Le Talk : Revivez l'émission du lundi 5 juin 2023

  • l’année dernière
Ce soir dans le Talk : on parle d’un sujet encore tabou : la précarité menstruelle avec le CEVIF en plateau. 15% des françaises n’ont pas les moyens de payer leurs serviettes hygiéniques. Que font les politiques ? Le sakifo, top ou flop cette année ? Les 3 actus du week-end à retenir et les résultats sportifs avec Mickaël Payet. Tout ça c’est dans le Talk et c’est maintenant !
Transcript
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00:03 ♪ ♪ ♪
00:05 - 100% La Réunion, la nouvelle marque du savoir-faire
00:08 réunionnais pour soutenir nos producteurs pays.
00:10 100% La Réunion, garantie aux consommateurs des produits
00:13 aux matières premières 100% locales.
00:15 Marque authentique, gage de qualité.
00:18 100% La Réunion a été créée par le département de La Réunion
00:21 et ses partenaires.
00:22 Retrouvez tous les produits 100% La Réunion sur le site
00:25 100%réunion.fr.
00:27 Consommer pays, consommer 100% La Réunion.
00:30 Le département aux côtés des réunionnais.
00:34 - Désaviez-vous, Martine n'a pas trouvé un emploi
00:36 en demandant dans les commentaires Facebook
00:38 ni en scrollant sur TikTok.
00:39 ♪ ♪ ♪
00:45 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme
00:48 révolutionnaire, incroyable et boustouflante.
00:51 On exagère peut-être un peu.
00:54 Pour trouver son emploi en un clic...
00:56 Waouh! Un clic? Mais c'est super!
00:58 Clic en fin.
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01:06 Avec Clic emploi, vous aussi,
01:07 trouvez le job qu'il vous faut en un et un temps.
01:09 Martine, on dit merci qui?
01:11 (petit rire)
01:13 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible
01:15 pour la photo. Bah ouais, elle bosse.
01:17 Merci Clic emploi!
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01:46 Nouveau.
01:48 Visu devient 100% digital.
01:51 Retrouvez vos rubriques habituelles.
01:53 Agenda, interview, zerbage, télévision, jeux, horoscope.
01:58 ♪ ♪ ♪
02:00 Vous retrouverez aussi votre programme télé.
02:02 ♪ ♪ ♪
02:05 Visu, à vos côtés depuis 40 ans.
02:08 ♪ ♪ ♪
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02:16 Ensemble, suivons le talk et luttons contre
02:19 le gaspillage alimentaire avec Leclerc et Zerogachi.
02:22 ♪ ♪ ♪
02:25 Leclerc.
02:26 ♪ ♪ ♪
02:35 - Bonsoir, la règne. Bienvenue dans le talk,
02:37 l'émission la plus fraîche du Lille.
02:39 J'espère que vous avez passé un bon week-end.
02:41 En tout cas, moi, je suis fatigué.
02:43 C'était un très bon week-end. On parle de quoi aujourd'hui?
02:45 Évidemment, on va parler du "ça qu'il faut"
02:47 parce que Bruna, elle a toujours un truc à dire
02:49 sur les événements. Elle va en discuter avec nous.
02:51 On aura deux invités du CIVIF qui vont nous parler
02:53 de précarité menstruelle.
02:55 Ça concerne surtout les femmes, bien évidemment,
02:57 mais on est tous quand même concernés.
02:59 On aura aussi un point sur l'actu avec Thibault.
03:01 On va parler de sport.
03:03 Et Claudie nous ramène des nouvelles du gagnant
03:05 de la nouvelle école.
03:06 Ça se passe dans le talk et c'est maintenant.
03:08 Jingle.
03:09 ...
03:29 -Salut, Elzotte!
03:31 Comment ça va, Claudie? -Ça va super.
03:33 -T'as passé un bon week-end? -Ouais, tranquille.
03:35 -Pas trop fatiguée? -Non, ça va.
03:37 -T'étais pas au festival? -Si, si, j'étais au festival.
03:39 -T'as pas bien... -Ah, si, si.
03:41 -T'as bu beaucoup la racle?
03:43 -Tu es la forme, je suis plus en forme que toi.
03:45 -Excuse-moi.
03:47 -Pas trop "ouh, c'est le week-end, ça croule!"
03:49 -Non, pas du tout. Sportif, week-end sportif.
03:51 Et festif aussi. -Pas trop "ouh, pas trop, ouh!"
03:53 -Non, non. Ça arrive, ça arrive.
03:55 On n'est pas tout le temps ensemble.
03:57 En tout cas, festif, j'ai été à une petite communion
03:59 plutôt sympathique où j'ai rencontré
04:01 une dame d'un certain âge
04:03 qui nous a tous félicités
04:05 pour l'émission. -Ah, merci.
04:07 -Merci, madame. -On vous salue, madame.
04:09 -Elle m'a fait une petite remarque. Elle était un peu en colère.
04:11 Parce qu'elle m'a demandé pourquoi j'ai pas ramené Thibaut avec moi.
04:13 -Ah!
04:15 -Donc, madame, ne vous inquiétez pas.
04:17 -Mais t'es une marge pas tout le temps avec Thibaut!
04:19 -Je vais te mettre sur mon livret.
04:21 -C'est vrai que j'ai du succès auprès d'un certain âge.
04:23 -Ah, il y a du succès auprès du 3e âge.
04:25 Comment ça va, Thibaut?
04:27 -Ça va très bien. J'aurais préféré que ce soit plutôt du 1er âge
04:29 que du 2e âge. Je sais pas comment on dit.
04:31 -Bientôt, on showcase dans les Ehpad. -Exactement.
04:33 Vous entendez dans tous les Ehpad marrons de la réunion.
04:35 -Lolo fera ta première partie,
04:37 bien évidemment. Bruna, la forme?
04:39 -Petite forme. Petite forme,
04:41 gros festival.
04:43 On a profité, bien sûr, Sakifo oblige.
04:45 Et d'ailleurs, à l'occasion, j'ai croisé
04:47 quelqu'un qui voulait absolument nous faire un petit coucou.
04:49 Regardez.
04:51 -Bon, c'est Alice Lemoyne. On est au Sakifo.
04:53 Et je suis maintenant
04:55 2e pointe championne du monde.
04:57 Et je voulais vous faire un gros bisou, tout au ton.
04:59 J'avoue que j'ai pas trop de temps avant mon prochain départ
05:01 de venir. Mais en tout cas, je pense fort
05:03 à vous et j'espère que vous viendrez très vite dans l'émission.
05:05 À très vite.
05:07 -Et bien, merci à vous.
05:09 Hâte que tu prennes la vague pour venir jusqu'ici.
05:11 -Elle était un peu déçue
05:13 de ne pas pouvoir venir. Malheureusement,
05:15 elle a des entraînements.
05:17 En tout cas, elle nous fait un gros bisou. Elle pense fort à nous.
05:19 -On fait un gros bisou aussi. On pense fort à toi.
05:21 On va commencer cette émission
05:23 directement. Alors, j'ai une petite parenthèse
05:25 aujourd'hui pour vous, les gars. Ça m'a tué.
05:27 Vous avez déjà vu un bébé
05:29 avec des cheveux longs ? Mais genre,
05:31 bien longs ? -J'ai vu.
05:33 -Un Clody ? Vous l'avez vu ?
05:35 Eh bien, je vais vous montrer ça et on va
05:37 rigoler tous ensemble. Attention, vous allez
05:39 peut-être mourir de rire.
05:41 -Hey, girl !
05:43 Hey, girl !
05:45 Hey, girl !
05:47 Hey !
05:49 Hey, baby !
05:51 Hey !
05:53 Hey !
05:55 Hey, girl !
05:57 Hey !
05:59 -VTDR !
06:01 Elle a mis une pépée au bébé.
06:03 C'est bizarre, un peu, non ?
06:05 -Ouais, ça fait très chelou.
06:07 -Après, c'est pour la blague, pour la vidéo.
06:09 Je pense pas qu'elle laisse son bébé comme ça tout le temps.
06:11 Je l'espère, bien évidemment.
06:13 -J'ai vu des gens qui font ça pour leurs chiens.
06:15 Qui mettent une perruque pour les chiens
06:17 et qui, du coup, les déguisent comme ça.
06:19 -Un pépé pour les chiens ? -Très chelou, aussi, avant.
06:21 -Très, très chelou.
06:23 C'était juste pour vous partager
06:25 cette vidéo que j'ai trouvée
06:27 assez cute ce week-end.
06:29 On va passer à la suite. Ça passe ou ça casse.
06:31 Bruna, elle a un truc à nous dire.
06:33 La reggae.
06:37 Alors, Bruna ?
06:39 -Ca passe ou ça casse. On va parler aujourd'hui,
06:41 bien évidemment, du Sacifo.
06:43 Cette 19e édition qui a battu
06:45 absolument tous les records.
06:47 On était hier à 19h à 41 700 places de vendues.
06:51 Il y en avait, bien sûr, d'autres qui ont été vendues
06:53 par la suite. Historique.
06:55 Ce fut un moment historique.
06:57 Pas moins de 150 bénévoles étaient présents
06:59 pour l'occasion.
07:01 Il n'y a rien à dire sur cette édition.
07:03 Ils ont vraiment mis les moyens.
07:05 Éventuellement,
07:07 quelques petits "quoi" qu'on va dire.
07:09 -#Jossman ?
07:11 -Les deux coupures de courant.
07:13 -Le gars est trop chaud à ce qu'il parle.
07:15 -Les coupures de courant qu'il a pu avoir.
07:17 Les fans d'Angèle
07:19 qui ont malheureusement été un petit peu déçues
07:21 de ne pas pouvoir l'approcher.
07:23 On sait que malheureusement,
07:25 même durant ces balances,
07:27 les festivaliers n'ont pas pu l'approcher.
07:29 C'était interdit.
07:31 Elle n'était là que pour ses 50 minutes de show.
07:33 -Elle a fait une heure.
07:35 -Elles sont passées assez vite.
07:37 Elle a fait le show
07:39 et elle a empoché son joli cachet.
07:41 -Très joli cachet.
