• il y a 2 ans
VLOG - AVIS CRITIQUE DU FILM BABYLON !

Salut à tous !
Nouvelle critique où je donne mon avis critique sur le film BABYLON de Damien Chazelle avec Margot Robbie et Brad Pitt !
Propriétaire : Paramount

#Babylon #DamienChazelle
Transcription
00:00 La filmographie de Damien Chazelle ressemble de plus en plus à une dictature.
00:04 "C'est le lieu le plus magique du monde"
00:06 *Musique épique*
00:12 Bonjour à tous et j'espère que vous allez bien, moi ça va très très bien, pourquoi ça ?
00:16 Parce qu'on lance les critiques en cette année 2023, c'est la première critique sur la chaîne
00:21 et on parle pas de n'importe quel film.
00:23 On va parler de Babylone, de Damien Chazelle que j'adore,
00:26 ça faisait partie de mes très très grosses attentes, Babylone, on en parle !
00:30 Babylone est le quatrième film de Damien Chazelle et est porté par Margot Robbie et Brad Pitt.
00:36 Nous sommes dans le Los Angeles des années 20, récit d'une ambition démesurée et d'excès les plus fous.
00:41 Babylone retrace l'ascension et la chute de différents personnages lors de la création d'Hollywood,
00:46 une ère de décadence et de dépravation sans limite.
00:49 Bon, cette critique ça va pas être très simple vu tout ce qu'on se prend dans le visage pendant 3h10,
00:55 parce que oui, le film dure 3h10.
00:57 Il y a un côté un peu fourre-tout dans l'oeuvre et là dans ma tête, c'est un petit peu ça aussi,
01:02 c'est un feu d'artifice qui part dans tous les sens donc il va falloir en parler calmement.
01:08 Déjà oui, Babylone, c'était ma grosse attente de ce début d'année,
01:11 même une de mes plus grosses attentes de 2023, c'est du Damien Chazelle.
01:14 Vous savez que j'adore le réalisateur et ce qu'il nous a déjà proposé malgré son jeune âge,
01:19 Damien Chazelle a 38 ans ce jeudi.
01:22 On va le rappeler mais il a fait 4 longs-métrages, l'excellent Whiplash,
01:26 La La Land, j'ai même pas besoin d'en parler, il y a le cadre derrière moi, ça en dit long sur ce que j'en pense.
01:30 Pour ce film, il était devenu le plus jeune réalisateur à chopper l'Oscar du meilleur réalisateur.
01:36 Il y a ensuite First Man qui était assez mou durant les deux premiers tiers de l'oeuvre
01:39 mais par contre, le dernier acte, l'alunissage,
01:43 c'était un de mes plus grands moments dans une salle de cinéma, clairement.
01:52 Donc ouais, First Man, j'adore, même si j'avais quand même quelques réserves.
01:55 C'était il y a 4 ans déjà et entre temps, il y a eu quoi ? Il y a eu le Covid.
01:59 Damien Chazelle a aussi bossé sur sa série Netflix, The Eddy,
02:03 que là pour le coup, c'était une grosse déception.
02:05 J'avais mais pas du tout aimé.
02:07 Donc aujourd'hui, Babylone, c'était important de remettre l'église au milieu du village
02:12 et bordel, va falloir calmer Damien Chazelle parce que là, proposer un film dès le 18 janvier comme ça,
02:18 c'était mon premier cinéma de 2023 et j'ai déjà l'impression d'avoir vu mon film préféré de l'année.
02:26 Waouh, il va falloir que j'arrive à cadrer un petit peu cette critique dans ma tête
02:30 mais le feu d'artifice de malade, je sais pas comment vous dire ça mais si son cinéma vous parle,
02:35 si son cinéma vous fait rêver, vous fait rire, vous apporte un certain réconfort,
02:40 vous donne envie de danser encore une fois, courir au cinéma,
02:44 vraiment, son cinéma, personnellement, me transcende.
02:47 Il a sorti seulement 4 films, 4 moments de cinéma inoubliables pour ma part, hors du temps,
02:53 je rappelle son âge, seulement 38 ans, la dictature, Chazelle est en marche.
