Clash Barth- Sonko : Me Diaraf Sow met en garde les militants de Benno
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NewsTranscription
00:00 On a vu que vous avez eu une clashe entre Bart, Diganthé, Bartchelene Dias et Ousmane Sonko.
00:10 Quand vous êtes venus dans le dialogue, vous avez vu les deux leaders sortir.
00:16 Sincèrement, si je l'avais vu...
00:23 En tout cas, j'ai vu tout ce qui communiquait sur Facebook.
00:30 Quand je vois les militants de l'APR, ils ne sont pas d'accord.
00:35 Parce que Bartchelene Dias est leur propre chef.
00:41 Il les a mis en danger en tournant des vidéos.
00:46 Personne ne leur a dit de leur retourner.
00:49 Je vois deux personnes qui sont politiquement parlant instables.
00:57 On ne peut pas sortir de là.
00:59 Peut-être que quelqu'un veut te voir, écouter ou ne pas.
01:04 Je suis un peu comme ça.
01:08 Si je disais que je suis désolé dans le civil, je le ferai.
01:16 Je ne me poserai pas un acte contraire à ça.
01:23 On ne peut pas faire ça, on ne peut pas se faire de mal.
01:31 Si vous avez des conseils, allez en parler avec eux.
01:39 Ce n'est pas possible de le faire.
01:44 Je parlais à mes avocats.
01:47 On a beaucoup de connaissances au Sénégal.
01:54 Ils m'ont appris beaucoup de choses.
01:57 J'avais pris cette décision mais je ne l'ai pas fait parce que c'est ce que m'ont dit mes avocats.
02:04 Mais c'est la situation actuelle.
02:07 On doit le faire, personne ne sait où il est.
02:11 Personne ne sait où il est et il ne peut pas venir.
02:15 Donc, je suis désolé dans le civil sur le plan pratique.
02:19 En tout cas, à double action.
02:24 Je suis désolé dans le civil mais je suis aussi en action.
02:29 Je suis en train de parler avec le juge, il a le droit de le voir.
02:33 Le juge ne le reconnait pas.
02:35 Mais il ne peut pas le reconnaitre.
02:38 Il doit faire un recours.
02:41 Il doit parler avec le juge de Rwanda ou du juge Gambien.
02:46 - J'ai du temps pour moi. - Avant de parler de Barcelémy,
02:50 je veux vous dire que vous avez fait une bonne décision.
02:56 Vous avez donné le temps que vous avez pris.
03:00 C'est le sileux l'air que je lui ai donné.
03:03 Heureusement que votre affaire n'est pas terminée.
03:06 Pas de déchets définitifs.
03:08 Je parle selon la loi et je prends des dispositions juridiques.
03:14 Mais je ne parle pas de la vérité sur le plan politique.
03:20 Je ne parle que de la passif.
03:24 Ou de la Dakar.
03:26 Mais je vais voir mes copains.
03:30 On a eu un magistrat aujourd'hui, on a eu un commissaire réel central.
03:37 On a eu un maire de droit administratif.
03:40 On a eu un avocat qui est allé voir le tribunal de Dakar.
03:45 On a eu un maire de droit administratif.
03:49 On a eu des chambres, comme le procureur de Zinginchor.
03:54 Je l'ai connu, on a partagé la même chambre.
03:58 On a tout fait à l'université.
04:00 On a donc fait tout ce qu'on pouvait.
04:02 On a même contrôlé le fait que le premier ministre de la France
04:06 ait fait une première année de droit.
04:09 Comme je l'ai fait avec Aba Karim, je l'ai fait avec lui aussi.
04:15 Donc, je ne parle pas de la vérité sur le plan politique.
04:21 Je ne parle que de la passif.
04:23 On a eu des discussions avec Bartlemy, le maire de la France.
04:30 On s'est salué, on a beaucoup discuté.
04:33 C'est un homme vraiment hors de la politique.
04:37 Je le viens de lui, je n'ai rien contre lui.
04:40 Mais sur le plan politique, j'ai toujours eu des soupçons.
04:46 Quant à la posture de Bartlemy Dias.
04:48 Parce qu'on a beaucoup de double agents.
04:51 Tu as entendu?
04:53 Ses collègues, ses collègues de la 4e,
04:58 ses collègues de la 4e,
05:03 il y a beaucoup de double agents.
05:08 On est dans l'opposition alors qu'on travaille pour le pouvoir.
05:12 Mais en réalité, on travaille pour l'opposition.
05:14 Donc, je ne vais pas me battre.
05:18 D'accord, le dialogue vous appelle en tant qu'homme politique.
05:22 Le chef de l'Etat vous appelle pour que vous puissiez vous en parler.
05:25 Même si on sait que Bartlemy Dias est un homme hors de la politique.