NBA Extra (04/05) La réponse des Celtics

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00:00 *Musique*
00:07 Le MVP Joel Embiid était bien de retour sur le parquet pour le match 2 entre Sixers et Celtics.
00:13 Boston doit réagir, et vite !
00:15 Stephen Curry contre LeBron James, acte 2, c'est la nuit prochaine.
00:21 Et le choc des Titans devrait encore nous régaler.
00:24 *Musique*
00:30 Salut tout le monde, bienvenue dans NBA XFINE.
00:32 On est ensemble pendant trois quarts d'heure pour parler basket, une nuit NBA à un seul match.
00:36 A vous débriefer entre Boston et Philadelphie, on en parle avec Xavier Vaution et Jacques Monclar.
00:40 Bonjour messieurs.
00:41 Salut.
00:42 Bonjour, bonsoir Rémi.
00:44 Moins fort encore toi, X-Man.
00:47 Faut en brancher hein.
00:48 Oui c'est ça.
00:49 Le vieux ténébreux, vous savez, déjà.
00:51 Le vieux romantique.
00:54 Oh là oui, ça va tellement bien ça.
00:57 Bon, parlons actuel NBA messieurs, et parlons donc de cette unique affiche que l'on a pu suivre la nuit dernière.
01:03 En NBA, oui, on arrive à cette période de l'année où parfois il n'y a plus qu'un match dans la soirée.
01:07 Philadelphie-Sixers, Boston-Celtics, match 2 au programme 1-0 dans cette série pour les Sixers du MVP Joel Embiid,
01:14 qui était de retour.
01:15 Boston, deux au mur, et bien je vous emmène dans le Massachusetts.
01:19 110 matchs de la soirée, le plus nombreux au temps de l'NBA.
01:24 Harden, Harry, a gagné la lead.
01:26 C'est incroyable, les gars sont des fameux.
01:28 Harden a 33, il est 23.
01:31 On est résilients, on a montré ça tout l'année.
01:33 C'est un 3.
01:34 On a un paquet de Street Fighters.
01:36 Les Sixers ont capturé la première partie.
01:38 On doit venir, on doit venir et envoyer un message le prochain match.
01:42 On est là pour gagner.
01:43 C'est ce que l'on a comme mémoire.
01:45 On est venu pour une bonne deuxième partie aussi.
01:48 Ce match 2 au TD Garden.
01:50 Cette magnifique salle, vraiment magnifique salle.
01:54 Dans une ambiance énorme pour accueillir le MVP.
01:58 Ils n'attendaient pas forcément, ils ne voulaient pas forcément que ce soit lui.
02:01 Ils préféraient que ce soit celui-là qui soit le MVP, Jason Tellum,
02:04 qui nous fait un bon début de match, un début de match relativement serré.
02:08 Ici, c'est Jalen Brown, et heureusement que Jalen Brown a été bon hier soir.
02:13 Lui par contre, il a été sur quasiment la totalité du match.
02:17 Un premier contre ici pour Joel Embiid, mais derrière Marcus Martt se reprend et inscrit 2 points.
02:22 Il s'en met dans son shoot et ses mains en ce moment Marcus Martt.
02:25 Jason Tellum serre en alley-oop Marcus Martt.
02:28 C'est le monde à l'envers.
02:29 Je ne suis pas sûr d'avoir déjà vu Marcus Martt faire ça.
02:31 Derrière, facile.
02:32 Et derrière, on a ça.
02:34 L'énorme contre de Joel Embiid sur Jalen Brown.
02:38 5 contre hier soir.
02:40 Joel Embiid qui n'a pas été incroyable au forcement.
02:43 Par contre, dès le forcement, il n'y avait pas grand-chose à dire.
02:45 Qu'est-ce que c'est bien joué de la part de Derek White.
02:47 C'est très malin.
02:48 Et derrière, Ford inscrit 3 nouveaux points pour les Celtics Warriors hier soir.
02:54 Parce que ça a cartonné au tir à longue distance.
02:57 Joel Embiid ici.
02:58 Il faut maintenir les Sixers dans le match.
03:01 Il n'y a pas un vrai écart encore.
03:03 Mais par contre, Philadelphia n'arrive pas vraiment à revenir.
03:07 Sur les Celtics, Derek White ici à 3 points.
03:10 On a 14 points à l'avance et ça commence à ressembler à quelque chose.
03:13 L'écart risque d'un coup quand même.
03:15 Lorsque Malcolm Brogdon met dedans.
03:17 La défense de Boston a été excellente.
03:19 Une interception sur une remise en jeu et ça continue.
03:21 Derek White s'est bien joué.
03:23 89-63.
03:25 L'écart définitif, on a compris.
03:27 Il était ici.
03:28 Malcolm Brogdon à 3 points.
03:30 Il n'y avait rien.
03:31 Il y a 10 minutes et Boogie a 30 points.
03:32 Ça a été à une vitesse folle.
03:34 C'est vrai que la deuxième mi-temps n'avait rien à voir avec la première.
03:38 Grant Williams derrière.
03:40 Et puis bon, on a un score final totalement à l'avantage des Celtics
03:43 qui vont donc égaliser.
03:44 Il n'y avait pas le choix.
03:45 Il fallait absolument le gagner.
03:46 Celui-là, ils l'ont fait.
03:48 Et avec une certaine manière, avec une grosse grosse adresse extérieure.
03:51 Thomas Elser est un meilleur scoreur.
03:53 C'est-à-dire, si pas grand monde n'a scorer hier soir,
03:55 James Harden n'a pas dépassé les 45.
03:58 Loin de là, 12 points simplement pour lui hier soir.
04:01 Et 15 pour Joel Embiid.
04:04 L'essentiel, c'est bien de voir que la série para-Philadelphia a égalité un par tout.
04:08 Et que Blake Griffin a des moustaches.
04:10 Et que Blake Griffin a des moustaches.
04:12 Mais n'a toujours pas joué.
04:13 Tout le monde a joué à Boston sauf lui d'ailleurs, avec Blake Griffin hier soir.
04:16 Bon, il y a blow-out hier soir.
04:17 C'est une réaction d'orgueil totale, Jacques, pour les 6.
04:20 C'est un match bizarre.
04:21 C'est un match bizarre où les deux leaders, finalement,
04:23 il y en a un qui revient de blessure,
04:25 qui montre son physique,
04:27 qui montre qu'il faut retrouver des mains.
04:30 Il montre aussi que la grosse genouillère en dessous, elle le gêne un peu.
04:33 Qu'il n'est pas en appui très fort.
04:35 Et l'autre, ça fait 2-3 matchs, Jason Tatham,
04:38 où il passe à travers dans les grandes largeurs.
04:41 Donc la suite de la série, c'est quoi ?
04:43 On n'en sait rien.
04:44 Sauf que c'est un des affrontements les plus historiques de la NBA.
04:49 Et bien sûr, des Celtics et des Sixers.
04:51 Et que ça va être très chaud à Philadelphie.
04:55 - Il y en a de voir ça.
