• l’année dernière
Les reporters CNEWS, sur place ont pu parler avec le propriétaire de ce terrain de près de 70 hectares ou se sont installés depuis vendredi 19 mai, près de 30.000 personnes. Il se dit entre surpris et déconcerté. Il ne connaissait pas ça. Il dit ne pas être fâché mais il espère qu’il n’aura pas trop de dégâts et que la prochaine fois ils demandent la permission, que tout soit organisé…Cette nuit la fête battait son plein.

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Transcription
00:00 Dominique Payot regarde son champ intrigué. Prévenu jeudi par les
00:04 gendarmes de l'arrivée de milliers de technivaliers, il a décidé d'aller à
00:08 leur rencontre.
00:11 Ce qui serait bien, ce serait de combiner longtemps avant, puis de demander la
00:22 permission au propriétaire, à tout le monde, puis se mettre d'accord. Ce serait mieux que de faire ça comme ça.
00:29 Je vais parler avec eux, ils ne sont pas méchants. Installés illégalement, les près de 30 000
00:34 festivaliers sont répartis sur les 70 hectares du propriétaire, qui n'a pas
00:38 l'air gêné, mais a quand même un souhait. J'espère qu'un truc, c'est qu'ils ramassent
00:43 toutes les bouteilles, tout ce qu'ils ont mis, mais je pense qu'ils vont le faire.
00:47 Pour permettre aux festivaliers de nettoyer régulièrement le site, la
00:51 musique est coupée. Deux heures pour faire du ménage.
00:56 Essayer de contribuer. On a dégueulassé, on nettoie.
01:02 J'aimerais pas nettoyer une poussière qui n'est pas la mienne.
01:03 Malgré cette cohabitation forcée, le propriétaire n'a constaté aucune
01:08 dégradation de son terrain. Il a d'ores et déjà annoncé qu'il ne porterait pas
01:12 plainte pour l'occupation de son champ.
01:16 [Musique]
01:19 [SILENCE]

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