• l’année dernière

Category

🗞
News
Transcription
00:00 je suis Olivier Dubord, j'ai 42 ans, je suis originaire du tampon et je suis donc le président de la marque NITUDE.
00:06 Pourquoi avoir choisi
00:09 de construire cette masque ?
00:13 Alors nous avons tous en nous l'histoire partagée avec les personnes âgées, les néo-aînés.
00:19 C'est vrai que moi, elle vient d'une origine personnelle et je n'ai jamais pu rendre à cette personne ce qu'elle m'avait apporté.
00:25 Donc vraiment fondamentalement c'est vraiment à partir de ce qui m'est arrivé comme expérience personnelle que j'ai voulu initier en faveur des personnes âgées.
00:34 Comment ça fonctionne une masque ?
00:37 Alors une masque, comment ça fonctionne ? Déjà la première chose c'est le foncier.
00:40 La problématique à La Réunion clairement c'est le foncier.
00:43 Et à partir du moment où le dispositif et la volonté politique du département de vouloir justement initier et favoriser
00:50 ces implantations dans les communes, nous avons établi un projet d'établissement et nous avons commencé à être accompagnés par le département
00:57 par des visites, des contre-visites. Nous avons travaillé sur des plans. Nous avons ensuite passé des dossiers en commission
01:04 pour obtenir bien sûr des aides et pour pouvoir continuer à avancer dans ce projet et aujourd'hui faire mieux honneur aux personnes âgées.
01:11 Si une personne âgée veut intégrer cette masque, comment cela se passe ?
01:17 Alors c'est vrai qu'on parle surtout d'un point de vue général de la notion de perte d'autonomie.
01:22 Je veux dire, il faut encore, pour moi je me situerais juste avant la case d'EHPAD.
01:31 Aujourd'hui une personne âgée qui se retrouve seule, qui aujourd'hui a besoin d'être accompagnée, c'est la MAF.
01:38 C'est la MAF qu'il faudrait aujourd'hui vraiment choisir comme dispositif parce qu'à travers notre structure,
01:44 nous accueillons également des professionnels de santé, des infirmiers, des médecins.
01:49 Donc aujourd'hui c'est vraiment de vivre ensemble avec ces personnes-là.
01:54 Sept personnes ont été engagées pour travailler dans cette MAF ? 24 contre 24 c'est ça ?
02:01 Alors sept personnes, oui, en jeu de roulement, sept personnes ont été sévélisées grâce à un plan qui est mis en place par le staff.
02:07 Et c'est vrai qu'aujourd'hui, oui, nous avons sept tamponnées. Nous pouvons l'infirmer fièrement au niveau du tampon.
02:13 Mais nous pouvons aussi l'infirmer au niveau du département quand même parce que parmi les neuf acueillis que nous avons,
02:18 capacité 100% de l'eau, on est là aujourd'hui, nous n'avons que quatre familles tamponnées.
02:23 Donc ça veut dire que nous avons des gens de quatre coins de ville et donc l'effet d'annonce du département,
02:28 comme je le disais tout à l'heure, vraiment, la réunion n'a pas de frontières, les villes n'ont pas de frontières.
02:33 Aujourd'hui c'est vraiment des enfants qui présentent au sein de la MAF qui nous tue.
02:38 Quel coût ça représente pour un inquisiteur d'être dans cette MAF ?
02:42 Alors plusieurs critères. C'est vrai qu'au-delà du coût, il y a aussi la façon dont les chambres sont disposées.
02:47 Il y a déjà ce premier critère. Donc tout est variable en fonction du choix de la chambre.
02:52 Et c'est vrai qu'après, en fonction des surfaces, le prix, d'un point de vue général, les chambres démarrent entre 2500 et 2800.
03:00 Nous avons, selon les différents profits, nous avons des aides.
03:05 C'est parfaitement bien financé par les départements, la CAF et tous ces institutions qui accompagnent les familles.
03:13 Donc potentiellement, une personne éclivée n'a pas à dépenser d'argent ?
03:17 Non. C'est une question que j'avais posée au département.
03:20 On me dit non, non, non, non. Et bien finalement, on s'aperçoit que tout est pris en chambre.
03:24 Tout est pris en chambre aujourd'hui.
03:26 Très bien, merci.

Recommandations