07:43 À six chiffres, par contre.
07:45 -A six chiffres.
07:47 Elle revient de coacher.
07:49 On peut se dire que...
07:51 -Ce n'est pas le débat de l'édition.
07:53 -Elle est venue avec sa grosse équipe.
07:55 -Toutes ses danseurs, etc.
07:57 -On va parler du sacrifice.
07:59 Est-ce que vous en avez pensé ?
08:01 Est-ce que c'était un flop ?
08:03 Est-ce que ça valait le coup d'y aller cette année ?
08:05 -Ça passe ou ça casse ?
08:07 Le sac, il faut...
08:09 Top ou flop, ça passe.
08:11 Ça casse, pareil.
08:13 Thibaut, tu n'étais pas là, mais ça passe.
08:15 -Je n'étais pas là non plus.
08:17 -Ça casse, ça passe. Et toi ?
08:19 -Ça passe.
08:21 -Qu'est-ce qui se passe ?
08:23 Déçue ?
08:25 -Je suis un peu déçue.
08:27 -Tu es venue pour Josman ?
08:29 -Je suis déçue de l'organisation.
08:31 Il y a eu des coupures de courant.
08:33 C'est lancé dans un mood.
08:35 Et après, paf, ça coupe.
08:37 Et après, ça revient.
08:39 Et après, le jeu de Josman,
08:41 il y a des titres qu'il n'a pas finis.
08:43 C'était très, très frustrant.
08:45 Vraiment très frustrant.
08:47 Tu ne peux pas nous faire ça, Ferro.
08:49 -Ça a été au milieu de la prestation ?
08:51 -Il y a tellement de titres.
08:53 Il y a tellement de morceaux.
08:55 -Il ne chantait pas tout seul.
08:57 -Il a fait un medley.
08:59 -Il fait le couplet, le refrain.
09:01 Sauf que parfois, tu tombes sur un morceau
09:03 que tu kiffes vraiment.
09:05 Après, j'ai trouvé ça extrêmement...
09:07 Après avoir fait les autres éditions
09:09 du Sacifo, je trouvais qu'il manquait
09:11 un truc cette année.
09:13 -Il manquait un "Il joue sur scène".
09:15 -Non, ce n'est pas ça du tout.
09:17 Non, non, pas.
09:19 Je trouvais que ça faisait trop...
09:21 Il n'y avait pas le mood festival.
09:23 Il y avait plus le mood...
09:25 Je suis désolée, j'ai peut-être un peu cru,
09:27 mais un peu faite foraine, au final.
09:29 J'ai trouvé ça vraiment dommage.
09:31 Et puis, je trouvais extrêmement cher aussi
09:33 les bouteilles d'eau, les boissons,
09:35 les burgers,
09:37 tout ce que j'ai pu consommer.
09:39 J'ai trouvé ça extrêmement cher.
09:41 Je me suis dit déjà, pour deux personnes,
09:43 ça nous faisait quand même pas mal.
09:45 Je me suis dit que pour les personnes qui sont venues
09:47 à 4 ou 5, ça doit être juste excessif.
09:49 Le Sacifo, c'est un week-end que tu prends.
09:51 Ça coûte vachement cher les billets.
09:53 Après, le billet, ça va,
09:55 parce qu'il y a plusieurs concerts que tu peux découvrir.
09:57 Mais si tu habites dans le Nord,
09:59 ça nécessite à ce que tu réserves
10:01 quelque chose dans le Sud.
10:03 Il y a tout ça.
10:05 Je trouve que comparé aux autres fois,
10:07 cette fois-ci, ça casse un peu pour moi.
10:09 Après, ce n'est pas nul.
10:11 - Après, comparé à l'année dernière,
10:13 j'ai l'impression que l'année dernière, c'était mieux.
10:15 Je ne sais pas pourquoi, mais il n'y avait pas
10:17 vraiment des artistes que j'affectionnais.
10:19 J'ai été déçu par Josman, après avoir vu
10:21 les grands écrans.
10:23 Tu as 3 grands écrans.
10:25 Angèle a beaucoup utilisé les écrans.
10:27 Elle a mis des trucs graphiques,
10:29 des photos, des vidéos.
10:31 J'ai trouvé que ça donnait un plus au show.
10:33 C'est la seule qui a fait ça
10:35 de toutes les personnes qui ont pu faire le show.
10:37 Après, je dis des bêtises,
10:39 je ne sais plus comment il s'appelle l'artiste,
10:41 mais je n'ai pas vu ce qu'il avait mis.
10:43 Je m'attendais à ce que Josman fasse ça.
10:45 - Après, il n'était pas chaud.
10:47 Il y a quelque chose des périodes où il était chaud.
10:49 - Je trouvais ça dommage que Dissiz
10:51 était plus chaud que Josman.
10:53 Pourtant, Josman, c'est plus un showman.
10:55 - Surtout quand il est venu en 2019
10:57 au Palaxa, c'était très chaud.
10:59 Je m'attendais à un gars chaud bouillon
11:01 sur scène.
11:03 - Là, il était Palaxa.
11:05 - Par contre,
11:07 un bon plan pour
11:09 Carton Vert, pour DJ Seb.
11:11 DJ Seb a enflammé.
11:13 Des fois, il n'a pas besoin de faire venir
11:15 des artistes et de les payer une blinde.
11:17 Ici, on a tout ce qu'il faut à La Réunion.
11:19 DJ Seb a fait le taf
11:21 et il l'a fait plus que bien.
11:23 - Après, j'avais l'impression qu'ils ont changé
11:25 la disposition du village.
11:27 C'était très...
11:29 Quand tu as connu les autres,
11:31 le temps que tu prennes tes marques,
11:33 j'ai trouvé ça très sombre.
11:35 Il manquait de couleur, de lumière.
11:37 - Ils ont agrandi
11:39 le VIP.
11:41 Le VIP était beaucoup plus grand à l'époque.
11:43 C'était juste une petite section où c'était vraiment VIP.
11:45 Là, c'était un VIP
11:47 pour tout le monde.
11:49 C'était un village derrière
11:51 où il y avait du bon et du mauvais.
11:53 - Il n'y avait pas des trucs de ouf à manger, en vrai ?
11:55 - Non, franchement, non.
11:57 - Et puis, 8 euros ton kebab.
11:59 - 15 euros le burger, quand même.
12:01 - 15 euros le burger ?
12:03 - Un burger frit de 15 euros.
12:05 Ça fait mal, quand même.
12:07 Tu ne peux pas faire les 3 jours sans avoir un 1/1
12:09 sur un bon budget.
12:11 - Ils se sont bien engraissés, du coup, finalement.
12:13 - Quand on voit le prix de l'entrée,
12:15 quand on voit le nombre de personnes...
12:17 Après, il faut savoir qu'il y avait des places
12:19 qui ont été offertes.
12:21 Il y a eu plus de 14 000 places offertes aux partenaires.
12:23 Mais payant, il y a quand même eu
12:25 quasiment 42 000 places.
12:27 Et moi, je pense aux bénévoles.
12:29 Ils étaient plus de 150.
12:31 Alors, certes, ils avaient le droit de profiter du concert.
12:33 Mais des bénévoles...
12:35 Peut-être une petite pièce, une petite monnaie.
12:37 On est en 2023, on sait que les choses sont dures.
12:39 - Après, ils ne sont peut-être pas forcément bénévoles sur les 3 jours.
12:41 - Alors, certains...
12:43 - Peut-être que les bénévoles, ça bouge.
12:45 - Certains, ils sont sur les 3 jours.
12:47 Et je me dis, vu le taf qu'il y a,
12:49 ils sont à fond non-stop.
12:51 Tu sais que tu vas t'engraisser d'un côté.
12:53 Alors, bien sûr, il y a des charges, il y a tout ça.
12:55 Mais je pense à ces jeunes bénévoles
12:57 qui étaient à fond toute la soirée.
12:59 Je pensais quand même à eux.
13:01 - En plus, ils aiment ça. C'est leur truc.
13:03 Ils kiffent le fait d'être là.
13:05 Après, ils mangent gratuitement.
13:07 Ils sont là, ils vivent l'événement.
13:09 Et je pense que, quoi qu'il arrive,
13:11 ils n'ont pas besoin de ça.
13:13 Ils se sont inscrits pour ça.
13:15 - Oui.
13:17 - Ça change un peu la relation de taf,
13:19 l'événement aussi.
13:21 Quand tu es salarié, employé,
13:23 tu fais un taf parce que...
13:25 Même si tu n'aimes pas, tu vas le faire
13:27 parce que tu es payé.
13:29 Là, bénévole, je comprends,
13:31 ils gagnent de l'argent et tout.
13:33 Mais en vrai, si tu regardes les gros invités,
13:35 les têtes d'affiches, déjà, il faut les rémunérer.
13:37 Ça doit jouer pas très loin non plus.
13:39 Je pense qu'il y a un beau cachet aussi.
13:41 En tout cas, une fois que tu as payé les 3,
13:43 plus tous les artistes qu'il y avait,
13:45 plus les scènes, les éclairages,
13:47 tous les techniciens qui ont peut-être...
13:49 Il y a des bénévoles, mais j'espère
13:51 qu'il y a des pros qui ont été là.
13:53 Il y a peut-être plein de choses à payer.
13:55 Après, tu gardes un peu de trésorerie
13:57 pour l'année d'après.
13:59 - C'est les 20 ans, je crois.
14:01 - C'est ça.
14:03 - Après, je pense qu'ils ont aussi
14:05 des trucs à faire.
14:07 - Ils sont pas mal.
14:09 - Moi, je me pose vraiment une question
14:11 à titre financier.
14:13 Ça fait quoi un chiffre d'affaires
14:15 de presque 1,2 million d'euros
14:17 juste sur les entrées ?
14:19 Ils sont très bien.
14:21 En plus, ils ont une subvention.
14:23 Ils vendent des kebabs à 8 balles.
14:25 - Ils ont des partenaires aussi.
14:27 Ils ont des partenaires qui payent
14:29 quand ils font leur soirée entreprise.
14:31 Je ne sais pas ce qui reste
14:33 à suivre à la fin.