03:12 Vous l'avez compris, avis plus que positif pour ce Babylone, quelques petits points négatifs,
03:17 on va y revenir mais vu la générosité du bébé, vu tout ce qu'on se prend dans la tête,
03:22 dans le visage, dans les oreilles aussi, les points négatifs, c'est pas ce qui va le plus ressortir.
03:27 On prend plaisir à se retrouver dans cette Hollywood des années 20 il y a un siècle,
03:31 c'est une déclaration d'amour au cinéma vous vous en doutez,
03:34 un peu comme le Once Upon a Time in Hollywood de Tarantino, cette fois-ci en bien plus électrique.
03:40 On a aussi le prochain Spielberg qui sort dans un mois au cinéma,
03:43 que j'ai déjà vu comme pas mal de personnes, on en parlera bien sûr sur la chaîne,
03:47 qui est là aussi une déclaration d'amour au cinéma et à la réalisation.
03:52 Ici on va rendre hommage à cette époque très excessive, dépravée, en plein dans la décadence,
03:57 drogue, alcool, vomi, pipi, caca, sexe, tout y passe.
04:01 On va suivre l'arrivée du son au cinéma, l'arrivée du parler et toutes les problématiques que ça a engendré,
04:06 parce que oui, tourner des scènes muettes et des scènes où les acteurs doivent parler,
04:10 c'était très différent, ça apportait pas mal de nouvelles choses, pas mal de contraintes.
04:15 On a toute une séquence géniale qui va être dédiée à ça avec un réalisateur qui va péter un câble
04:21 à chaque fois qu'une porte va s'ouvrir, que quelqu'un de l'équipe va éternuer ça durant les prises.
04:26 C'était tellement drôle, le long métrage est drôle d'ailleurs,
04:30 que ce soit grâce à ces situations qui sont grotesques,
04:33 ces personnages, ces dialogues, son montage aussi, t'as des cuts super bien placés
04:37 qui t'amènent sur des situations tellement en décalage avec ce que t'étais en train de suivre.
04:41 Du coup oui, le montage est drôle, il est aussi super entraînant, vous savez, lorsqu'on essaie de faire en sorte
04:47 qu'il soit en rythme avec la musique.
04:49 C'était vraiment top et on voit aussi que l'arrivée du parler, le fait de devoir demander aux acteurs de jouer en parlant désormais,
04:55 et bah, ça a brisé des carrières, parce que c'était pas si simple que ça, c'est une autre manière de jouer la comédie.
05:02 Faut savoir jouer avec l'intonation de sa voix, etc.
05:04 Donc bon, déjà, si vous aimez le cinéma, je ne doute pas du fait que vous allez réussir à être transporté par cette atmosphère,
05:11 par cette ambiance des années 20, et aussi à être transporté par la réalisation de Damien Chazelle,
05:16 parce qu'encore une fois, quel coup de maître, là il va falloir m'expliquer un truc,
05:21 Damien Chazelle n'était pas nommé la semaine dernière au Golden Globes du meilleur réalisateur,
05:26 qui a été emporté par Spielberg.
05:28 Et je le sens déjà venir, ça va m'énerver, mais je sens que les Oscars vont aussi lui tourner le dos,
05:32 il va falloir m'expliquer en quoi Spielberg le mérite plus que lui, par exemple.
05:37 Certainement le thème de son film, alors attention, on est sur quelque chose de très bon aussi, bien sûr.
05:42 Spielberg fait son autobiographie et parle de son amour pour la réalisation.
05:47 [Musique]
05:59 Mais bon, on va certainement pas lui donner un second Oscar du meilleur réalisateur à à peine 38 ans,
06:04 le mec en aura 10 d'ici la fin de sa carrière sinon.
06:07 Je pense pas non plus que Babylon aura beaucoup d'Oscars sinon des nominations, oui,
06:11 mais ça aura peut-être ses chances pour les décors, pour les costumes,
06:15 le montage, ça sera plutôt "Everything Everywhere" ou alors Elvis.
06:19 Pour la photographie, je ne pense pas qu'il pourra le gagner.
