Frédéric Antonetti explique pourquoi il ne reste pas sur la pelouse lors de la célébration !

Transcript

00:00 Moi j'estime que Strasbourg, avant que je vienne, j'ai toujours dit que c'était une ville de football.

00:06 Quand Strasbourg est descendu en National 3, je savais qu'un jour ils allaient retrouver la première division.

00:10 Je ne sais pas combien de temps, il y a eu un super travail de Marc Keller et son équipe.

00:16 Je savais que cette ville allait retrouver la première division parce que c'est une ville de football, le football est très ancré ici.

00:24 Donc moi je ne suis pas surpris. Après, quand l'équipe montre ce visage-là, le public chie.

00:32 L'équipe a montré un beau visage au niveau de l'engagement, de l'implication, de l'investissement.

00:40 Et à ce moment-là, le public répond présent.

00:52 Moi j'ai fait mon travail, après je suis parti.

00:54 J'ai toujours fait ça. Je pense que la place de l'entraîneur n'est pas aller saluer le public.

01:00 La place de l'entraîneur c'est d'avoir toujours un peu de recul et laisser les acteurs.

01:04 Moi je suis metteur en scène, je ne suis pas acteur. Les acteurs c'est eux qui se sont passionnés.

01:10 Peut-être le 3 juin, quand il y aura le maintien.

01:16 Ça va ouvrir, c'est 10 minutes. Soulagé, oui, sûrement.

01:22 Et après on est tout de suite plongé dans le match suivant.

01:26 Demain déjà on fait un décrassage pour faire le point des blessures, de la fatigue.

01:38 Et puis le rattrapage pour les autres. Lundi repos, puis mardi on s'entraîne.

01:42 Il ne faut rien lâcher, je dois montrer l'exemple.

01:44 Et moi ça va être vidéo de notre match, vidéo de 3. Ça fait partie de notre boulot.

01:50 Ah oui, oui, oui, moi j'ai jamais été hypocrite. Bien sûr, c'est évident.

01:57 Mais bon, il vaut mieux jeter un oeil, on a en gagné, c'est plus simple.

02:00 *bruit de bouche*