pour l'affiche.
10:23 Tu rigoles ou quoi ? Désolé, ce n'était pas la question.
10:26 Ça ne marche pas comme ça. Je ne partage pas.
10:28 Deux points pour Audrey, deux pour Jacques, zéro pour Fred.
10:30 Troisième question. Vous pouvez ressortir vos petites ardoises.
10:33 Dans sa carrière, Michael Jordan a disputé… On a changé de musique.
10:38 Tiens donc. A disputé trois Game 7. Il en a gagné deux.
10:43 Je vous les donne, pas besoin de chercher.
10:45 Un contre l'Enix en 92 d'un fantastique Patrick Ewing.
10:49 Un contre les Pacers en 98 de Reggie Miller.
10:52 La question, contre qui il a perdu un Game 7, Michael Jordan ?
10:56 Je n'efface pas, je n'ai pas de mouchoir.
11:01 Petit changement de musique en cours de route.
11:03 Oui, c'est vrai que je comprends que vous en ayez un peu marre de la musique de Joe Pardi.
11:06 Il faudra qu'on réfléchisse à autre chose pour l'année prochaine.
11:07 Je vous en ai marre un peu aussi, je vous avoue.
11:08 Déjà, c'est en demi-finale de conférence ou en premier tour.
11:12 Alors non, ce n'était pas en demi-finale de conférence qu'il perd son altesse.
11:16 Alors c'est en finale de conférence, pardon.
11:18 Je vous aide un petit peu, c'est en finale de conférence.
11:19 Non, mais ce n'est pas en finale de conférence.
11:21 Oui, oui, vraiment, j'ai pris une option.
11:23 Allez, est-ce que vous avez l'adversaire ? On retourne les ardois, je vous prie.
11:26 Détroit, Détroit, Détroit, Pistons, tout le monde, évidemment, ce sont les Pistons.
11:30 Un point pour tout le monde, c'est Collegial.
11:31 C'était en 90.
11:33 Isaiah Thomas avait mis ce soir-là 21 points, 11 passes et 8 rebonds.
11:37 Pour vous dire, la qualité du match était au borderline triple ou double, Isaiah Thomas, ce soir-là.
11:41 Bon, tout va se jouer du coup sur la dernière.
11:44 Et pour celle-ci, je vais prendre mon ordinateur pour avoir les noms qui m'intéressent.
11:49 Il y a potentiellement, même si vous ne les aurez pas, 8 et 10, 18 points à gagner sur cette question.
11:55 Quoi ? C'est quoi cette question ?
11:57 Le graal ultime d'un Game 7, c'est quoi ? C'est la finale NBA.
12:00 Évidemment, qu'est-ce qu'il y a de plus beau dans le basket qu'un match 7 sur une finale NBA ?
12:04 La dernière fois qu'on l'a vécu, on l'a vécu ensemble, Jacques et avec vous tous sur Beansport, évidemment, vous devant votre télé, je l'espère.
12:09 C'était en 2016, le titre des Cavs face aux Warriors.
12:12 Je vais donc vous demander, à tour de rôle, et en commençant par Audrey, puisque nous sommes galants, messieurs,
12:16 vous prendrez un point à chaque bonne réponse, de me citer un joueur qui a foulé le parquet le soir de ce match 7 de légende entre les Warriors et les Cavs en 2016.
12:25 Audrey, tu commences.
12:27 Le Brown.
12:28 Le Brown James, c'est bon. Un point pour Audrey.
12:31 Fred.
12:32 JR Smith.
12:34 JR Smith, joue 38 minutes ce soir-là, c'est bon. Jacques Monclart.
12:38 Steph Curry.
12:40 Je vérifie, je ne voudrais pas que vous fassiez de bêtises.
12:42 Steph Curry, c'est bon. Un point pour Jacques Monclart. Audrey.
12:46 Draymond Green.
12:47 Draymond Green, c'est bon, qui fait bien sûr ce soir-là un incroyable match. Il fait 32 points, 15 rebonds, 9 passes.
12:53 Je crois que c'est 36. Record au carrière, je crois.
12:55 J'ai 32, oui. 32, 15 et 9. Incroyable match. Fred.
12:59 Clé Thompson.
13:00 Clé Thompson, c'est bon, bien sûr. 14 points ce soir-là. Jacques.