14:35 - Déjà, il y a au moins 5 millions
14:37 de générés sur ce festival.
14:39 En bénéfice, je pense que si on n'est pas
14:41 sur du 1 million net, c'est qu'ils ont mal joué.
14:43 - Par contre, à la fin du festival,
14:45 à la sortie du samedi,
14:47 il y avait une dame.
14:49 Elle était en train de distribuer
14:51 des préservatifs.
14:53 C'était très hilarant.
14:55 Je voudrais dire à cette dame de ne pas faire ça.
14:57 Parce que c'est ultra gênant.
14:59 Elle était là... "Qui veut ?"
15:01 Elle distribuait des flyers.
15:03 C'était ultra gênant.
15:05 Imagine, tu vas la voir devant tout le monde.
15:07 - Je suis allée la voir.
15:09 - C'est pas grave.
15:11 - Si j'en avais besoin, je l'ai pas trouvé.
15:13 - Je suis allée la voir.
15:15 L'année dernière, c'était des étilotests.
15:17 Je me suis dit que je vais faire la fille bien.
15:19 Je vais prendre un étilotest.
15:21 Quand je suis arrivée dans la boîte,
15:23 je me suis dit que c'était pour souffler.
15:25 - C'est pour souffler dedans.
15:27 - Peut-être plus mettre une borne
15:29 dans un petit coin.
15:31 Je sais pas.
15:33 - Après, ça va. La sexualité, c'est assez décomplexé.
15:35 - Délibéré.
15:37 - Là, c'était trop.
15:39 - Quand t'as 16 qui dit à tout le monde
15:41 "Allez, frottez-vous, les célibataires,
15:43 "levez la main, ceux qui ont faim,
15:45 "levez la main."
15:47 - Il y a des jeunes pour le faire.
15:49 Là, ça faisait trop le décalage.
15:51 - Le décalage de ouf.
15:53 - C'était hilarant.
15:55 - Le sacrifaux, moi, j'ai kiffé.
15:57 J'ai été surpris par les artistes que j'attendais.
15:59 J'ai été surpris par les artistes que j'attendais pas.
16:01 Mais ça reste quand même un super bon moment.
16:03 On s'est bien amusés.
16:05 On est bien fatigués.
16:07 On a hâte de fête de ce soir.
16:09 On va passer à la suite.
16:11 On va envoyer une petite page de publicité,
16:13 les amis, avant d'accueillir nos invités du CIVIF
16:15 pour parler de précarité mensuelle.
16:17 Allez, à tout de suite.
16:19 ...
16:21 - Stop aux gâchis.
16:23 Leclerc continue sa lutte contre le gaspillage alimentaire.
16:25 Vos magasins Leclerc de Lille
16:27 adoptent la démarche "Zéro gâchis".
16:29 Tous les jours, des produits frais
16:31 à dette courte sont remisés jusqu'à 70 %.
16:33 En rayons ou dans les corners dédiés,
16:35 profitez de bons produits à petit prix
16:37 et luttons ensemble
16:39 contre le gaspillage alimentaire.
16:41 ...
16:43 Leclerc.
16:45 - Les aviez-vous ?
16:47 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant
16:49 dans les commentaires Facebook, ni en scrollant sur TikTok ?
16:51 ...
16:53 ...
16:55 ...
16:57 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme
16:59 révolutionnaire, incroyable
17:01 et peu estofflante.
17:03 On exagère peut-être un peu.
17:05 Pour trouver son emploi en un clic,
17:07 waouh, un clic ? Mais c'est super !
17:09 Clique en bas.
17:11 ...
17:13 ...
17:15 ...
17:17 Avec Clique emploi, vous aussi,
17:19 trouvez le job qu'il vous faut en un et un temps.
17:21 Martine, on dit merci qui ?
17:23 ...
17:25 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
17:27 Bah ouais, elle bosse. Merci Clique emploi !
17:29 ...
17:31 ...
17:33 ...
17:35 ...
17:37 ...
17:39 ...
17:41 ...
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17:59 ...
18:01 ...
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18:21 ...
18:23 ...
18:25 ...
18:27 ...
18:29 ...
18:31 ...
18:33 - Ensemble, suivons le talk
18:35 et luttons contre le gaspillage alimentaire
18:37 avec Leclerc et Zerogashi.
18:39 ...
18:41 ...
18:43 Leclerc.
18:45 - De retour sur le plateau, on accueille nos invités du Cévis,
18:47 Frédéric Rousset et Marie-Ange Rassouan Irina.
18:49 Comment allez-vous ?
18:51 - Ça va.
18:53 - La forme ? - Très bien.
18:55 - Au plaisir de vous avoir sur le plateau, aujourd'hui dans le Doss du jour,
18:57 on va parler de précarité mensruelle
18:59 avec Thibaut Ocomande.
19:01 C'est le Doss du jour. Jingle.
19:03 ...
19:05 ...
19:07 - Dossier Ocombien,
19:09 15% des femmes
19:11 qui n'ont pas les moyens de se procurer
19:13 des protections hygiéniques en France.
19:15 C'est un chiffre national.
19:17 Frédéric, je vais commencer par vous.
19:19 Est-ce qu'on observe
19:21 la même proportion à la Réunion ?
19:23 - Oui. Par définition, c'est un sujet
19:25 tabou. C'est difficile d'avoir
19:27 des chiffres, d'autant qu'il n'y a pas
19:29 d'études menées. Peut-être au sein
19:31 de l'université, qui fait un gros effort,
19:33 on a quelques chiffres par rapport
19:35 à la population étudiantine.
19:37 Il y a beaucoup d'étudiants,
19:39 on le sait, en situation de précarité.
19:41 Il y a une boutique,
19:43 une épicerie sociale.
19:45 On sait bien que
19:47 ces serviettes hygiéniques, ces tampons,
19:49 ces cups menstruelles sont en soi
19:51 un poste de dépense important.
19:53 - Est-ce qu'on est surtout sur la précarité
19:55 chez les jeunes ou est-ce que
19:57 ça se retrouve tout au long,
19:59 sur toute une population, même quand on travaille
20:01 et qu'on a une famille ? Est-ce qu'il y a des soucis ?
20:03 - Oui.
20:05 Isabelle Romm,
20:07 déléguée auprès de la Première ministre
20:09 en charge de l'égalité femmes-hommes,
20:11 a annoncé qu'en 2024,
20:13 les protections
20:15 hygiéniques renouvelables
20:17 seraient remboursées jusqu'à 25 ans.
20:19 Madame Jeanne Docteur,
20:21 présidente d'une association
20:23 Garde l'espoir, a fait remarquer que les règles
20:25 ne s'arrêtaient pas à 25 ans.
20:27 On est en levis, il y a un grand stress.
20:29 On est dans une spirale inflationniste.
20:31 Encore une fois, certaines femmes
20:33 se privent de protection
20:35 au risque d'entamer
20:37 leur santé, leur confort.
20:39 C'est un vrai problème.
20:41 - Vous travaillez beaucoup
20:43 avec des femmes
20:45 victimes de violences ou d'autres,
20:47 pour se reconstruire.
20:49 Des témoignages que vous avez,
20:51 comment on peut expliquer cette précarité mensuelle ?
20:53 C'est quoi ? C'est la fin à cause
20:55 de l'inflation, peut-être en ce moment,
20:57 c'est compliqué pour tout le monde,
20:59 d'autant plus si on a des bas revenus
21:01 ou étudiants.
21:03 Qu'est-ce que vous entendez dans les témoignages ?
21:05 - Vu qu'on accompagne beaucoup les femmes
21:07 qui sont victimes de violences,
21:09 on travaille beaucoup avec le CIVIF.
21:11 Depuis la Covid,
21:13 déjà, tout le monde
21:15 est en galère, socialement.
21:17 Et puis, ce sera bien
21:19 de mettre en place
21:21 des serviettes hygiéniques
21:23 à disposition gratuite
21:25 pour toutes les femmes.
21:27 Ça concerne les jeunes moins de 25 ans
21:29 et aussi les mamans
21:31 qui en ont vraiment besoin,
21:33 parce que les règles ne s'arrêtent pas
21:35 qu'à 25 ans.
21:37 - Pour être très concret,
21:39 combien coûte ce budget-là ?
21:41 C'est quoi ?
21:43 C'est 10, 20, 30 euros
21:45 pour une femme ?
21:47 - Pour une femme, déjà, pendant les règles,
21:49 ça coûte à peu près 12 euros.
21:51 Ça fait 4-5 jours, en moyenne,
21:53 les règles.
21:55 - 4-5 jours.
21:57 Parfois, t'as des femmes
21:59 où ça peut durer plus.
22:01 - Jusqu'à une semaine des règles.
22:03 Donc, ça présente énormément
22:05 de budget, surtout pour les jeunes.
22:07 - Et pour les femmes que vous rencontrez,
22:09 si, par exemple,
22:11 elles payaient ce budget,
22:13 mettaient l'argent sur les protections hygiéniques,
22:15 sur quoi elles devraient venir ?
22:17 Est-ce que c'est sur l'alimentation qu'on doit se restreindre ?
22:19 C'est sur la vie familiale ?
22:21 Comment on devrait gérer ce budget ?
22:23 - C'est sûr,
22:25 ça donne plus...
22:27 Comment ? Je n'ai pas compris.
22:29 - En gros, si l'argent qu'elle mettrait
22:31 dans les protections hygiéniques, sur quoi elle reviendrait à côté ?
22:33 Frédéric, est-ce que c'est sur l'alimentation ?
22:35 Et du coup, au final, il faut vraiment tout...
22:37 - Oui, c'est sûr.
22:39 Ça peut économiser sur l'alimentation.
22:41 Au lieu d'acheter, par exemple, des goûters
22:43 pour les jeunes collégiens ou lycéens,
22:45 elle est obligée
22:47 de prévenir de manger pour acheter des serviettes hygiéniques.
22:49 - Oui, il y a des réunionnaises et des réunionnais
22:51 qui font un repas par jour.