04:56 - Oui, oui, oui.
04:57 Parce que Boston est impressionnant, par moments, en sortir.
05:01 Derrick White, Brock Dunn, à ce niveau-là,
05:03 autour de Jalen Brown,
05:05 avec du bon Grant Williams, Orford qui bouline.
05:08 Enfin bon, ils ont un truc, même si on ne sent pas,
05:11 une hiérarchie, une organisation des repères,
05:14 comme en saison régulière,
05:16 Joe Mazzulla, ça tangue un peu là-bas.
05:20 Il est assez remis en cause dans ses choix,
05:22 dans ce Six, là,
05:24 sur le fait de jouer Grant, petit, Grant Williams, Derrick White.
05:27 Enfin bref, ils ne sont pas encore dans des certitudes
05:30 où on pourrait les attendre.
05:32 Et en face, comme tout le monde,
05:35 pourquoi pas nous, cette année ?
05:38 Pourquoi pas nous ?
05:39 Comme toutes les équipes qui sont là.
05:41 - Il y a 8 qui restent en ce moment.
05:42 - Sauf Boston qui est favori, à mon avis.
05:45 - C'est vrai, je suis d'accord avec ça.
05:46 Bon, on va décortiquer un petit peu tout ça.
05:48 Focus sur celui qui a porté les Six en début de rencontre.
05:51 C'est Jalen Brown qui a emmené cet élan,
05:53 qui a permis à Boston de prendre rapidement les commandes du match.
05:55 - Oui, complètement.
05:56 Il a fait un match très correct, Jalen Brown, hier soir.
06:00 Plutôt à droit, son 9 sur 17 est beau,
06:04 parce que c'est vrai que pendant ce temps-là,
06:06 Jason Tettum n'y était pas.
06:08 Là, pour le meilleur surjoué à l'NB,
06:09 ça n'a pas toujours été le cas,
06:10 comme on l'a vu dans le résumé.
06:12 Mais le patron, hier soir, c'était lui.
06:14 Et on sait, de toute façon,
06:16 quand Tettum est un petit poil moins bien,
06:18 ça a lieu d'être le patron.
06:20 Il l'a parfaitement fait, hier soir.
06:22 C'est un super joueur, de toute façon.
06:24 C'est vraiment un super joueur.
06:25 Celui-là, il faut le mettre.
06:27 En plus, c'était un moment important,
06:28 début de deuxième mi-temps,
06:29 quand il fallait repartir un petit peu de l'avant.
06:31 Le patron, hier, ce n'était pas Jason Tettum,
06:33 même si c'est lui qui a reçu tous les MVP,
06:35 lorsqu'il était sur la ligne des lance-effronts.
06:37 Mais c'était bien Jalen Brown qui a été le patron.
06:38 - C'est un luxe, Jacques,
06:39 quand votre franchise player désigné n'est pas là,
06:42 ce soir-là, d'avoir ça derrière.
06:44 - Très sincèrement,
06:47 c'est vraiment un bis, lui.
06:50 Ce n'est pas un allié-lieutenant,
06:51 ce n'est même pas une deuxième option, a priori.
06:54 - C'est ce qu'on dit depuis le début, un bis.
06:56 - Voilà.
06:57 Et que sur le terrain, s'il est chaud, on va l'arroser.
06:59 On ne va pas redonner à Tettum,
07:01 alors que si c'est vous ou moi,
07:03 on en met deux, ça ne fait rien,
07:04 le troisième, il ira à Tettum.
07:06 Voilà.
07:07 C'est vraiment un mec,
07:09 et je pense en plus que dans sa personnalité,
07:12 il faut que ça soit comme ça,
07:13 sinon ça ne le durera pas.
07:15 Et on va rajouter aussi
07:17 que même si parfois il est un peu gourmand,
07:19 c'est un vrai two-way player naturel
07:22 et un combattant,
07:23 un mec qui avale des kilomètres,
07:25 qui est sans arrêt en mouvement.
07:27 Enfin, Jalen Brown, c'est du très haut niveau.
07:29 - Et sachez que quand on aura fini de débriefer un peu cette rencontre,
07:31 on s'intéresserait un peu à la carrière de Jalen Brown.
07:34 Pour l'instant, on va l'écouter déjà en interview,
07:36 après la rencontre.
07:37 - Je pense qu'on va juste se faire plus fière de nous-mêmes.
07:40 C'est tout.
07:41 On a l'impression qu'on a fait trop de mal dans la dernière partie,
07:44 et on voulait sortir et jouer au mieux de notre capacité.
07:48 Et c'est ce que nous avons fait.
07:50 Embrasser les défis et sortir,
07:52 mettre le ton sur la défense, ça va être clé.
07:54 On va avoir besoin de chacun et chaque gars de notre équipe
07:57 pour embrasser ces défis.
07:59 C'est une longue série,
08:00 donc on doit juste être prêts pour la prochaine.
08:02 - Simplement, nous avons répondu.
08:04 Nous étions résilients.
08:06 Je pensais que ça avait commencé avec JB.
08:08 Il a mis le ton.
08:09 Et c'est à propos de mettre le ton pour la prochaine partie.
08:12 C'est une partie.
08:13 Ils sont sortis et ont joué une très bonne partie.
08:15 La première partie, James a joué très bien.
08:17 Je pensais que ce soir, on allait changer le script.
08:19 Je pensais que nous avions fait un bon travail sur lui et sur le tout.
08:22 Mais c'est une seule partie.
08:23 Ça ne veut pas dire rien si il n'y a pas de carry-over.
08:26 - Ça tombe bien qu'on écoute Malcolm Brogdon,
08:28 le meilleur sixième homme de cette saison NBA.
08:30 Est-il vraiment un sixième homme de NBA d'ailleurs ?
08:32 Parce que lui, Xav', depuis le début de cette série face à Philly,
08:34 il est excellent, Malcolm Brogdon.
08:36 Voilà ce qu'il apporte.
08:37 - C'est censé être la pièce supplémentaire,
08:40 celle qui va faire la différence qu'il n'y avait pas l'année dernière.
08:43 C'est vrai qu'on avait longtemps insisté sur ce poste de meneur.
08:46 Je ne vais pas dire défaillant,
08:48 mais où il manquait vraiment une pièce capitale.
08:50 Elle s'appelle Malcolm Brogdon.
08:52 C'est vrai qu'il a été super fort sur le match 1.
08:55 Hier soir, il a vraiment été capital.
08:57 C'est un meneur qui ne donne que deux passes, vous me direz.
08:59 Mais qui a mis dedans comme un salaud quand même.
09:02 Le 6 sur 10 à 3 points,
09:03 ce n'est pas tous les jours qu'on le verra faire ça.
09:05 Mais si on insiste sur Jay Lonewold parce que c'est la star,
09:07 lui fait non seulement une très bonne saison,
09:10 mais surtout de très bons play-offs.
09:12 On verra jusqu'où ça ira.
09:13 Mais c'est vraiment la pièce.
