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NewsTranscription
00:00 *Musique*
00:16 *Bruit de la rue*
00:44 *Bruits de la rue*
00:51 - Mais si il est là ! Il est là !
00:53 - Il n'a pas eu le droit de rester là-bas.
00:55 - Il n'a pas eu le droit ? Donc il est parti ?
00:58 - Il était sur la bulle là dans le square et on lui a dit de s'en aller.
01:01 - Ok, bon alors donc à ce moment-là, moi je vous préconise en tant que responsable de la manifestation de vous disperser.
01:09 - Ok ? Parce que sinon malheureusement, on va encore subir des baisers.
01:14 - Non, non, non, non. Qu'est-ce qu'il raconte ?
01:16 *Bruits de la rue*
01:33 - Vous avez une carte presse pour filmer comme ça ?
01:36 *Bruits de la rue*
01:45 - Voilà, merci.
01:46 *Bruits de la rue*
02:03 - La prise de parole des retraités qui n'ont pas le droit de générer l'union sacrée pour sauver notre vie sur le territoire de la France.
02:14 - C'est un génocide programmé où on n'a pas le droit de ne pas être d'accord avec ce qui nous est imposé sous toutes ses formes.
02:21 - Nous sommes en ploutocratie et en absurdistan.
02:24 *Bruits de la rue*
02:26 - On va essayer de faire une conférence de presse, on va voir si on a le droit de se réunir, si on a le droit de parler sur le territoire français, sur la voie publique.
02:34 - Aujourd'hui il y a une manifestation en soutien aux palestiniens à Paris qui a été autorisée par la Manin.
02:39 - C'est tout simplement de la manipulation pour dire on en a autorisé une parce qu'elle nous plaisait et toutes celles qui nous dérangent on les arrête.
02:45 - Vous pensez qu'on est en dictature dissimulée si l'on peut dire ?
02:48 - Ah c'est pas dissimulé, ça devient de plus en plus flagrant tous les jours quel que soit le sujet.
02:51 - Salut à tous. Il n'y a qu'un truc à dire, c'est qu'on est hors la loi.
02:55 *Bruits de la rue*
02:57 - Oui, il n'y a qu'un truc à dire, je vais enfoncer une porte ouverte, on est hors la loi.
03:01 - Darmanin est hors la loi, le préfet est hors la loi, les flics qui sont là et qui font un piqué, voilà.
03:06 - Il n'y a pas besoin en France de déclarer quoi que ce soit pour être dans la rue et faire ce qu'on a à faire, en condition qu'on ne fasse pas le bordel ce qu'il y a.
03:14 - Donc voilà, tout ça est hors la loi, j'ai rien d'autre à dire.
03:19 - Donc restons là, on n'a rien à se reprocher, j'ai le droit d'être là et personne ne m'a frappé.
03:24 - Léo, Léo où es-tu ?
03:26 - Je suis passée entre les gouttes, je m'attendais à ce que ça se passe comme ça.
03:33 - Je trouve ça très bien que les gens forcent et honneur à ceux qui sont venus malgré l'interdiction, c'est la moindre des choses.
03:39 - Il y a une manifestation en soutien aux Palestiniens aujourd'hui qui a été autorisée et celle-là elle a été interdite.
03:47 - C'est intéressant, tout ça est très intéressant.
03:53 - Bon écoute, ils montrent leur vrai visage, c'est tout ce qu'il y a à observer.
03:58 - Ils montrent leur vrai visage, toutes les manières, alors la Palestine c'est encore un autre sujet complexe.
04:06 - Mais je le dis depuis des années, il suffit de savoir ce qui est promu et autorisé par le système pour savoir ce qu'ils aiment bien et ce qui est attaqué.
04:14 - On voit bien que le LGBT+ est autorisé, le climat aussi, les gilets jaunes c'est interdit, l'extinction rébellion c'est autorisé.
04:24 - C'est assez facile à décrypter en réalité, on n'a pas besoin d'avoir fait de hautes études pour comprendre.
04:31 - Ce qui est très regrettable c'est qu'il y a encore de la police pour appliquer les choses dans la loi.
04:36 - Les antifas sont autorisés, est-ce qu'on peut penser que de quel côté travaille Darmanin ?
04:41 - Bonne question.
04:45 - Vraiment tu te rends compte qu'il y a eu celle-là ?
04:48 - Ah regarde ! Comme un tatouage !
04:52 - On est parti sur un nouveau lassage.
04:55 - Effectuez-les !
05:08 - On est bien, on est rassurés, comme il y a plus d'élincence en France, on est rassurés avec vous.
05:37 - Il y a 1700 zones de non-droit et on tire à l'arme de guerre, automatique, avec des bandes de narcotrafiquants qui font régner la terreur parmi nos compatriotes.
05:47 - Est-ce que vous trouvez ça normal ? C'est moi qui suis un intervieweur.
05:50 - Est-ce que vous trouvez ça normal ? Pendant que le ministère de l'Intérieur déploie son énergie pour interdire la marche d'anciens combattants qui sont respectueux du drapeau et de la patrie.