22:53 - Si on prend le cas, par exemple,
22:55 d'une étudiante qui a 500 euros de bourse
22:57 et qui doit payer son petit studio
22:59 à la fac 250 euros,
23:01 il lui reste 250 euros
23:03 pour payer son Internet,
23:05 son téléphone,
23:07 c'est peut-être un peu de fringues,
23:09 ou frais de bus, etc.
23:11 - Un peu de plaisir.
23:13 - Elle est un peu haussinée, il lui reste plus quasi rien
23:15 pour lui acheter des protections.
23:17 Je pense que ça devrait être comme...
23:19 Parce que là, j'ai vu que dans les pharmacies,
23:21 tout ce qui est test de grossesse, etc., c'est gratos.
23:23 Même les préservatifs,
23:25 ça doit être pareil. On devrait pouvoir,
23:27 en tant que femme, se rendre quelque part
23:29 et prendre des protections hygiéniques
23:31 sans forcément se poser la question de comment on va faire pour acheter.
23:33 - Ça, Frédéric, il n'y avait pas...
23:35 Moi, je pensais même qu'il y avait une loi
23:37 ou que Macron avait annoncé ça,
23:39 qu'il y aurait dans les lycées,
23:41 en tout cas dans les établissements scolaires,
23:43 des distributeurs de protections hygiéniques.
23:45 - Alors, à La Réunion, la région Réunion
23:47 a pris à son compte ce dossier.
23:49 Donc, ça a été engagé en octobre 2022.
23:51 Et là, au début d'année,
23:53 je crois que c'était en mars,
23:55 je crois que c'était en mars,
23:57 au lycée Isne-l-Amelin, à Sainte-Marie,
23:59 que le premier distributeur a été mis en place.
24:01 Parce qu'on dit que ça coûte cher,
24:03 mais il faut voir aussi les conséquences
24:05 en termes de déscolarisation.
24:07 Il y a des étudiants, des collégiennes, des lycéennes
24:09 qui ne vont pas pendant quelques jours
24:11 dans leur établissement scolaire.
24:13 C'est une faute de protection.
24:15 Donc, il faut voir tous les coûts psychologiques...
24:17 - C'est triste. - Oui, c'est triste.
24:19 On a même vu, on accompagne des victimes
24:21 qui peuvent être victimes de violences économiques.
24:23 On a déjà vu des hommes interdire
24:25 à leurs conjointes d'acheter des protections
24:27 parce que ça coûte cher.
24:29 On a vu qu'ils scrutent le ticket de caisse
24:31 à leur retour de course. - C'est abusé.
24:33 - Oui, ça existe.
24:35 C'est ce qu'on appelle les violences économiques
24:37 dont on parle peu.
24:39 C'est l'homme qui exerce le contrôle sur la femme
24:41 jusqu'au denier.
24:43 Et puis, on voit, il y a des chiffres,
24:45 une étudiante sur 10 serait en situation
24:47 de devoir fabriquer elle-même leur protection.
24:49 Et fabriquer, ça veut dire quoi ?
24:51 Quelquefois, c'est utiliser des chiffons,
24:53 du papier journal, des choses qui sont...
24:55 - Ça ne protège pas.
24:57 - Tu peux rester chez toi, en étant femme,
24:59 mais tu ne peux pas sortir dehors, faire du sport.
25:01 - Quand j'étais adolescente,
25:03 c'est ma maman qui fabrique mon...
25:05 - Oui, oui.
25:07 - Mon petit gène.
25:09 - Et puis, elle me lave.
25:11 Et puis, on rechange, elle fabrique au moins 4-5.
25:13 Et puis, pendant une semaine,
25:15 on fait rien.
25:17 - C'est le même combat tous les mois.
25:19 - C'est la meilleure solution qu'on peut faire
25:21 parce qu'on était jeunes.
25:23 On ne peut pas y aller à l'école
25:25 si on ne met pas de...
25:27 - Frédéric, qu'est-ce que vous pensez ?
25:29 Vous avez l'impression que les politiques...
25:31 Vous avez parlé de la région, un établissement scolaire,
25:33 un seul à La Réunion qui a mis en place ce distributeur.
25:35 Que les politiques prennent au sérieux ce sujet
25:37 qui est hyper important pour les femmes.
25:39 C'est du quotidien, c'est du pouvoir d'achat aussi.
25:41 Ça peut être de la violence économique,
25:43 vous en parliez.
25:45 Est-ce que c'est pris au sérieux ou non ?
25:47 Est-ce que c'est encore tabou et qu'on n'en voit pas assez ?
25:49 - Je pense qu'on est en train de gagner du terrain.
25:51 Le programme qui consiste à doter
25:53 les établissements, les lycées,
25:55 il est en cours. Il est question de doter
25:57 les 50 lycées, les lycées publics, privés,
25:59 les maisons familiales et rurales.
26:01 À l'occasion de cette médiatisation,
26:03 j'ai une chargée parlementaire
26:05 d'un député qui m'a appelé
26:07 en me disant que son député,
26:09 notre député,
26:11 allait travailler sur cette question.
26:13 Je dirais un petit peu dans le sillage
26:15 de l'Espagne, qui en Europe
26:17 est vraiment un aiguillon,
26:19 vraiment en pointe sur ces sujets-là,
26:21 qui met en place, qui a voté
26:23 notamment les congés monstruels,
26:25 etc. Mais je pense qu'on est en train
26:27 de prendre conscience, effectivement,
26:29 comme vous l'avez annoncé,
26:31 que c'est un sujet qui concerne aussi bien les femmes
26:33 que les hommes, c'est un sujet de société.
26:35 Et il se trouve qu'à La Réunion,
26:37 rien que sur Saint-Denis, il y a à peu près
26:39 32% des foyers qui sont constitués
26:41 de... qui sont des familles monoparentales,
26:43 c'est-à-dire des femmes avec enfants.
26:45 Donc à peu près 60 000 femmes
26:47 à La Réunion. Donc je pense qu'il est
26:49 très important que la solidarité
26:51 joue pour ces femmes et pour ces familles,
26:53 puisque, comme le disait
26:55 Marie-Ange, il faut renier sur
26:57 d'autres dépenses, et ça peut être l'alimentation
26:59 de ces femmes, de ces enfants.
27:01 - Et alors,
27:03 pour fermer le dossier rapidement,
27:05 là, je voulais passer sur un autre sujet,
27:07 ce week-end, en fait, il y a eu le Danse avec les Stars Pays,
27:09 et puis Stéphanie Tazard, donc, qui représentait
27:11 votre association, donc le C'est Vif,
27:13 dans cette compétition, justement,
27:15 à destination des associations.
27:17 Comment ça s'est passé ? Est-ce qu'elle a remporté ?
27:19 Est-ce que... Comment ça s'est passé ?
27:21 - Elle a gagné nos cœurs, déjà.
27:23 Non, elle est formidable, vous la connaissez bien,
27:25 parce qu'elle était déjà engagée avec
27:27 Thief Ripry et Marie-Ange sur l'album "Rose".
27:29 Je pense que c'est assez
27:31 audacieux de s'emparer
27:33 de cette question-là, qui n'est pas forcément
27:35 beaucoup traitée. Bon, c'est
27:37 important que la culture s'empare
27:39 de ce sujet. La psychiane
27:41 Liliane Daligan disait "Les auteurs
27:43 sont des infirmes de l'expression".
27:45 Et c'est ce qu'on fait, nous,
27:47 au sein de nos associations, de développer, de permettre
27:49 aux enfants de développer un maximum
27:51 tout ce qui est d'ordre artistique
27:53 ou sportif, parce qu'effectivement,
27:55 les êtres humains, quand ils ne arrivent pas à s'exprimer,
27:57 ils passent à l'acte. Là, il s'agissait de la danse.
27:59 Là aussi, c'était
28:01 vivant. Les associations,
28:03 on se parlait dans les gradins,
28:05 on n'était pas du tout en concurrence, parce que
28:07 l'idée, déjà, de parler
28:09 des associations, de promouvoir un message,
28:11 c'est déjà une
28:13 très belle chose. Et je remercie
28:15 Mickaël Marmit et Stéphanie Tazard d'avoir
28:17 porté très haut les couleurs du sévif.
28:19 – Et du coup, elle a bien dansé ? – Mais oui.
28:21 Mais oui, vous connaissez son engagement.
28:23 Elle s'est entraînée…
28:25 – Elle va bien, après, ce qu'elle a enseigné.
28:27 – Je crois qu'on va l'y mettre.
28:29 – En tout cas, merci beaucoup Frédéric
28:31 et Marie-Ange d'être venus sur le plateau
28:33 pour parler de ce sujet de société
28:35 qui touche tout le monde, donc la précarité
28:37 menstre, ruelle, aussi bien, vous l'avez dit,
28:39 les hommes que les femmes. Donc, on souhaite
28:41 bon courage à toutes les femmes pour qui c'est compliqué
28:43 et en espérant que ce soit le député
28:45 ou les politiques, en tout cas, en général,
28:47 se… – Même pour les hommes,
28:49 parce que des fois, quand tu vas acheter des…
28:51 Moi, je vais en acheter pour ma copine. Des fois, je suis choqué.
28:53 Je ne sais même pas quoi prendre.
28:55 Enfin, je sais quoi prendre, mais je me dis,
28:57 mais attends, il faut faire un crédit sur 3 ans
28:59 pour acheter ces serviettes. Du coup, même les hommes,
29:01 on garde le combat.
29:03 On est avec vous, les femmes.
29:05 – En tout cas, les hommes, ne pas faire du
29:07 pénis-plaining, c'est-à-dire, c'est avant tout
29:09 aux femmes de décider, en fonction de leurs besoins
29:11 et de leurs préférences, parce qu'en plus,
29:13 on les culpabilise. C'est vrai que c'est des produits
29:15 très polluants. Donc, on leur rajoute,
29:17 non comptant de le stigmatiser,
29:19 le sang, c'est sale, c'est honteux
29:21 dans nos représentations, mais en plus, on les pointe du doigt
29:23 en leur disant "vous polluez la planète".
29:25 Donc, pas de pénis-plaining. Il faut se solidariser
29:27 les hommes et les salles, en fonction de
29:29 l'âge de vie, du flux menstruel, etc.
29:31 – Exactement. Un seul combat.