13:04 Si on est sur les Thompson, Tristan Thompson.
13:09 C'était le pivot titulaire des Cavs, c'est bon pour Jacques Monclart. Audrey.
13:13 Kevin Love.
13:19 Kevin Love, c'est bon. Il est starter, bien sûr, pour les Cavs ce soir-là. Fred.
13:24 Kairi Irving.
13:26 Kairi Irving, évidemment, le shoot de la gang pour Kairi, c'est bon. Jacques.
13:30 Looney.
13:33 Qui vole Looney ?
13:35 Eh ben non, il n'est pas dans la team, Jacques, je suis désolé. Pas de points, du coup. Audrey.
13:41 C'est quelqu'un d'autre, le pivot, cette année-là.
13:47 Ah oui, c'est Djabel.
13:50 Pourquoi le point, il n'y a pas de point pour Jacques ?
13:53 Ça y est, j'ai dit Djabel pour me sauver.
13:55 Je ne sais pas si vous avez rajouté un point, Audrey, mais regarde, si c'est le cas, on l'enlève.
13:58 Oui, on l'enlève.
14:00 Allez, Audrey, vas-y.
14:01 Je n'ai rien dit. J'ai un trou.
14:03 Elle passe pour le moment. Fred.
14:05 André Igodala.
14:06 André Igodala, ce soir-là, joue 38 minutes.
14:09 Le contre de Lebron, c'est André Igodala.
14:11 Légendaire contre, évidemment, c'est lui qui se le mange. Jacques Montclair.
14:15 Richard Jefferson.
14:17 Richard Jefferson, il joue 26 minutes ce soir-là, c'est bon. Bravo, Jacques. Audrey.
14:22 Wiggins.
14:25 Ah non, il n'est pas là. Enfin, je vérifie, mais non, il n'est pas là, Andrew Wiggins, à ce moment-là.
14:29 Il n'est pas là, Andrew Wiggins, c'est faux. Fred.
14:31 Shawn Livingstone.
14:33 Shawn Livingstone, bien sûr. 16 minutes, c'est bon. Un point pour Fred.
14:36 Jacques, ça va se jouer entre… Oh, 6 partout, incroyable.
14:39 Javel.
14:41 Pardon ?
14:42 Javel McGee.
14:43 Javel McGee n'est pas au Warriors cette année-là, c'est faux. Audrey.
14:48 Il est où, cet animal ? Il est à Cleveland, alors. Il est où, McGee, à ce moment-là ?
14:52 Non, il n'est pas à Cleveland cette année-là non plus.
14:54 En tout cas, il ne joue pas dans le match au set. J'ai le box-score du match au set sous les yeux.
15:00 Tu sais quand même. Audrey n'est à personne pour l'instant, ça reviendra peut-être. Fred, c'est pour gagner. Le premier qui a un nom, il gagne.
15:04 Andrew Bogut.
15:06 Est-ce qu'Andrew Bogut est là ? Non, Andrew Bogut n'est pas là. Je vérifie mon box-score. Non, non, il n'est pas là.
15:13 D'accord, je sais qu'il était pivot à Golden State, alors j'ai eu un doute entre les deux.
15:16 Je te le dirai après. Jacques.
15:18 Est-ce qu'il a joué parce qu'il avait re-signé De La Vedova ?
15:24 Mathieu De La Vedova, malheureusement, ne rentre pas au jeu ce soir-là.
15:29 Et ça, c'est la faute du coach.
15:31 Alors là, on va la faire simple. Le premier qui me trouve un nom qui a joué, vu que plus personne n'a de réponse, gagnera le quiz.
15:41 C'est la vitesse ? Non.
15:43 T'as quelqu'un ? Vas-y. David Lee.
15:45 Non, il n'y est plus. David Lee n'y est pas du tout cette année-là.
15:48 Alors, je vais vous aider un petit peu. Adio, tu vois, me saoule dans l'oreillette le nom du pivot des Warriors.
15:54 Si vous ne l'avez pas, je vais penser à quelqu'un d'autre. Je vais vous aiguiller.
15:57 C'est un joueur que l'on va voir ce soir dans le match 7, mais qui a changé d'équipe.
16:02 Comment qui a changé d'équipe ?
16:05 Ah, ok, c'est Harrison Barnes.
