Pourquoi Ousmane Sonko s’est montré au grand public ce mercredi ? L'avis des Sénégalais

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Transcript
00:00 On va voir.
00:04 Bonjour à tous, aujourd'hui nous allons faire un reportage sur le procès d'Ousmane Sonko Adissa.
00:10 Nous l'avons reçu le 16 mai mais nous l'avons reçu le 23 avril.
00:15 Nous l'avons reçu le 16 mai mais nous savons que le procès a commencé le 15 avril.
00:20 C'est le dernier procès de ce qu'on appelle le tribunal.
00:25 La chambre criminelle a signé un document qui indique que le procès a commencé le 15 avril.
00:33 Et que le procès a commencé le 15 avril.
00:36 Il a été annoncé que le procès a commencé le 15 avril.
00:42 Nous avons vu que le procès a commencé le 15 avril.
00:47 Nous sommes ici à la zone 6 pour voir qui sont les citoyens sénégalais.
00:52 Adim, comment as-tu vu que c'était Ousmane Sonko?
00:56 Nous avons vu la génèse de ce procès.
01:03 Nous devons poser la question.
01:06 C'est un citoyen sénégalais comme tout le monde.
01:10 Il a été accusé de quelque chose.
01:15 C'est un procès viol.
01:19 Si nous faisions une instruction sur le dossier, le mieux serait de voir si nous pouvons exécuter le procès.
01:31 Nous avons vu que le procès a eu beaucoup de renvois.
01:34 Cela fait maintenant plus de 3 ans que les sénégalais veulent voir la vérité.
01:40 Mais nous avons aussi vu qu'il est libre de se faire occuper.
01:52 Il a tout le droit de faire ses occupations.
01:58 Il n'a pas le droit d'exercer ses droits car le droit est impersonnel.
02:03 Et que nul n'est au-dessus de la loi.
02:06 Si tu veux te faire occuper, tu dois t'occuper de la force.
02:11 Nous avons beaucoup de problèmes avec le cas de Mas.
02:19 Je crois que c'est un cas sur place.
02:26 Mais en même temps, on doit le faire en sécurité.
02:32 Je vous laisse toujours à la main.
02:36 C'est un leader politique et il a beaucoup de responsabilités.
02:42 Vu qu'il est le président de la république, si la justice t'appelle et que tu ne viens pas,
02:49 cela montre que tu ne respectes pas notre institution.
02:53 C'est comme la justice de l'Etat.
02:56 Elle ne veut pas que je fasse un problème et qu'elle me le fait.
03:02 Elle veut que je sois le premier à le faire et après qu'elle s'en sort.
03:08 Je ne sais pas si tu as l'intérêt de te mettre en place.
03:17 Je suis un politique, je ne suis pas un politique chien.
03:20 Mais ce qui est important c'est que nous, les jeunes,
03:25 nous avons une confiance en ce qui se passe.
03:31 Ce qui s'est passé avec Ousmane Sonko,
03:35 c'est qu'il a tué un autre homme qui était aussi très important pour lui.
03:44 Ce n'est pas une personne que tout le monde connait.
03:52 Il est populaire et il est un homme politique.
03:56 Les Sénégalais sont là pour faire leur analyse.
04:01 Avant, il était à Dakar mais il est convoqué à chaque fois qu'il est là.
04:09 Avant, il banquerait les villes mais il a tué tous les hommes.
04:17 Il a du mal à se faire perdre parce qu'il est sympathique et militant.
04:24 On peut tous se battre contre lui.
04:28 Pour que je puisse le laisser, il doit être en mesure de le faire.
04:34 Il doit être en mesure de le faire avant que la justice ne le fasse.
04:38 Il a eu des provocations et des échafaudes.
04:46 Il est passé au-delà d'un procès entre deux citoyens.
04:52 Il a été touché par des bataillons et il doit être auto-sécurisé.
05:00 Depuis, on compte plus de 17 morts.
05:03 On doit s'assurer de l'autosecurisation.
05:09 On doit voir les responsables de ces morts.
05:14 On ne peut pas se laisser faire.
05:18 Plus de 2 millions de personnes sont en danger.
05:24 On doit être plus sérieux sur ce sujet.
05:29 Malheureusement, il n'y a pas de solution.
05:32 Je vois un travail de persévérance.
05:36 Ousmane Sonko est endurant et persévérant.
05:40 Il est persécuté.