09:16 Pour moi, ça a toujours été la pièce qui manquait
09:18 pour que ce titre-là aille jusqu'au bout.
09:20 Mais le bout du bout, cette fois-ci.
09:22 Pas s'arrêter en finale.
09:23 Mais en tout cas, il répond vraiment présent.
09:25 J'adore ce joueur depuis toujours.
09:27 - Ce qui est un faux joueur de banc,
09:29 je sais bien qu'on a tendance à catégoriser les mecs
09:31 "starter remplaçant".
09:32 Lui, c'est l'exemple même.
09:33 - Oui, il est bânier avec les meilleurs.
09:35 Il les met sans dribble.
09:37 Il a souvent été meneur,
09:40 que ce soit précédemment, avant de changer,
09:43 quand il a mis le walkie, quand il va à Indiana.
09:45 Là, il n'est plus son deuxième arrière.
09:47 Les cartons, il les fait comme ça.
09:49 Ça reste un joueur de pénétration.
09:51 Mais dribbler, créer le shoot externe,
09:53 comme un Cahiery, comme d'autres,
09:55 à peu près tous les affreux,
09:57 les D'Aaron Fox, D'Ilo,
10:00 bien sûr, Steph Curry.
10:02 Enfin, moins ça.
10:04 Et ça lui va bien à Boston.
10:06 Boston, ils arrivent à ce que Pritchard mette des paniers.
10:09 Donc, Brogdon, il va avoir des shoots ouverts.
10:12 Et défensivement, c'est un monstre.
10:14 Et puis, il a le QI basket bostonien,
10:17 qui est quand même un des labels de l'équipe.
10:21 Alors, pas de toutes les générations.
10:23 D'abord, de Boston, à peu près tout le temps.
10:25 Et depuis 2-3 ans, 4 ans, c'est quand même une équipe de...
10:28 - Ça déchire un petit peu. - Oui.
10:29 - Ça joue au basket. - Au basket.
10:31 Alors, le leader de cette équipe, évidemment,
10:33 en temps normal, c'est Jason Tathoum.
10:34 Hier soir, il s'est passé un truc étrange,
10:35 c'est qu'il est passé complet au travers.
10:37 Regardez un petit peu les images du match de Jason Tathoum.
10:39 Ce n'est pas tous les jours, Xav', qu'on verra Jason Tathoum
10:41 à 7 points, qui a mis un panier sur le match.
10:44 Et vous voyez comme quoi les résumés NBA, parfois, sont un peu étranges.
10:48 Parce que le seul panier qu'on a vu,
10:49 il était dans les highlights du match, même si bon.
10:52 C'est vrai qu'il était au tout début du match.
10:54 Mais ouais, il est passé complètement au travers.
10:57 Alors, ce qu'il y a de pas mal là-dedans,
10:59 c'est que s'il est 1 sur 7, qu'il n'est pas non plus 1 sur 20,
11:02 c'est-à-dire qu'il n'a pas insisté,
11:04 et que cette fois-ci, comme le disait le coach tout à l'heure,
11:06 au moins derrière, tu as des gens sur qui tu peux te reposer,
11:09 et au moins, il n'a pas insisté.
11:10 - Voilà. - Il a surtout fait des fautes.
11:12 - Il a surtout fait des fautes et des fautes d'attaque.
11:14 - Il était frustré, de toute façon, ça se voyait.
11:16 Déjà, après le match 1, ils ont tous fait la gueule pendant deux jours.
11:19 On l'a vu un petit peu en conférence de presse.
11:22 Personne n'a le sourire dans cette équipe-là.
11:24 Ils ne sont pas du tout contents de la manière dont ça se passe pour l'instant.
11:27 La victoire était juste logique hier soir.
11:30 Il n'y a aucun doute.
11:31 - Mais c'est un truc qu'on a dit même à l'époque où ça allait mal, l'année dernière.
11:35 Et même quand ça a été bien, c'est quand même plutôt une équipe qui ne rigole pas trop.
11:40 - Ah non, ce ne sont pas des rigolos, non ?
11:41 - Non, ce ne sont pas des redoublants.
11:43 C'est plutôt des redoublants de l'école du rire.
11:45 [Rires]
11:47 Et ça peut manquer un peu, ça, parfois, pour aller chercher le coup de folie.
11:53 Brown, il l'est par le terrain.
11:55 Après, il y en a qui vont arriver à catalyser ça.
11:57 Grant-Williams, c'est dans ce registre de...
11:59 - Il a repris un peu de lui, il a sorti de lui un peu de l'organisation.
12:02 - Ils savent tous, ils ne savent pas trop où ils en sont.
12:05 Et il y a beaucoup de talentueux et il faut des gutsy un peu.
12:09 Comme disait Greg Popovich, donnez-moi un petit peu de dirty basketball ou quelque chose comme ça.
12:18 Voilà, ils sont trop propres, parfois.
12:20 Ce sont les play-offs.
12:22 Et puis, à Philadelphie...
12:25 - Ah, ça ne va pas être la même...
12:26 - C'est Boston, Philadelphie, c'est Celtics Sixers.
12:31 - Ça va souffler un peu dans la salle au Wells Fargo Center.
12:33 Tiens, on va ouvrir, d'ailleurs, ce n'est pas un dossier, mais la partie Philadelphie,
12:35 savoir un peu comment ils situent désormais les Sixers avant de rentrer à la maison.
12:40 - Offensivement, on était assez mauvais, mais je leur donne du crédit.
12:42 Je pensais que leur pression de balle nous a élevé toute la nuit.
12:45 Je pensais qu'ils nous ont pressionné, nous ont dénoncé, ils ont joué dans notre espace d'air.
12:50 Tout le match.
12:52 Tu sais, c'est drôle, on a parlé de ça ce matin, on a parlé de ça avant le match.
12:57 Mais tu peux parler d'intensité et de force tout ce que tu veux.
13:02 Mais quand tu arrives sur le court et que ça est en fait appliqué à toi,
13:06 tu dois être capable de le gérer.
13:08 On a joué très bien ce soir. On va être meilleurs.
13:10 Ils ont joué avec plus de désespoir que nous.
13:14 On n'a pas fait ce qu'on voulait.
13:18 On doit être meilleurs.
13:21 Mais on savait qu'ils allaient essayer de répondre après nous avoir gagné notre première partie.
13:29 On n'était pas assez prêts.
13:32 Mais on va le réparer.
13:35 On va le réparer.
13:37 C'est un match compliqué pour ces Sixers.
13:39 Avant de basculer les gars sur ce qui les attend pour le match 3, on reste un petit peu là-dessus.
13:42 Xav' a craqué complet.
13:44 Ils ont pris un…
13:46 C'était l'arrivée de James Harden.
13:48 C'est pas un chat de pété.
13:50 C'était au Game 1, non ?
13:52 Je crois que c'était au Game 1 celui-là.
13:54 C'est au Game 1 celui-ci ?
13:56 Il n'était pas en Jeanne Larve, je ne sais plus.
13:58 Je m'en souviens rarement.