16:08 Harrison Barnes, la bonne réponse de Jacques Monclart.
16:11 Au buzzer, ce quiz pourri du SNL.
16:14 Il était vraiment pourri ton quiz.
16:16 Et vous aurez pu me citer le pivot des Warriors, c'était Festus et Zelly, les gars.
16:20 Oh, le compteur à gaz.
16:23 Qui a joué dans ce match 7 ? Côté Warriors, Anderson Varejao, Marius Peit, Leandro Barbosa.
16:29 Et rentre en jeu.
16:31 Et côté Cavs, il restait Imane Schumpert et Mo Williams qui étaient rentrés en jeu.
16:35 Ah, Imane Schumpert, il avait un vrai rôle.
16:37 Il joue 19 minutes ce soir-là, un vrai rôle, tout à fait.
16:40 Je ne dis pas de bêtises, il joue 19 minutes ce soir-là.
16:44 En tout cas, bravo à Adio d'avoir pensé à Zelly, parce qu'avant là, il fallait le ressortir.
16:48 Réculteur basket, Adio.
16:49 Jacques Monclart, bravo.
16:50 On actualise les scores, s'il vous plaît, du quiz pourri du SNL avec le point bonus pour Jacques.
16:54 Qui est donc très largement en tête et qui, a priori, Jacques, aura une victoire assurée cette année,
16:58 vu qu'il reste 1 ou au max 2 SNL cette année.
17:01 Donc, félicitations Jacques Monclart.
17:03 C'est un FaceTime de 20 secondes de champion qui vous appartient maintenant.
17:06 De champion, écoutez, il va être tout simple.
17:13 Le 20 secondes, c'est qu'on est privilégié de vivre des soirées comme on vit là, des horaires européennes.
17:18 Alors, même si on est souvent dans le jugement, puis nous Français en particulier,
17:24 savoir que jouer à 13h un match, ou même à l'Ouest, ça va être pareil, c'est dur.
17:31 Alors, on peut juger de la maladresse, de ne pas s'y mettre.
17:35 Alors, c'est dur physiquement, c'est dur mentalement, c'est dur pour les arbitres, c'est dur pour le public,
17:40 c'est dur pour tout le monde, c'est un horaire sur lequel on n'est pas formaté.
17:44 Alors, je ne vais pas demander de l'indulgence, mais d'avoir ce recul,
17:48 de savoir que se foutre en route pour jouer un truc en allant vers un titre NBA à 13h.
17:53 Un match au 7, tout à l'heure.
17:55 Un match au 7, c'est compliqué.
17:57 Un match d'ouverture de demi-finale de CONF, on ne t'ait pas attendu avec une opportunité incroyable
18:01 pour les deux équipes d'aller en finale de CONF.
18:04 C'est juste ça, avoir un peu de…
18:07 Et c'est un très bon message Jacques Moncler, ça me plaît.
18:09 Et on ne remerciera jamais suffisamment, nous petits Européens que nous sommes,
18:12 la NBA de nous proposer des matchs à ce horaire-là.
18:14 Parce que c'est quand même un bonheur de pouvoir vous proposer sur BIN,
18:17 deux affiches incroyables à 19h et à 21h30.
18:19 Voilà, sur ces belles paroles, on va revenir un petit peu sur tout ce qui s'est passé cette semaine.
18:23 C'est la tradition le dimanche soir.
18:25 One Week in the NBA, signé cette semaine, Florian Michel.
18:29 Oh my goodness !
18:31 Ice cold !
18:36 He's in at the windmill !
18:54 On commence la semaine un soir d'avril à Miami.
18:57 C'était le match 4 entre Heat et Bucks.
19:00 Et le reste appartient à l'histoire.
19:03 Jimmy Butler s'offre la 4e meilleure performance all-time des playoffs.
19:11 56 points et la victoire face au numéro 1 de l'Est,
19:14 Miami main 3-1,
19:16 Emile Wauquiez peut trembler.
19:18 Jimmy Butler, the other way !
19:21 Fouled !
19:24 C'était un peu plus tard dans la nuit,
19:26 LeBron James livre aussi un match XXL face aux Grizzlies.
19:30 22 points et 20 rebonds,
19:32 avec surtout le panier pour aller en prolongation.
19:35 Lakers down 2, James off the window, it goes !
19:39 What a basket by James !