05:44 Il est en train de prendre ses défenses.
05:47 Ce n'est pas quelque chose que l'on peut cautionner.
05:54 Depuis que le Sénégal est indépendant, on n'a jamais vu ça.
06:01 C'est ce qui a fait que tout le monde est en danger.
06:03 Comme le juge de la Haute-Sécurité, il faut aller chercher sa mort.
06:11 - Tout le monde est en danger. - Des fois, c'est pareil.
06:15 Des fois, on ne peut pas décrire ce qu'on vit.
06:22 On croit toujours à Sonko mais on est toujours en danger.
06:29 C'est ce qui nous déploie.
06:31 On est toujours en danger.
06:35 On est toujours en danger pour les autres.
06:41 Je ne suis pas un "sane" mais j'ai une foi.
06:46 Je suis un acteur politique.
06:50 Je sais bien ce qu'il veut et ce qu'il a fait.
06:57 Il a dit qu'on ne peut pas perdre en politique et en élections.
07:03 Mais si on peut, c'est mieux.
07:07 C'est ce qui nous déploie mais je ne dis pas que ça ne se fait pas.
07:11 Mais quand on parle de désobéissance civile
07:18 il faut y réfléchir car il a une raison pour tout ça.
07:22 Il est venu expliquer qu'il a fait ça depuis 2020.
07:28 Il a fait des plaintes et il a des preuves.
07:31 Il y a des auteurs qui ont dit que c'était futé.
07:35 Il a été incriminé par rapport à ce qu'il a fait.
07:41 Le juge l'a appelé et il a dit qu'il avait des auteurs authentiques.
07:50 Il a dit ce qu'il a entendu.
07:54 Après, on a posé la question de sa défaite.
07:59 Il a fait un manque de sérieux dans l'enquête et dans l'instruction.
08:06 On projette des élections très bientôt.
08:10 Il va être lésé et sacrifié par rapport à ses projections.
08:18 C'est bientôt dans 8 mois.
08:20 Je veux dire la vérité car c'est ce que nous avons dit.
08:24 Sans parler de rien.
08:27 On a dit que rien ne serait plus possible.
08:30 Si c'est vrai, rien ne sera plus possible.
08:34 Sonko a fait des erreurs.
08:38 On l'a vu d'une manière tentative.
08:41 Il a le droit de ne plus se battre.
08:45 C'est tout.
08:46 Je ne conseille pas à Osmanda Sonko de se battre.
08:53 Ce que je veux dire c'est qu'on veut bien qu'elle se batte.
08:59 C'est le pays de la terrangue.
09:03 C'est bien de se battre.
09:05 C'est ce qu'on veut de plus en plus.
09:09 C'est un geste de la vérité.
09:12 On ne peut pas continuer ainsi.
09:17 Et ça ne va pas bien pour les deux camps.
09:21 D'abord, on peut lui demander
09:27 de lui donner des valeurs et des droits.
09:32 Si l'Etat est dans ses dispositions pour le permettre
09:38 il doit faire le procès et s'adapter.
09:43 On va le faire.
09:46 Si l'Etat est prêt pour organiser cela, je vais lui donner des conseils.
09:50 C'est la meilleure des choses.
09:53 Si l'Etat veut que ce soit le cas pour tout le monde
09:58 je vais créer des problèmes.
10:01 Il est en train de sortir de la population
10:07 parce que le parti PASTEF est en train de se dérouler
10:10 et le travail de massification entre les 3 ans et le début du procès
10:17 est en train de se dérouler.
10:19 On va lui donner des valeurs et des droits.
10:24 Il ne peut pas avoir des conseils parce qu'il n'a pas de voix.
10:29 Il est prêt à répondre à l'appel.
10:36 On va voir comment il va réagir.
10:39 On va lui donner des conseils.
10:43 Il est prêt à faire le procès.
10:50 Il a juste à faire le procès.
10:54 Mais il doit prendre ses défenses pour voir si il peut faire autre chose.
11:00 Je veux que la justice sénégalaise le reconnaisse.
11:05 Personne n'est au-dessus de la loi.
11:07 Il faut se battre pour les convictions et les rêves.
11:11 Il faut se battre pour que les gens ne se souviennent pas.
11:14 Les jeunes sont plus conscients de ce qui se passe
11:17 et ils doivent se battre pour voir leur avenir.
11:22 [Musique]

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