Ce soir dans Le Talk : on vous parle d’une nouvelle application pour boire gratuitement dans les restaurants de l’île avec sa créatrice Carole Parquet, notre invitée du jour.
L’intelligence artificielle qui ressuscite les morts, est-ce que ça passe ou ça casse ?
Faut-il permettre au Président de la République de se présenter une troisième fois à l’élection présidentielle ?
C’est le Focus Info de Thibault Cordier.
Tout ça c’est dans le Talk et c’est maintenant !
L’intelligence artificielle qui ressuscite les morts, est-ce que ça passe ou ça casse ?
Faut-il permettre au Président de la République de se présenter une troisième fois à l’élection présidentielle ?
C’est le Focus Info de Thibault Cordier.
Tout ça c’est dans le Talk et c’est maintenant !
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AmusantTranscription
00:00 ♪ ♪ ♪
00:03 ♪ ♪ ♪
00:05 - 100% La Réunion, la nouvelle marque du savoir-faire réunionnais
00:08 pour soutenir nos producteurs pays.
00:10 100% La Réunion, garantie aux consommateurs des produits
00:13 aux matières premières 100% locales.
00:15 Marque authentique, gage de qualité.
00:18 100% La Réunion a été créée par le département de La Réunion
00:21 et ses partenaires.
00:22 Retrouvez tous les produits 100% La Réunion sur le site
00:25 100%réunion.fr.
00:27 Consommer pays, consommer 100% La Réunion.
00:30 Le département aux côtés des réunionnais.
00:34 - Les aviez-vous ?
00:35 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires Facebook,
00:38 ni en scrollant sur TikTok ?
00:39 ♪ ♪ ♪
00:45 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire.
00:49 Incroyable et pouuuuustouflante.
00:51 On exagère peut-être un peu.
00:54 Pour trouver son emploi en un clic ?
00:56 Wouah, un clic ? Mais c'est super !
00:58 Clique enfin !
01:00 ♪ ♪ ♪
01:06 Avec Clique emploi, vous aussi,
01:07 trouvez le job qu'il vous faut en un et un temps.
01:09 Martine, on dit merci qui ?
01:11 (Rire)
01:13 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
01:15 Bah ouais, elle bosse.
01:17 Merci Clique emploi !
01:18 ♪ ♪ ♪
01:45 Nouveau !
01:48 Vizu devient 100% digital.
01:51 Retrouvez vos rubriques habituelles.
01:54 Agenda, Interview, Herbage, Télévision, Jeux, Horoscope.
02:00 Vous retrouverez aussi votre programme télé.
02:03 ♪ ♪ ♪
02:06 Vizu, à vos côtés depuis 40 ans.
02:09 ♪ ♪ ♪
02:13 ♪ ♪ ♪
02:16 Ensemble, suivons le talk et luttons contre le gaspillage alimentaire
02:20 avec Leclerc et Zerogashi.
02:23 ♪ ♪ ♪
02:25 Leclerc.
02:26 ♪ ♪ ♪
02:35 Et bonsoir à la Réunion, bienvenue dans Le Talk,
02:37 l'émission la plus fraîche de Lille.
02:39 On est le mercredi 21 juin, jour de fête de la musique.
02:42 Donc avant de sortir faire la fête tous ensemble,
02:45 on va se faire cette belle émission.
02:47 Au programme du jour, on va parler de l'application Allons
02:49 avec sa créatrice Carole Parquet
02:51 qui propose des consommations gratuites
02:53 en s'inscrivant sur l'application dans plusieurs établissements de Lille.
02:57 On en parlera dans le dossier du jour.
02:59 Et puis on aura bien sûr le sapasakas aujourd'hui, c'est avec Laurent.
03:02 On va parler encore une fois de Tchad GPT,
03:04 de l'intelligence artificielle qui ressuscite les morts, entre autres.
03:07 On va en parler dans un instant.
03:08 Et puis on aura bien sûr aussi une chronique emploi de Laurent.