19:41 Et ensuite, celui pour la gagne,
19:43 on le rappelle, LeBron a 38 ans.
19:46 James is fouled !
19:48 And won ! LeBron !
19:51 LeBron, do you ever amaze or surprise yourself ?
19:55 Yep.
19:57 C'est la folie des playoffs, on sort de 2 énormes perfs.
20:03 Et dès le mardi, Treyong veut lui aussi sa place au soleil.
20:07 Il avait déjà traumatisé le Madison Square Garden,
20:10 cette fois-ci, c'est le Teddy Garden de Boston
20:13 qui découvre le match.
20:15 C'est le Teddy Garden de Boston qui découvre le prodige.
20:19 Un invraisemblable tir de la victoire pour aller chercher un sursis.
20:31 Eux n'auront pas de sursis supplémentaires,
20:44 Minnesota est éliminée au match 5 face aux Nuggets.
20:47 Bye bye les loups !
20:49 Mercredi, on a vécu un nouveau cataclysme en NBA.
21:00 La passe gobée pour Butler !
21:03 Et il l'a met !
21:05 Jimmy Butler à 5/10 de la part !
21:09 Jimmy Butler égalise à la dernière seconde,
21:12 et en prolongation, il élimine les Bucks.
21:15 Le 8ème de la conférence,
21:18 Est envoie la meilleure équipe de la saison régulière en vacances.
21:21 Incroyable exploit de Miyani,
21:24 et énorme désillusion pour Yannis Antetokounmpo.
21:28 Michael Jordan a joué 15 ans,
21:30 et a gagné 6 championnats.
21:32 Les 9 autres ans, c'était une faillite ?
21:34 C'est ce que tu me dis ?
21:36 Je te pose une question, oui ou non ?
21:39 Ok, exactement. Pourquoi tu me demandes cette question ?
21:42 C'est une mauvaise question. Il n'y a pas de faillite en sport.
21:45 Let's go Knicks ! Let's go Knicks !
21:48 New York est en feu, 10 ans après leur dernière qualification au deuxième tour.
21:53 L'Enix retrouve la victoire en playoff.
21:56 4-1 contre les Cavaliers, ce qui ont bien déçu.
21:59 Prochain état pour New York,
22:01 Miami.
22:03 Pas d'exploit en revanche pour Treyong et les Hawks.
22:08 Boston était un cran au-dessus,
22:10 et jeudi, ils éliminent logiquement Atlanta.
22:13 Pour les Celtics, ce sera Joel Embiid,
22:15 et les Sixers au prochain tour.
22:18 Il n'y a personne au sud.
22:22 Non, je suis bien au sud.
22:25 Quelques instants plus tard.
22:27 40 points d'écart.
22:29 125 à 85.
22:32 Memphis n'aura pas été au rendez-vous.
22:35 Les Grizzlies passent à la trappe.
22:38 Les Lakers sont détruits.
22:39 Jamorent et les siens dans un match 6 à sans Sunnic.
22:43 Après le play-in, Los Angeles passe le premier tour.
22:46 L'aventure continue en Californie.
22:49 Merci Mitch, excellent.
22:54 Une semaine dans l'NBA.
22:56 On est de retour dans le canapé du SNL,
22:58 et on va faire monter la pression de ce qui va se passer à New York.
23:03 Les joueurs vont débarquer sur le parquet dans quelques secondes.
23:07 Enix sont prêts à partir dans ce Garden.
23:09 Obi Topin a l'air bien chaud.
23:12 Evan Fournier, ils sont tous là.
23:14 L'entrée dans le Garden.
23:15 Convient ensemble.
23:17 Et maintenant, c'est New York !
23:20 Mesdames et Messieurs, le Miami.
23:28 Un moment particulier pour New York,
23:30 qui s'apprête à vivre ce deuxième tour de play-off.
23:33 Un deuxième tour de play-off pour la première fois depuis 10 ans, Audrey,
23:36 pour Cenix, depuis l'époque Carmélantoni, vous n'avez plus vécu ça.
23:39 C'est un événement pour la franchise qui se passe là,
23:41 et on se dit qu'il y a de vraies opportunités en plus.
23:43 Oui, c'est forcément un tour qui est assez ouvert,
23:46 vu les résultats, pour y arriver.
