SALON VIP (02/05)

  • l’année dernière
Claire Arnoux vous propose un magazine d’information et de divertissement en compagnie d’un invité (sportif ou people) qui revient sur sa relation au sport et réagit à l’actualité.

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Transcription
00:00 [Musique]
00:12 Bonsoir à tous, ravie de vous retrouver sur BeinSport dans votre salon VIP
00:16 et je suis très heureuse ce soir de vous parler du film "La gravité" qui sort demain au cinéma.
00:22 Pour ça, je reçois trois des acteurs de ce film,
00:26 Olivier Rosenberg, Avia Herzi et Max Gomis qui sont les invités de salon VIP.
00:31 Bonsoir Olivier, bonsoir Avia et bonsoir Max.
00:35 Je vous laisse vous installer tranquillement et Clara Pabon arrive sur le plateau de salon VIP.
00:41 Trop contente de parler de ce film qu'on a pu voir avec Clara avant tout le monde et qu'on a adoré.
00:47 On va en parler ensemble, on demandera à Max sa petite préparation
00:52 parce que c'est le seul qui court beaucoup quand même dans ce film.
00:58 Mais avant, pour nos téléspectateurs, qu'est-ce que ça donne nos trois acteurs en plateau en quelques dates ?
01:05 Et c'est avec Clara, la rétro.
01:07 [Musique]
01:11 Les dates des acteurs de "La gravité". Pour pimenter un peu vos dates de naissance,
01:14 je vais en mettre trois, il y a 80, il y a 87 et il y a 89.
01:19 Alors, si vous voulez écouter un son, dites-moi qui chante et quelle année.
01:22 Et la sortie, évidemment, entre 80, 87 et 89. Premier son.
01:26 [Musique]
01:30 Alors, c'est qui, vous ne trouvez pas ? Olivier ?
01:33 Non mais dites-moi, vous écoutez la chanson déjà ?
01:36 Moi, je n'en sais rien.
01:37 C'est elle-même qui chante ?
01:38 Si, en fait, je ne me rappelle juste plus.
01:40 Alain Souchon, 80.
01:44 Non, c'était 1989.
01:46 Donc, c'est pour Max, c'est ça ?
01:48 Oui.
01:49 Facile.
01:50 J'ai oublié, oui.
01:51 Qu'est-ce qu'on a eu de plus en plus ?
01:53 J'ai oublié, j'ai oublié.
01:54 C'est qui ? Quel est ce groupe que vous reconnaissez ?
01:56 Abba ?
01:57 Oui, Abba, bravo.
01:58 Là, c'est 80.
01:59 Et c'est quelle année ? 80.
02:00 80, c'est 80.
02:01 Moi, j'ai pensé à Mireille Mathieu.
02:03 Oui, elle a fait une version, c'est vrai.
02:05 Accroché, oui.
02:06 Troisième. Donc là, c'est votre année.
02:09 Alors, là, c'est hyper dur.
02:11 Ah, je sais, je sais.
02:13 C'est 87.
02:16 C'est 87, bravo.
02:18 C'est l'année de Abzia et c'est Blous-Rotoir, Un soir de pluie.
02:21 Non, mais c'est pire.
02:22 L'année de Blous-Rotoir.
02:23 L'année de musique, un peu.
02:24 Pas terrible, mais bon, on s'est amusés quand même.
02:26 Mais nul de fou.
02:27 Qui de vous trois a eu le permis à ses 18 ans ?
02:30 Ah, les trois, bravo.
02:32 L'année des 18 ans.
02:33 Oui, moi, j'ai eu à deux jours même.
02:35 Je crois, 18 ans et deux jours.
02:36 C'est vrai ?
02:37 Oui, vraiment.
02:38 Tout le monde a ses points ?
02:39 Euh…
02:40 Max est hésitant.
02:42 Ah, il me reste un petit peu.
02:44 À mon avis, j'ai dû en perdre deux, trois.
02:46 Abzia ?
02:47 Moi, j'ai tout, oui.
02:48 Et je ne conduis pas trop aussi.
02:49 Parfait.
02:50 Il y a des années pour vos premiers rôles significatifs.
02:53 Max, c'est 2008.
02:54 R.I.S.
02:55 Polyscientifique.
02:56 Olivier, c'est 2003 dans Le Chœur des Hommes.
02:59 Abzia, en 2007, on vous découvre dans La graine et le mulet.
03:03 Et vous êtes aujourd'hui avec nous pour le film La gravité de Cédric Hiddeau,
03:06 qui sort demain sur grand écran.
03:08 Dans la seconde partie de cette émission, on va parler évidemment de ce film.
03:11 Mais tout d'abord, parlons de sport ensemble.
03:14 Je voulais vous montrer quelques images.
03:16 La première image, c'est celle de la marche des champions qui se déroule en ce moment.
03:19 C'est la sixième édition.
03:20 Huit aventuriers sont partis de Paris jeudi.
03:23 Direction Nantes, sans eau, sans nourriture, sans argent.
03:27 Et au départ, parmi les marcheurs, on retrouve des guests comme Stomy Bugsy ou Mehdi Zidan,
03:32 qui ont relevé le défi de Yannis Sport.
03:34 Ils sont encouragés sur les réseaux sociaux par plein de personnalités, dont Zizou.
03:40 Pour vos associations respectives, pour le projet, pour ce que vous avez mis en œuvre,
03:45 je sais que c'est compliqué parfois, mais je vous envoie tout mon soutien.
03:50 Beaucoup de courage. Il ne faut pas lâcher.
03:53 En tous les cas, je vous souhaite plein de belles choses et d'aller jusqu'au bout.
03:58 Allez, on pense à vous.
04:00 Bonne continuation pour aller jusqu'à Nantes.
04:04 En tous les cas, on vous souhaite de bien se sentir.
04:07 En tous les cas, on vous suit, on vous soutient à fond.
04:10 À tous. Allez, à bientôt, je vous embrasse.
04:13 C'était Zizou. Bye bye.
04:15 On ne loupe pas une occasion de passer Zidane quand on le peut.
04:19 Là, il avait une grosse énergie.
04:21 Il était très chaud.
04:24 Il était au maximum.
04:26 Parce qu'il y avait son frère, c'est ça ?
04:28 Son neveu.
04:29 Ah, le neveu, ok.
04:30 Belle initiative maintenant, celle de la marque Mattel,
04:33 qui a créé la première Barbie à teinte de Trisomie 21.
04:36 Et une française en est l'une des ambassadrices.
04:39 Elle s'appelle Eleonore Lalou.
04:41 Ce modèle vient compléter les 174 autres de la marque depuis 2019.
04:47 Il existe une Barbie en fauteuil roulant, une des plus vendues.
04:51 Un Ken à teinte de vitiligo ou encore une Barbie avec une prothèse auditive.
04:55 Tous ces modèles sont là pour promouvoir l'inclusion auprès des plus jeunes.
05:00 Et puis, Carnet Rose, ça va vous plaire.
05:02 Avia, Serena Williams a dévoilé un joli ventre rebondi à l'occasion du Met Gala.
05:07 La championne de tennis attend son deuxième enfant.
05:09 On valide totalement le look, j'imagine, de Serena Williams.
05:13 On a l'impression qu'avec vous, on valide tout de Serena Williams.
05:16 On espère que Djanis sera le parrain.
05:18 Ah oui, Djanis, je ne sais pas s'il est au courant de cette nouvelle.
05:21 De cette info ? Je pense que oui.
05:23 A mon avis, Djanis Bouziani qui est le plus grand fan qui puisse exister de Serena Williams.
05:30 Le sport, j'adore.
05:32 - On est nuls en musique. - Alors, pour commencer...
05:38 Oui, je sais que vous ne remettez pas de la défaite en musique.
05:40 - Non, c'est terrible. - Mais Olivier, il y aura d'autres moments pour se rattraper dans cette émission.
05:45 D'autres petits défis.
05:47 Mais pour le moment, parlons de votre partie avec du sport.
05:50 Est-ce que vous faites du sport régulièrement ?
05:52 Moi, là, en ce moment, je ne fais vraiment quasiment pas de sport.
05:56 En fait, je viens d'avoir un enfant, donc en vrai, je ne fais zéro sport en ce moment.
05:59 - Vous essayez de dormir ? - Un petit peu, c'est vrai.
06:02 Moi, je fais vraiment du sport, c'est vrai.
06:04 - Abdia ? - Je cours, j'aime bien courir.
06:07 Et un peu de musculation quand je peux, oui.
06:10 - Et Max ? - Moi, pareil aussi, un peu de musculation.
06:12 Je suis inscrit dans une salle de sport et de temps en temps, des fives avec des amis.
06:17 Quels sont les sports que vous avez pratiqués enfant ?
06:20 Moi, j'ai fait du judo.
06:22 Après, un peu plus tard, j'ai fait du jujitsu brésilien.
06:25 - Avec bon niveau à chaque fois ? - Oui.
06:27 J'ai fait 3 ans et demi, mais c'était pas mal, j'étais pas mal douée, j'avoue.
06:33 Judo, ouais, pas mal.
06:35 Après, j'ai joué au foot en loisir, de la boxe, des trucs comme ça.
06:40 - Abdia ? - Rien du tout, j'aimais pas le sport.
06:42 - Je crois que c'était... - Non, j'ai regardé.
06:46 Comment vous faisiez pour vous faire dispenser des cours de sport à l'école ?
06:49 J'allais chez le médecin et je jouais la comédie pour avoir...
06:53 - Déjà ? - Je reste avec le taux de fin.
06:56 - Je détestais ça. - C'était le début d'une grande carrière.
06:59 - Ta tête, elle est trop mignonne. - Trop mignonne.
07:01 - C'est incroyable. - Je détestais.
07:03 Elle faisait cette tête-là et le médecin disait "ouais, d'accord, tu iras pas le soir."
07:06 Mais je regrette quand même, parce qu'après, quand j'ai découvert le sport,
07:08 je me suis dit "ah, c'est dommage de pas avoir commencé avant."
07:11 - Max ? - Donc je le conseille pas.
07:12 - Vous avez pris beaucoup de foot ? - Moi, j'ai joué beaucoup au foot
07:15 jusqu'à à peu près mes 20 ans.