14:00 Celle-là, elle est marquante.
14:02 Pour avoir parlé à Yann Maheny ce matin, je suis sûr qu'il appréciait énormément ce point style.
14:07 Je suis sûr qu'il l'aurait découpé.
14:09 Ça a explosé les Sixers, Xavier, et assez rapidement.
14:11 Oui, assez rapidement, c'est vrai.
14:13 Même si la vraie différence s'est faite plus sur FanMatch à la fin du 3e quart d'an.
14:18 Hier soir, les Celtics avaient un compte à régler.
14:21 Ils les ont pris à la gorge et ils n'ont eu aucune chance.
14:24 Hier soir, Philippe… En même temps, c'est pas grave.
14:27 L'objectif c'était d'en prendre un. Ils l'ont pris.
14:30 Mais ces Sixers-là, hier soir, quand on voit l'incroyable match 1 que nous a sorti Harden,
14:36 quand on voit hier soir, ça remet un petit peu les choses en place.
14:40 Il y avait vraiment besoin de ça pour Boston.
14:42 Mais hier soir, les Sixers, ce n'était pas bien.
14:45 Et relancer Embiid là-dedans, ça fait un petit peu débat.
14:49 Il a eu quelques émissions américaines ce matin.
14:51 Est-ce que c'était vraiment sur ce match-là où il fallait le relancer ou pas ?
14:55 Évidemment, après le match, c'est facile de dire non.
14:57 Moi, je pense que ce n'était pas forcément plus mal.
15:00 Il n'a pas forcément fait un très mauvais match, Embiid.
15:02 On peut regarder quelques images de son match, si tu veux.
15:05 5 contre, je ne vois pas trop ce qu'on peut lui reprocher.
15:08 Défensivement, il était là.
15:09 Tu sais comment je l'ai trouvé ? Je l'ai trouvé boiteux.
15:12 C'est ça qui m'embête un petit peu.
15:14 Non, il est boiteux parce qu'il a une énorme genouillère qu'il va falloir adapter.
15:20 Et d'ailleurs, quand il floppe, quand il se jette sur un contact avec Grant Williams,
15:25 l'autre le touche à moitié corps, il n'est pas encore rassuré.
15:28 C'est pour ça que c'est bien qu'il ait joué ce match-là, qu'il était sans pression.
15:32 Reprendre des repères un petit peu, c'est ça ?
15:34 Oui, pour jouer, je trouve que c'est bien des repères, des contacts, rater des shoots, en mettre quelques-uns.
15:39 Il met un gros dunk aussi à un moment.
15:41 Il va sur la ligne, il fait l'alternance.
15:44 Voilà, c'est bien qu'il ait joué.
15:48 C'était vraiment un match de reprise rouge.
15:50 Oui, c'est bien qu'il ait joué.
15:51 Et ça lui évacue la pression de revenir le jour où ils reçoivent à la maison et où ils sont sous pression.
15:59 Donc non, je trouve que c'est plutôt bien géré.
16:02 Après, comme dit Xavre, on va regarder le genou parce que...
16:05 Il reste beaucoup de matchs.
16:08 C'est ça le truc, c'est qu'il reste beaucoup de matchs.
16:10 Après, tu as une finale de conférence, tu as la maillot du qualifié et une finale ennemiée.
16:13 Dans un état comme ça ?
16:14 Globalement, que les Sixers arrivent à supporter la pression défensive que leur a posée Boston
16:21 et qu'ils ont empêché vraiment de courir des maxis ou à recourir trop vite et perdre des ballons.
16:26 Enfin, non, non, il va falloir passer au-dessus.
16:30 Et je pense que là, c'est un global.
16:31 Ils ont l'avantage du terrain.
16:33 Ils attendent ça depuis un moment, d'être dans cette situation.
16:37 Je pense que pour eux, c'est la fenêtre de tir.
16:40 Ça m'intéresse.
16:41 C'est là où je voulais en venir un petit peu.
16:42 Vous voyez, on vous parle déjà de ce match 3.
16:44 On se projette, ce sera dans la nuit de vendredi à samedi, demain soir, ce match 3 à finalifier.
16:49 Et notez déjà que le match 4, ce sera à l'affiche de notre SNL, d'ailleurs dimanche à 21h30.
16:53 Ce sera un match qu'ils vous proposeront, évidemment.
16:55 Aujourd'hui, il y a un partout.
16:56 Vous l'avez dit, ils ont l'avantage du terrain, ces Sixers.
16:58 Maintenant, l'impression laissée hier, elle est pour Boston.
17:00 Qui a l'avantage, Xav', aujourd'hui ? Quel momentum ?
17:03 Je suis plutôt parti sur du 50/50.
17:08 Alors évidemment, toujours du tour de l'instant, Boston vient de gagner.
17:11 Donc, on pense que Boston vient de repartir.
17:13 Mais je ne suis pas du tout sûr qu'ils soient eux-mêmes dans cet état d'esprit.
17:16 Même si tu mets un statement, tu peux mettre 34 points, tu en aurais mis 50, tu en aurais mis 4.
17:20 C'était la même histoire, de toute façon.
17:21 On ne compte pas la différence de points.
17:24 Mais le message est pas le même.
17:25 Quand tu gagnes de 35 comme ils ont fait là, ou tu gagnes de 1 ou 2 heures.
17:28 C'est sûr.
17:29 Oui, c'est sûr.
17:30 Mais je ne sais pas.
17:31 Je pense que Philly, ils étaient venus chercher un match.
17:35 Je ne pense pas que ce match hier soir laisse énormément de traces dans les esprits, honnêtement.
17:40 En tout cas, il n'a pas effacé le match d'hier, malgré l'écart aussi paradoxal que ça paraisse.
17:46 Il n'a pas effacé l'impact de James Harden, Tobias Harris, Maxi, premier match.
17:52 Il y a un retour de la série à égalité.
17:56 Retour de Joel Embiid.
18:00 Retour, parce que c'était un peu arrivé contre Atlanta de Chris Haddress de Taito.
18:06 C'est vraiment un 50/50, comme son nom l'indique.
18:09 Après, il n'y a pas de momentum clair, si ce n'est que dans le côté "Pourquoi pas nous ?"
18:15 Ce n'est plus ce côté Sixers.
18:17 Et que pour l'instant, les Celtics, qu'on adore, qui sont les perdants de l'année dernière,
18:24 ils n'assument pas le...
18:28 Je sens bien que ce que vous me dites, il n'y a pas ce petit truc en plus qu'on a besoin pour être champion.
18:32 Ils ne sont pas rassurants.
18:34 Ils jouent bien, mais je les trouve un peu nonchalants parfois.
18:37 - Une bonne différence par rapport à l'année dernière, je trouve.
18:39 - Ils sont moins guerriers.
18:41 Là, ils sont rassurés en défendant, mais ils n'ont pas réussi à trouver l'attaque.
18:46 Il y a peut-être des rôles et des équilibres de minutes à donner différents.