23:49 Mais je crois qu'il y a surtout, effectivement,
23:52 on en parlait avant, ce côté historique de revenir.
23:55 Et puis, même nous, quand on a fait les pronostics pour ces play-offs,
23:59 on disait tout le temps qu'on était un peu sur la retenue avec New York,
24:02 parce qu'on voit du bon, du moins bon, durant toute la saison.
24:06 L'année dernière, c'était pareil, cette année, c'était pareil.
24:08 Et puis, en fait, on n'y croit pas vraiment.
24:10 Et puis, on attend qu'ils prouvent à tout le monde qu'ils continuent à avancer,
24:13 et qu'ils font leur mot de chemin.
24:14 Et là, ils sont en train de le faire.
24:15 Donc, je pense que c'est une source de motivation
24:18 de jouer pour une franchise comme ça.
24:19 C'est de la pression.
24:20 Mais quand on arrive sur des moments et des échéances aussi importantes,
24:23 ça doit être une source de motivation.
24:24 C'est clairement le cas.
24:25 En ce moment, on s'en rend compte, après ce premier tour remporté face au CAF.
24:28 Sierre, je vais vous emmener un petit peu à New York,
24:30 chez les vrais New Yorkers, ceux qui vivent là-bas,
24:33 qui ressentent un peu tout ce qu'ils ressentent depuis des années avec Cenix.
24:36 Il y a eu beaucoup de déceptions dans le lot,
24:38 et qui ont enfin droit un petit peu au bonheur.
24:39 Regardez ce que ça fait aujourd'hui d'être fan des Knicks à New York.
24:42 Déjà ? Quoi ?
24:44 Quand les Knicks sont dans les playoffs,
24:46 on prend des T-shirts blancs, des shorts et des T-shirts.
24:49 Au bout du coup, les Knicks sont les seuls équipes qui sont censées gagner,
24:53 parce que c'est New York.
24:54 Tout le monde d'autre part, je vous vois plus tard.
24:56 Il n'y a rien de comme aller dans le jardin et montrer un T-shirt.
24:58 C'est le métier de la fin de la saison.
24:59 On marche différemment, on parle différemment,
25:01 il y a un autre pas qui bouge.
25:02 Quand les Knicks sont dans les playoffs,
25:04 mon pression de sang est à l'extrême.
25:06 Je me sens vraiment étonné, étonné,
25:08 quand les Knicks jouent, et je les vois bien.
25:10 Mais on doit maintenant calmer ça,
25:12 parce qu'on a tous gagné,
25:14 à l'occasion.
25:15 Quand les Knicks sont dans les playoffs,
25:18 je pourrais être un peu gentil avec vous.
25:20 Les étrangers se clignotent les doigts dans la rue.
25:22 C'est la seule chose que personne ne veut parler.
25:25 Quand les Knicks sont dans les playoffs,
25:27 ma vie est complète.
25:29 Il n'y a pas de ville de basketball comme la ville de New York.
25:33 La ville a été construite pour les Knicks de jouer aux playoffs.
25:36 Les rats ne jouent pas dans la ville,
25:38 les Knicks font.
25:39 J'aime peindre ce que j'aime,
25:41 et j'en paye beaucoup.
25:43 La partie qui gagne au New York, c'est les Knicks.
25:46 MSG à plein feu,
25:48 le trafic est encore à l'aise,
25:50 le niveau d'excitement est incroyable.
25:52 Vous voyez le bleu et l'orange partout.
25:55 Bleu et orange, bleu et orange, bleu et orange, bleu et orange.
25:57 Quand les Knicks sont dans les playoffs,
26:00 je suis stylé et profilé.
26:01 Quand les Knicks sont dans les playoffs,
26:03 c'est tout, tout gagné.
26:07 New York, pour toujours !
26:11 Magnifique moment.
26:12 Les sandwiches au Pastrami,
26:13 le Madison Square Garden,
26:15 les Firefighters.
26:16 On est à 100% dans l'ambiance new-yorkaise.
26:18 Jacques Moncler, ça fait quoi quand les Knicks sont en playoffs ?
26:20 Ça fait ça.
26:22 Ça fait un moment qu'on les a plus.
26:24 Il y a eu deux ans, cette belle saison régulière,
26:27 puis derrière, rien.
26:28 Là, il y a une victoire en playoffs.