29:33 Merci beaucoup Frédéric.
29:35 Nous, on va passer à la suite. Vous restez avec nous.
29:37 Bien évidemment, 3 infos
29:39 à retenir.
29:41 Thibaut, ben écoute, il n'y a pas de jingle ?
29:43 – Non, il n'y a pas de jingle.
29:45 – 3 infos à retenir.
29:47 Qu'est-ce qu'il faut retenir, Thibaut ?
29:49 – 3 infos à retenir de ce week-end
29:51 pour changer un peu les idées.
29:53 On en a déjà parlé en début d'émission,
29:55 c'était le Sacifo, et une prestation a pas mal déçu
29:57 ou frustré les spectateurs
29:59 et les journalistes. Vous voyez de quel artiste
30:01 il s'agit ? – Josman ? – Non.
30:03 – Angel ? – Angel.
30:05 – Ah oui ? – Effectivement.
30:07 Tête d'affiche du vendredi au Sacifo,
30:09 Angel a fait une prestation, comme à l'habitude,
30:11 pré-millimétrée, un peu trop peut-être au goût de pas mal
30:13 de spectateurs pour qui il manquait justement
30:15 de naturel, de personnalité.
30:17 Les journalistes ont surtout été déçus, eux,
30:19 de ne pas pouvoir la filmer ou l'interviewer.
30:21 En effet, la production d'Angel avait interdit
30:23 toute captation vidéo de la part du média,
30:25 pas d'interview. Les répétitions interdites
30:27 aux bénévoles, on l'a un peu évoqué tout à l'heure.
30:29 Donc voilà. – Mais en fait,
30:31 c'est quand même fou, parce que ça veut dire
30:33 que là, que ce soit à Réunion 1re, Antenne Réunion,
30:35 Télé-Créole, personne n'a pu filmer
30:37 un petit bout du concert et le mettre dans un…
30:39 – On n'avait pas le droit. – Vous n'avez pas le droit ?
30:41 – Je pense qu'elle a une image exclusive, vous savez,
30:43 elle fait des gros contrats
30:45 avec les marques comme Chanel, etc.
30:47 Et je sais qu'en général, quand tu fais ce type de contrat-là,
30:49 t'as ton image qui est gérée par eux
30:51 et tout ce que tu dois véhiculer sur Internet
30:53 doit être tellement propre. Et le fait que
30:55 d'autres médias s'emparent de son image
30:57 et qu'elle n'ait pas le contrôle dessus, ça peut lui porter,
30:59 elle, après, préjudice. Je pense qu'il n'y a pas
31:01 vraiment de… Elle fait sa star.
31:03 – Je comprends, moi, je suis d'accord.
31:05 Sans lettre, pourquoi ? Je vais t'expliquer,
31:07 parce qu'à un moment donné, il y a des gens qui filment
31:09 avec leur téléphone. – Oui, mais les images
31:11 de réseaux sociaux, ça ne reste pas assez
31:13 représentatif du live,
31:15 parce que selon la position de la personne
31:17 proche, loin de la scène,
31:19 ça ne demande pas vraiment comment a été le concert.
31:21 Alors qu'un journaliste, il va venir avec sa grosse caméra,
31:23 donc il pourra déjà visualiser, peut-être qu'à ce moment-là,
31:25 je ne sais pas, je dis n'importe quoi,
31:27 c'est une femme, il y a son haut
31:29 qui monte un peu, on voit une partie,
31:31 c'est tout comme ça. Et je pense que c'est plus
31:33 ces aspects-là qu'ils veulent compter, que sa production
31:35 veut compter. – Oui, il y a justement une coupure
31:37 de courant, par exemple, et que finalement, le reportage,
31:39 c'est juste quoi que… – C'est ça, et qu'ils s'attardent
31:41 sur ça, enfin… – Ce qui est gênant
31:43 dans l'histoire, c'est qu'il faut toujours prévenir avant.
31:45 On dit avant qu'Angèle, ça ne sera pas possible,
31:47 les journalistes ne venaient pas. – Mais c'était prévu avant.
31:49 – Vous n'allez pas pouvoir filmer, vous n'allez pas
31:51 avoir des interviews. – Non, mais j'étais courante
31:53 depuis la semaine dernière que je ne pouvais pas filmer.
31:55 – Quelqu'un a fait une hâte, et puis viens parler.
31:57 – À chaque fois, c'est le même problème,
31:59 c'est qu'on fait une pub autour,
32:01 on vous dit de venir, et puis quand on arrive,
32:03 ben non, ils ne parlent pas.
32:05 Donc c'est…
32:07 – Après, je me suis dit, il y avait d'autres artistes
32:09 qui ont interviewé. – Bien sûr, il y avait des artistes locaux.
32:11 – Des artistes locaux. – Par contre, il y a un truc
32:13 que je n'ai pas aimé, c'est que j'ai vu qu'un reportage
32:15 de Réunion Première, je n'ai pas vu si Antenne avait fait la même chose,
32:17 mais du coup, tout le reportage, il n'y a aucune vidéo,
32:19 aucune image d'Angèle, mais justement,
32:21 t'as l'impression que tout le truc est à charge contre Angèle,
32:23 parce que t'as l'impression que le journaliste
32:25 était frustré juste de ne pas avoir eu son interview,
32:27 il attendait ça depuis des mois, de ne pas avoir l'interview
32:29 d'Angèle ou des images, et du coup, en fait,
32:31 que ce soit les interviews qu'ils ont choisies,
32:33 t'as des gens qui ne t'arrêtent pas de te dire que c'était génial,
32:35 mais c'est dommage, elle n'est pas assez naturelle, machin,
32:37 en même temps, au bout d'un moment, les gars,
32:39 si vous n'arrêtez pas de critiquer les gros artistes qui viennent,
32:41 et pour le coup, elle n'aurait rien fait,
32:43 tu vois, t'as dit que c'était trop bien,
32:45 il y avait les écrans, tout ça,
32:47 si elle était venue, qu'elle avait chanté une chanson,
32:49 comme il y en a qui sont venus faire…
32:51 – Ou un peu de pyjama sur scène.
32:53 – Oui, un peu bourré ou quoi, je ne dis pas,
32:55 mais là, elle a fait un show d'une heure.
32:57 – Ah oui, ça, c'était bien bien.
32:59 – On va reprocher à Beyoncé de faire un truc hyper millimétré,
33:01 ça défonce, tu vois,
33:03 c'est des shows préparés.
33:05 – Et après, il faut dire aussi que c'est une artiste internationale,
33:07 Angel, elle n'a pas droit à l'erreur,
33:09 et c'est tout à fait normal qu'aujourd'hui,
33:11 elle est ultra millimétrée sur ce qu'elle dit,
33:13 sur ce qu'elle fait, ses moindres faits et gestes
33:15 peuvent être relayés sur les réseaux,
33:17 et après, on va le critiquer, on va lui tomber dessus.
33:19 – C'est déjà génial qu'elle vienne chez nous.
33:21 – C'est comme ça, pour moi, oui.
33:23 – Après, là, je ne comprends pas,
33:25 je comprends qu'on ne puisse pas filmer le show,
33:27 on a une interview, je pense que ça, ça ne tue personne,
33:29 tu peux ne pas répondre aux questions,
33:31 tu peux demander les questions avant l'interview,
33:33 c'est juste, ben voilà, je suis super content de venir à La Réunion,
33:35 ça me fait plaisir de rencontrer le public réunionnais,
33:37 vous avez trouvé comment ?
33:39 Angel, ça, c'est génial.
33:41 – Ça se cale avant,
33:43 si l'organisation dit ok, c'est d'accord,
33:45 il n'y a pas de problème,
33:47 après, ce n'est pas l'artiste en elle-même,
33:49 elle avait calé avec l'organisation de ne pas faire des cas de "c'est fini".
33:51 – Si ça a été fait comme ça dès le début,
33:53 ça, c'était la première info,
33:55 c'était la première, c'était le deuxième.
33:57 – Deuxième info, un événement insolite a été organisé
33:59 sur les Champs-Elysées ce dimanche,
34:01 est-ce que vous avez vu passer ça, Frédéric et Marie-Ange ?
34:03 – Ce n'était pas la marche,
34:05 la visibilité, mais autre chose ?
34:07 – Non, non.
34:09 – La marche pour… – C'est un retour à l'école,
34:11 je vous donne un indice. – Un retour à l'école ?
34:13 – Il y a même eu un record du monde.
34:15 – Il y a eu un record du monde ? Non ?
34:17 – C'était une dictée géante.
34:19 – Ah !
34:21 – Une dictée géante.
34:23 – Une dictée géante a été attendue ce dimanche,
34:25 le 24 juin, pour cet événement organisé par le Comité des Champs-Elysées.
34:27 Trois dictées étaient au programme, avec à chaque fois 1 700 participants.
34:29 – C'est trop stylé.
34:31 – Une lecture assurée par le journaliste littéraire
34:33 Augustin Trappenard, il y avait aussi l'écrivaine
34:35 Catherine Pancol et l'agent e-sport de la ville de Paris,
34:37 Pierre Rabadon.
34:39 Au total, il y avait 1 700 pupitres sur 6 600 m².
34:41 – On voit où vont nos impôts, merci !
34:43 [Applaudissements]
34:45 Les impôts, merci !
34:47 – Je trouve ça trop stylé. – C'est stylé, en vrai.
34:49 – On dirait le défilé du 14 juillet, bien mangé.
34:51 – Ils sont rentrés dans le Guinness des records.
34:53 – C'est quoi cette dictée, je vois ?
34:55 – La plus grande dictée, le plus haut nom, le plus de participants.
34:57 – Combien de personnes, 1 700 ?
34:59 – Non, il y avait, attends, merde, c'était 5 000 participants.
35:01 – C'était pas retransmis à la télé quand les dictées de Bernard Pivot, à l'époque ?
35:03 – Oh, moi, j'ai détesté ça, là !
35:05 Moi, quand ma maman mettait ça à la télé,
35:07 je courais le plus loin possible.
35:09 [Rires]
35:11 – Troisième info, et dernière info, Thibault.