07:17 Et en parallèle, quand j'étais petit, je faisais du foot, du hand,
07:20 je me cherchais un peu, mais essentiellement du foot.
07:23 - Est-ce que vous avez déjà vu Olivier jouer au foot ?
07:26 - Quoi ? - Olivier jouer au foot ?
07:27 Je lui ai déjà fait des jongles. - Non, non.
07:29 - C'était pas ouf. - Non, mais il vous a pas raconté
07:32 la reprise de volée face à une équipe de pompiers ?
07:36 - Non, je l'ai jamais raconté.
07:38 Mais c'est vrai que c'est le meilleur moment de ma vie, ce moment.
07:41 - Bah, faut nous le raconter. Décrivez-nous comment ça s'est passé.
07:43 - En fait, on était sur un terrain de foot et puis une équipe de pompiers
07:46 qui arrive pour faire un match contre nous.
07:48 Et ils étaient costauds, voilà, et puis moi, j'ai jamais été très brillant au football.
07:51 Et puis d'un coup, je sais pas ce qui se passe, il y a un corner,
07:54 la balle, elle arrive, mais vraiment comme dans un film,
07:56 je la reprends pied droit, elle part dans la lucarne,
07:58 j'y crois même pas que j'arrive à mettre ce but.
08:00 Je suis choqué. Honnêtement, des fois, j'y rêve encore le soir.
08:02 Et je me dis, "Putain, comment c'est possible que j'aie mis ce but de fou ?"
08:05 Et j'essaie de voir, il y a pas de ralenti, il y a rien dans la vie.
08:07 Et donc, il y a que dans mes souvenirs que ça restera, ce moment.
08:10 Voilà, mais c'était fou. - La foule était en délire ?
08:12 - Mais pas de foule.
08:14 - On va parler de la préparation que vous avez faite, Max, pour le film,
08:21 parce que vous courez énormément.
08:23 Est-ce qu'il y a un sport que vous aimeriez apprendre ou pratiquer
08:26 pour un rôle ou pour un film ?
08:28 - Franchement, c'est vrai que ces derniers temps,
08:31 moi, je regarde beaucoup le MMA.
08:33 C'est vrai que c'est un sport qui m'intéresse un peu.
08:38 Et pourquoi pas, dans un film, se préparer pour être un combattant de MMA,
08:45 pourquoi pas ? - Après, t'as le physique.
08:47 En vrai, t'as le physique. - Après, il y a du travail, quand même.
08:49 C'est pas juste une question de physique, mais c'est quelque chose qui m'intéressera.
08:53 - Et Afzia, faire du tennis pour interpréter une joueuse ?
08:55 - J'y arriverai jamais, je pense. Il faut des années.
08:58 Mais par contre, pour les rôles, j'aime bien me préparer physiquement.
09:03 C'est important d'être en forme.
09:05 Après, ça dépend des personnages, mais...
09:07 - Ça vous aide à vous concentrer sur le personnage ?
09:10 - Oui, oui, et même à être en forme et se sentir bien.
09:13 - Vous savez, Olivier, qu'on a en présence de nombreux fans de Marseille sur ce plateau ?
09:21 - Tant mieux. Je suis très content. Je sais, je sais, je sais que c'est des fans de Marseille.
09:24 - Il y en a deux à côté de vous, puis il y en a une en face aussi.
09:27 - C'est pour ça. Je vais rien dire. Moi, je suis pas fan de Marseille.
09:30 - Vous êtes fan de qui ?
09:31 - Moi, en foot, en vrai, je suis fan de personne.
09:34 - Vous vous fâchez avec personne ?
09:36 - Non, mais après, attention...
09:37 - Un peu comme dans votre rôle.
09:38 - OK, OK, c'est vrai. C'est vrai.
09:40 Après, c'est vrai que s'il y a un match Paris-Marseille, je suis obligé de le dire, tant pis si ça fâche.
09:44 Je serai toujours pour Paris, quoi qu'il arrive.
09:46 Mais je peux pas dire que je suis fan de Paris.
09:48 Je les trouve en ce moment pas incroyables.
09:50 Bon, ça me fend pas le cœur plus que ça. C'est OK, quoi.
09:53 - En revanche, pour les fans de Marseille, c'est une belle saison, quand même.
09:57 - Nous vivons une belle saison.
09:58 - Ça, je sais.
09:59 - Franchement, ouais, saison assez différente de l'année dernière.
10:04 On a un nouveau style de jeu, mais ce qui est dommage, c'est que cette année, quand même,
10:07 ils sont pas passés loin du titre.
10:09 - C'est pas encore fini.
10:10 - C'est pas encore fini.
10:11 - On est à 5 points.
10:12 - Mais j'ai l'impression, quand même, qu'ils ont laissé filer des points importants.
10:16 - Non, mais Paris, ils vont pas être champions. C'est pas possible.
10:19 Non, ils vont être champions, Paris, c'est sûr.
10:21 Malgré tout, ils vont être champions.
10:22 - Il y a déjà eu plein d'histoires.
10:24 - Il y a eu des surprises, hein.
10:25 - Désolé, Max.
10:26 - On est jamais à l'abri.
10:27 Max, je crois que c'est un sacré souvenir, le titre de champion de France 2010 de Marseille.
10:31 - Ouais, bah oui.
10:32 En tant que supporter de l'OM, en vrai, c'est le seul vrai titre de champion de France que j'ai vécu
10:38 en tant que vrai supporter de l'Olympique de Marseille.
10:41 Donc, ouais, 2010, c'était la folie.
10:43 Donc, j'aimerais bien pouvoir revivre ça un jour.
10:46 Cette année, pourquoi pas ?
10:47 Même si je suis un peu...
10:48 Voilà, je suis quand même optimiste, mais je me dis, ça risque d'être compliqué.
10:51 Il reste 15 points à distribuer, 5 points de retard sur le PSG.
10:55 Ça risque d'être un peu compliqué, mais bon, on y croit quand même.
10:59 - Désolé, mais là...
11:00 - Vous êtes déjà allé au vélodrome, Olivier ?
11:02 - Non, franchement, j'adorais l'ovéodrome.
11:04 Honnêtement, après, je n'y suis jamais allé.
11:06 Même au Parc des Princes, j'y suis allé 4 fois.
11:08 - C'est une meilleure ambiance, Olivier.
11:09 - Non, mais moi, je te dis, je vais très peu dans les stades, en vrai.
11:12 J'adore l'ambiance, mais je n'y vais jamais, quasiment.
11:15 - Pour vous, qui devrait avoir le ballon d'or cette année ?
11:20 Est-ce que c'est Lionel Messi parce qu'il est champion du monde ou un autre ?
11:23 - Non, mais c'est sûr que non !
11:24 - Pas du tout !
11:25 Moi, je ne veux pas que Messi ait le ballon d'or cette année.
11:27 - En fait, Messi, ce qui est un peu chiant quand tu regardes le foot,
11:30 c'est que tous les ans, quoi qu'il arrive, c'est lui qui aura le ballon d'or.
11:33 Et là, cette année, il y a quand même Alain qui fait une belle saison.
11:36 - Benzema, qui fait mal.
11:38 - Benzema aussi, Vinicius Junior, quand même, il y a du monde.
11:41 Il y a beaucoup de prétendants, mais après...
11:43 - Ce n'est pas la Coupe du monde qui va déterminer les choses.
11:45 - La Ligue des Champions aussi, quand même, ça va avoir son importance, je pense.
11:48 - Oui, normalement, ça doit rentrer en ligne de compte.
11:49 - Oui, ça va être les deux, mais c'est vrai que Messi, il fait une Coupe du monde,
11:51 il est champion du monde.
11:53 Moi, honnêtement, la finale, c'est un cauchemar encore pour moi.
11:56 Donc, en vrai, je ne veux pas du tout qu'il ait le ballon d'or.
11:58 Tout honnêteté, tu vois, genre, il n'y a zéro stress.
12:01 Pour moi, c'est un calvaire de me dire d'y penser à cette finale.
12:03 Je n'ai pas regardé un match de foot depuis.
12:05 C'est genre, vraiment, pour moi, le moment où on revient 2-2,
12:08 il repasse devant dans les prolongations, il revient 3-3.
12:11 - Ah, c'est trop !
12:12 - C'est un cauchemar pour moi.
12:13 Je ne peux pas faire pire comme anecdote de ma vie.
12:15 - C'était un beau match, quand même.
12:17 - C'est un sublimatch, mais c'est horrible que ça se termine comme ça.
12:19 - Ça vous a plu, la Coupe du monde, en plein hiver ?
12:21 - Oui, c'était cool, au final.
12:23 - Moi, j'étais contre à la base, mais j'ai adoré.
12:25 - Franchement, au final, c'était bien.
12:26 - L'hiver est passé tellement vite avec la Coupe du monde.
12:28 - Oui, oui.
12:29 Il est dur, le dernier match.
12:30 On aurait pu être champion du monde, là, maintenant, sur ce plateau,
12:32 en train de rigoler.
12:33 - On rigolera quand même, vous savez.
12:35 - Je sais, je sais, j'ai eu du mal à refaire le sourire.
12:38 - Abzia, vous partagez votre vie avec un sportif professionnel.
12:41 C'est un rythme différent.
12:43 Est-ce que vous vous êtes mis au cyclisme ?
12:45 - Alors, j'ai essayé, mais c'est trop difficile.
12:49 Donc, j'en fais de temps en temps à la maison.
12:51 Mais sinon, c'est trop dur.
12:53 On ne dirait pas comme ça.
12:54 Moi, avant, quand je regardais le vélo,
12:56 franchement, je me disais que c'était facile.
12:58 - 200-230 bornes tous les jours,
12:59 quand ils font le Tour de France,
13:00 imaginez, c'est un cauchemar.
13:01 - C'est des gros entraînements.
13:02 - Est-ce que ça pourrait vous donner envie d'écrire un film
13:06 sur ce milieu du cyclisme ?
13:08 - Oui, parce que je vois à son quotidien,
13:13 il y a plein de choses qui m'inspirent.
13:15 Donc, je pense qu'un jour, je pourrais le faire, oui.
13:19 - Qui mériterait, selon vous, un biopic au ciné
13:23 ou sur une plateforme ?
13:24 - Sportif ? - Oui.
13:25 - Moi, je m'y connais bien en sport.