26:30 C'est ça que les fans des Knicks attendent depuis 2012.
26:35 C'est bien ça, c'est 2012 ou 2013 ?
26:38 2013, je crois.
26:39 2013.
26:40 Ce qui est rigolo aussi, par rapport...
26:44 On a l'impression qu'il n'y a pas les vrais fans des Knicks
26:48 qui viennent en saison régulière, qui viennent qu'au playoffs.
26:50 Ça fait un moment que le Garden n'a pas vibré comme ça,
26:53 parce qu'il n'y avait pas eu de playoffs de ce niveau-là,
26:55 de battre une équipe mieux classée que soi.
26:57 Des Knicks qui, maintenant, étaient chasseurs et deviennent chassés,
27:00 puisque c'est eux qui ont l'avantage du terrain au départ de la série.
27:04 C'est un truc de fou.
27:08 C'est pour ça que le Garden, c'est la méca du basket.
27:11 Parce qu'il y a eu l'histoire des années 70,
27:14 il y a eu bien avant, les Knicks existent,
27:17 ça a toujours été un peu l'équipe qu'ont martyrisé les grands joueurs.
27:20 Historiquement, on va commencer par Will Chamberlain,
27:23 qui leur en a collé 100 un jour.
27:24 Et tous, tous, tous, ils viennent au Garden pour être forts.
27:28 Et il faut que cette salle-là se transforme en entre imprenable,
27:32 quand ils veulent faire un run en playoffs.
27:36 Donc là, la problématique des Knicks, elle est là.
27:38 Cette équipe-là est très sympathique.
27:41 J'attends de voir jusqu'où ce basket de 1 contre 1
27:43 va pouvoir fonctionner avec ou sans Julius Rundle.
27:47 Mais ce qu'ils ont fait cette année, de toute façon,
27:50 il y avait plus d'équipes qui les voyaient hors play-in
27:53 qu'en demi-finale de conférence.
27:55 - C'est très vrai ce que vous dites là, je suis assez d'accord.
27:58 Alors, regardons un petit peu, on va disséquer un petit peu ça,
28:01 le programme de cette demi-finale de conférence
28:05 à laquelle s'attaque l'Enix maintenant.
28:07 Ce programme entre Jimmy Butler et le 8 d'un côté,
28:12 Jalen Brunson et l'Enix de l'autre.
28:14 Des bilans de saison régulière qui, aujourd'hui,
28:16 ne veulent plus dire grand-chose, j'imagine.
28:18 D'ailleurs, il manque des défaites là, je crois, là-dedans à Miami.
28:23 44-28, là, ça ne doit pas faire le compte, ça doit être 38 défaites.
28:26 - 44-38, oui. - Oui, c'est 38.
28:28 Il manque 10 défaites à Miami, on leur a enlevé 10 défaites.
28:30 44-38, le bilan du 8.
28:32 Le bilan de l'Enix est meilleur, évidemment, sur la saison régulière.
28:34 La question, tiens, Fred, toi qui as dû bosser le truc, j'imagine,
28:36 - Il y en a partout. - qui est favori, aujourd'hui,
28:39 qui est favori de cette série de l'avis de tous, des experts, des bookmakers, de tout ça ?
28:42 Alors, c'était avant de savoir que Julio Strandle ne jouerait pas ce match 1.
28:48 L'avantage basculait plutôt du côté de New York,
28:51 parce que New York a montré de grosses vertus en défense sur le premier tour de play-off,
28:57 a bien contenu le duo de Novan Mitchell et Darius Garland,
29:00 a fait un énorme travail au rebond,
29:03 et Julio Miami a beaucoup plus de mal dans ce secteur.
29:05 Miami, on a vu une attaque flamboyante face à Milwaukee.
29:08 La question, c'est de savoir s'ils vont être capables de répéter ces efforts-là.
29:11 On sait que Bamadé Bayo va jouer, aujourd'hui, mais lui aussi, il est diminué physiquement.
29:15 Les absences de Tyler Hero, de Victor Oladipo sur la rotation, sur les extérieurs,
29:20 ça peut poser des problèmes également à Eric Spolstra.
29:22 Voilà, tous ces petits détails-là qui font que, dans les pronostics,
29:27 l'Enix a les faveurs, mais on voit une série qui pourrait aller en 6, voire en 7 matches.