18:51 Ils ont Brogdon, comme vous l'avez dit, très bien, qui pallie à une défaillance majeure à chaque fois.
18:59 Ce sera Jalen Brown, ce sera Marcus Smart, ce sera Jason Tatum.
19:03 Brogdon, il peut tout pallier.
19:05 Donc, à priori, il est plus fort pour moi, mais il ne donne pas les signaux.
19:11 - Je vous écoute, mais j'ai du mal à me détacher des magnifiques moustaches que vous avez derrière vous, Jacques.
19:14 Je suis désolé, derrière.
19:16 - La photo de Larry Bird est incroyable.
19:20 - Le docteur.
19:21 - Le doc, Julie Servigne et Larry Bird, les Sixers et les Celtics.
19:23 - Oui, mais enfin, ça, c'est regarder le doigt et la lune,
19:26 parce qu'à côté de Larry Bird, il y a quand même un joli trophée comme Julius.
19:31 - Bref, désolé pour ça.
19:33 On va se régaler, en tout cas, dans cette suite de séries.
19:35 Vous avez compris que c'est hyper indécis entre Philly et Boston.
19:38 En attendant, c'était le seul match de la nuit.
19:39 Il me faut malgré tout, les gars, la tradition MVP sur cette rencontre.
19:42 A priori, ça se joue entre eux.
19:44 Jalen Brown ou Malcolm Brogdon ?
19:46 - Je vais sur Brogdon, parce que je vous l'ai dit, je l'aime bien.
19:48 Je ne dis pas que je n'aime pas l'autre, mais c'est que Brogdon, je l'aime toujours bien.
19:51 On va le donner à Brown, parce que c'est lui qui a impulsé le score au début de rencontre.
19:55 Je vous avoue que Brogdon a marché aussi.
19:57 - C'était le leader dans l'attitude.
20:00 - Il a pris les premières options.
20:03 Il a géré.
20:04 C'est un très fort joueur.
20:06 - C'est notre MVP de cette nuit.
20:08 Histoire de ne pas perdre les bonnes habitudes, on a quand même un top à vous proposer.
20:11 Pas du match, parce qu'il n'y a pas eu d'action d'éclat qui méritait un top 5 ou un top 10.
20:14 On vous a proposé de concocter la Team Envy Extra un top 10 du premier tour de ces playoffs.
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22:50 Magnifique top 10 du premier tour des playoffs.
22:57 Vous avez fait attention à qui rappait la voix, ça ne vous a rien dit ?
23:00 - Si, c'est moi. - Ah ok, je sais.
23:03 Je l'ai vu, ça a écrit.
23:04 - Le retour du Shaq. - Je ne l'ai absolument pas reconnu.
23:07 - Le Shaq. - Il est de retour dans le rap gay.
23:09 - Incroyable. - Ces années après.
23:11 - Tu as lu No Hook. - Le No Hook de Shaq.
23:14 Incroyable.
23:16 Ce n'est pas ce qu'il a fait de mieux dans sa carrière.
23:18 - Ce n'est pas ce qu'il a fait de pire non plus. - Non, c'est vrai.
23:21 - Il a suffi d'aller au cinéma. - Voilà, par exemple.
23:23 Shaquille O'Neal est de retour dans le rap gay.
23:25 Nous, on va rester un peu sur Boston, on a un peu de temps aujourd'hui.
23:28 Je voulais qu'on se plonge un peu dans la carrière et la vie
23:31 d'un homme qu'on a appris à connaître l'année dernière
23:33 pendant les finales NBA et qui est tellement à part.
23:35 Jalen Brown. J'ai envie qu'on parle de celui qui a été
23:37 le meilleur joueur des Celtics la nuit dernière,
23:39 lui qui était le troisième pic de la draft 2016,
23:41 passé par les cerveaux de Berkeley en Californie.
23:44 Cette fac plus connue pour ses académiques
23:46 que pour sa capacité à sortir des joueurs NBA.
23:49 Regardez un petit peu le cheminement de l'homme
23:51 qu'est Jalen Brown et on parlera de sa situation sportive ensuite.
23:55 C'est parti.
23:58 C'est parti.
24:01 Ouais, ouais.
24:03 Hey, hey.
24:05 C'est un beau matin, le Chat NBA.
24:07 Et on parle de la prochaine génération,
24:09 la prochaine vague de leaders de l'NBA.
24:11 Ces gars sont électrifiant.
24:13 Jalen Brown avec le pitch.
24:15 Il y a un tir et un.
24:21 C'est incroyable comment les choses changent
24:23 et ils sont dangereux chaque nuit.
24:25 Je crois que le jeu est en bonnes mains.
24:28 C'est parti.
24:31 C'est parti.
24:34 C'est parti.
24:37 C'est parti.
24:40 Ouais, maintenant j'ai un bruit d'adrénaline.
24:42 Je regarde Steph Curry se réchauffer,
24:44 je regarde Andre Boudala se réchauffer.
24:46 C'est presque inréel.
24:48 C'est une très bonne sensation.
24:50 J'ai hâte de voir les finales.
24:52 Un jour je veux être dans la même situation que lui.
24:54 Je veux y arriver tellement vite.
24:56 Je serai là.
24:58 En étant au jeu en 2016,
25:01 en regardant les finales de l'NBA,
25:03 où je disais, en tant qu'18 ans,
25:05 un jour je serai là,
25:07 je ne pense pas que ce soit une coïncidence
25:09 que 6 ans plus tard, en 2016,
25:11 je serai exactement dans le même endroit
25:13 que je disais que je serai.
25:16 Je suis à San Francisco.
25:18 J. Brown fait sa première finale de l'NBA à Pune.
25:20 Transition à Brown, avec un coup de feu,
25:22 et il le fait avec son poignet.
25:24 Curry, avec un 3, c'est bien.
25:26 Il a 22.
25:28 Brown, Brown, le bloc.
25:30 Re-recharge à Jordan, reload 3.
25:32 Et il l'a.
25:34 Steph Curry de loin en dehors.
25:36 Les Warriors de l'État de l'or,
25:38 encore une fois, sont les champions de l'NBA
25:40 en 2022.
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28:02 Si tu y mets tout ton esprit, toute ta discipline, tout ce que tu es impliqué, ça te mènera là où tu veux aller.
28:10 Ça représente une mentalité, une énergie qui n'applique pas seulement au basketball, mais aussi à la vie.
28:21 Des magnifiques images qui nous viennent d'Indonésie.
28:26 Jalen Brown, qui est un homme à part, un personnage à part dans ce grand cirque qu'est la NBA.
28:33 Oui, c'est vrai. On l'avait vu quand je l'avais interviewé l'année dernière, c'était l'année dernière sur les finales.
28:38 On avait vu quelqu'un d'extrêmement réfléchi. Tu vois qu'il y a un cerveau.
28:43 C'est quelqu'un qui est vraiment extrêmement intelligent, qui a une vision très juste. Je trouve des choses globalement.
28:52 Sans l'avenir sportif, on verra ce que ça donnera.