13:26 À mon avis, déjà, Lance Armstrong, je pense qu'il en mérite un.
13:28 Honnêtement, il avait un des cancers à tout.
13:30 C'était quand même fou, il a triché.
13:31 C'est un vrai truc de cinéma.
13:32 Il a triché, il a fait des trucs,
13:34 il en a gagné énormément.
13:36 Il avait toute une équipe autour de lui.
13:38 Franchement, Lance Armstrong, en vrai,
13:40 en autobiographie que j'ai lue, il n'y a rien de mieux.
13:42 En vrai, je pense qu'ils l'ont fait sur les Sirs Williams,
13:45 donc ça, c'était quand même pas mal.
13:47 - Zidane, quand même.
13:49 - Oui, ce n'est pas sorti encore sur lui.
13:50 - Zidane ?
13:51 - Il doit tout refuser.
13:52 - Il est tellement discret, peut-être, dans sa vie.
13:54 - Ce serait cool.
13:55 - Zidane, c'est cool, mais en fait, c'est juste qu'au niveau...
13:57 Après, il y a certainement une part cachée,
13:58 parce que je parlais, quand tu fais des biopics,
13:59 il faut qu'il y ait une part cachée, une morale et tout.
14:01 Donc, pour Zidane, tu as l'impression que tout a été très...
14:03 - C'est ça.
14:04 - C'est vraiment une star absolue.
14:05 - Je pense que tu vas avoir des belles surprises.
14:07 - Non, je ne sais pas.
14:09 Si tu réfléchis comme ça, à mon avis, dans les sports,
14:11 moi, mon sportif préféré, c'est Federer,
14:13 mais franchement, je ne vois pas pourquoi il aurait un biopic.
14:15 - C'est qui ?
14:16 - Federer.
14:17 - Ah, oui.
14:18 - Je ne vois pas pourquoi il aurait un biopic sur lui.
14:19 Parce que j'ai l'impression que c'est pareil.
14:20 C'est comme Zidane, les mecs,
14:21 il a pris une raquette dans les mains,
14:22 c'est devenu un dieu.
14:23 - Oui, mais il a montré quand même, sur la fin de sa carrière,
14:26 qu'il pleurait, qu'il y avait quand même vachement d'émotion.
14:28 - Oui, mais...
14:29 - Ça m'a éteint.
14:30 - Non, mais tu vois, ils ont de l'émotion et tout,
14:32 mais je ne sais pas, il faut que ce soit très...
14:34 À mon avis, il faut qu'il y ait vraiment de la dramaturgie
14:37 pour faire des biopics.
14:38 - Benoit Paire.
14:39 - Benoit Paire, oui, mais c'est que dramatique.
14:40 Donc là, c'est différent.
14:41 Là, ça devient d'un coup, tu vois.
14:43 Ben non, mais Benoit Paire, c'est vrai.
14:44 - Il est chaud, Benoit Paire.
14:45 - Il est chaud, Benoit Paire.
14:46 - Il n'a rien à raconter.
14:47 Enfin, il n'a pas raconté des victoires.
14:48 OK, j'arrête.
14:49 - Est-ce qu'il y a un sportif ou une sportive
14:51 que vous rêveriez de rencontrer ?
14:53 - Serena.
14:54 - Serena, oui, vraiment.
14:55 - Oui, Serena.
14:56 - Ben Serena, oui.
14:57 - Serena, après, elle est au-delà du sport, hein.
14:59 - Ouais.
15:00 - Max ?
15:02 - Je rêverais de rencontrer...
15:03 - Ouais.
15:04 - Franchement, moi, pareil, ça va être Zidane.
15:06 Zidane, c'est quand même...
15:07 Il représente beaucoup pour ma génération.
15:09 - Franchement, là, il était quasiment sur le plateau.
15:11 - Ouais, c'est vrai.
15:12 - On n'était vraiment pas loin de lui.
15:13 - Après, j'ai fait une énergie de ouf comme ça.
15:14 - T'es con, mon gars, j'ai une anecdote sur Zidane.
15:16 - Une gobe toute toute.
15:17 - C'est ce qui le caractérise.
15:18 - C'était l'année dernière, j'étais invité au Grand Prix de Monaco.
15:22 - La classe ?
15:24 - D'ailleurs, je crois que je vous ai croisés les deux.
15:25 - Oui.
15:26 - J'étais avec Jonathan.
15:27 Je vous ai croisés les deux.
15:28 Et on est au Grand Prix, on est invité par Alpine.
15:30 Et Alpine nous dit, en gros,
15:31 "Voilà, on vous réserve une surprise demain."
15:33 Donc le dimanche, le jour du Grand Prix.
15:34 Tout ça, on ne sait pas ce que c'est trop, cette surprise.
15:36 Et on comprend par quelqu'un qu'en gros, on nous dit,
15:40 "Tu vas voir la surprise, c'est un déjeuner."
15:42 On arrive, il y a une table de huit.
15:45 Et on s'assoit avec Jonathan, avec qui on est.
15:48 Et il y a d'ailleurs Florent Manaudou, Squeezie, tout ça.
15:51 Et on attend.
15:52 Et d'un coup, on se tourne.
15:53 On voit Zidane arriver avec deux de ses fils, sa femme.
15:56 Franchement, on a fait une tête.
15:58 On a fait, "Zidane, c'est chaud."
16:02 Et donc Zidane, il vient.
16:03 On lui dit bonjour.
16:04 Il s'assoit vraiment, genre là, par rapport à nous.
16:06 On ne sait pas quoi lui dire.
16:08 C'est-à-dire que tu n'as rien à dire à Zidane.
16:10 En fait, à part lui dire "Bravo, merci",
16:12 en fait, tu n'as rien à sortir.
16:14 Tu n'oses même pas lui dire, "Ah ouais, ok, tu veux manger ça,
16:16 tu veux boire ça."
16:17 Rien.
16:18 Donc tu te retrouves comme ça, et juste tu regardes,
16:19 et tu es là, et tu dis, "Ouais."
16:20 Et tu souris, c'est tout.
16:22 - Il est timide, en fait.
16:23 - Mais archi timide.
16:24 Tu ne lui demandes même pas de photo.
16:25 Tout le monde fait des photos avec lui.
16:26 Tu essaies tellement de faire comme si c'était normal
16:29 pour être dans quelque chose un peu, genre, cool,
16:31 qu'en fait, rien n'est cool.
16:33 Tu fais que de le regarder et de dire...
16:34 - Quel repas.
16:35 - Voilà, et c'est tout.
16:36 - Alors, il est impressionnant, en vrai ?
16:37 - Franchement, il est trop impressionnant.
16:38 En fait, c'est quelqu'un d'autre qui est trop impressionnant, en vrai.
16:41 - Alors que Max, il aurait eu mille questions à lui poser.
16:43 - Ah ouais, mais complètement.
16:45 Pas que pour moi, même, pour mes amis et tout.
16:47 - Mais c'est vrai que c'est déstabilisant
16:49 contre la personne en face.
16:50 - C'est trop compliqué.
16:51 - Si tu veux lui dire, à part moi,
16:52 tu peux que lui dire "merci et bravo",
16:54 que tu vas lui dire...
16:55 - Je l'aime beaucoup.
16:56 - "Zidane, merci."
16:57 Tout le monde lui dit "merci."
16:59 - Allez, le moment du zapping sur BeinSport.
17:01 Cette semaine, on a vu la fin du premier tour,
17:04 des playoffs en NBA,
17:05 dénouement de la Coupe de France
17:07 et puis toujours du tennis féminin sur Terre battue.
17:10 Le zap de Marie Fatou Gay.
17:12 - Le jeu direct sur Morata,
17:16 Gaysé le contrôle, Griezmann...
17:17 Et passe c'est l'ouffrande !
17:18 Pour Morata, quelle démonstration,
17:20 quelle masterclass, quel récital !
17:22 Quelle équipe, quel jeu, Antoine Griezmann,
17:24 passeur décisif !
17:26 - Il est important d'aimer ses joueurs.
17:28 Le sentiment d'amour,
17:29 c'est pas uniquement tourner vers sa chérie.
17:32 L'amour, c'est vers les joueurs que l'on entraîne.
17:35 À partir du moment où ils se comportent
17:37 comme des footballeurs professionnels exemplaires,
17:40 je les admire.
17:41 - On voit les Lakers savourer,
17:42 on voit que le Brand James est rentré au vestiaire
17:45 avant même la fin de cette rencontre,
17:47 il restait quelques secondes.
17:49 Les Lakers l'ont fait, Chris.
17:50 Cette équipe condamnée, hors des playoffs,
17:53 détruite, déconstruite, tout ce qu'on voulait,
17:56 il faut deuxième tour de play.
17:57 - André, c'est le Martino !
18:04 - Passage à Chartek, il va prendre la faute.
18:12 Il est prêté pour un rendu,
18:14 et attention, c'est la cheville qui a tourné pour Timmy Butler.
18:17 Là, c'est le pied de Harte qui pousse.
18:19 - Qui tombe et qui le touche.
18:21 - Il fait un peu comme un tacle en foot.
18:23 - Et Toulouse gagne la 106ème Coupe de France
18:28 sur le score de 5-1 face à Nantes.
18:30 Il y avait 4-0 à la pause.
18:32 - Il est dans l'histoire de la NBA,
18:34 vous savez mon avis là-dessus.
18:36 Il a changé le jeu.
18:37 Il n'y en a pas beaucoup.
18:38 Il n'y en a pas beaucoup des joueurs
18:40 dans l'histoire de la NBA.
18:42 Alors on ne va pas...
18:43 Moi, je ne vais pas rentrer dans le débat,
18:44 Meilleur Meurtre ou quoi.
18:45 Je vais vous dire où vous le mettez au général.
18:49 - Le 5 à 7 de Clara.
19:13 - Le 5 à 7, j'y réussis, je donne des conseils aux autres.
19:16 Qu'est-ce que vous pourriez dire à des jeunes de banlieue
19:18 qui ont envie d'être artistes ?
19:20 - D'y croire.
19:21 - D'y croire, de ne rien lâcher, d'être productif,
19:24 travailler.
19:25 - Travailler, oui. Travailler toujours.
19:27 Dans les moments où on pense ne jamais y arriver,
19:30 qu'est-ce que vous avez fait, vous,
19:32 pour ne rien lâcher ?