29:32 Ce sont les trucs officiels, quand tu dis ça.
29:34 Quand tu écoutes les spécialistes, Rémi, on doit écouter les mêmes.
29:37 Aux Etats-Unis, la plupart voient plus Miami, de par l'expérience du groupe,
29:42 qui était déjà dans la bulle ensemble, que l'Enix.
29:45 Après, que les Bookies fassent ça, sur ce que j'entends de ceux qu'on connaît,
29:50 de TNT, de ESPN et des autres, le 8 a les faveurs, quand même.
29:55 J'imagine, et vous avez raison Jacques, bien sûr, qu'on écoute les mêmes personnes,
30:00 mais tout le monde est en train de surfer cette vague Audrey, qui est fantastique, évidemment.
30:03 Jimmy Butler, on se demande qui va pouvoir arrêter Jimmy Butler.
30:06 Il n'est pas seul, Jimmy Butler, je sais bien, dans cette équipe du 8,
30:09 mais est-ce qu'un homme, pas seul, mais leader fort, fort, fort, très affiché,
30:14 peut porter une franchise comme Miami au-delà d'une équipe comme New York ?
30:17 Oui, je pense qu'il en a la capacité, surtout sur le niveau de performance qu'il a aujourd'hui.
30:21 On sait que c'est compliqué de rester à ce niveau-là sur toute une série et toutes les rencontres,
30:27 mais ça reste un joueur qui est tellement complet.
30:29 En fait, il a son scoring, mais il apporte aussi d'autres choses,
30:32 et je pense qu'il rassure complètement sa franchise quand il est à ce niveau de jeu.
30:35 On l'a vu, il a le tempérament, il a le caractère.
30:38 C'est une équipe qui a démontré de grosses valeurs de combat.
30:42 Après, comme on le dit, personne ne les attendait là,
30:45 donc quelque part, ils n'ont rien à perdre aujourd'hui.
30:47 Il y a une opportunité à saisir, et je pense que Jimmy Butler peut vraiment porter cette équipe
30:53 pour aller au bout de cette série.
30:56 Bizarrement, il n'a pas besoin de plus de motivation que ça, Jimmy Butler,
30:59 mais je pense que de retrouver Tom Thibodeau sur le banc d'en face, ça va aussi un peu le titiller.
31:03 Ils ont quand même fait des choses ensemble.
31:05 Qu'est-ce que je veux dire ?
31:07 Oui, Audrey, mais ils ont besoin de ces points, parce qu'ils ont perdu,
31:13 vous l'avez signalé, les points de Hiro, ils ont perdu les points de Ladipo.
31:17 Bam, on verra.
31:19 Ils ont fondamentalement besoin de ces points.
31:24 L'équation est compliquée parce qu'il a un niveau exceptionnel,
31:27 mais ils ont moins de solutions de rechange aux hits,
31:31 même si Donald Robinson, même si Caleb Martin, même si le petit Gabe Vinson, tout ce que tu veux,
31:37 ils ont quand même besoin d'un volume de points de Jimmy Butler plus régulier
31:41 que quand il y a Hiro et Ola Dipo.
31:44 Alors ça, ça m'intéresse, parce que pendant qu'on vit ces images en direct du Madison Square Garden,
31:47 où vous faites vivre l'événement au plus proche, évidemment, de cette salle new-yorkaise
31:52 où la température est en train de monter progressivement,
31:54 la question, Audrey, qu'on se pose tous, c'est de savoir, Jimmy Butler, je vous répète,
31:57 il a mis 98 points sur ses deux derniers matchs, il a fait une contention, c'est un délire absolu.
32:01 Depuis deux matchs, c'était Michael Jordan, Jimmy Butler.
32:04 Est-ce qu'il peut maintenir ce niveau d'excellence, vraiment, sur une série ?
32:08 Non, pas tous les soirs, non, je ne pense pas.
32:11 On sait en plus que l'adresse, ça va, ça vient.
32:14 Là, on part sur une nouvelle série.
32:18 Il y a plein de facteurs qui font que ça, on ne peut pas le maîtriser totalement.
32:22 Aujourd'hui, il n'est pas programmé à être à ce niveau-là toute la série.