28:55 Mais c'est un mec qui dénote un petit peu tout le bazar du sport.
29:01 Je trouve que c'est un mec qui a un truc à part. Il est différent.
29:05 Vous aimez le personnage, Jacques ?
29:07 Beaucoup. Beaucoup dans plein de choses.
29:10 C'est quelqu'un qui réfléchit sur la vie et qui, comme le sport, c'est sa vie.
29:14 Pour l'instant, il applique ses préceptes de vie à ce qu'il fait.
29:18 Et il ne se fixe pas de limites. Il a l'ambition d'être numéro un.
29:21 Mais numéro un, pas qu'à Boston. Le meilleur.
29:26 Il a l'ambition de gagner. Il porte ça en lui.
29:28 Il fait beaucoup plus mature physiquement qu'il l'est. Il est encore jeune.
29:33 Son coach perso, Tony Dubbins, ils sont toujours à part.
29:36 Pendant les entraînements, il a souvent des couleurs différentes des autres.
29:40 C'est le mec un peu différent.
29:44 Oui, différent. Mais quel joueur !
29:46 Fantastique joueur.
29:47 Et sportivement, d'ailleurs, c'est la question qu'on peut peut-être se poser.
29:50 Je vous le dis, sachez-le, Jayden Brown n'a plus qu'un an de contrat l'année prochaine au Celtics.
29:55 Alors pour répondre à votre question.
29:57 C'est ça la question.
29:57 Alors moi, je me demande si...
30:01 S'il gagne, il est capable de partir.
30:04 S'il est champion, il pourrait partir, tenter un nouveau challenge ?
30:07 Une fois que tu as gagné un titre, tu l'as fait.
30:10 Tu peux faire ta carrière dans la même franchise.
30:12 C'est un choix, mais c'est souvent une bascule.
30:15 À un moment où...
30:16 Il sait aussi que la franchise aujourd'hui appartient et appartiendra toujours à Jason Teru.
30:20 On est d'accord.
30:22 Donc est-ce que ce ne sera pas le moment de...
30:23 Est-ce que vous sentez en lui qu'il ait cette envie d'être numéro un ? Absolu ?
30:27 Pas qu'on le dise, mais qu'il l'ait sur le terrain, oui.
30:30 C'est un gourmand sur le terrain.
30:32 Naturellement, il est presque plus porteur de ballon que le T2.
30:36 Alors, comme l'autre a progressé dans les grandes largeurs aussi,
30:40 ils ont deux attaquants qui sont incroyables de niveau.
30:45 Si on fait un classement sur leur poste, qui est presque le même,
30:48 ils ne sont pas loin d'être ensemble ou l'un avec l'autre.
30:52 C'est rare de voir...
30:54 On a eu ça, même s'il y avait une différence, il y aura toujours une différence,
30:58 à l'époque de Jordan et de Pippen, où on remit un Drexler qui était à peu près dans leur cours,
31:03 Barclay, quand il perdait les 15 kilos qu'il avait en trop.
31:08 Voilà, il n'y en avait pas ainsi, Dominique Wilkins, pas tant, j'en oublie, Smith...
31:13 Mais Pippen était numéro deux.
31:18 Donc tu as les deux meilleurs ailiers...
31:20 Qui jouent ensemble.
31:21 Particulier comme scénario.
31:23 Et ce personnage de Jason Brown qu'on voulait vous faire connaître un petit peu mieux aujourd'hui,
31:26 après sa belle prestation la nuit dernière.
31:28 Et la victoire de Boston.
31:29 Bon, ça fait un partout dans cette série, ne bougez pas,
31:32 on va faire une petite pause très courte dans NBA Extra aujourd'hui, c'est promis.
31:34 Quand on revient, on va pouvoir vous parler de ce qui nous attend ce soir.
31:37 Ce Lakers Warriors actuel.
31:39 Il n'y a pas du tout un partout, il y a un zéro pour les Lakers là-dedans.
31:43 Et on verra ce qu'il y a demain.
31:44 On essaie en tout cas de défricher un petit peu tout ça.
31:46 [Musique]
32:03 Je vous avais promis que c'était très court.
32:05 On est déjà de retour en live avec Xavier, avec Jacques,
32:07 pour vous parler de ce qui nous attend ce soir entre les Warriors et les Lakers.
32:10 Avant ça, une annonce, une de plus.
32:12 Sachez que nous avons un nouveau trophée qui a été remis hier en NBA.
32:15 Elle concerne cette fois le meilleur dirigeant de l'année.
32:17 Et encore, pardon, une fois, c'est pour Sacramento.
32:20 Monty McNair, le General Manager des Sacramento Kings,
32:24 est élu Executive of the Year en NBA.
32:27 Pour la petite info, ça j'ai crampé une capillonne, c'est quand même bien loin tout ça.
32:31 C'est dur.
32:32 Ouais, un peu.
32:33 C'est super dur.
32:34 Un trophée de plus, Xav' pour les Kings.
32:37 Ouais, celui-là, alors là, il est tout sauf volé, je vais vous dire.
32:40 Parce que la construction, il la doive à cet homme-là.
32:43 Et quand on voit la saison extraordinaire qu'ils nous ont fait,
32:46 tant mieux, bravo, rien à dire.
32:49 Je suis un peu plus surpris de voir les Cavaliers derrière tout ça.
32:52 Mais maintenant qu'on sait ce qui s'est passé en play-off, bref.
32:55 Toujours des votes qui sont en flot à la fin de la saison régulière, je le rappelle.
32:58 C'est ça qui est important de souligner,
33:00 parce que c'est vrai qu'ils ont fait une belle saison régulière les Cavs.
33:03 Voilà, non, non, pour moi, en saison régulière, ça va.
33:06 Il y a eu des blessés, ils sont revenus.
33:07 Ils sont venus avec les très bons.
33:09 Ils sont juste devant qui ? Les Knicks.
33:11 Oui, qui font une bonne saison aussi.
33:13 Il faut se faire à l'idée que les Knicks font une bonne saison, Jacques Montclar.
33:17 Oui, oui, oui.
33:18 Il faut l'arriver.
33:19 C'est fini, c'est terminé, tout ça de jouer le maintien.
33:21 Vous jouez aux finales NBA, maintenant.
33:22 Bref, monsieur McNair, bravo.
33:24 Heureusement qu'ils ont pas joué le maintien.
33:26 Oui, bien sûr.
33:27 Moi, je dirais que c'est le choix du coach qui est validé, surtout.
33:29 Parce qu'il a tout changé.
33:31 Et à la limite, le move qui a bien marché, c'est sa bonus.
33:35 Donc c'est un move de l'année dernière.
33:38 Il aurait été responsable, celui qui l'a fait de là.
33:41 Oui, oui, oui.
33:42 Et laisser partir Liberton, ça peut paraître comme une douce souffrance, mais à la sortie, ça a été un bon effort.
33:48 Et puis surtout, responsabiliser D'Aaron Fox.
33:51 Arriver à le développer.
33:53 On va rajouter un bon choix de draft l'année dernière avec Kegan Murray.