35:13 – Une voiture un peu particulière a été adjugée
35:15 à 210 000 euros.
35:17 – 210 000 euros.
35:19 – Quelle a été la particularité, du coup, de la voiture ?
35:21 – C'était la voiture de Charles. – Non.
35:23 – C'est une voiture de collection ? – Oui.
35:25 – Oui. – Euh... C'est tout.
35:27 [Rires]
35:29 – Est-ce qu'elle était en or ?
35:31 – De jasmin ? – Non.
35:33 – En platine ? – Non, elle était, tout simplement, en bois.
35:35 – En bronze ? – En bois !
35:37 – Ah, j'allais dire en bronze, mais j'ai...
35:39 – Deux chevaux en bois, effectivement, uniques au monde.
35:41 Une chevaux de type Aska, datant de 1955,
35:43 a été adjugée dimanche à 210 000 euros
35:45 lors d'une vente aux enchères près de Tours.
35:47 L'automobile a été achetée par Jean-Paul Favant,
35:49 fondateur du musée des arts forains à Paris,
35:51 et montreur de curiosité.
35:53 – Incroyable. – C'est quoi, le nombre ?
35:55 – 210 000 euros.
35:57 – 210 000 euros. J'espère que t'as pas de thermite chez toi,
35:59 parce que là...
36:01 – Non, mais ça a le potéger, non ? Ça date depuis quand, tu dis ?
36:03 – De 1955. – Ouais, voilà.
36:05 – Ah, ça a dû être un thermite. – Depuis 1955.
36:07 – Il suffit d'oublier de mettre une couche de produit,
36:09 et puis voilà, tu perds ton investissement
36:11 de 200 000 bactéries.
36:13 – T'imagines le, là ? – C'est comme une cigarette.
36:15 – J'ai craché ma voiture, "ah ouais, comment ?"
36:17 "Ouais, les thermites l'ont bouffée, hein !"
36:19 Le truc. Eh bien, super.
36:21 Merci beaucoup Thibault pour ces trois infos
36:23 à retenir, les amis.
36:25 Merci à vous d'avoir été avec nous sur le plateau.
36:27 Ça nous fait vraiment plaisir.
36:29 Hâte de vous recevoir encore une fois.
36:31 On va passer à la suite de l'émission,
36:33 pour la troisième et dernière partie.
36:35 On revient tout de suite, les amis. Pub !
36:37 [Générique]
36:41 [Tintement de clavier]
36:43 Nouveau.
36:45 Vizu devient 100% digital.
36:47 Retrouvez vos rubriques habituelles.
36:49 Agenda, interview,
36:51 zerbage, télévision,
36:53 jeux, horoscope.
36:55 Vous retrouverez aussi
36:57 votre programme télé.
36:59 Vizu, à vos côtés
37:03 depuis 40 ans.
37:05 – Stop au gâchis.
37:07 Leclerc continue sa lutte contre le gaspillage alimentaire.
37:09 Vos magasins Leclerc de Lille
37:11 adoptent la démarche
37:13 « Zéro gâchis ».
37:15 Tous les jours, des produits frais à dette courte
37:17 sont remisés jusqu'à 70%.
37:19 En rayons ou dans les corners dédiés,
37:21 profitez de bons produits à petit prix
37:23 et luttons ensemble
37:25 contre le gaspillage alimentaire.
37:27 Leclerc.
37:29 100% La Réunion.
37:33 La nouvelle marque du savoir-faire réunionnais
37:35 pour soutenir nos producteurs pays.
37:37 100% La Réunion, garantie aux consommateurs
37:39 des produits au maintien premier 100% local.
37:41 Marque authentique, gage de qualité.
37:43 100% La Réunion
37:45 a été créée par le département de La Réunion
37:47 et ses partenaires.
37:49 Retrouvez tous les produits 100% La Réunion
37:51 sur le site 100%réunion.fr.
37:53 Consommer pays,
37:55 consommer 100% La Réunion.
37:57 Le département, aux côtés des réunionnais.
37:59 [Musique]
38:15 Les aviez-vous ?
38:17 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires Facebook
38:19 ni en scrollant sur TikTok ?
38:21 [Musique]
38:23 [Musique]
38:25 [Bip]
38:27 Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire.
38:29 Incroyable et
38:31 peu estoufflante.
38:33 On exagère peut-être un peu.
38:35 Pour trouver son emploi en un clic,
38:37 waouh, un clic ? Mais c'est super !
38:39 Clic emploi.
38:41 [Musique]
38:47 Avec clic emploi, vous aussi,
38:49 trouvez le job qu'il vous faut en un et un temps.
38:51 Martine, on dit merci qui ?
38:53 [Bruit de mouette]
38:55 Martine n'était pas disponible pour la photo.
38:57 Bah ouais, elle bosse. Merci clic emploi.
38:59 [Musique]
39:09 [Musique]
39:13 [Musique]
39:17 Ensemble, suivons le talk et luttons
39:19 contre le gaspillage alimentaire avec
39:21 Leclerc et Zerogachi.
39:23 [Musique]
39:25 Leclerc.
39:27 Et de retour sur le plateau pour la 3ème et
39:29 dernière partie de cette émission
39:31 mauvaise nouvelle pour
39:33 la nouvelle école.
39:35 D'effet avéré ou pas, on n'en sait rien encore
39:37 pour l'instant. Claudie nous en parle
39:39 dans le monde de Claudie, même si c'est pas
39:41 trop ce qui se passe dans ton monde d'habitude.
39:43 C'est pas grave, on envoie le jingle.
39:45 [Musique]
39:51 Alors Claudie, que s'est-il passé encore ?
39:53 Donc Arthur nous en parlait dans son CPCC
39:55 la semaine dernière de la nouvelle école
39:57 saison 2, notamment sans gagnant, qui est
39:59 Yousboy, un rappeur de 24 ans.
40:01 On regarde un petit extrait.
40:03 [Musique]
40:17 Bon, j'ai mis vraiment un petit extrait.
40:19 [Rires]
40:21 Sacaréga est fini aussi vite que ça a commencé, on dirait.
40:25 C'est pas gentil.
40:27 Donc alors si je vous en parle aujourd'hui,
40:29 c'est parce que le jeune homme a été
40:31 visé par une plainte
40:33 pour viol. Donc l'effet
40:35 se serait passé en août 2022.
40:37 Une jeune femme accuse
40:39 Yousboy de plusieurs rapports sexuels
40:41 non consentis, qui remonteraient à
40:43 entre 2020 et 2021.
40:45 Donc dans sa plainte, la jeune femme accuse
40:47 le chanteur de l'avoir violé à trois reprises.
40:49 La première fois à la fin de l'année 2020
40:51 et d'autres dates
40:53 jusqu'en mars 2021.
40:55 Donc dans son témoignage à BFM TV,
40:57 elle raconte également être tombée enceinte
40:59 avant d'avoir eu recours à un IVG.
41:01 Je cite, c'est le début du deuxième calvaire.
41:03 J'avais honte, je me sentais
41:05 coupable et sale. Suite à ces
41:07 accusations, le rappeur a réagi sur ses réseaux
41:09 sociaux en déclarant, je cite
41:11 "Bonjour, je ne vais pas m'attarder sur le sujet.
41:13 Je suis innocent et je n'ai rien à me reprocher.
41:15 Le cœur léger et serein, j'ai confiance
41:17 en la justice qui fera son travail.
41:19 Merci pour votre soutien."
41:21 D'ailleurs, ce post a été vu plus de 1 million de fois
41:23 sur TikTok. De son côté,
41:25 Netflix, le producteur de La Nouvelle École,
41:27 assure ne pas être au courant de cette plainte.
41:29 Surtout qu'avant chaque sélection,
41:31 ils s'assurent vraiment de voir
41:33 le passé des candidats,
41:35 de voir s'ils ne sont pas impliqués dans des histoires bizarres,
41:37 s'ils n'ont pas un casier judiciaire
41:39 rempli, etc.
41:41 Et eux, ils disaient justement qu'ils n'étaient pas du tout au courant
41:43 de cette affaire.
41:45 Et d'ailleurs, j'ai lu
41:47 tout le déroulé
41:49 de cette histoire
41:51 avec la jeune femme.
41:53 Il y a plein de trucs que je trouve un peu bizarre.
41:55 Parce que du coup, comme elle dit,
41:57 le chanteur l'a violée à trois reprises
41:59 une première fois.
42:01 Une deuxième fois, elle repasse
42:03 du temps avec le gars qui l'a violée
42:05 déjà une première fois. Et la troisième fois,
42:07 elle repasse du temps avec le gars qui,
42:09 soi-disant, parce que pour l'instant,
42:11 elle a la présomption d'innocence quand même.
42:13 La troisième fois, elle repasse du temps encore.
42:15 - Et la plainte a été déposée après que le gars ait gagné ?
42:17 - Apparemment, non.
42:19 Apparemment, non. Avant. Et qu'il y aurait même
42:21 un enregistrement en sa possession où justement
42:23 le gars s'excuse, lui dit pardon,
42:25 etc. Mais on ne sait pas s'il s'excuse
42:27 de l'avoir violée ou s'il s'excuse juste que
42:29 je ne sais pas, qu'ils ont eu une relation toxique
42:31 ou on n'en sait rien, en fait.
42:33 - Sorti de son contexte, ça peut vouloir tout dire
42:35 et rire en même temps, finalement.
42:37 - Et du coup, j'ai trouvé ça un peu chelou
42:39 de revoir son violeur,
42:41 clairement, son bourreau,
42:43 une fois, une deuxième,
42:45 une troisième fois.
42:47 Et en plus, comment c'est raconté,
42:49 c'est un peu...
42:51 J'accepte qu'on devait avoir
42:53 un rapport sexuel,
42:55 mais juste après, je ne veux plus...
42:57 Enfin, je ne sais pas.
42:59 - C'était la première histoire,
43:01 ils ont eu un rapport consenti
43:03 et pendant le rapport, elle ne voulait plus.
43:05 Et finalement, lui, il a continué.
43:07 - Il a continué, du coup, c'est ça, le premier vol.
43:09 Et après, c'est assez bizarre, comme histoire.
