• l’année dernière
Le président de l’association Stéphane Lamart, défense des animaux, s’est exprimé alors que la SNCF est devant la justice après qu’un TGV ait écrasé un chat il y a quelques mois : «Je ne comprends pas que le conducteur de ce train n’ait pas refusé de redémarrer. Il n’aurait pas dû démarrer».

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Transcription
00:00 L'association Stéphane Lamarre a effectivement déposé plainte
00:02 et s'est constituée partie civile également à l'audience.
00:06 Ce qu'on attend aujourd'hui,
00:07 c'est que le tribunal se déclare incompétent,
00:09 puisqu'on ne peut pas accepter une telle qualification
00:12 pour une atteinte involontaire à l'avis d'un animal.
00:15 Ces faits sont des faits, on va dire, des véritables faits.
00:20 C'était sciemment, c'était conscient
00:22 qu'on allait rouler sur l'animal, le couper en deux.
00:24 Et je ne comprends pas que le conducteur de ce train
00:27 n'ait pas refusé de redémarrer.
00:30 Il n'aurait pas dû démarrer, il aurait dû se dire,
00:33 il y a l'avis d'un animal, ça aurait été l'avis d'un enfant,
00:35 d'un adulte, d'un humain.
00:37 Qu'est-ce qu'on aurait fait ? On aurait trouvé des solutions,
00:39 les pompiers seraient venus,
00:40 et ce n'est pas pour du retard que la SNCF aurait fait
00:45 que forcément ça aurait...
00:47 Ce que je veux dire, c'est que je ne comprends pas.
00:49 Je ne comprends pas la SNCF,
00:50 pourquoi ils ont roulé sur cet animal,
00:52 pourquoi ils l'ont coupé en deux,
00:53 alors qu'ils ont souvent du retard,
00:55 et une demi-heure, une heure de retard de plus par la SNCF,
00:57 c'est une monnaie courante, les voyageurs pareil,
01:00 tout ça pour sauver l'avis d'un animal, on aurait pu le faire.
01:02 Sous-titrage ST' 501
01:04 [Musique]

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