33:57 Donc oui, oui, il a pris des bonnes décisions, ce top-là.
34:00 Vous voyez, ça fait une belle saison pour ces Kings qui avaient déjà le coach de l'année avec Mike Brown, unanime.
34:04 Et le tout nouveau clutch player of the year pour D'Aaron Fox.
34:08 Trois trophées pour cette équipe des Kings qui aura poussé en sept matchs le champion en titre, les Golden State Warriors.
34:14 On y vient à ces Golden State Warriors qui nous attendent ce soir pour le match 2 face aux Lakers de Los Angeles et de LeBron James.
34:22 Je vous emmène cette fois à San Francisco.
34:25 Nous sommes heureux de jouer à ce niveau et d'être excités pour un nouveau chapitre.
34:30 Deux des grands de l'NBA.
34:32 Stephen Curry contre LeBron James.
34:36 Ils ont joué 22 matchs finaux contre each autre. C'est incroyable.
34:41 Ce sont deux joueurs iconiques que nous allons parler de.
34:44 Stephen Curry avec de la magie.
34:47 James met le 3.
34:48 Oh, c'est bon. LeBron James de la ville.
34:52 Les deux MVP sont encore encore encore.
34:55 Ils ont tous les numéros.
34:59 Quand on regarde tout ce qu'ils ont accompli, le respect, la friandisse, la compétitivité,
35:05 c'est évident entre les deux.
35:07 LeBron James contre Stephen Curry.
35:09 Deux futurs Hall of Famers qui ont gagné.
35:12 Ce duel entre LeBron James et Stephen Curry qui anime et agite toute l'NBA.
35:19 Rendez-vous ce soir à 3h du match en live sur B'zav.
35:22 Avec qui au boulot ce soir ?
35:24 Avec Tony Masson et Christopher Singleton.
35:28 Il veut absolument suivre l'intégralité de cette série, notre ami Christopher.
35:32 Il a complètement raison. Je le comprends tous les jours.
35:35 On peut comprendre ça, évidemment.
35:37 Ce n'est pas le seul à vouloir suivre cette série.
35:39 Sachez que vous tous, les abonnés B'zav, vous voulez la suivre.
35:41 Et que tous les Américains adorent la suivre.
35:43 Sur le match 1, TNT qui diffusait ce match a fait son record d'audience historique.
35:48 Pour un match de deuxième tour de play-off.
35:50 7,4 millions de téléspectateurs si vous voulez le chiffre.
35:53 Jacques, cette série est en train d'agiter tout le microcosme NBL.
35:57 Déjà Warriors Kings avaient fait plus de 5 millions.
36:00 Et ça avait été une belle performance.
36:02 Et là, ils explosent tout.
36:03 C'est LeBron contre Stephen.
36:05 C'est Stephen contre LeBron.
36:06 C'est aussi les deux institutions.
36:08 Parce que les Lakers, comme Boston à l'Est, sont le némésis de tout le monde.
36:14 Et puis les Warriors, ça fait 10-15 ans, enfin 10 ans, qui sont vraiment le nez à la fenêtre et dominants.
36:21 Donc l'histoire est belle, l'histoire est fantastique.
36:24 Une série qui plaît à tout le monde, qui agite tout le monde.
36:26 Il y a du basket derrière.
36:28 Heureusement, il faut ça dans le fond.
36:30 Et dans ce match 1, vous me parlez de personnages, on en a vu un émerger.
36:34 C'est Anthony Davis.
36:35 Je vous propose de revivre en coulisses le match 1 complètement fou.
36:38 Les 30 points et 23 rebonds d'Anthony Davis.
36:42 Le match 1
36:44 C'est le match 1.
36:45 C'est les Lakers de Los Angeles et les Warriors de Golden State.
36:49 Et Anthony Davis, en fait, fait tout pour les Lakers.
36:53 Je pensais que l'AD avait un bon match.
36:55 Je veux dire, il a évidemment dominé.
36:56 Davis, un petit jumper.
36:59 Oh, regardez James le laisser pour Anthony Davis.
37:03 Très sûr.
37:04 Donnez-le à LeBron.
37:05 LeBron, en plein, dans le milieu, a réussi à le donner à l'AD.
37:08 Davis, un petit jumper.
37:11 Oh, et il va en bas.
37:13 Une chance et un 3 points.
37:15 Davis les garde dans le match avec 9 points de tir.
37:18 20 points.
37:19 Une énorme performance.
37:20 Il a dominé les playoffs.
37:22 Il était sur le court pendant presque toute la série.
37:24 Il a dominé la dernière série quand il était là.
37:26 S'il peut jouer, il va dominer le match.
37:28 Russell, sur le feed d'Anthony Davis.
37:31 Et Russell le met en bas.
37:32 Oh, Davis.
37:34 Oh, il le met dans le saddle quand il va fort et le tombe.
37:39 Il est élite en défense.
37:40 Son capacité à changer de tirs, bloquer des tirs,
37:43 et puis encore gâcher les rebonds, c'est rare.
37:46 C'est une compagnie rare, mais God a réussi à le faire.
37:48 Wiggins, en plein, dans le milieu, bloqué par l'AD.
37:51 Quel bloc spectaculaire de Anthony Davis.
37:54 Wow, un mouvement athlétique.
37:56 Reeves, pour 3 points.
37:58 Pas bon, le rebond, Davis.
38:00 Davis, il a le pouvoir, il le met en bas pour Vanderbilt.
38:03 Il l'a battu.
38:04 Davis, le rebond et le retour de la pointe.
38:07 On est venu, on a un match.
38:09 C'est juste un concept pour notre équipe.
38:11 En sachant que nous pouvons gagner dans ce bâtiment,
38:13 que nous pouvons battre cette équipe,
38:14 c'est un boost de confiance pour nous.
38:16 Here's Steph, dribbling, top of the key.
38:18 Driving down the middle, bloqué par l'AD.
38:20 4e bloc par Anthony Davis.
38:22 Ils ont été l'un des meilleurs équipes de défense
38:24 dans la Ligue pour une raison,
38:26 et il est un énorme partenaire de ça.
38:28 Le premier match appartient aux Lakers de Los Angeles.
38:32 Anthony Davis, 30 points, 23 rebonds.
38:37 Il avait 5 assists et 4 blocs aussi.
38:41 Et les Lakers ont pris le premier.
38:45 Ils ont donc pris, mathématiquement,
38:47 l'avantage du terrain, c'est les Lakers.
38:49 1-0 pour eux dans cette série.
38:50 Xav', on attend quoi ?
38:51 Tu attends quoi de ce match de ce soir ?
38:53 La victoire impérative des Warriors.
38:55 Pour lancer vraiment définitivement la série,
38:57 il faut absolument ça.
38:59 Si on va à LA avec un avantage de 2-0 pour les Lakers,
39:02 c'est plié.
39:03 Maintenant, il y a une vraie mission pour Steph Curry et compagnie.
