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Alexandre Devecchio sur la haine anti-Macron : «Il y a une responsabilité politique (...) La justice, face aux récidivistes, n'a pas été assez ferme»

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Transcription
00:00 Je pense d'abord qu'il faut le rappeler, il y a aussi, je ne suis pas du tout d'accord avec le discours de Jean-Luc Mélenchon,
00:06 notamment sur les violences policières, où là il peut y avoir un véritable encouragement, notamment envers un certain public,
00:15 mais je crois aussi qu'il y a une responsabilité politique tout court. C'est pour ça que Karl Olive, je ne vais pas dire que ça me fait doucement rire,
00:23 quand on fait un déni par rapport aux violences du quotidien, qu'on explique que ce n'est pas vrai qu'il y a un sentiment d'insécurité,
00:31 que ce n'est pas vraiment de l'insécurité, que la France n'est pas un coup de gorge, comme le fait le ministre de la Justice,
00:36 on a aussi une forme de responsabilité. Et là encore, la première responsabilité, je pense, c'est la justice face à des recidivistes qui n'a pas été assez fermes.
00:50 Et donc moi j'ai un doute sur le fait que ces individus, compte tenu de leur pédigré, certes ils ont tapé sur ce commerce-là parce qu'ils ont vu trop mieux
01:00 et ça leur a donné un prétexte, mais on voit bien que ce sont des individus violents qui ont agressé aussi d'autres personnes.
01:05 Donc n'exagérons pas la politisation de cet accord.
01:09 [Musique]
01:13 [SILENCE]

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