06:22 La réalisation, on vient d'en parler, s'il y a bien un Oscar qu'il chopera à coup sûr,
06:27 ça sera pour la musique, là, pour moi, y'a pas de débat.
06:30 [Musique]
06:34 Chazelle bosse encore une fois avec son pote Justin Horwitz, qui est à la musique.
06:37 Ils se sont quand même vraiment bien trouvés tous les deux parce qu'à chaque fois qu'ils nous pondent,
06:42 c'est mythique, tu sors de la projection, t'as qu'une envie, c'est d'aller t'enfermer dans un bar à jazz
06:47 avec la musique de Babylon en boucle, toute la nuit, danser toute la nuit sur ça.
06:52 C'est la folie furieuse, y'a quelques notes au piano qui vont nous faire penser à la Lalande.
06:56 [Musique]
07:00 Mais sinon pour tout le reste, c'est blindé d'énergie, la musique t'emporte dans ce gigadélire,
07:05 comme la caméra de Chazelle.
07:06 On a des plans-séquences de folie, des scènes dingues avec beaucoup de figurants.
07:11 La caméra qui va passer parfois à travers les murs, et vous savez aussi dans la Lalande,
07:15 cette vidéo de tournage très connue dans la scène où Mia danse dans ce bar pendant que Seb est au piano.
07:20 On a la caméra qui va passer d'un personnage à l'autre à toute vitesse, avec une précision vraiment affolante.
07:26 On voit Damien Chazelle taper sur l'épaule de son caméraman à chaque fois pour lui demander de passer de Mia à Seb,
07:31 et ça, on l'a durant tout Babylon, c'est impressionnant.
07:34 Au niveau des reproches, le seul truc que je vais avoir à dire en fait, c'est que la troisième heure de film,
07:40 on la sent quand même passer.
07:41 Les deux premières heures sont tellement dingues, c'est un gros feu d'artifice, c'est bon.
07:45 La troisième est plus posée, tu commences à sentir une baisse de dynamisme, c'est moins fun,
07:50 on passe du rêve au cauchemar, on est dans une tonalité différente.
07:54 C'est compréhensible et en accord avec le scénario, mais ça se ressent peut-être un peu trop à mon sens.
07:58 On a un peu cette sensation, alors excusez-moi pour les termes, mais on reste dans le thème du film,
08:04 on a un peu cette sensation d'éjaculation précoce.
08:07 Tu rentres dans cette troisième heure, mais tu sens qu'on a déjà envoyé le plus gros,
08:11 on a déjà envoyé la sauce.
08:13 On ne va pas tarder à passer en partie spoilers pour parler de la fin, des personnages, etc.
08:18 En tout cas, je suis toujours un petit peu retourné par ce que je viens de voir
08:21 et cette déclaration d'amour de Damien Chazelle au cinéma.
08:24 Il y a aussi pas mal de petites phrases distillées comme ça dans l'oeuvre,
08:27 comme quoi le cinéma est important pour le bas-peuple, en gros, entre guillemets,
08:31 qu'il faut faire des films pour aider les gens à combattre la solitude, etc.
08:35 Et je suis persuadé que c'est l'ambition du réalisateur.
08:39 Et oui, en tout cas, M. Chazelle, merci, parce que j'en suis sûr à 100%,
08:43 oui, vos films donnent l'impression à un certain public d'être moins seul.
08:48 Je suis sûr à 100% qu'ils apportent du réconfort, qu'ils donnent envie de rêver, de danser,
08:53 d'aimer encore plus le 7ème art.
08:55 Damien Chazelle est important pour le cinéma et il le prouve encore ici.
09:00 "Map those dreams and print them into history. Look up and say, 'Eureka, I'm not alone'"
09:07 Et ça en est tout pour cette partie sans spoilers.
09:11 Pour ceux qui vont nous quitter, n'oubliez pas de liker et de partager la vidéo,
09:15 de vous abonner et de me suivre sur tous les réseaux.
09:17 D'autres critiques arrivent sur la chaîne.
09:19 Et on va revenir dans cette partie spoilers sur les personnages,
09:22 sur la fin, sur les séquences qui m'ont marqué.
09:24 C'est parti, on spoil !