06:00 - Je remercie le ministre de l'Intérieur d'Armenin de nous avoir permis de discuter avec beaucoup de médias nationaux et des médias alternatifs pour dénoncer ce déni de démocratie, d'interdiction de cette manifestation, de cette marche organisée par Place d'Armes, dont je suis co-signataire.
06:21 - Il y a d'autres manifestations qui ont été autorisées aujourd'hui, entre autres...
06:24 - Non, interdites, vous voulez dire ?
06:26 - Non, autorisées. Il y a la marche en soutien aux Palestiniens...
06:31 - Mais oui, mais tout ça, évidemment, il faut comprendre. C'est pour ça que je félicite le ministre de l'Intérieur d'être fidèle à sa devise, à la devise très chère au président de la République, "Fort avec les faibles et faibles avec les forts".
06:45 - En interdisant la manifestation de gens honnêtes, de citoyens honnêtes, qui ont le drapeau au fond du cœur, dans l'âme, et qui ne vont jamais commettre de trouble à l'ordre public.
07:00 - Le gouvernement permet justement à des gens qui ont une sorte de rage contre la France, contre les institutions, etc., qui eux veulent s'en prendre aux forces de l'ordre, qui eux veulent s'en prendre à la dégradation d'édifices, voire parfois incendiaires, qui sont des actes criminels,
07:19 - Eh bien, le gouvernement leur permettra de manifester, parce qu'en fin de compte, ça va renforcer leurs pouvoirs, qu'ils n'ont plus.
07:25 - En disant "Regardez, on essaye de maintenir l'ordre public". C'est pour ça que je pense que le ministre de l'Intérieur, quand il ne sera plus ministre de l'Intérieur, il aura peut-être un avenir dans les films de comédie.
07:37 - Aujourd'hui, on sait qu'on autorise les manifestations des antifas et des black blocs. A votre avis, ce sont les barbouzes de Darmanin ?
07:47 - Ce sont les idiots utiles du pouvoir. Ils savent très bien que ce sont des gens qui vont s'en prendre aux forces de l'ordre. Moi, je condamne qu'on s'en prenne aux forces de l'ordre, bien évidemment.
07:57 - Les forces de l'ordre ont la violence légitime. Qu'on le veuille ou non, c'est comme ça. Et on ne peut pas mettre à égalité les black blocs face aux forces de l'ordre,
08:05 car elles ont des instructions pour être assez efficaces ou parfois malheureusement violentes. Mais ça fait partie de la violence légitime du pouvoir.
08:19 Que ceux de la gauche qui critiquent ces services de police, je me demande quels services ils auraient si ils étaient au pouvoir. Ils ne s'inspireraient pas de Pol Pot par hasard,
08:32 avec des bandes qui seraient tout à fait acquises à leurs idées. Ils seraient peut-être encore plus violentes que nos forces de l'ordre que nous avons aujourd'hui.
08:40 Oui, des goulags, des asiles psychiatriques. Mais il faut faire attention, car tous ces adorateurs de la Révolution française, de l'époque de la terreur, avec Robespierre,
08:49 avec Saint-Just, avec Danton, etc. D'ailleurs, Danton était celui qui avait créé les tribunaux révolutionnaires. Il a été lui-même condamné à mort par un des tribunaux qu'il avait lui-même créé
09:02 quand il était ministre de la Justice. Et bien Robespierre, la chose qu'il a pu admirer à la fin de sa carrière politique, c'est d'avoir sa tête roulée par terre en sanglantait.
09:11 Alors je tiens à rappeler à nos amis d'extrême-gauche, adorateurs de Robespierre, est-ce qu'ils sont conscients que le sang appelle le sang ?
09:21 [Bruits de la foule]
09:42 [Bruits de la foule]
10:04 Bon, vu qu'il est toujours venu dire simplement "prenons des valeurs, des valeurs simples, celles de l'armée, et sachez une chose, c'est que l'armée sera toujours du côté du peuple".
10:20 Là, je suis certain, parce que je l'ai vu dans les éditions militaires, l'armée est toujours d'abord pour son pays, d'abord pour la France, et ensuite elle est du côté du peuple.
10:30 L'armée, elle obéit à un gouvernement, mais un gouvernement est temporaire, et elle obéira demain à un autre gouvernement, c'est pas ça. L'armée, elle l'obéit avant tout à une nation.
10:40 Une nation géographique, culturelle, culinaire, ce que vous voulez, mais une nation. C'est ça pour nous, qui sommes en train de créer cette idée nationale.
10:50 Donc si le pouvoir fait du mal à son peuple, pour un peu de socialisme, on verra.
10:54 On verra, on verra, on verra, on s'en charge.
10:58 Est-ce que Dermanin devait-il avoir peur de l'armée ?
11:01 Oui, mais il a peur. Si il n'avait pas peur, on n'aurait pas été interdit. Il ne peut pas interdire l'armée d'actifs, alors il interdit les gens qui sont à la tête.
