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00:00 journaliste ici à IMEDIA et tout ça. Dans mes réflexions, je me suis...
00:06 - Waouh ! - Waouh !
00:08 - ...amener à y réfléchir, ce qu'il faut faire.
00:10 Moi, au Sénégal, on a essayé un jour, M. Idriss Assek, pour son expérience,
00:18 il a encore une voix forte à tout ça. - Ah, il l'a dit, il l'a dit, il l'a dit.
00:22 - Waouh ! - "Bamouk" au "Bamouk" !
00:24 - Waouh ! - "Bamouk" au "Bamouk" !
00:26 - C'est ça ! - "Bamouk" correct !
00:28 - "Bamouk" correct ! - Oui, c'est ça.
00:30 Là, je veux vous dire, mais malheureusement, vous vous êtes un peu fait "arraquerie".
00:34 - C'est vrai. - Parce que...
00:36 - Vous avez dit que je ne suis pas capable de faire ça.
00:38 - Oui, c'est ça, vous avez une inconstance. Mais il y a une question.
00:40 - Oui, il y a une inconstance. - Oui, c'est ça.
00:42 - Je vais vous poser la question. - Oui, c'est ça.
00:44 - On a entendu qu'à un certain moment, le régime, ou le président Makissal,
00:51 a bloqué ses comptes.
00:54 Oui, c'est ça. Ça doit être des rumeurs, alors.
00:57 - Oui, c'est ça. - C'est complètement faux.
00:59 - Très bien. - C'est hors de portée de tout régime.
01:02 - Voilà, très bien. - Mes comptes, c'est hors de portée de tout régime.
01:06 - Très bien. D'un autre côté, vous avez parlé de la médiation et tout ça,
01:12 mais je voudrais aussi dire que vous êtes dans les rangs de l'oligarchie foncière.
01:24 Parce que quand on écoute ce patrimoine, on se rend compte que c'est impressionnant.
01:32 - Absolument. - Oui, c'est ça.
01:34 - Je gagne 10 000 euros de... - Mais il y a une certaine halalie qui fait tellement de mal.
01:37 - Et la halalie fait tellement de mal, souvent... - Non, elle ne fait pas tellement de mal.
01:40 - Oui, c'est ça. - Moi, j'ai commencé à gagner de l'argent en 6ème.
01:45 - Oui. - J'ai commencé...
01:48 - Je suis en train de gagner de la halalie. - Oui.
01:50 - Quand j'ai fait 6ème collège. - Très bien.
01:53 - Je n'ai pas été élu. - Très bien.
01:56 Même quand j'étais élève à Sciences Po Paris, avant Sciences Po Paris, en préparation,
02:02 je gagnais de l'argent et beaucoup d'argent.
02:04 Parce que j'ai créé une entreprise, qu'on appelle Bago.
02:08 D'ailleurs, Ablai Wad, qui a créé cette entreprise,
02:11 qui a été créé par le notaire Moustapha Tcham,
02:15 a fait qu'il a mis Karim au capital.
02:17 - Il est parti dans l'archive. - Voilà, justement, pour mettre Wad.
02:22 - C'est pas tel où le commencer. - Très bien.
02:24 Non, il faut dire la vérité. Arrêtez de spéculer et de raconter des histoires.
02:30 Soit vous posez de bonnes questions et je vous donne les réponses,
02:34 soit vous ignorez la situation et vous vous taisez.
02:36 - Non, en fait, ce niveau de vie avec celui des Sénégalais... - Oui, ça n'a rien à voir.
02:41 - Si, si, si, mais les Sénégalais ont été... - Mais je ne veux pas vivre votre niveau de vie, monsieur.
02:46 - Mais vous avez... - Je veux vous amener au mien.
02:48 Mais je ne vais pas descendre au vôtre.
02:50 - Oui, mais bon, on sait que... - C'est leur problème.
02:55 Moi, je vis ce que Confucius a dit il y a plusieurs millénaires.
03:00 Il a dit "Celui qui néglige ce qu'il a de plus précieux, c'est-à-dire sa propre personne,
03:06 ne peut pas bien s'occuper de ce qu'il aime, c'est-à-dire sa famille et sa communauté et son royaume."
03:11 Ça, Confucius l'a dit. Donc, je ne néglige...
03:14 Je ne veux pas, moi, vivre dans la pauvreté et la médiocrité.
03:18 Quand je suis à Paris, je suis au Saint James Club.
03:20 Quand je suis à Washington, je suis au US Army and Navy Club.
03:24 Quand je suis à New York, je suis au Yale Club ou au Princeton Club ou au Harvard Club.
03:29 C'est là que je vis. Ça ne changera pas.
03:31 C'est ça, ce que je veux dire pour terminer, c'est que la classe politique sénégalaise...
03:36 - Peu importe la classe politique sénégalaise. - Les fonctionnaires...
03:38 - Il y a des gens qui savent que nous avons des Sénégalais ici. - Ah ben, allez-vous me poser la question.
03:44 - J'ai dit comment j'ai gagné mon argent. - J'adore.
03:46 - Mais sors-tu que... - En participant à la reconstruction du Cohéte, en gérant le PL 480 et beaucoup d'autres missions.
03:53 Très bien. Une dernière question maintenant.
03:55 Ou un conseil.
03:57 - On voit qu'il attaque Maître Wadd de gauche à droite. - Mais il le mérite.
04:01 - Non, mais je finis. - Mais pourquoi, Maître Wadd...
04:04 - Mais je termine. - Pourquoi vous autorisez Maître Wadd à m'attaquer, à dire...
04:08 Idriss est un voleur.
04:10 A dire "Makissal, donne-moi la gamme".
04:12 "Papdiop, les reins sont poulés".
04:14 Et vous ne nous permettez pas de répondre et de l'attaquer.
04:17 - Mais moi je... - Comme si nous n'avons pas le droit d'attaquer. - Mais moi je... Mais moi je ne me dis pas que c'est indécent d'attaquer Maître Wadd.
04:20 - Mais il a eu ce devoir. - Contre lui de son âge.
04:22 - Je l'attaque. - Assane, c'est tout. - Oui.
04:24 - Je pense qu'il a... - Je l'attaque. - Je le mérite. - Merci beaucoup.
04:27 - Oui, président. - Antoine, Antoine. - C'est bon de clarifier tout cela. - C'est tout.
04:32 - Voilà, c'est très bien. - On va clarifier. - On va clarifier. - C'est très bien. - C'est très bien. - Antoine, c'est très bien.
04:36 - J'aimerais qu'il y ait une sérénité, qu'il y ait des débats, qu'on parle en sénégalais. - Absolument.
04:41 On n'a pas bougon.