03:11 qui fait double travail aujourd'hui.
03:13 - Double usage.
03:14 - Effectivement, pour la chronique emploi, ça tombe bien.
03:16 Et puis on terminera par un Focus Info.
03:18 Richard Ferrand qui propose d'ajouter une troisième année,
03:21 enfin une troisième élection pour le président de la République.
03:23 On en parlera à la fin de l'émission.
03:25 Tout ça c'est dans le talk et c'est maintenant. Largué.
03:27 [Générique]
03:48 - Et du coup, on commence le tour de table.
03:50 Mika, comment ça va ?
03:51 - Ça va, les gars.
03:52 - Tu vas aller faire la fête ce soir ?
03:53 - Ah, obligé.
03:54 - Tu vas aller où ? Sainte-Denis, Saint-André ?
03:55 - Sainte-Denis, Sainte-Denis, ça bouge sur Sainte-Denis.
03:57 [Rires]
03:58 - Ça bouge aussi sur Sainte-André.
03:59 - Ça fête à Saint-André.
04:00 - Ah si, ça bouge aussi ce soir.
04:01 Ils ont prévu des animations pour...
04:03 Pour la fête de la musique, donc ça devrait être pas mal.
04:06 - Mais ouais...
04:07 - Hein ?
04:08 - T'as dit quoi ?
04:09 - J'ai de pierres, je crois, sur la police.
04:10 - Non, non, non.
04:11 - C'est Saint-Benoît plutôt.
04:12 Bruna, tu vas faire la fête ?
04:13 Tu vas aller où ce soir ?
04:14 - Dans mon lit, certainement.
04:15 - Où est-ce qu'on peut te retrouver ?
04:16 - Non, je sais pas.
04:17 - Dans ton lit ?
04:18 - Je sais pas, mais une fête de la musique à mercredi, c'est dommage,
04:23 parce que le lendemain, on travaille.
04:24 Mais bon, on va essayer peut-être d'aller faire un petit tour.
04:26 - Ouais, il y a Claudie, je crois, qui joue ce soir...
04:28 - Avec Léa, également, du rose qu'on a eu hier.
04:31 - Avec Léa, qu'on a eu hier.
04:32 - Effectivement.
04:33 Laurent, où ça vous va ?
04:34 - Moi, j'irai, moi.
04:35 Non, non, Sainte-Denis, vu que c'est à côté de chez moi, c'est pratique.
04:38 J'y vais à pied, je rentre à pied.
04:39 - Ça va craser ce soir.
04:40 - Hein ?
04:41 - Ça va craser ce soir.
04:42 - Ça va être chaud.
04:43 Plus de 1000, comment ça s'appelle, chanteurs, plus de 26 scènes.
04:48 - Mais tu sais que c'est des chanteuses maintenant.
04:50 C'est pas des chanteuses de la génération...
04:52 - Non, non, non, non.
04:53 J'ai vu les affiches, Tino Rossi, Francis Cabrel.
04:55 Crois-moi, j'y vais.
04:56 - Edith Piat.
04:57 - La fête de la musique dans les années 60, ça devait être quelque chose...
04:59 Ça n'existait pas encore.
05:00 Du coup, on va y aller.
05:01 La parenthèse du jour, justement, on parle de fête de la musique.
05:04 Là, c'est une belle histoire.
05:05 C'est un...
05:06 On va dire une personne âgée qui ne pouvait plus marcher,
05:08 mais sa femme a trouvé le moyen de...
05:10 Qu'ils dansent ensemble une dernière fois.
05:12 Une dernière fois, peut-être pas, mais...
05:13 - Ils dansent ensemble de nouveau.
05:15 On regarde.
05:16 - C'est ça.
05:33 - Ouais.
05:34 C'est vrai que...
05:35 C'est dur, hein, quand même.
05:36 - C'est dur.
05:37 - C'est dur, à la base, mais...