32:26 Il peut y avoir un trou d'air à un moment donné,
32:29 mais même s'il faut qu'il apporte un haut scoring ou du scoring,
32:34 je reste persuadée qu'il est capable aussi d'apporter d'autres choses
32:37 qui font qu'il emmène son équipe derrière lui.
32:40 Son leadership, évidemment, qui est plus que démontré depuis le temps.
32:42 Fred, parles-nous un peu, effectif et match-up, qui, aujourd'hui, côté New York,
32:47 pour s'opposer, a priori, à Jimmy Butler ?
32:49 On a envie de dire que l'option numéro 1, si vraiment c'est du 1 contre 1,
32:53 après peut-être que Tom Thibodeau va mettre en place des prises à deux
32:56 pour l'obliger à lâcher le ballon, sur des jeux à deux,
32:59 l'obliger tout de suite à lâcher le ballon et à obliger des Max Truths
33:03 ou des Adébayo à en faire un petit peu plus.
33:06 Si c'est sur du 1 contre 1, Josh Hart sera l'option numéro 1.
33:10 Il est venu pour ça, Josh Hart, pour être un énorme défenseur sur les bases arrières.
33:15 On va voir si Quentin Grimes, également, peut, sur des séquences,
33:17 s'occuper de Jimmy Butler.
33:20 Mais l'option qui semble la plus évidente, en tout cas, c'est celle de Josh Hart.
33:24 C'est pas un homme tout seul qui va pouvoir contrôler le monstre.
33:30 On verra, il va falloir y passer du vent.
33:32 Pourquoi pas faire des zones ? Pourquoi pas faire des boîtes ?
33:34 Vous me direz, le 8, ils connaissent bien, c'est de leur qualité défensive.
33:38 Ils ont des joueurs, il y a McBride, il y a Evan sur le profil aussi.
33:42 Tu peux l'envoyer sur des boîtes.
33:44 Ce serait marrant de le voir ressortir d'ailleurs.
33:45 Il faut envoyer, il faut varier, je crois.
33:49 Ça va dépendre de la zone où va jouer Butler.
33:51 Si il joue très près du sac poste bas, pourquoi pas mettre un Hobbitopin sur lui,
33:55 qui sera plus grand, plus athlétique.
33:57 Oui, bien sûr, c'est ce qu'ils ont bien fait contre Milwaukee,
34:00 avec Bam Adebayo du high poste qui jouait la relation poste haut-poste bas.
34:05 Après, Jimmy Butler, en ce moment, il met même dedans à 3 points.
34:09 44% à 3 points.
34:11 Et combien il est en saison régulière ?
34:13 En saison régulière, c'était 35%.
34:15 Il est clairement monté dans les tours très sérieusement.
34:19 Bon, sachez qu'on est dans l'hymne national pour l'instant aux Gardens,
34:22 ce qui veut dire qu'on a encore clairement le temps avant que ce match se lance.
34:24 Je voulais juste vous rappeler, et peut-être cultiver, éduquer un petit peu
34:27 les plus jeunes d'entre vous devant votre télé.
34:29 New York, Miami, c'est de l'histoire, évidemment,
34:32 et de l'histoire épicée, j'ai envie de dire, Audrey.
34:35 Tu te rappelles la photo de ces images ?
34:37 Il a fait un looping comme on a vu au Real Madrid.
34:39 Il a bousseré, c'est un dessin-coeur.
34:42 C'est vrai qu'on a vu le même move cette semaine.
34:44 Ce tir, ce tir.
34:46 On en a vu, et même dans l'histoire plus récente,
34:49 Carmelo Anthony contre LeBron James et compagnie, il y a toujours eu un peu.
34:52 Même cette saison, Rémi, Julius Randle a été un bourreau pour le hit,
34:57 notamment dans les matchs en Floride, il a sorti quelques grosses performances,
35:01 Julius Randle.
35:03 Même cette saison, les matchs ont été très tenus entre ces deux équipes.
35:06 Très sympa, en tout cas, cette affiche qui s'annonce entre Miami et New York.
35:11 Vous savez quoi, vu que le match ne va pas tarder à se lancer,
35:13 on va tourner une petite page de pub, elle sera très courte, vous ne bougez pas.
35:15 On s'écarte une minute du Garden et on revient très vite en live pour lancer notre première affiche.
35:20 pour lancer notre première affiche.
35:21 *musique*

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