43:11 J'ai envie de dire, encore une fois,
43:13 j'ai l'impression que c'est des gens qui essayent
43:15 de surfer sur un certain buzz, etc.
43:17 Sachant que...
43:19 Alors, je ne sais pas si tu as vu la série "Elle Pisse",
43:21 il y a un ami à moi, et du coup,
43:23 il a fait la nouvelle école et il expliquait
43:25 qu'ils sont vraiment à cheval, c'est-à-dire
43:27 que l'équipe juridique de Netflix, ils sont sur tes côtes.
43:29 C'est-à-dire qu'ils font une enquête sur toi.
43:31 Ce n'est pas une enquête comme toi
43:33 ou moi, on pourrait faire sur quelqu'un.
43:35 Mais là, ils vont faire des recherches, ils paient des gens
43:37 pour étudier ton passé, éplucher tout ce que tu as dit sur Twitter, etc.
43:42 Par exemple, Inés Diata, elle n'aurait pas fait la nouvelle école
43:45 s'ils étaient allés voir cette tweet bien avant.
43:48 Et finalement, je trouve que ça, c'est sorti de nulle part.
43:50 - Ben ouais. - Et encore une fois,
43:52 j'espère que c'est faux.
43:54 Que ce soit pour Youssboy,
43:56 mais après, pour la fille, je ne peux pas dire que j'espère que c'est faux,
43:58 parce que si c'est vrai, c'est triste pour elle.
44:00 Je trouve juste ça, encore une fois, sorti de nulle part.
44:03 - Comme par hasard, genre deux jours après qu'il ait été élu gagnant,
44:08 et paf, il y a le truc qui sort.
44:10 En même temps, c'est une plainte qui a été déposée il y a bien avant.
44:14 Les faits sont un peu, tu ne sais pas trop.
44:16 - Flots. - Ouais.
44:17 - Enfin, je ne sais pas.
44:18 Du coup, je voulais savoir ce que vous en pensez.
44:19 Mais bon, Renato a déjà dit ce qu'il pensait.
44:21 - Ah mais c'est vrai, il y a la temporalité,
44:23 parce que je crois que c'est sorti le jour même
44:25 ou le lendemain de l'épisode où il gagnait.
44:27 Donc c'est vrai que ça, c'est bizarre.
44:29 Après, si la plainte était déposée avant,
44:31 même malgré une équipe, une juridique qui enquête sur toi,
44:34 tu peux passer au travers des filets.
44:36 Mais après, il n'est pas condamné.
44:39 Donc il y a enquête qui va, voilà.
44:41 Donc en soi, l'émission n'a rien à se reprocher.
44:44 Ce n'est pas comme s'il avait été condamné avant.
44:46 Donc ouais, après, c'est toujours compliqué.
44:48 Puis effectivement, ça me fait un peu penser à l'histoire
44:51 avec le footballeur marocain.
44:52 - Oui, c'est ça. - A Kévin.
44:54 - Tu ne sais jamais si c'est des règlements de compte,
44:55 parce qu'effectivement, une histoire peut très mal se terminer.
44:57 Et comme Amber Hearn ou Johnny Depp, tu vois.
44:59 Au final, est-ce que ce n'est pas juste une relation toxique ?
45:02 Et la meuf, par exemple, veut vraiment faire du mal
45:04 parce que le mec est en train de monter
45:06 ou qu'il gagne quelque chose.
45:07 - Elle veut se venger. - Elle veut se venger.
45:09 - Elle veut avoir du volume aussi.
45:10 - Voilà, aujourd'hui, la parole de la femme
45:12 est beaucoup plus écoutée, et à juste titre,
45:14 pour beaucoup de cas qu'avant.
45:16 Et donc, il faut donner du crédit à sa parole.
45:18 Mais en même temps, on voit aussi des femmes
45:21 qui en jouent et qui malheureusement...
45:23 Et ça fait du tort, du coup, au cas où c'est véritique.
45:25 - On l'a vu aussi avec Benjamin Benzie.
45:27 - Benjamin Benzie, je crois qu'il y a eu 11 accusations.
45:30 Il y en a 10 qui ont retiré...
45:32 - Il y en a une qui reste...
45:34 - Il y en a eu 11, et il y en a 9 qui ont avéré fausse,
45:40 une qui a été retirée, et la dernière,
45:42 c'est toujours pas...
45:44 - C'est quand même fou, quoi.
45:46 - C'est fou, c'est-à-dire que là, vraiment...
45:48 - Là, tu rides une carrière d'un côté...
45:49 - Sa carrière, elle est terminée,
45:50 parce qu'il n'a plus repris, finalement.
45:52 - C'est impossible.
45:53 - Et puis, ça décrédibilise aussi les mouvements
45:55 où t'as plusieurs femmes qui ont vraiment vécu
45:57 des agressions et des viols, et qui se mettent ensemble
45:59 pour essayer de dénoncer quelque chose.
46:01 Maintenant, on va aller voir, "Ah, mais qui nous dit que c'est vrai ?"
46:03 - Mais là, du coup, par rapport à Benzie,
46:05 si on revient sur ce cas-là,
46:07 il y a des préjudices, finalement.
46:09 Du coup, il peut pousser ses 11 femmes en prison pour...
46:12 - Après, il y a encore une qui est en cours.
46:14 - C'est pas lui, avec ses avocats, qui a pu aussi payer les meufs
46:16 pour qu'elles se retirent aussi, ça se fait.
46:18 - Ouais, ça se fait...
46:20 - Ça existe.
46:21 - Je vois pas où il pourra jouer, maintenant.
46:24 - Tu crois ?
46:25 - Ouais, en Thaïlande ou en Chine.
46:27 - Mais ça, il s'en fout. Je pense qu'il y a des réputations.
46:29 Tu vois, juste qu'il y ait pas de procès,
46:31 et que tu lui fais retirer les témoignages,
46:33 tu lui donnes un billet en disant "garde le silence"
46:35 et "OK", machin.
46:36 Moi, je reconnais peut-être, en privé, que "OK, tu fais du mal".
46:38 - D'ailleurs, moi, il y a un truc que je trouve un peu bizarre
46:40 par rapport à ça, c'est que, finalement,
46:42 si on te donne un billet pour retirer ta plainte,
46:44 c'est une preuve, aussi, de...
46:47 Enfin, c'est pas sous-doyé, finalement,
46:49 mais tu vas voir la personne, tu lui dis "écoute,
46:51 on étouffe l'affaire, mais pour la personne, c'est une preuve".
46:54 Vous avez vu, M. Le Juge, il a essayé d'étouffer l'affaire.
46:56 - C'est comme quoi, ces personnes-là voulaient le pognon.
46:59 - C'est ça, parce que tu fais ça, tu prends l'argent,
47:01 et tu continues, alors.
47:02 Tu continues dans ta plainte, tu dis "regardez".
47:04 - Non, mais je peux pas, finalement, parce que tu signes un contrat,
47:06 tu signes un papier, tu peux pas prendre l'argent
47:08 et continuer ta plainte.
47:09 - Mais après, tu lui rends, en tout cas.
47:10 - Tu lui rends.
47:11 - Tu lui rends, mais tu dis "regardez la preuve, il m'a donné de l'argent pour..."
47:13 Qui a fait ça, de nos jours ?
47:15 Qui a dit "regardez, j'ai cette preuve-là, comme quoi il m'a payé" ?
47:18 Personne, c'est dommage, parce que du coup...
47:21 - Parce que s'il avait rien à se reprocher, il aurait rien payé.
47:23 Moi, je t'aurais dit "je te paye rien, frère".
47:25 Comment je peux payer pas pour ton silence, j'ai rien à me reprocher ?
47:27 - Non, mais c'est pas comme ça.
47:29 - Elles sont vraiment retirées parce qu'elles ont rien fait.
47:31 - Après, là où ça pose encore un petit bémol sur Benjamin Mendy,
47:35 c'est qu'il y a encore une affaire en cours,
47:37 qui supposerait peut-être qu'il a bien agressé une jeune femme,
47:41 ou violé une jeune femme, que ça soit 11 ou 1.
47:44 Pour moi, ça reste... Voilà, tu vois.
47:46 Donc pour l'instant, entre parenthèses.
47:48 - C'est le problème de ces femmes qui...
47:50 Après, tu sais qu'il y a pas eu agression,
47:52 ou en tout cas pas dans les termes qu'elle avait annoncés à la base,
47:55 et que du coup, ça met le douce sur toutes les affaires qui peuvent sortir.
47:58 Parce que je dis, vu les timings à chaque fois...
48:00 Après, c'est peut-être les médias aussi qui ont sorti le truc,
48:03 juste le jour où il a gagné, je sais pas le nom de l'artiste.
48:06 Mais ouais, c'est ça qui...
48:08 Du coup, ça met un peu le discrédit et le doute sur des plaintes
48:11 et la voix de femmes qui, pour le coup, ont vraiment été agressées ou violées.
48:15 - Carrément. - Oui.
48:16 - Eh bien, triste affaire.
48:18 Eh bien, merci, Claudie, de nous avoir partagé cette histoire.
48:21 On va passer à la suite, parce que c'était un peu du sport, là.
48:24 Mais on va rester dans le sport, bien évidemment.
48:26 Et on va aller voir Mickaël, qui nous parle de sport.
48:29 On envoie le jingle.
48:34 - Le sport en 3 points, aujourd'hui, c'est ça ? On parle de quoi ?
48:37 - C'est ça, on parle du sport et du vrai sport.
48:39 - Du vrai sport. Alors, dis-nous tout.
48:41 - Ouais, je voulais vous dire déjà, est-ce que vous savez qui est arrivé à La Réunion depuis samedi ?
48:46 - Gamaro !
48:48 - Non, lui, il était au Sakifo.
48:50 - Il était pas à La Réunion, il était au Sakifo.
48:52 En tout cas, La Réunion a accueilli Kaddy Diatou, Diani,
48:55 la meilleure joueuse du championnat de France et de l'équipe de France.
48:59 Elle est arrivée à La Réunion ce samedi.
49:02 Une pause caritative pour l'attaquante,
49:04 puisqu'elle est venue dans le cadre invité par l'association aux milles sourires.