19:34 - Prier.
19:35 - Prier ?
19:36 - Ouais, beaucoup.
19:37 - Abziah ?
19:38 - Pareil, prier.
19:39 - Moi, je n'ai jamais écouté les autres.
19:40 Parce que c'est les autres qui te mettent dans une spirale
19:42 où en gros on dit ça ne marchera pas.
19:43 Parce que toi, à la limite, à part les échecs,
19:45 tu ne les visualises pas autant que ça.
19:46 Et moi, je me suis dit, OK, il faut juste...
19:48 J'écoute pas, en fait.
19:49 J'écoute pas, c'est tout.
19:50 Tant pis, je crois en quelque chose et je veux garder ça.
19:52 - Très bien.
19:53 Est-ce que vous croyez en l'alignement des planètes,
19:55 hormis être dans ce film qui a eu vraiment
19:57 beaucoup de mal à sortir ?
19:58 Est-ce que vous avez réussi à avoir quelque chose
20:01 alors que le cas était désespéré ?
20:03 Mais pas forcément dans le cinéma,
20:04 dans la vie tout court.
20:05 - Moi, oui, personnellement, je crois à l'alignement des planètes.
20:09 Et aussi, en fait, il faut juste être en mesure de les interpeller.
20:12 - Et ça vous est arrivé une fois ?
20:13 - De ne pas croire en quelque chose et de l'obtenir au final ?
20:17 - Non, d'y croire et d'y arriver finalement.
20:20 - Bah ouais.
20:22 - Alors dans quoi ?
20:23 - Dans...
20:24 - Dans le cinéma, déjà ?
20:25 - Ouais, dans le cinéma, déjà, ouais.
20:26 Parce que franchement, voilà, à travers mon parcours,
20:28 c'était un peu compliqué.
20:29 Et au final, aujourd'hui, on est invité sur Beansport.
20:32 Pourquoi pas ?
20:33 - C'est ça, c'est fou !
20:35 - Ouais, franchement, c'est fou !
20:36 - C'est fou, Amzia !
20:37 - C'est venti.
20:38 - Pareil, ouais.
20:39 Moi, j'y crois et...
20:40 Et pareil, y a plein de choses qui se sont passées.
20:43 - Vous avez eu des signes ?
20:45 - Oui.
20:46 Mais même, en fait, dans le travail, surtout, ouais.
20:48 - Comme des rencontres ?
20:49 - Des rencontres, la réalisation que j'avais envie de faire depuis petite,
20:54 ces projets que j'ai écrits qui ont vu le jour, enfin...
20:58 - Le biscuit ?
21:01 - Un petit biscuit !
21:02 Ah bon, il se mange, regardez, j'ai tout à côté de moi.
21:04 Vous allez goûter tout ça tout à l'heure.
21:06 Tout ce qui est mauvais devient bon pour la santé grâce à cette startup créée par Jordan Lelouch.
21:12 Tout ce que vous avez à côté de moi est sain.
21:15 Ce sont des produits naturels, il n'y a aucun colorant artificiel dans tous ces produits.
21:19 Pas d'huile de palme, pas d'OGM, par exemple, là, regardez.
21:22 Le beurre de cacahuète, ce beurre de cacahuète a 99% de cacahuète et 1% de sel.
21:28 Et il n'y a que ça, là-dedans.
21:30 Vous avez de la pâte à tartiner, noisettes, sinon vous en avez à l'amande.
21:34 Vous avez regardé.
21:36 Les popcorns sucrés salés bio et collés.
21:38 - Ils ont été boulés ce week-end, il y en a encore.
21:40 - Ils sont très bons, j'ai mangé tout le paquet d'un coup, je ne sais pas si c'est une très bonne idée.
21:44 Mais si vous préférez le salé, il y a les tortillas aux épinards.
21:47 Et tous les produits sont super pour vos enfants respectifs s'ils ont l'âge.
21:51 La petite compote, c'est de la junk food bio.
21:55 - C'est pas mal.
21:56 - C'est bien ?
21:57 - C'est vraiment bien, pas mal.
21:58 - Allez, restez avec nous, la suite de Salon VIP, c'est dans un instant.
22:02 On va parler du film "La gravité" qui sort demain au cinéma.
22:06 Restez là.
22:07 C'est la suite de votre Salon VIP avec les acteurs du film "La gravité" qui sort demain au cinéma.
22:26 On a le plaisir d'être avec Afdia Herzi, Max Gomis et Olivier Rosenberg.
22:31 Et après, avant de parler du film, je vous propose la sélection "Livre du jour" à août de Quentin Moinet avec la préface de Benoît Paire.
22:39 Un livre dans lequel vous retrouvez toutes les histoires les plus dingues et les plus décalées,
22:43 comme Suzanne Langlaine qui a priori a posé un lapin à la reine d'Angleterre.
22:47 Voilà, pour plus d'histoire, c'est à l'intérieur.
22:50 Les "Heatles" de Nicolas Méchel, Lebron, Wade et Bosch, le trio qui a bouleversé la NBA.
22:56 Le hit de Miami, la franchise a remporté deux titres NBA entre 2010 et 2014.
23:01 "Le système d'Onofrio" écrit par Nicolas Tayana, la biographie non autorisée de Luciano Onofrio,
23:07 l'un des agents de joueurs de foot les plus influents.
23:10 Il a eu Deschamps, il a eu Zidane et une réputation très structureuse également.
23:15 Le Tour de France en affiche de Jean Didier Urbain pour découvrir, redécouvrir la beauté des régions avec des belles affiches.
23:22 Alors, j'en ai pris quelques-unes.
23:23 Regardez Marseille.
23:24 - Pas mal.
23:25 - Sympa ?
23:26 - C'est beau.
23:27 - J'ai choisi aussi parce que, bon, moi j'ai de la famille du côté basque.
23:32 - C'est plus joli Marseille, non ?
23:34 - Ça dépend où.
23:36 Et là, Paris, voilà.
23:37 - Ah bah ça c'est plus beau.
23:38 - C'est sympa.
23:39 - C'est ce qu'il y a de plus beau.
23:40 - Et puis pour terminer, regardez, 120 jeux football avec l'OM et ses décisants.
23:48 Et regardez ce qu'on peut colorier.
23:51 Est-ce que vous le reconnaissez ?
23:52 - Moi je la connais.
23:53 - Mais bon, Olivier il doit pas le reconnaître.
23:56 - C'est-à-dire que là, pour être tout à fait honnête, je ne comprends même pas.
23:59 - C'est la Champions League.
24:00 - Ah oui, oui, oui, effectivement, c'est pour ça que je la connais pas.
24:03 - C'est pour votre petit abziac.
24:05 Vous lui direz qu'il dépasse pas.
24:07 La gravité, c'est votre film, il sort demain au cinéma.
24:13 Film unique, dramatique, avec une pointe de science-fiction.
24:16 Les images, la réalisation de Cédric Hiddeau sont très fortes.
24:20 Avant de voir la bande-annonce, est-ce que vous avez été surpris par le résultat ?
24:24 - Moi, évidemment.
24:26 Moi j'étais très surpris, mais déjà quand j'avais lu le film
24:29 et que j'ai découvert le scénario, j'étais déjà extrêmement surpris.
24:31 Donc je me suis dit, après, est-ce que ça va être le film que j'ai lu ou pas ?
24:35 Et après, quand on a découvert ensemble avec Max le film, j'étais très surpris.
24:40 Mais très surpris en même temps, je savais que ça allait être comme ça,
24:43 mais pourtant c'était surprenant.
24:44 - Moi aussi franchement très surpris, mais agréablement surpris.
24:48 Après c'est sûr, au scénario on se projette, mais franchement,
24:51 de voir le film, c'est...
24:54 - Avec ça aussi, oui. Franchement, il est très fort.
24:57 Moi pareil, j'ai été très surprise par le scénario
24:59 et le film vraiment impressionné du résultat.
25:02 - Alors l'histoire prend place dans une cité.
25:04 Des amis d'enfance qui ont vécu un drame voient leur chemin se séparer
25:08 à cause des deals, de la prison.
25:10 Ils vont se retrouver à nouveau réunis alors qu'un alignement
25:13 des planètes mystérieuses se profile.
25:15 Et ensemble, ils vont devoir affronter un tout nouveau gang, les Ronins.
25:20 J'espère avoir bien pitché parce que c'était pas parfait en démarrage.
25:23 Regardez la bande-annonce.
25:25 La gravité dirige les trajectoires de toute chose dans l'univers.
25:29 Elle est responsable des mouvements planétaires
25:33 comme de la fuite des corps.
25:37 Elle est partout,
25:40 sous toutes les formes.
25:44 Il est possible que cette fois-ci, on assiste vraiment à quelque chose d'exceptionnel.
25:48 Il s'agit d'un alignement de planètes parfait.
25:50 Et c'est en ça que c'est inédit.
25:52 Pourquoi tu t'en vas déjà, là ?
25:53 Il faut que j'aille aider mon frère à faire un bain avec ses frères.
25:55 L'autre Christophe, il est sorti du placard.
25:57 Les Ronins, ils sont dans le coin ?
25:58 Tu as eu tes petites inventions, là ?
26:00 Faut pas qu'ils restent ici. Ils vont nous foutre dans la merde avec les Ronins.
26:03 Du bédon ? C'est leur doku, maintenant.
26:08 C'est une drogue de synthèse qui n'est pas classifiée.
26:10 Il n'y a pas un là qui trace un pas d'arme, pas de téléphone portable, rien.
26:13 Soit vous vous adaptez, soit vous dites "sois ici".
26:17 Les Ronins, ils pensent qu'on est ensemble.
26:20 Je veux pas qu'il arrive un truc à mon frère à cause de tes conneries.
26:22 Oui, c'est Rudy. Son taf, c'est de cacher les sous.
26:25 Après, ils disent pas que je suis au nourrice.
26:26 C'est chez moi, ici. Pas comme vous, là. Je dépends de mon cul à sept-hier.
26:30 Vous avez fait quoi de votre argent ?
26:33 À part baiser des pulls, poser des tailles et faire des loques, hein ?
26:37 Les petits vont me tuer.
26:38 J'ai une fixette sur toi et ton frère.
26:40 Ils disent que vous niquez l'équilibre de la cité.