05:38 - Hein ?
05:39 - Ça va t'arriver bientôt, hein.
05:40 - Ça, quand on s'y rapproche, forcément.
05:42 - Déjà, pour l'amener en plateau, on prend le truc, on le dépose.
05:46 - Il faut juste qu'il trouve la cavalière.
05:48 - Ah oui.
05:49 - Pourquoi tu sais ?
05:50 Il y en a un, hein.
05:51 - Elle est pas d'il y en a un.
05:52 Bon, très bien, on va passer...
05:53 Oh, ça passe, ça casse.
05:54 Justement, avec Laurent, on va parler encore une fois
05:56 de l'intelligence artificielle.
05:57 L'intelligence artificielle pour faire ressusciter les morts
06:04 et pour faire des...
06:05 Pour passer le bac, c'est ça ?
06:06 - Alors, pour passer le bac, non.
06:07 Ils ont utilisé...
06:08 C'était une première, puisque, comme on parle beaucoup
06:10 d'intelligence artificielle, ils ont utilisé, justement,
06:13 ce nouveau procédé de réfléchir autrement
06:15 qu'avec son propre cerveau, à savoir, ils l'ont testé
06:19 sur les dernières épreuves de la semaine dernière,
06:21 à savoir la philosophie.
06:23 Donc, on s'attendait, forcément...
06:24 C'est un petit génie, il est décrié comme ce qui se fait nu,
06:27 un chap GPT, et au final, la note n'est pas formidable.
06:30 C'est un petit 13 sur 20 sur les 4 propositions,
06:33 dissertations comprises.
06:35 Donc, déjà, j'ai envie de dire, il y a de quoi rire,
06:38 puisque, en général, on le met sur un pied d'estal,
06:40 c'est mis à toutes les sauces.
06:41 On l'a vu même avec Arthur pour le cinéma, dernièrement.
06:44 Et je me suis intéressé, j'ai regardé de près,
06:46 et j'ai vu que même, on allait, aujourd'hui,
06:48 le faire ressusciter John Lennon, tout simplement,
06:51 en reprenant ses mots, son timbre vocal,
06:54 remis sous une nouvelle mélodie.
06:56 Donc, clairement, on va dire, on va refaire,
06:58 on va ressortir des Beatles, notamment de John Lennon,
07:01 des titres des Beatles, revus, corrigés
07:04 par ce logiciel.
07:06 Alors, moi, la question que je me pose,
07:08 jusqu'où on va, ça passe ou ça casse,
07:10 de l'utiliser, maintenant, à toutes les sauces,
07:12 pédagogiques, scolaires, académiques, musicales,
07:14 cinématographiques, pourquoi ne pas l'utiliser,
07:17 même, j'ai envie de dire, pour cette nouvelle mesure
07:19 des retraites, qui pourrait éventuellement
07:21 trouver une solution ? En tout cas, moi, pour ma part,
07:23 je vous pose la question.
07:24 Ça passe ou ça casse ?
07:26 - Un autre tablette, alors, Boudin.
07:28 - Alors, je suis en deux, ça passe, bizarrement,
07:32 donc... - Ça passe toujours.
07:34 - Non, moi, ça casse.
07:36 - Ça casse ? Allez, change.
07:38 - Du coup, ça casse pour Bruna, ça passe pour Mika,
07:41 et ça casse pour toi, Laurent, effectivement.
07:43 Moi, je vais te dire, ça passe.
07:45 Moi, ça passe, parce que j'adore cette technologie
07:47 et que je pense qu'il faudra l'encadrer
07:49 pour pas qu'il y ait ce genre de dérive,
07:51 de faire ressusciter les morts.
07:53 Après, je pense que les familles ont peut-être
07:55 leur mot à dire, non, sur les lieux en droit.
07:57 - Bien sûr. Quand on connaît Yoko, elle a dit oui,
07:59 bien sûr, puisqu'elle va en toucher les dents.
