1er mai: Découvrez les images d'une banque attaquée place de la Nation à Paris en direct sur CNews par des black-blocs qui cassent les vitres et le distributeur de billets

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1er mai: Découvrez les images d'une banque attaquée place de la Nation à Paris en direct sur CNews par des black-blocs qui cassent les vitres et le distributeur de billets

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00:00 au Conseil constitutionnel, au fond, pas grand monde n'y croit.
00:04 C'est-à-dire que ça reste quand même très compliqué d'envisager
00:07 que ça puisse déboucher sur quelque chose de probant.
00:09 Vous avez vu que FO Conditionnées s'est venue à Matignon
00:13 à des garanties sur la méthode.
00:15 La méthode, si c'est celle qui a fait ses preuves pour les retraites,
00:21 ce n'est pas la bonne méthode.
00:22 Mais ensuite, quelle autre méthode pourrait employer Elisabeth Borne ?
00:28 Ça, pour l'instant, on ne nous l'a pas montré, on ne nous en a pas parlé.
00:33 Il est à se poser aussi comme question, il se pose aussi comme question,
00:37 l'ambiance que mettront les députés de la NUPES dans l'hémicycle.
00:44 Parce que là, il y a eu une vacance parlementaire depuis le 17 avril.
00:49 On verra si ils ont pris des forces durant leurs vacances
00:53 pour continuer dans leur volonté de zadiser l'Assemblée
00:58 selon leurs propres termes.
00:59 C'est tout cela, si vous voulez, qui crée une instabilité
01:03 et une impossibilité de devoir, même à moyen terme,
01:08 le chemin politique est aussi clair que l'avenue Philippe-Auguste
01:12 cet après-midi.
01:13 Regardez ces images, on vous parlait de l'arrivée Place de la Nation.
01:16 Là, il semblerait qu'on soit sur la Place de la Nation.
01:20 J'ai bien évalué les lieux.
01:21 Regardez cette dégradation en direct d'une agence bancaire
01:25 dont les vitres sont brisées, le distributeur qui a pourtant été protégé,
01:31 lui aussi dégradé, des tags qui ont été inscrits.
01:33 Une de nos équipes est là, elle peut peut-être nous raconter,
01:35 nous commenter ces images.
01:37 Oui, nous venons d'arriver Place de la Nation.
01:42 Vous l'avez dit, des individus, des éléments radicaux
01:45 cassent et taguent cette banque qui se trouve sur nos images,
01:50 comme vous pouvez le voir.
01:52 Et donc, voilà, c'est des individus qui utilisent des parapluies
01:54 pour qu'on ne les reconnaisse pas.
01:56 Il y a même un individu non masqué, non cagoulé,
01:59 qui vient de taper notre caméra et qui vient de pousser
02:03 violemment nos agents de sécurité pour qu'on ne filme pas ces scènes,
02:07 ces dégradations, ces violences.
02:09 Donc voilà, vous le voyez sur nos images, une nouvelle banque taguée
02:12 et les vitres brisées par ces éléments radicaux.
02:16 Et puis sur notre droite, il y a une artère, une rue adjacente
02:19 l'avenue Philippe Auguste, qui est protégée par un cortège
02:22 de force de l'ordre pour que ces mêmes éléments radicaux
02:25 n'intègrent pas ces rues adjacentes.
02:28 Merci beaucoup.
02:29 Ça a l'air de rien, mais ça coûte extrêmement cher
02:32 de réparer toutes ces vitrines.
02:33 On n'en parle pas aussi, mais ça, c'est à l'achat.
02:35 Bon, il y a les compagnies d'assurance, mais enfin,
02:38 ça reste quand même un coût pour la société qui est faramineux
02:44 pour l'inconséquence de ces individus.
02:47 Petit commentaire peut-être, Shannon ?
02:48 Oui, parce que moi, très sincèrement, je vous le dis,
02:50 j'ai mal au cœur au moment où je vous parle,
02:52 mais j'ai vraiment mal au cœur.
02:53 Vraiment, je n'arrive pas à cacher ma peine,
02:55 je n'arrive pas à cacher ma haine.
02:57 Je suis désolée, mais c'est affligeant.
03:00 C'est affligeant, très sincèrement.
03:01 Et je ne vous parle même pas de l'image qu'on renvoie
03:03 au reste du monde, mais regardez, ce sont des symboles.
03:06 C'est des biens publics, c'est des symboles du capitalisme
03:09 qui sont attaqués.
03:09 Mais quel est le message derrière tout ça ?
03:11 Mais jusqu'à quand ?
03:13 Jusqu'à quand est-ce qu'on va continuer comme ça ?
03:14 Et c'est normal.
03:15 Et moi, ce qui me choque derrière tout ça,
03:17 c'est parce qu'on regarde les images, on les commente.
03:20 Mais si on regarde bien de près, vous avez des gens qui,
03:22 en toute tranquillité, filment les scènes,
03:24 regardent avec un casque de vélo sur la tête.
03:26 Non mais c'est une blague, là.
03:27 - Oui, c'est ça qui est frappant, c'est qu'aujourd'hui,
03:28 il y a beaucoup de dividus qui sont équipés de casques.

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