26:42 Quand on s'est mis ensemble, je t'ai dit "je me barre d'ici".
26:44 Et tu m'as supplié de t'attendre.
26:45 Après cet alignement, le monde ne sera plus jamais le même.
26:49 C'est la fin de votre cycle.
26:55 Ça sort demain au cinéma et avec Clara, on s'est régalés.
27:02 Pourtant, Clara, elle est pas...
27:03 Elle est pas là.
27:05 On s'est régalés.
27:06 Pourtant, Clara, elle est pas forcément science-fiction.
27:08 Alors, c'est hyper léger.
27:09 C'est en filigrane.
27:11 On prend une claque aussi visuelle.
27:15 Max, vous jouez Daniel.
27:16 Votre personnage tente de s'en sortir à travers le sport et l'athlétisme.
27:20 La course à pied, particulièrement.
27:22 Vous avez couru combien de kilomètres pour vous préparer à ce personnage ?
27:25 Franchement, ouais, j'en ai avalé des kilomètres.
27:28 Parce que, moi, en fait, il faut savoir que ça a commencé...
27:32 J'ai eu une grosse préparation un peu avant le tournage.
27:35 Donc, on a commencé à travailler avec un coach à Puto qui s'appelle Mehdi.
27:39 On a travaillé au mois d'octobre jusqu'au début du tournage, quasiment le 15 novembre.
27:46 Et ouais, c'était un sacré challenge.
27:49 Franchement, on a beaucoup couru.
27:51 Ça vous faisait la dimension sportive dans votre personnage ?
27:53 Complètement, ouais.
27:54 Complètement, en fait, c'est ce qui était bien.
27:56 Le fait qu'il soit sportif, c'est que ça m'a permis rapidement
27:58 de pouvoir m'imprégner du personnage de Daniel.
28:01 Et le fait de faire la préparation, ça m'a mis tout de suite en mode combat.
28:07 Dès que le tournage a commencé, j'étais prêt.
28:10 Et je savais que pour incarner le personnage de Daniel, ça passerait par le corps.
28:15 Et donc, du coup, franchement, la prod, ils ont fait des gros efforts.
28:18 Ils m'ont mis dans des bonnes conditions.
28:20 Du coup, je suis assez content quand je vois le résultat au final.
28:23 Non, après, ta prestation quand tu cours, elle est folle.
28:25 En vrai, dans le film, quand il court, c'est fou.
28:27 On dirait un vrai alpette.
28:29 C'est le free pull. Franchement, des gens qui ont vu le film
28:32 et il y avait des athlètes dans la salle à la fin,
28:34 ils m'ont dit "ouais, t'as une très bonne technique, t'as une belle foulée et tout".
28:37 Ça va continuer.
28:39 Ouais, c'est ça.
28:41 Abzia, moi, j'ai adoré votre personnage.
28:43 Vous jouez la compagne du personnage de Max.
28:46 Et vous êtes l'une des rares, peut-être la seule, à ne craindre personne.
28:50 Oui.
28:52 C'est un très, très beau personnage.
28:54 Et c'est ce qui m'a plu quand j'ai lu le scénario.
28:57 C'est une femme de caractère.
28:59 Donc voilà. C'est pour ça que j'ai accepté.
29:01 Vous savez ce que vous voulez et vous tenez tête,
29:03 peu importe qui vous avez en face.
29:05 Peu importe. Et surtout qu'elle est maman,
29:07 donc sa priorité, c'est sa fille.
29:11 Et elle avance, quoi.
29:13 Vous, Olivier, on en a parlé en rentaine,
29:16 vous avez le rôle de celui qui s'en sort pas, en fait, dans la cité.
29:22 Vous restez ancré dans cette cité sans réussir à en sortir.
29:28 Ouais, exact. Aucun talent, aucune ambition.
29:31 Un vrai gars qui vit au jour le jour
29:36 et qui attend, effectivement, que les choses se passent.
29:39 Il est touchant, le personnage.
29:40 Il est très touchant, votre personnage, c'est vrai.
29:42 Parce qu'il y a quand même pas mal de personnes aussi dans ce cas-là.
29:47 On n'arrive pas forcément à s'en sortir, on n'a pas forcément les clés.
29:50 Et c'est dur de trouver du travail.
29:53 Il y a aussi dans ce film quand même beaucoup de mise en valeur
29:57 des talents qu'on peut retrouver dans la cité.
30:00 Vous êtes un bon sportif.
30:02 Il y a aussi l'un des personnages qui dessine magnifiquement.
30:06 Il y a votre frère dans le film qui est un génie de la robotique
30:10 qui s'est créé le fauteuil roulant, mais c'est plus 2.0.
30:16 C'est du futur.
30:18 C'était aussi important dans ce film d'avoir cette histoire.
30:27 Je pense que c'était la volonté de Cédric Hiddeau, le réalisateur.
30:30 C'est quelque chose qui revient souvent.
30:33 Il parle beaucoup du plafond de verre,
30:36 que les gens puissent dépasser un peu, qu'ils ont des talents
30:39 mais qu'ils ne sortent pas de la cité.
30:41 À travers ce film, il met en lumière un peu tous ces talents
30:45 qui sont malheureusement, malgré eux ou pas, condamnés à rester
30:49 un peu enfermés dans le quartier.
30:52 C'est un film avec de la violence, mais finalement,
30:55 avec ce petit fil de science-fiction, on trouve beaucoup de poésie.
31:00 C'est très onirique.
31:02 C'est une façon, c'est presque une symbolique et une image
31:06 de se dire que l'énergie est la force qu'il faut
31:09 pour s'extraire d'un condition.
31:12 C'est quelque chose où le message est encore plus...
31:15 Il est évidemment dans la narration de comment est fait le film,
31:18 mais aussi, au-delà de tout, c'est la façon dont sont traités les personnages.
31:25 C'est vraiment quelque chose de... C'est symbolique à chaque fois.
31:28 - Et c'est réaliste aussi. - Oui.
31:30 Malheureusement, c'est un sujet qui est d'actualité en vrai,
31:34 parce qu'il y a beaucoup de problèmes en banlieue.
31:37 Pas que ça, mais il y a beaucoup de problèmes, conflits intergénérationnels.
31:41 Du coup, le fait de pouvoir, à travers le film,
31:44 le raconter, au moins...
31:46 - C'est pas OK. - Il sort toujours du lot.
31:49 On en sort quand même, on en tire des leçons.
31:52 Il y a un sujet aussi d'actualité, c'est la théorie du complot.
31:55 Avec ce côté alignement des planètes et tout,
31:58 on sort du Covid, mais on en a entendu des théories du complot.
32:03 C'est quand même très dans l'actualité également.
32:07 - Et il y a un côté un peu manga. - Oui, aussi.
32:09 Cédric, c'est un fan de manga, fan du cinéma, en gros, coréen,
32:13 même asiatique en général.
32:15 Donc, il a évidemment cette référence-là,
32:18 et il l'amène là, en fiction, effectivement.
32:21 Ce qui est très particulier, c'est que c'est en plus dans un film de quartier.
32:24 Et grâce à ça, d'ailleurs, il élimine, à mon avis, il évite tous les clichés.
32:28 Parce que le fait d'utiliser, en gros, le genre,
32:31 il n'y a pas de policier dans ce film.
32:33 Il n'y a pas de méchant.
32:35 Les méchants, c'est nous, les gentils, c'est nous.
32:38 Ils ne jugent pas ces personnages, en fait.
32:40 Au bout d'un moment, quand même, le gang qu'on voit,
32:43 ils ont tous une mèche rouge ou les cheveux rouges,
32:45 on les aime quand même un peu moins.
32:47 On se retrouve quand même vraiment du côté de votre personnage max.
32:50 Parce qu'ils sont un peu dépassés par leur...
32:53 C'est une forme de secte, on va dire, si on se préconise un peu les gens.
32:56 Mais du coup, ils sont un peu dépassés par leur volonté
32:59 de rééquilibrer le quartier, au final.
33:02 Mais leur combat aux jeunes, il est assez intéressant,
33:04 parce que... Et c'est marrant, c'est Cédric, en l'écoutant parler,
33:06 que j'ai compris quelque chose. C'est-à-dire qu'il dit, en fait,
33:09 ils en veulent aux grands, les générations d'avant,
33:11 parce qu'en fait, ils leur ont rien laissé.
33:13 Et c'est pour ça qu'ils essaient, en gros, de se mettre en communauté
33:16 et de faire quelque chose, parce qu'en gros, ils n'ont reçu aucun leg.
33:19 - Ils n'ont rien. - Ils n'ont rien.
33:21 Et donc, comme on pense qu'à nous et qu'on est dans une forme d'égoïste,
33:23 on laisse rien aux générations qui arrivent.
33:26 - Bon, alors, tous les personnages, tous les acteurs sont super.
33:29 Enfin, nous, on a adoré même tous les jeunes, là,
33:32 qu'on voit derrière vous. - Voilà.
33:34 - Ils ont été formidables. Vous avez tourné où ?
33:36 Vous avez tourné dans une cité ? - Bien sûr.
33:38 - Oui. Bobigny, bien sûr. - Oui, Bobigny,
33:40 Poignolet et Saint-Denis.
33:43 - Vous avez fait des avant-premières là-bas ?
33:45 - On a fait des avant... On a été à Stein.
33:47 - Alors ? - On en a fait... Non, mais on en a fait plein, en fait.
33:49 On a fait plein d'avant-premières. Bobigny, j'ai pas le souvenir, mais...
33:52 - Non, Stein, on a fait plein. - Mais ils ont aimé.
33:54 Le public a aimé. - Stein, c'est la ville de Cédric.
33:56 Donc, c'était la première avant-première. - C'était chez lui.
33:58 - Ouais. Franchement, il y avait du monde.
34:00 Franchement, toutes les avant-premières qu'on a faites,
34:02 les gens ont adoré le film. Adoré.
34:04 Ils ont tous vu quelque chose comme si ça parlait à tout le monde, en gros.
34:07 - C'est le premier film de Cédric Hiddeau ?
34:09 - Son second. - C'est le second.
34:11 On a co-réalisé un avant. - D'accord.
34:13 - Et c'est vrai qu'on a l'impression que c'est un peu son vrai premier film.