11:14 On va faire une petite chose, c'est qu'on va faire des affichettes avec un chiffre, 58%. Pourquoi ? Parce qu'il y a deux ans, quand la lettre a paru, 58% des Français étaient d'accord avec la lettre.
11:30 Et je trouve que c'est intéressant de voir ça, étant donné que ce n'est qu'un sondage, évidemment, qui n'a la valeur que d'un sondage.
11:38 Mais ça montre bien que par rapport à l'État, je ne sais pas de combien de pourcentage il a aujourd'hui, je préfère ne même pas le savoir,
11:46 mais que nous, en tous les cas, on est encore des gens qui sont appréciés par les civils.
11:53 Et je suis sûr que s'il y avait un sondage aujourd'hui, ce ne serait plus 58%, mais ça serait 60 ou 65% que nous donneraient à ce moment-là les sondages.
12:03 Donc on va faire une affichette et on va essayer de la distribuer et de demander à tous les gens, non pas de nous dégueuler avec des casseroles ou quoi,
12:13 mais de brandir cette affichette en disant "Voilà, 58% de gens qui étaient des militaires, 27 000 anciens militaires, 61 généraux ont signé".
12:24 58% derrière de la population étaient d'accord avec. Et ça c'est important. Voilà, 58%.
12:29 Pour moi l'essentiel, c'est ça, c'est de se montrer qu'encore une fois, on est proche du peuple et que le peuple nous comprend,
12:36 et qu'il est avec nous quand il le faut et quand on le voit, quand on l'interroge, il est avec nous.
12:42 [Bruits de la rue]
12:59 Bah rien, on voudrait rejoindre notre voiture et on ne peut pas. On ne dit pas pourquoi, mais on ne peut pas sortir.
13:06 On est pris dans une nasse. On vient de déjeuner dans une brasserie. On veut rentrer chez nous. On ne peut pas.
13:16 [Bruits de la rue]
13:45 [Bruits de la rue]
14:14 [Bruits de la rue]
14:18 Ils sont en train de gérer les gens pour qu'ils puissent entrer ici aussi.
14:23 Qui est un des hauts ?
14:25 [Bruits de la rue]
14:40 [Bruits de la rue]
15:00 [Bruits de la rue]
15:29 C'est vraiment bon.
15:31 [Bruits de la rue]
15:47 Vous me mettez 135 euros parce que je sors du restaurant. Ah non, je sors du restaurant. Venez avec moi, on va aller demander des drogues légitimes à la princesse.
15:59 [Bruits de la rue]
16:01 Je ne suis pas avec vous. Venez, je sors de ce restaurant. Vous voulez me mettre 135 euros ? Non ? Je m'en occupe.
16:07 [Bruits de la rue]
16:11 Merci.
16:12 [Bruits de la rue]
16:16 [Bruits de la rue]
16:20 C'est ce que Darmanin souhaite.
16:22 [Bruits de la rue]
16:30 Je trouve ça hallucinant.
16:33 [Bruits de la rue]
16:51 [Bruits de la rue]
17:19 Madame, vous le venez de se faire attaquer avec les personnes ?
17:23 Non, moi je ne suis pas bien. Je me calme. Je suis déjà sous le jour. Je me calme.
17:30 Au-delà, je ne suis pas bien. Je suis énervée.
17:33 Donc déjà tout à l'heure, j'attendais une amie. On n'a pas les airs.
17:37 Je vais au café parce que vous êtes autour. J'attends que vous partiez.
17:41 [Bruits de la rue]
18:06 La deuxième de la journée.
18:07 Excusez-moi, madame. Pouvez-vous me dire ce qui vous est arrivé ?
18:09 Je suis sortie du métro. J'attendais une amie tout à l'heure avec mon autre amie.
18:14 Et on s'est fait verbaliser avant deux heures parce qu'il y avait une manifestation.
18:18 Et à cette manifestation, du coup, nous on s'est décalé avec 135 euros d'amende.
18:23 Et on a été dans un bar. Et là on ne pouvait pas sortir du bar.
18:27 On sort du bar et on se fait fronter par la brave. Et 135 euros d'amende.
18:31 Deuxième amende. En deux heures. Voilà, une amende par heure.
18:35 On est dans un pays super. M. Darmanin, si je l'avais en face, je lui dirais ce que je pense.
18:42 Parce que franchement, on n'est pas en France.
18:44 Moi je veux la liberté de retrouver la France normale. Pas une dictature comme vous faites.
18:49 Les Français ne sont plus les Français.
18:52 Allez voir dans les banlieues tous les trafiquillats et tous les pédiocres et criminels.
18:56 Faites quelque chose pour ne prendre des gens comme nous. Simple.
19:00 Est-ce que vous pensez que Darmanin est très fort avec les faibles et faible avec les forts ?
19:04 Oui. Je crois que oui.
19:07 (Générique)
19:12 (Générique)
19:15 [SILENCE]