49:09 Donc, une pause caritative avant la Coupe du Monde,
49:12 parce que la Coupe du Monde de foot féminin aura lieu du 20 juillet au 20 août,
49:16 en Australie et en Nouvelle-Zélande.
49:18 - On n'en parle pas trop d'ailleurs.
49:20 - Ouais, on n'en parle pas trop.
49:21 - Il n'y a pas trop de hype.
49:22 - Ouais, il n'y a toujours pas de diffusion.
49:23 - Toujours le même débat à chaque fois, à chaque coup, tout le monde à chaque euro.
49:26 - En tout cas, on attend l'annonce du sélectionneur.
49:29 Il donnera la liste des 23 bleus.
49:31 Ça sera demain, demain soir.
49:33 - On espère avoir des réunionnaises.
49:34 - Ouais, on croise les doigts pour que Melvin Malard soit dans l'aventure.
49:37 En tout cas, ce qui est sûr, c'est que Diany, elle, elle y sera,
49:40 puisqu'elle était blessée à la clavicule, mais s'est remise de sa blessure.
49:43 Donc, l'équipe de France compte sur elle.
49:45 C'est l'attaquante phare, surtout que Marie-Antoinette Catoto est forfaite pour cette compétition.
49:51 Donc voilà, milles sourires qui continuent à régaler les marmailles de Saint-Paul,
49:55 puisqu'on se souvient, avant Diany, il y a eu d'autres joueuses de l'équipe de France.
50:00 On avait eu Valérie Gauvin, Wendy Renard, Marie-Antoinette Catoto était venue aussi,
50:04 Amandine Henry l'année dernière.
50:06 Donc, on attend une belle opération.
50:09 Ça sera mercredi, mercredi du côté de la Saline-les-Bains avec les enfants de Saint-Paul,
50:13 les petits footballeurs de Saint-Paul, en compagnie des parrains de l'association,
50:17 l'association d'Ibrahim Engar.
50:19 Donc, les parrains Fabrice Abriel et Ludovic Ajor seront là aussi,
50:22 en crampons, pour jouer avec les enfants.
50:24 Donc voilà, une belle opération.
50:26 Tout le monde à la Saline-les-Bains, mercredi, pour s'amuser.
50:30 - Ça va péter alors ! Toi, tu y iras toi ? - Bien sûr !
50:34 - Quoi d'autre dans le sport ? - Un petit mot de foot encore ?
50:37 - Encore du foot ? - Ouais, pour vous dire que...
50:40 Je vous avais parlé de lui, Mathieu Acapandier, ça vous parle ?
50:43 - Oui. - Donc, c'est le petit gars de Saint-Pierre, né au Rivier-Roi,
50:47 - Qui est passé pro... - Qui est à Nantes, là ?
50:49 - Ouais, qui est passé pro à 17 ans, qui est à Nantes,
50:52 qui a été sacré pour la deuxième année consécutive champion de France U19,
50:55 avec le FC Nantes.
50:57 Une victoire 2-1 en finale du championnat de France,
50:59 contre le PSG d'Etan Mbappé, le petit frère de la star du PSG.
51:02 - Oh, ché ! - Ouais, une victoire 2-1.
51:04 Donc, Mathieu Acapandier, 18 ans, arrière droit.
51:08 Il a débuté à l'école de foot de Saint-Pierre.
51:10 Il est passé par le Co-Saint-Pierre, le Pôle Espoir de la Réunion,
51:13 avant d'intégrer le centre de formation du FC Nantes.
51:16 Au FC Nantes, il est passé pro depuis l'année dernière,
51:19 pro à 17 ans, donc record de pré...
51:22 Comment on dit ? De précocité.
51:24 Record de précocité pour un footballeur réunionnais.
51:26 Il était le premier réunionnais à signer si jeune un contrat professionnel.
51:29 Donc, il a disputé un match avec les pros cette année,
51:31 c'était en Coupe de France.
51:32 Donc, voilà, il continue de régaler, et tant mieux,
51:34 puisque le FC Nantes s'est maintenu en Ligue 1 ce week-end.
51:37 Donc, on espère l'année prochaine le voir évoluer en Ligue 1.
51:40 - Carrément. Peut-être finir au PSG après, qui sait ?
51:43 #GuillaumeMoireau.
51:44 Dernier point ? - Ouais, dernier point.
51:46 Je veux vous parler de Handball, puisque c'était les finalités ultramarines
51:49 et finalités du Championnat de France la semaine dernière.
51:51 Donc, champion ultramarin pour la troisième année consécutive,
51:55 le casse-crétionnière, il était en finale, finale N2.
51:58 Et malheureusement, pas de victoire encore pour les Saint-Andréens de Cali-Charennes.
52:02 Donc, une victoire... Une courte victoire...
52:05 Une courte défaite, plutôt, 26-27, face à Grenoble.
52:09 Donc, dommage encore, puisqu'ils avaient fait un très bon match,
52:12 ils avaient très bien débuté.
52:14 Loïc Saint-Clemfrev, dans les buts, avait tout arrêté, mais ça n'a pas suffi.
52:19 Donc, voilà, l'aventure s'est terminée.
52:21 Vice-champion de France N2. - C'est pas mal.
52:25 - Champion de France ultramarin, c'est plutôt pas mal pour la cressionnière.
52:28 Et puis, quelques jours plus tôt, la tamponaise, les filles,
52:31 elles ont fait 3e du championnat ultramarin, pas qualifiées pour la finale nationale.
52:36 Mais en tout cas, elles ont fait ce qu'elles pouvaient.
52:39 Elles ont chuté face aux Martiniquaises, qui ont été encore, une fois sacrées,
52:43 meilleurs d'hommes et en même temps, champions de N2.
52:47 Donc, voilà, place aux vacances pour nos Nantes-Balleurs, qui nous ont livré...
52:52 - Des vacances bien méritées, quand même. - Oui, bien méritées.
52:54 C'était une très belle saison, très animée.
52:56 Et puis, les vacances pour certains et certaines,
52:59 puisque les meilleurs vont se retrouver en sélection
53:02 pour préparer les Jeux des Îles de l'Océan Indien.
53:04 Ce sera le 25 août. - Tu y seras ?
53:07 - Bien sûr, à Madagascar. - Je peux venir avec toi ?
53:09 - Bien sûr. - Je viens. Tu l'as dit à la télé, là.
53:11 - OK. Je serai à Madagascar avec Mickaël, bien évidemment,
53:14 pour vous faire vraiment un suivi de ces Jeux.
53:18 - Ah bon, je croyais que c'était pour concourir. - Pourquoi ?
53:21 - Non, non, mais moi, je vais juste voir, moi. Je vais regarder, je vais filmer,
53:24 je vais interviewer des gens. Il y a quoi comme discipline, cette année ?
53:27 - 17 disciplines. - 17 ? Ah ben, il y en a beaucoup.
53:30 Est-ce qu'il y a la pétanque ? - Oui, il y a la pétanque.
53:32 - Il y a la pétanque ? - Le retour de la pétanque.
53:34 - C'est vrai ? - Bien sûr.
53:35 - J'ai dit ça en vanne. - Le retour de la pétanque.
53:37 - C'est le 15e sport qui avait été squeezed. - Ouais, la pétanque était là.
53:41 - La pétanque était toujours là. - Et quoi ? Quel autre sport a fait son retour ?
53:45 - Le retour du handball, aussi. - Le retour du handball.
53:48 - Le retour du handball, puisque... - Ah, la Côte-Sainte-Diabla, les Dets, ça, là !
53:51 - Après, ça dépend des îles qu'ils organisent. Par exemple, pour la pétanque,
53:57 les Malgaches sont très forts en pétanque, donc ils mettent toujours la compétition en avant.
54:01 Pareil pour le handball. Ils ont une belle équipe, donc ils remettent le hand en avant.
54:05 Après, c'est vrai que d'autres compétitions ont disparu, mais les traditionnels sont là.
54:10 Les sports courts, foot, basket, volleyball.
54:13 Et puis, les sports individuels, athlétisme, natation, judo, donc la boxe.
54:20 - La boxe. - La boxe qui promet.
54:22 Donc voilà, un beau petit programme du côté de Madagascar.
54:25 Tannan arrive, ce sera du 25 août au 3 septembre.
54:28 - Eh bien, parfait ! Merci beaucoup, Mickaël, pour ce point sur le sport.
54:32 Merci à vous d'avoir été en plateau pour ce retour de festival assez compliqué.
54:37 Les amis, merci à vous d'avoir regardé le Talk.
54:40 Rendez-vous demain, 18h35, même chaîne, même l'heure.
54:44 Et comme je le dis à chaque fois, du lundi au vendredi, je change de chaîne.
54:47 Ne pas brûler vos yeux. Bonne soirée La Réunion.
54:49 Et salut à Rouen !
54:52 Sous-titrage Société Radio-Canada
54:55 ...
55:16 ...
55:44 - Les aviez-vous ? Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires Facebook,
55:48 ni en se collant sur TikTok ?
55:50 ...
55:55 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire, incroyable et peu estoufflante.
56:02 On exagère peut-être un peu.
56:04 Pour trouver son emploi en un clic, waouh, un clic, mais c'est super !
56:08 Clic en fin.
56:10 ...
56:16 Avec Clic emploi, vous aussi, trouvez le job qu'il vous faut en un rien de temps.
56:19 Martine, on dit merci qui ?
56:21 ...
56:23 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
56:26 Bah ouais, elle bosse. Merci Clic emploi !
56:28 ...
56:55 100% La Réunion, la nouvelle marque du savoir-faire réunionnais pour soutenir nos producteurs pays.
57:00 100% La Réunion, garantie aux consommateurs des produits aux matières premières 100% locales.
57:05 Marque authentique, gage de qualité.
57:08 100% La Réunion a été créée par le département de La Réunion et ses partenaires.
57:12 Retrouvez tous les produits 100% La Réunion sur le site 100%réunion.fr.
57:17 Consommer pays, consommer 100% La Réunion.
57:20 Le département, aux côtés des réunionnais.
57:23 ♪ ♪ ♪

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