34:15 - Comment c'était de travailler avec lui ?
34:17 - Chacun y va parler. Moi, je parle en dernier.
34:19 - Comment ça s'est commencé ?
34:21 - Oui, c'était franchement une très belle expérience.
34:23 C'était super, vraiment.
34:25 - Vous qui êtes aussi réalisatrice,
34:27 c'est facile de se remettre
34:29 du côté de l'actrice.
34:31 - Oui, vraiment. Quand je fais actrice, je fais actrice.
34:33 Et au contraire, ça m'inspire
34:35 de voir les autres travailler aussi.
34:37 Et franchement, c'est super. C'est un super directeur d'acteur.
34:39 Bienveillant.
34:41 Et fidèle aussi.
34:43 Parce que, comme je disais à Olivier tout à l'heure,
34:45 j'avais eu le scénario, je crois, il y a au moins 5 ans.
34:47 4-5 ans. - Ah ouais.
34:49 - Il a mis longtemps à faire le film.
34:51 - C'était dur. - Mais c'était vous.
34:53 - Et il m'a rappelé 5 ans après.
34:55 - Moi, franchement, c'était
34:57 un immense plaisir de travailler
34:59 avec Cédric. Surtout que voilà,
35:01 moi, ça restera quand même comme quelqu'un qui m'a
35:03 donné ma chance, qui m'a fait
35:05 confiance. Donc moi, j'avais
35:07 "cette pression" pendant le film de pouvoir lui rendre
35:09 un peu toute la confiance qu'il m'a accordée.
35:11 Mais au-delà de ça, le rapport humain,
35:13 au-delà du rapport acteur-réalisateur, humainement,
35:15 c'est vraiment
35:17 une belle rencontre. Et voilà, j'espère que
35:19 le film, il rencontrera
35:21 un grand succès parce qu'il le mérite.
35:23 - Oui, vraiment. - Moi,
35:25 c'est marrant parce que moi, je suis arrivé le dernier dans l'équipe.
35:27 C'est-à-dire qu'il y avait déjà toute l'équipe qui était là.
35:29 Donc quand j'ai lu le scénar, j'étais, honnêtement,
35:31 j'étais en folie.
35:33 Je voulais faire ce film absolument parce que je ne l'avais jamais lu
35:35 ni vu. Ensuite, j'ai adoré
35:37 cette équipe. C'est-à-dire que je me disais, je veux trop faire partie
35:39 de cette équipe. Je veux être avec eux. Max,
35:41 JB, Steve, Aafzia, enfin toute la bande.
35:43 Et dès les premières lectures,
35:45 il y avait quelque chose d'assez évident.
35:47 J'y ai trouvé beaucoup de liberté.
35:49 D'ailleurs, et Cédric m'a donné beaucoup de liberté.
35:51 Et en même temps, dans un cadre très précis.
35:53 C'est-à-dire que, par exemple, quand on tournait, ce qui était dément
35:55 et pourtant, voilà, on était dans les hôtes d'immeubles,
35:57 même la bagarre que j'ai avec Max
35:59 ou des choses comme ça, à chaque fois,
36:01 il y avait toujours un moment donné où je n'avais plus l'impression de jouer.
36:03 Donc pour moi, en fait, je me dis quand un réalisateur
36:05 ou un directeur d'acteur, il est capable
36:07 de te mettre dans ce genre de disposition
36:09 où tu as des directives, c'est compliqué
36:11 ce que tu as à faire. Puis à un moment donné, c'est fini.
36:13 C'est à toi, en ce moment. Et tu ne sais plus
36:15 vraiment, ce n'est même plus une histoire de texte, ce n'est même plus une histoire de tout.
36:17 - Tu t'oublies. - Tu t'oublies. Et tu es en train de vivre ton truc.
36:19 Et franchement, des fois, il coupait la scène
36:21 et je me disais "putain, je vais pas rajouter donc quelque chose".
36:23 Donc c'était une expérience incroyable, je suis trop fier d'avoir fait ce film.
36:25 - Le film sort demain
36:27 au cinéma, ça s'appelle "La gravité".
36:29 Nous, on a adoré. Si vous allez le voir,
36:31 n'hésitez pas à nous envoyer vos petits messages et vos retours.
36:33 Les prochains projets, c'est quoi ?
36:35 Vous êtes dessus ou vous vous prenez du repos
36:37 pour l'instant ? - Moi,
36:39 j'écris en ce moment. En vrai, j'écris...
36:41 - Drôle ou pas drôle ?
36:43 - Ouais, drôle, drôle. - Drôle ? - Ouais, drôle, drôle.
36:45 - Très bien. Abdiah, ça écrit aussi ?
36:47 - Ça écrit. Là, j'ai un film
36:49 qui est sélectionné
36:51 à Cannes, un premier long,
36:53 dans lequel je joue, qui s'appelle "Le ravissement"
36:55 d'une jeune réalisatrice
36:57 qui s'appelle Iris Kaltenbach.
36:59 Je vais aller le présenter dans quelques jours.
37:01 - Bravo, on va vous regarder.
37:03 - Bravo, Abdiah. - Encore Cannes, ça n'est pas...
37:05 - Encore ! - Toujours !
37:07 - C'est pas tout le temps. - 22 fois Cannes !
37:09 - Non ! - 22 fois Cannes !
37:11 - À 30 ans ! - Je ne pourrai jamais gérer
37:13 puisque je suis là. Ah, c'est bien, Abdiah,
37:15 tu rentres en Afrique cette année, c'est pas mal.
37:17 - Max, vous avez des...
37:19 - Moi, j'ai une actualité, là,
37:21 je viens de terminer un tournage. - Aussi, ouais.
37:23 - Voilà, et après, en parallèle, moi,
37:25 j'ai aussi des amis avec qui on a développé
37:27 une société de production
37:29 et pareil, on fait des créations régionales,
37:31 ça s'appelle "Empreintes". Et voilà,
37:33 c'est les projets à venir un peu. - N'hésitez pas,
37:35 si vous avez des projets comme ça à venir
37:37 nous présenter, on est ravis
37:39 de vous retrouver. - Je n'hésiterai pas.
37:41 - Ouais ! - Je n'hésiterai pas.
37:43 - Le numéro de Clara, c'est bon. - C'est top.
37:45 - Allez, le portrait, les portraits de Clara.
37:47 - Dans les mysteries,
37:49 and I like it.
37:51 - On va rester dans la gravité pour les portraits.
37:53 Cédric Hiddeau, le réalisateur, avait envie
37:55 de raconter sa vie personnelle, sa vie
37:57 de banlieue Astin. Dans le 9-3,
37:59 il vous a repéré, Max, il y a quelques années.
38:01 Vous avez tourné dans des courts-métrages
38:03 via Cité Art, l'association où vous apprenez
38:05 le cinéma. Dix ans plus tard,
38:07 vous êtes ventouseur. C'est un job
38:09 qui est de la sécu, de la régie, de l'organisation.
38:11 Alors c'est toujours dans le cinéma, mais vous êtes
38:13 derrière la caméra. Cédric vous caste,
38:15 vous trouve super, mais il y a eu du gros
38:17 boulot. Vous avez perdu 10 kilos. Entraînement
38:19 intensif pour être le plus crédible possible.
38:21 En champion d'athlétisme,
38:23 le coach est resté sur le tournage, vous nous
38:25 l'avez expliqué, pour que vos foulées
38:27 soient les plus crédibles
38:29 et les plus précises possibles.
38:31 Olivier, vous avez été proposé par Emma,
38:33 la productrice. Elle sent que ce rôle
38:35 vous correspond parfaitement. Cédric
38:37 organise un premier rendez-vous, effectivement,
38:39 il vous trouve bluffant, mais il veut
38:41 savoir si ça va matcher. Vous avez fait des répétitions
38:43 avec Christophe, un de vos
38:45 partenaires, et en fin de séance, vous vous prenez
38:47 dans les bras, vous oubliez qu'il y a Cédric.
38:49 Le duo est parfait.
38:51 Abzia, dès le début de l'écriture,
38:53 il pense à vous pour le rôle féminin. Il vous
38:55 rencontre et vous serez d'accord pour plusieurs raisons.
38:57 Le côté social de l'histoire, que vous connaissez,
38:59 pour les métaphores, pour le côté
39:01 ésotérique que vous avez en vous,
39:03 et vous en avez discuté ensemble
39:05 durant des heures. Vous ne lui avez pas
39:07 parlé pourtant de votre autre passion
39:09 dévorante, "Fait entrer l'accusé".
39:11 Vous ne ratez aucun
39:13 "Fait entrer l'accusé".
39:15 Vous n'oubliez pas de les partager, et
39:17 avec vos proches, vous leur envoyez le lien
39:19 traumatisé par l'idée
39:21 que ça pourrait vous arriver.
39:23 - Aussi, non, parce que vraiment, ça me passionne.
39:25 - Vous êtes passionnée par "Fait entrer l'accusé".
39:27 - J'aimerais bien faire un film...
39:29 - Après, je comprends, c'est des mens.
39:31 - C'est vrai, j'adore, mais pas que ça, même "Les femmes
39:33 tueuses", j'aimerais bien jouer un personnage.
39:35 - Après, la narration, elle est intéressante.
39:37 - J'adore, oui, mais j'ai peur en même temps, ça m'angoisse,
39:39 mais j'ai besoin de regarder...
39:41 - Voilà, la bande des Ronins a envie
39:43 de suivre vos parcours. Ils ont été
39:45 castés dans le 9-3. Quasiment tous ces
39:47 jeunes n'avaient jamais tourné dans un film.
39:49 Cédric en a présélectionné 30
39:51 sur à peu près 500 personnes qui sont
39:53 venues tenter leur chance. En août,
39:55 il y a eu des ateliers à Steyn pour qu'ils apprennent
39:57 à jouer. Ils ont tous été très pros.
39:59 Certains ont trouvé un agent. Depuis, un maximum
40:01 d'acteurs sont présents dans les avant-premières.
40:03 Symbole que le sociétal est dans le film,
40:05 mais en dehors également, parce que vous les avez
40:07 amenés partout. L'alignement des planètes
40:09 a lieu demain sur les grands
40:11 écrans français. Allez voir
40:13 cette bande qui a évité le plafond
40:15 vert. - Merci, Clara.