09:26 "I think that last dub, it means something."
09:27 [Musique]
09:29 [Cris]
09:31 Alors, par quoi commencer ? On est sur un film de plus de 3 heures.
09:34 D'ailleurs c'est étonnant oui de voir le titre "Babylon" arriver au bout de 30 minutes de film.
09:40 C'est là où tu te dis "Oui, je suis parti pour 3h10 d'aventure".
09:43 Le premier acte, j'en ai pris plein les yeux, plein les oreilles.
09:46 Vraiment giga claque, cette grosse fête en mode club échangiste.
09:50 Les décors, les tenues, les danses de Margot Robbie.
09:52 Y'a même un éléphant qui débarque.
09:54 Mais quel bordel !
09:55 Je veux faire des soirées comme ça, vraiment !
09:58 J'ai adoré l'acte qui suit ensuite.
09:59 On a les tournages, vous savez, en parallèle d'un côté Brad Pitt et de l'autre côté Margot Robbie.
10:04 Lui, de son côté, tout est tellement drôle.
10:06 T'enchaînes les situations grotesques.
10:08 Le cut de la pause déjeuner, le mec qui est mort parce qu'il s'est pris une lance.
10:12 Y'a quoi d'autre ?
10:13 Alors les musiciens, ça aussi c'était génial de voir les musiciens sur le tournage, derrière la caméra,
10:18 jouer la partition pendant le tournage.
10:20 Brad Pitt qui débarque totalement torché.
10:23 Et d'ailleurs aussi, on lui dit d'arrêter mais Brad Pitt qui parle italien, ça me rappelle
10:26 forcément Inglourious Basterds.
10:28 Une séquence là aussi que j'adore.
10:30 [Brad Pitt]
10:41 Elle, de son côté, elle se révèle.
10:43 C'est fun à suivre aussi.
10:44 Quand la réalisatrice lui demande de moins pleurer et qu'elle lui demande "tu veux une larme ou deux"
10:49 c'est génial.
10:49 Et d'ailleurs la réalisatrice, je me demandais où est-ce que je l'avais déjà vue, mais oui,
10:53 elle apparaît dans La La Land et dans First Man.
10:56 C'est la femme de Damien Chazelle, je viens de la prendre.
10:59 On enchaîne avec le tournage de folie lorsque le son arrive.
11:02 Margot Robbie qui doit rejouer sa scène une dizaine de fois, le réalisateur qui pète un câble
11:06 à chaque fois que quelqu'un fait du bruit, c'était très très drôle.
11:09 Margot Robbie, je l'ai vraiment trouvé énorme, c'est elle la vedette de Babylone.
11:14 Et ça me fait un petit peu mal au cœur parce qu'au départ c'était Mastone qui avait le rôle
11:18 et problème de calendrier, finalement c'est Margot Robbie qui a été engagée,
11:22 ce qui est un choix totalement logique.
11:24 Ça semblait évident, c'est le même type de femme, en plus elle a déjà joué quasiment la même chose
11:29 dans Once Upon a Time in Hollywood.
11:31 J'aurais parfaitement vu Mastone dans Babylone, c'est dommage, j'ai hâte de la retrouver
11:35 dans des oeuvres de cette envergure.
11:37 Mais oui, Margot Robbie, personnage dingue, dans l'excès total, c'est peut-être son meilleur rôle,
11:41 elle continue de monter en puissance.
11:43 Brad Pitt, toujours aussi excellent, toujours aussi drôle, je crois que j'en parlais déjà
11:47 dans ma critique il y a six mois dans ma critique de Bullet Train.
11:50 Brad Pitt me fait marrer, rien que le fait de le voir, ça me fait rire.
11:54 Je sais pas, mais c'est vraiment ce qu'il dégage, du coup c'est un plaisir bien sûr
11:58 de le suivre encore ici.
11:59 - "No eyes on all the doors said, no actors or dogs allowed."
12:02 - "I changed that."
12:03 Diego Calva, c'est la première fois que je le voyais, il est top d'eux-mêmes.
12:06 Il joue ce mec qui est prêt à tout pour s'insérer dans ce milieu de star.