39:05 LeBron quand il gagne un match 1 d'une série de play-off,
39:08 c'est 28 qualifications, 2 éliminations.
39:11 Mais encore une fois, on est en train de parler des Warriors.
39:13 Cette équipe qui aurait dû se faire sortir au premier tour.
39:15 Cette équipe qui, l'année dernière, allait certainement perdre en finale.
39:17 Cette équipe qui, elle arrivait toujours là.
39:19 Donc, est-ce qu'ils vont encore, une fois, être là ?
39:21 On ne peut qu'espérer, bien sûr.
39:24 Parce qu'on a envie que cette série aille le plus loin possible.
39:27 Puis je vais vous dire, même si on va à LA à 2-0,
39:30 ils sont encore capables de les gagner les deux matchs à LA.
39:32 On ne sait jamais avec eux.
39:33 C'est incroyable.
39:35 Cette série, elle peut aller dans tous les sens, n'importe où.
39:37 J'en sais rien.
39:39 On aimerait presque l'avoir à 1
39:41 pour être sûr qu'il y en ait au moins 5.
39:43 - Même si on a quand même beaucoup de mal à croire en 2-0.
39:46 - Moi, j'ai un oui, bien sûr.
39:48 Mais bon, de la même manière,
39:51 tout arrive dans ces choses-là.
39:54 Moi, je ne sais pas, j'ai un doute sur la capacité de Steph Curry
39:59 à supporter physiquement ce qu'ils sont en train de lui infliger.
40:02 Parce qu'il y a vraiment un plan avec des personnes.
40:05 Et à mon avis, il y a d'autres personnes.
40:07 Il y en a deux qui ont déjà été désignées et montrées.
40:09 Ce sont Schroeder et Van Der Bilt.
40:12 Mais je pense que d'autres peuvent y passer.
40:14 Je pense aussi que de l'autre côté, côté bémol pour les Warriors,
40:18 Steph, il a beaucoup pris émotionnellement dans le match à 7.
40:23 Il a beaucoup donné physiquement.
40:25 Là, il n'a pas été...
40:27 On ne le sentait pas non plus en rythme comme il peut l'être.
40:31 Est-ce qu'il aura récupéré ?
40:32 Je crois que c'est une bonne question.
40:34 Et puis, quand en basket, il y a un joueur qui domine tout le monde sur le terrain,
40:37 c'est le rôle de toute une équipe, c'est le rôle d'un staff,
40:40 c'est le rôle du coach de trouver des moyens de ralentir Anthony Davis.
40:44 Ils ne vont pas le couper, mais il faut baisser son pourcentage.
40:47 Ils ne peuvent pas supporter des pourcentages comme ça.
40:50 Il faudra que Draymond Green, il faudra que Wiggins aient un apport point aussi.
40:54 Voilà, parce que Looney, Thompson, ça va faire son taf.
41:02 Jordan Poole est un facteur aussi plus des Warriors.
41:06 Ils étaient à une possession du match.
41:09 À mon avis, la série a beaucoup penché.
41:16 Pour les Warriors, il y aurait mieux valu l'inverse,
41:19 parce que l'enchaînement de fatigue me paraît plus important pour les Warriors
41:23 que pour les Lakers.
41:25 Vous me parlez beaucoup de Draymond Green, et c'est normal.
41:27 Cette défense face à Anthony Davis débordait sur le premier match.
41:30 Draymond Green, la question que les confrères US ont posée à Steve Kerr,
41:33 est-ce qu'il doit en faire plus, Draymond Green ?
41:35 Je n'ai pas vraiment besoin de dire grand-chose à Draymond.
41:40 Il était très déçu la nuit dernière, dans la perte.
41:45 Je sais qu'il a l'impression d'avoir pu faire plus.
41:48 Je sais bien que Draymond répond toujours à un match comme celui-ci
41:53 avec de la bonne énergie et de l'effort.
41:56 Je n'ai pas de doute, il jouera bien demain, il sera prêt.
41:59 On a fait de bonnes choses, on a mis le ballon dans la peinture.
42:03 Mais il faut avoir un sentiment pour Davis,
42:09 et son taille et sa longueur,
42:12 avant de pouvoir vraiment déterminer comment attaquer.
42:18 Je pense que les premiers matchs sont super pour cette raison.
42:21 Tu le sens, tu le vois sur la tape, et tu peux t'adapter.
42:25 Je pense qu'on peut jouer avec plus de force, en général.
42:30 Je pensais qu'ils étaient le plus agressif de la nuit.
42:33 C'est hyper intéressant tout ça, Jacques, on se disait en écoutant l'interview.
42:36 Est-ce qu'ils ne pourraient pas tenter un petit coup de zone, Steve Kerr ?
42:39 Des zones, bien sûr.
42:40 Il va falloir limiter le nombre de touches de balle de Davis pour eux,
42:44 et puis contrôler le rebond, parce qu'il fait la loi.
42:47 Et côté défensif, l'impact de Davis, c'est de contrer ou changer les shoots, dissuader.
42:53 Voilà.
42:54 Si vous le laissez dans la raquette, recevoir un LashRodder, va jouer avec lui,
43:00 le Braun, ils sont patients les Lakers.
43:02 Et puis en Stingray, il faisait quelqu'un qui aurait pu faire la passe.
43:06 Alors on nous montre quoi ?
43:08 Je n'ai pas tout à fait compris ce qu'on a fait.
43:12 C'est pour montrer cette possibilité de zone qu'ils ont tenté,
43:15 mais que très peu les Warriors en ce moment ont.
43:17 Oui, il faut surtout que ça marche.
43:19 Aux États-Unis, la zone est adaptée aux hommes, et il faut protéger le rebond.
43:24 On se fait souvent attaquer, c'est pour ça qu'ils sont réticents.
43:27 Je crois surtout aussi qu'il faut le faire jouer.
43:29 Les bons contreurs, vous savez, il faut les attaquer en 1 contre 1.
43:32 C'est le meilleur moyen de leur faire faire des fautes.
43:34 Damon Green doit être plus agressif, Wiggins doit être plus agressif.
43:38 3h du mat, ce soir avec Tony et Chris, le rendez-vous sur Bean en live pour ce match 2.
43:43 Tellement excitant entre Warriors et Lakers, en live bien sûr, du Chase Center, Bean Sport 1, vous notez déjà.
43:50 Et vous, vous voyez quoi ? 2-0 ?
43:52 Moi je vois 4-0 Lakers, champion NBA, 4-0 les affiliés, ça va bien.
43:56 Il est pas là.
43:59 Merci de la rémotion, à demain.
44:01 Il faut qu'il prévienne sa maman qu'il a vendu la maison là-dessus.
44:04 Donc je n'ai pas.
44:06 Merci à vous de nous avoir suivis aujourd'hui, merci à la team NBA Extra du jour,
44:09 Marie Fatou Gay, Wassim Saïdoun, Florian Michel, merci les copains, on se retrouve ce soir à 3h pour ce grand match.
44:15 Et demain, pour vous débriefer tout ça, midi 45.
44:17 À demain.
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