40:17 Dans un instant, c'est le moment
40:19 de vous tester sur
40:21 les Olympiades de Salon VIP.
40:23 Cinq épreuves. Préparez-vous,
40:25 vous avez juste le temps
40:27 du sujet, ce qu'il ne faut pas manquer
40:29 sur BeinSport avec Guillaume Palacio.
40:31 Cette fois, promis,
40:33 ce sera la bonne. Et ce sera
40:35 sur BeinSport. La grande fiesta du titre
40:37 pour le Napoli est prévue pour cette semaine.
40:39 Deux nouvelles opportunités pour terminer
40:41 le travail en Serie A. Jeudi soir
40:43 sur la pelouse de Ludinese et dimanche à la maison
40:45 face à la Fiorentina.
40:47 Et si vous n'avez pas eu votre dose de Calcio,
40:51 Milan et Rome s'affrontent encore
40:53 plus tôt deux fois qu'une, comme la semaine dernière.
40:55 Milan Lazio samedi 15h,
40:57 Roma Inter à 18h.
40:59 Pour la Liga, ça enchaîne également
41:03 ce mardi soir. Le Barça peut se rapprocher
41:05 encore du titre face à Osasuna
41:07 dès 19h30. Et la Real Sociedad
41:09 peut leur filer un bon coup de main à 22h
41:11 dans le choc de cette 33e journée
41:13 face au Real Madrid.
41:15 Mercredi 19h30, place à un derby
41:19 à l'odeur de soufre, Valence
41:21 villareal.
41:23 Côté Bundesliga, un peu de patience.
41:25 La suite du duel Bayern Dortmund
41:27 reprendra samedi.
41:29 Honor au Munico à sur la pelouse du Werder Bremen
41:31 à 18h30. Le Borussia enchaînera
41:33 à domicile dimanche après-midi face à Wolfsburg.
41:35 Nouveau faux pas interdit des deux côtés.
41:37 Pour en finir avec le ballon rond, la fiche de Ligue 2 vaudra cher
41:41 pour Bordeaux. Les Girondins recevront
41:43 camp samedi 15h pour croire toujours plus
41:45 à un retour immédiat dans l'élite.
41:47 Samedi, ce sera jour de finale
41:49 sur Bihne. D'abord en tennis
41:51 à 18h30, celle de l'Open de Madrid,
41:53 l'un des plus grands tournois sur terre de la saison.
41:55 Et dès 20h, première manche pour déterminer le champion
41:59 de France de volet, Chaumont, 3e
42:01 de la saison régulière, tentera de faire vaciller
42:03 Tour, le grand favori pour le titre.
42:05 La Star League de Handball ne sera pas en reste avec la suite
42:09 de la lutte pour le titre et les trois rivaux
42:11 seront tous en direct sur Bihne.
42:13 Montpellier à Saison Rennes jeudi,
42:15 Régie à Limoges vendredi et Nantes face à Dunkerque
42:17 samedi.
42:19 Et bien sûr, il y aura du basket,
42:23 beaucoup de basket. Les Métropolitains
42:25 de Victor Wembañama délocalisent à
42:27 Lacor Arena leur match face à Bourg-Cambres
42:29 dimanche à 19h.
42:31 Une parenthèse française au milieu
42:33 des demi-finales de conférence NBA,
42:35 Nuggets Suns, Lakers Warriors
42:37 à l'ouest, Knicks Heat et Celtics
42:39 Sixers à l'est. Cette semaine
42:41 comme toujours, vous aurez votre dose
42:43 du grand spectacle sur Bihne.
42:45 C'est le moment des Olympiades,
42:53 c'est parti, les Olympiades de salon VIP.
42:55 Alors, chaque nuit d'épreuve,
42:59 pour commencer, Max,
43:01 c'est vous qui vous collez au
43:03 Djanga. Alors, vous voyez, il y a Laurent Mestret,
43:05 Georges St-Pierre et Guylaine Guirado en tête avec
43:07 19 points. Pour arriver en tête,
43:09 Max, sans vous mettre de grosses pressions,
43:11 il faut que ce soit vous le meilleur.
43:13 Soyez vous le meilleur.
43:15 - Je vois Stéphane Degros qui était 11ème, c'est pas ouf.
43:17 - Il est nul, ouais. Vraiment mauvais.
43:19 - Encore ses 19. - Vraiment très mauvais.
43:21 - Ça va me faire plaisir.
43:23 - Max, préparez-vous, mais installez-vous
43:25 le plus confortablement possible. Vous avez
43:27 30 secondes. Il faut enlever un maximum
43:29 de bûchettes sans faire tomber la pile.
43:31 - OK. - Et sans toucher la ligne
43:33 du haut, évidemment, sinon c'est trop simple.
43:35 Dès que vous êtes prêts, le chrono va partir.
43:37 Là, il faut être prêt, Max. On va brancher.
43:39 - Allez, c'est parti. - Allez, c'est parti.
43:41 Le chrono est parti. - Très bien, vous avez compris.
43:43 - Allez, on y va. Il faut aller plus vite, en revanche.
43:45 - Oh là là. - Il commence déjà à lui foutre la poudre.
43:47 - Je lui mets un peu de pression. - Ouais, ouais.
43:49 - C'est trop dur ! - Attention, il faut bien équilibrer
43:51 de chaque côté. - Essayez un peu de passer au-dessus,
43:53 en dessous. - Voilà, 10 secondes.
43:55 - Il est bon. - Il reste 15 secondes.
43:57 Il reste la moitié du temps. Il ne faut pas faire tomber la pile.
43:59 - Oh là là. - Attention.
44:01 10. Il faut aller plus vite, Max.
44:03 - Bon, bon, bon, bon, bon, bon. - 7, 6,
44:05 5, 4, 3, pardon, 2...
44:09 - Oh ! - Ah !
44:11 - Non !
44:13 En plus, maintenant, il y a le basket. On est nuls, on le sait.
44:15 - Non !
44:17 - On va faire comme avec Girado.
44:19 On fait le ralenti. - Il y en avait combien avant ?
44:21 Il y en avait quoi ? 6, 7 ? - Il faut que le ralenti...
44:23 Ah, facile. - Mais t'es à 12, là.
44:25 - Non, non. - Il est à 12.
44:27 - Ils vont voir avec le ralenti. - On va regarder.
44:29 On va regarder. - Ce gâchis !
44:31 - J'y crois même pas. - Bon.
44:33 - Le voisin ? - Aïe, aïe, aïe.
44:35 - Là, voilà, on le sait. Hop, voilà.
44:37 On arrêtera là. - Oh là là.
44:39 - Désespérant. - Mais quitte, si on savait
44:41 que tu pouvais faire tomber, il faudrait avoir le raisin.
44:43 - On va recompter au ralenti en régie.
44:45 Abdiah, vous êtes prête pour mettre 4 canettes
44:47 parce que vous n'avez pas envie de vous lever.
44:49 Vous êtes en train de regarder Serena Williams
44:51 gagner sur un ancien match.
44:53 - Comme ça ?
44:55 - Tu nuls. - Oui !
44:57 - Un, ça rentre. - Doucement, doucement.
44:59 - Deux, ça rentre. Doucement.
45:01 - Très facile. On refait la même chose, Abdiah.
45:03 - Là, ça.
45:05 - Ouh !
45:07 - Ça fait 2. - 2 sur 4.
45:09 - 2 sur 4, c'est bien ça. - 2 sur 4, je peux multiplier
45:11 à un moment donné, on va voir.
45:13 - Un raisin.
45:15 - Qui a dit... Alors attention,
45:17 il faut une réponse collégiale la même.
45:19 - D'accord. - Parce que comme ça, je vous rajoute des points.
45:21 - Moi, en sport, je suis un barbat à bras. - Il ne faut pas être
45:23 d'une intelligence extrême pour jouer au tennis.
45:25 Il suffit de s'entraîner dur et d'avoir confiance.
45:27 Est-ce que c'est André Agassi ?
45:29 Est-ce que c'est Richard Gasquet ? Est-ce que c'est Clara Paband ?
45:31 - Je pense que c'est Clara Paband. - Moi, je pense que c'est Clara.
45:33 - C'est Clara Paband.
45:35 - Éliminez la plus facile. Vite.
45:37 - C'est Clara Paband. - C'est pas Clara.
45:39 - Ah, c'est André Agassi.
45:41 - C'est quelqu'un qui fait du tennis. - André Agassi, vous...
45:43 Ah oui, c'est Agassi, il l'a dit dans Open, dans son livre.
45:45 - Vous êtes sûrs de vous ? - Si c'est Gasquet, là,
45:47 c'est une catastrophe. - Moi, je dis Gasquet.
45:49 - C'est Gasquet, voilà. - D'accord.
45:51 - Xavier donne la bonne réponse. - Vous n'avez malheureusement pas multiplié les points.
45:55 - C'est pas vrai. - J'ai dit Gasquet.
45:57 - On a été nuls.
45:59 - Vous avez oublié, évidemment, une épreuve tout à l'heure.
46:01 Que va-t-il se passer ?
46:03 Excusez-moi. Vous avez une image en face de vous.
46:05 L'image va s'arrêter. Il faudra choisir ce qu'il se passe.
46:07 Je n'ai moi-même pas la réponse.
46:09 - OK.
46:11 - Hop.
46:13 Alors, voilà, il y a eu une passe.
46:15 Est-ce que le gardien, en pleine répétition de Moonwalk,
46:17 va oublier le ballon et prendre un contre son camp ?
46:19 Est-ce que le gardien va mettre un maillot adverse
46:21 et marquer lui-même le contre son camp ?
46:23 Est-ce que le gardien va confondre le ballon
46:25 et le point de pénalty permettant à l'attaquant de marquer la boulette ?
46:29 Joker et Claire doivent nous faire une imitation de Véronique Sanson.
46:31 - Les gens ont envie de voir Sarah tout de suite,
46:33 de voir Claire en Veronique Sanson. C'est normal.
46:35 - Joker. - Moi, j'irais Lassé.
46:37 - Moi, j'irais Joker.
46:39 - Confondre le ballon et... Ouais, vas-y.
46:41 - On a vu qu'il a fait le contrôle, quand même. Tu l'as vu ?
46:43 - Lassé, c'est la plus facile.
