MASSACRE BARBARIE A MADAGASCAR
Eléments de l’Emmo/Nat - De la barbarie !
Les militaires de ce régime Ravalomanana ressemblent désormais à ceux qu’on voit à Goma, à Bukavu ou à Lubumbashi ces dernières années !
Dans de nombreuses rues de la Capitale, les militaires de l’Emmo/Nat ont frappé férocement et sans ménagement et tout le monde y passait : vieux, jeunes, mères, enfants, sans-abri, pauvres en haillons, coursiers d’entreprises, marchands ambulants (pour hier, un vendeur ambulant de pistaches est tombé sous les balles des forces de l’ordre, du côté de la Petite Vitesse à Soarano), étudiants, et on en passe.
Apparemment, c’est cette animalité que les mercenaires sud-africains apprennent aux militaires malgaches et à agir avec sauvagerie en faisant le plus d’atrocités possibles.
On sait aussi que l’Afrique du Sud est le pays du crime où le taux de criminalité avoisine celui des grandes villes comme New York.
Quelques-uns de ces mercenaires de Ravalomananana ont largement dépassé la cinquantaine, on peut comprendre qu’ils sont de la moule de ces blancs racistes qui ont pris part aux divers mouvements ayant visé les manifestations de l’African National Congress (Anc) lors de la lutte contre l’apartheid, c’est-à-dire, mater, briser et tuer tous ceux qui ont la peau noire et foncée, et notamment pauvres, ceux qu’ils appelaient dans le temps : les rébus de la terre !
Les militaires de ce régime Ravalomanana ressemblent désormais à ceux qu’on voit à Goma, à Bukavu ou à Lubumbashi ces dernières années !
Dans de nombreuses rues de la Capitale, les militaires de l’Emmo/Nat ont frappé férocement et sans ménagement et tout le monde y passait : vieux, jeunes, mères, enfants, sans-abri, pauvres en haillons, coursiers d’entreprises, marchands ambulants (pour hier, un vendeur ambulant de pistaches est tombé sous les balles des forces de l’ordre, du côté de la Petite Vitesse à Soarano), étudiants, et on en passe.
Apparemment, c’est cette animalité que les mercenaires sud-africains apprennent aux militaires malgaches et à agir avec sauvagerie en faisant le plus d’atrocités possibles.
On sait aussi que l’Afrique du Sud est le pays du crime où le taux de criminalité avoisine celui des grandes villes comme New York.
Quelques-uns de ces mercenaires de Ravalomananana ont largement dépassé la cinquantaine, on peut comprendre qu’ils sont de la moule de ces blancs racistes qui ont pris part aux divers mouvements ayant visé les manifestations de l’African National Congress (Anc) lors de la lutte contre l’apartheid, c’est-à-dire, mater, briser et tuer tous ceux qui ont la peau noire et foncée, et notamment pauvres, ceux qu’ils appelaient dans le temps : les rébus de la terre !
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