12:10 J'ai forcément adoré la fin de l'oeuvre avec lui, voir ses émotions dans cette salle de cinéma
12:14 en 1952, en découvrant Chantons sous la pluie avec cette caméra qui va descendre d'un étage
12:20 et qui va te montrer ce public très diversifié.
12:23 Il y a des enfants, des adultes, des personnes âgées, des asiatiques, des noirs, des blancs,
12:27 il y a tout le monde.
12:28 Le popcorn aussi, le popcorn.
12:30 Le plan ne s'arrête pas, on part sur un plan zénital pour revenir sur Diego Calva
12:35 et puis là tu pars sur un montage de fou furieux avec des images marquantes de l'histoire du cinéma.
12:41 Du cavalier noir en passant par Méliès, le début de la couleur, les effets spéciaux.
12:46 Pour finir sur Matrix et Avatar, si t'aimes le cinéma, ce genre de montage te transcende.
12:52 C'est rentré par mes yeux et mes oreilles pour aller me chatouiller jusqu'aux orteils,
12:55 ça a traversé tout mon corps.
12:57 Et vous savez, généralement à la fin de tous les films de Chazelle, on avait ce gimmick
13:01 propre au réalisateur où les protagonistes principaux de ces oeuvres se regardent
13:06 avec des regards qui veulent dire beaucoup de choses.
13:08 Là on l'a pas forcément mais on pourrait se dire indirectement qu'on l'a quand même
13:12 parce que cette fois-ci ça ne concerne pas deux personnages mais Diego Calva est la toile
13:17 de cinéma en face de lui.
13:18 Le spectateur regarde le cinéma, le cinéma regarde le spectateur.
13:22 On dirait que le film commence à perdre un petit peu en dynamisme avec la partie
13:26 chez les bourgeois où Margot Robbie va péter un câble.
13:28 C'est à partir de là que l'on suit le déclin de tout ce petit beau monde, que l'on passe
13:32 du rêve au cauchemar.
13:33 J'ai adoré toute la séquence avec Tobey Maguire.
13:36 Là on est presque dans du registre horrifique, c'est assez dingue comme ambiance.
13:40 Ça conforte un petit peu ce que je vous disais au début, il y a ce côté fourre-tout
13:43 dans Babylone qui pourra peut-être déplaire.
13:45 Mais oui, Tobey Maguire c'était cool, totalement taré.
13:48 Lee Jun Lee et Jovan Adepo, pareil, lui la scène où il doit se noircir la peau mais
13:54 quel moment horrible.
13:55 Et je suis sûr que j'oublie encore des trucs, ça dure 3h10, oui le combat de serpent aussi
14:00 avec le père de Margot Robbie contre le serpent c'était n'importe quoi.
14:04 J'ai déjà tellement envie de retourner le voir et je vais aller le revoir, ça sera
14:08 nommé mais ça ne prendra certainement pas l'Oscar du meilleur film.
14:12 Et ça à cause de son rythme inégal principalement je pense.
14:15 Mais quel moment de cinéma inoubliable encore une fois.
14:32 Et ça en est tout pour cette vidéo, j'espère qu'elle vous aura plu, comme d'habitude
14:35 je vous invite à la liker, à la partager, à me dire en commentaire ce que vous avez
14:38 pensé de l'oeuvre en question, à vous abonner et à me suivre sur l'intégralité de mes
14:41 réseaux pour toutes les news et réactions à l'actualité mais aussi à devenir membre
14:45 soutien si vous souhaitez soutenir mon travail.
14:47 Et on va se retrouver très vite sur la chaîne pour cette prochaine critique.
14:51 Keep going for family.
14:53 I'm not family.
14:57 No, you're cargo.
14:59 2023 ne pouvait pas mieux commencer parce que oui on se retrouve déjà dès demain
15:07 pour parler de la série que j'attends le plus de l'année, on va revenir sur le premier
15:11 épisode de The Last of Us, mes attentes sont absolument gigantesques, j'ai très très
15:17 hâte de vous en parler.
15:18 Je vous souhaite à tous un très bon début de semaine et je vous dis à très vite !
15:23 Ciao !
15:23 [Musique]

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