46:45 - Il peut faire le contrôle et il lève la tête
46:47 et il croit que le point de pénalty, c'est le ballon.
46:49 - Allez, allons voir si ça l'est assez.
46:51 - Moi, je choisis Joker. - On verra pas.
46:53 On verra pas Véronique Sanson, mais c'est pas grave.
46:55 - Si ! Bien sûr, ça va être le point bon. - Je ne crois pas, elle était magnifique.
46:57 - Magnifique. - Exceptionnel, ce qu'il a fait.
46:59 - Est-ce qu'on a le droit au point supplémentaire, Claire ?
47:01 Vous avez le droit au point supplémentaire,
47:03 mais là, je me suis pas chauffée pour dire qu'on est sanson.
47:05 - C'est pour qui, le point ? C'est pour moi ?
47:07 - Si, je sais que la vie...
47:09 Bon, voilà. - Quoi, c'est tout ?
47:11 - Non, c'est pas possible, ça peut pas être ça.
47:13 Non, mais là, on peut 4 points de plus.
47:15 - C'est à vous de sortir le pic chaud, Nari.
47:17 - Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe. Bon, par contre, je suis archi, je le dis.
47:19 Il y a zéro galère.
47:21 Il y a zéro galère sur ma nuit.
47:23 - Il y avait 9 au Jenga.
47:25 On a rajouté... - Il faut regarder dans l'enveloppe.
47:27 - 2 points, là, ça fait 11.
47:29 On a rajouté 2 points, là, ça fait 13.
47:31 Allez, 14.
47:33 Si vous êtes doués,
47:35 je peux rajouter
47:37 2 ou 3 points. - C'est tout ?
47:39 - Ouais, si on devine très, très vite.
47:41 - Olive.
47:43 - Vous avez 30 secondes,
47:45 mais dans les premières secondes, tout peut se jouer. Allez-y.
47:47 - C'est parti ? - Ouais, c'est parti.
47:49 - La terre. - C'est gagné.
47:51 - Merci. - J'allais partir tout de suite.
47:53 - Alors là, vous mettez 4 points d'un coup.
47:55 - La preuve, non, non, non.
47:57 - 18. - Ça dit que tu dessinais mal.
47:59 - Incroyable, là. - C'est 5 points, ça.
48:01 - Non, mais là, c'était monstrueux, ce que j'ai fait.
48:03 J'allais partir, en plus, j'allais commencer à faire...
48:05 Depuis le gars, j'allais partir.
48:07 - Je suis gentille, je laisse 18 au total.
48:09 Voilà, il n'y aura pas de négociations.
48:11 - C'est incroyable. - Vous ne serez pas longueur.
48:13 - Je pensais au film, mais je ne sais pas, j'ai dit la terre.
48:15 - Vous êtes juste en dessous, mais...
48:17 Je suis de bonne humeur, j'ai aimé le film.
48:19 Heureusement.
48:21 - C'est fou, j'ai fait que 1 rond.
48:23 - Dans un instant, Clara, vous allez nous présenter.
48:25 Tu as des tenues blanches, mais juste avant,
48:27 je vous propose de découvrir la love room
48:29 de Guillaume Girado, l'ancien capitaine
48:31 du 15 de France, qui était avec nous la semaine dernière.
48:33 - Love room...
48:35 - Merci.
48:41 - Marié.
48:43 - Depuis 2011.
48:45 - Pour et plusieurs.
48:49 - 10.
48:53 - C'est la vérité, ça, ou vous êtes juste paillot ?
48:55 - C'est la vérité.
48:57 - Plutôt...
48:59 Dragueur.
49:01 - Est-ce que vous êtes fidèle ?
49:03 - Oui.
49:05 - Vous êtes sûr de vous ? - Oui.
49:07 - Parce que j'ai beaucoup de fidèles qui passent dans cette love room.
49:09 - Est-ce que vous êtes pour ou contre les applications de rencontres ?
49:11 - Pas forcément,
49:13 ça gâche un peu tout.
49:15 - Qu'est-ce qui vous a fait craquer chez votre femme ?
49:17 - Le regard.
49:19 - Quel est le pire cadeau que vous ayez offert ?
49:21 - Une bague qui n'était pas...
49:23 Qui n'était pas à sa taille.
49:25 - Elle était jolie, quand même.
49:27 - Elle était jolie, mais bon,
49:29 si elle n'était pas à sa taille, c'est là où on apprend quand on est jeune.
49:31 - Quel est le dernier texto d'amour que vous avez envoyé ?
49:33 - Ce matin,
49:35 quand je suis parti,
49:37 du coup, que je l'aimais.
49:39 - Est-ce que vous vous êtes déjà servi de votre notoriété pour conclure ?
49:41 - Non, jamais.
49:43 Je n'étais pas très connu à l'époque,
49:45 donc c'était plus facile.
49:47 - Est-ce que vous êtes fétichiste des pieds ?
49:49 - Vu l'état de mes pieds, non, pas trop.
49:51 - Quel défaut serait rédhibitoire ?
49:53 - Peut-être l'haleine.
49:55 - Femme qui rit, est-ce que ça marche ?
49:57 - Souvent.
49:59 - Après une dispute, est-ce que vous faites le premier pas ?
50:01 - Non, trop têtu pour faire le premier pas.
50:03 - Jamais ?
50:05 - J'ai vraiment beaucoup de mal.
50:07 - Si je vous dis que je suis célibataire
50:09 et milliardaire, est-ce que vous quittez tout pour moi ?
50:11 - Non.
50:13 - Non, c'est sortie du cœur, en plus,
50:15 j'ai l'impression qu'il y a...
50:17 On restera...
50:19 On en restera là, quoi.
50:21 - Oui, c'est ça.
50:23 - Merci beaucoup.
50:25 - Merci.
50:27 - Clara a fait une petite sélection de produits
50:31 pour que vous soyez à la pointe de la mode cet été.
50:33 - Le pic-d'huile de la mode,
50:35 tel est son nom de code.
50:37 - Oui, parce qu'on est tous pareils
50:39 devant notre armoire, devant notre garde-robe,
50:41 on la regarde et on se dit "je ne sais pas quoi mettre".
50:43 Et quand on ne sait pas quoi mettre,
50:45 on porte une chemise blanche,
50:47 on est bien habillé à toutes les occasions.
50:49 Je vais vous en présenter quelques-unes.
50:51 Je commence par celle-là.
50:53 C'est une chemise sportive,
50:55 la chemise blanche coque sportive,
50:57 cette jolie marque nous habille aussi
50:59 en dehors des vestiaires.
51:01 C'est une chemise 100 % coton
51:03 et en même temps, elle a un peu de jersey.
51:05 Elle est coupée régulière.
51:07 - C'est un peu entre le XS et le T-shirt.
51:09 - On peut l'appliquer à son mec.
51:11 Je vous présente aussi,
51:13 c'est l'été bientôt,
51:15 la chemisette estivale,
51:17 la Levis est absolument magnifique.
51:19 Elle est sobre, bien coupée,
51:21 on n'a que la destination à choisir.
51:23 - Ça sent les vacances, c'est sûr.
51:25 - C'est plus mon style.
51:27 - Si vous hésitez entre le polo et la chemise,
51:29 j'ai la solution, je la porte sur moi.
51:31 - Pas mal.
51:33 - C'est la chemise en coton piqué.
51:35 Je peux vous dire que c'est éternel,
51:37 ça ne suce pas, c'est immortel.
51:39 Est-ce que vous voulez
51:41 que je vous parle
51:43 d'une chemise blanche technique ?
51:45 - Technique, c'est quoi ?
51:47 - Ça ne se froisse pas, entre autres.
51:49 C'est Seiden Sticker qui a créé cette chemise.
51:51 C'est pour les gens qui cumulent les rendez-vous.
51:53 Elle est en stretch horizontal,
51:55 vertical.
51:57 Le tissu absorbe l'humidité
51:59 et sèche très vite.
52:01 Je vous parle ensuite de la chemise,
52:03 regardez, la dernière, la petite dernière,
52:05 la chemise veste en lin.
52:07 C'est de gant.
52:09 Soit vous la mettez sur un jean,
52:11 toute seule, ou alors vous la mettez
52:13 par-dessus une robe qui finit la tenue.
52:15 C'est moitié lin et moitié viscose.
52:17 - Super ! - Elle vous plaît ?
52:19 - Oui, ça vous a donné envie de mettre de la chemise blanche ?
52:21 - De la chemise blanche.
52:23 - J'ai pensé que Avia, ouais.
52:25 - Avia, elle va choisir la mienne.
52:27 - Oui, mais j'aime pas trop le blanc.
52:29 Oui, la tienne, la vaude, j'aime bien.
52:31 - Pourtant, le blanc, c'est lumineux,
52:33 ça donne bonne mine à tout le monde.
52:35 - Moi, j'aime bien aussi.
52:37 - Moi aussi, j'aime bien.
52:39 - Après, je comprends Avia, quand on a des enfants,
52:41 c'est quand même un peu salissant, le blanc.
52:43 Vite, on se retrouve avec le blanc au chocolat.
52:45 Merci, Clara, merci à tous les trois
52:47 d'être venus sur le plateau de Salon VIP.
52:49 Le film "La gravité", ça sort demain au cinéma.
52:51 Vous revenez avec grand plaisir quand vous voulez.
52:53 Et vous allez passer dans la love room,
52:55 puisque parler de cinéma, parler de sport, c'est bien.
52:57 Mais on a surtout envie de connaître votre vie privée.
52:59 Voilà, pas besoin d'acheter les magazines.
53:01 On va vous avoir dans un instant.
53:03 Demain, vous retrouvez Salon VIP
53:05 avec Clara, évidemment,
53:07 mais avec notre invitée, on va se régaler.
53:09 On est avec Philippe Guillard,
53:11 qui nous présentera lui aussi
53:13 son film qui sort demain au cinéma
53:15 et qui nous a fait rire aux éclats avec Clara.
53:19 On se retrouve donc demain à 22h
53:21 sur BN3. Et d'ici là, ce soir,
53:23 vous avez de la liga,
53:25 la Real Sociedad face au Real Madrid.
53:27 Le coup d'envoi, c'est à 22h.
53:29 Passez une très belle soirée
53:31 et à demain. Ciao !
53:33 [Musique]
53:35 [Musique]

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