Mario Gomez (vainqueur de la Ligue des champions 2013 avec le Bayern et Cenk Tosun (international turc, 49 sélections), ont livré leur regard sur la Ligue des champions, cette compétition qui a marqué leurs carrières respectives. Avec des anecdotes croustillantes à la clé.
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00:00 C'est un moment spécial pour tout le monde.
00:02 C'est le rêve de chaque joueur.
00:04 C'est le meilleur tournoi au monde.
00:07 J'ai vraiment apprécié chaque match de la Ligue des Champions,
00:11 le chant, l'atmosphère, tout.
00:13 Fuyol, parce qu'il était une bête,
00:23 il était juste un monstre.
00:25 Et en fait, mon père est espagnol,
00:27 donc j'ai toujours senti que je parlais à la piste
00:30 en disant "Salut" à ces gars,
00:31 parce que bien sûr, je suis espagnol et on est des frères.
00:34 Donc je suis allé à la piste et je lui ai dit "Salut"
00:36 et il ne m'a pas répondu.
00:38 Et puis il m'a frappé et a parlé de merde à moi
00:42 tout le match et j'étais comme "Qu'est-ce qui se passe ?"
00:45 C'est son personnage sur le terrain.
00:47 Il a toujours été fou,
00:49 fou de bien aussi pour son équipe.
00:51 Oupama Khan, qui joue pour Bayern Munich en ce moment,
00:55 même si il était en jeunes années,
00:57 et qu'il jouait pour Leipzig,
00:59 il était vraiment fort, rapide.
01:02 Je pourrais dire que Ricardo Coelhorn
01:14 était l'un des meilleurs joueurs
01:16 ou le joueur le plus amusant que j'ai joué avec,
01:20 parce qu'il était tellement talentueux,
01:21 c'était un incroyable croisseur
01:23 et pour le striker, c'est tellement important
01:26 s'il y a un gars qui peut croiser avec les yeux fermés.
01:29 À gauche, il y avait Franck Ribery,
01:32 très, très talentueux et un meilleur collègue.
01:35 Il a toujours essayé de me mettre en position.
01:38 À droite, Arjen Robben, totalement différent.
01:41 Il a toujours voulu finir,
01:42 il ne m'a jamais vu,
01:43 mais il m'a utilisé pour jouer avec,
01:45 mais il a voulu finir par lui-même.
01:47 L'un de mes joueurs préférés de tous les temps est Philipp Lahm,
01:50 parce qu'il était incroyable.
01:53 Dans ce national de 10 ou 12 ans,
01:56 et 4 ans de Bayern,
01:58 il a perdu moins de 20 buts.
02:01 On pouvait toujours lui donner le but
02:02 et il s'en occupait.
02:05 C'est pour ça que pour moi,
02:06 il était un très spécialeur.
02:08 Je donnerais ma choix à Real Madrid.
02:16 Le coach, Mr. Angelo Ortiz, est toujours là.
02:20 Je travaille avec lui à Everton.
02:21 Je l'aime vraiment.
02:23 Il est une personne spéciale pour moi.
02:24 Ils croient jusqu'à la dernière seconde en eux-mêmes.
02:27 C'est un très, très grand équipe,
02:29 je pense la plus grande de notre époque.
02:31 C'est pourquoi je pense aussi
02:32 que Madrid va passer très, très fort.
02:36 ♪ ♪ ♪