08:01 - Un petit peu, oui, bien sûr. On a presque le même âge.
08:03 - Même âge. - On se souvient d'elle,
08:06 puisqu'elle a joué un rôle assez, je vais dire,
08:10 funestre dans le groupe Nant, mais c'est clair
08:12 qu'elle a créé, on va dire, une division
08:14 entre le groupe et John Lennon, et puis surtout,
08:16 c'est elle qui touche l'usufruit. Chaque fois
08:18 qu'on entend un morceau de musique, Imagine
08:20 ou Dieu sait quel morceau, elle en touche l'usufruit,
08:22 à savoir les royalties. Donc là, pour elle,
08:24 c'est que du bonheur. Elle, elle est sans force
08:26 en pour, comme toi. Par contre, oui, comme tu dis.
08:28 - Je te dis pas pour ce cas-là. Je te dis pour
08:30 ce cas-là. - C'est ça.
08:32 - C'est ce qu'on peut en faire, l'outil que ça peut apporter,
08:34 justement, pour aider, on a déjà parlé de création
08:36 de musique, de film, pas forcément, enfin, voilà,
08:38 d'aider à la créativité, de démocratiser une forme
08:40 de créativité. Ça, je trouve ça génial.
08:42 Mais effectivement, sur ça, ce côté de recréer
08:44 des musiques qui n'ont jamais existé
08:46 avec la voix de chanteurs décédés ou chanteuses décédées,
08:48 ça, il faudrait justement l'encadrer pour que
08:50 il n'y ait pas de, enfin, que ce soit pas n'importe quoi
08:52 rapidement. Donc ça, je suis moins pour,
08:54 mais par contre, c'est, par exemple, Eminem,
08:56 ils ont fait le test déjà avec Eminem,
08:58 où en fait, il y avait tout un son qui était sorti,
09:00 sauf que lui n'avait rien écrit, il n'a jamais posé
09:02 sa voix, et ça, en fait, je pense que c'est un peu ce qui découle...
09:04 - C'est ça. C'est du business.
09:06 - Mais après, tu vois,
09:08 Michael Jackson, il y a aussi des chansons qui ont été ressorties
09:10 des années plus tard après sa mort,
09:12 des fonds de tiroirs, tu vois, des bandes démo
09:14 et tout, qu'on a ressorties après en CD,
09:16 donc au final, il y a déjà cette dérive,
09:18 en gros, cette marchandisation,
09:20 tu vois, après mort, quoi.
09:22 - S'il reste des bandes,
09:24 si l'artiste avait mis de côté
09:26 une quinzaine de chansons, on va dire que l'intelligence artificielle
09:28 n'y est pour rien.
09:30 - Mais souvent, c'est des trucs qu'il n'a jamais fait ressortir en soi.
09:32 Tu vois, c'était peut-être... Lui considérait
09:34 que ce n'étaient pas des bonnes chansons, machin, mais après, ils sont retravaillés,
09:36 genre, peut-être qu'il y a une démo où juste la voix a été posée
09:38 vite fait parce qu'il l'avait vidé, et en fait,
09:40 elles sont remixées, machin, tu vois, et là, c'est vraiment la famille
09:42 qui décide, alors qu'on pourrait se dire
09:44 aussi, "Bah non, c'est bon, il est décédé, tout ce qu'il a fait
09:46 a pu créer en dehors de ce qui a déjà
09:48 été publié, on met dans un tiroir, on le garde en saison."
09:50 - Complètement. - Mais il y a un côté
09:52 quand même de marchandiser, de...
09:54 de commercialiser sur la mort aussi
09:56 de Michael Jackson. Bruna ?
09:58 - Bah, tu disais, on parlait de Johnny aussi.
10:00 Johnny, ils en font... - Oui, Johnny Paparazzi.
10:02 - Mais après, ça, c'est une forme
10:04 pour continuer à faire vivre l'artiste
10:06 que tout le monde a aimé, que tout le monde pleure
10:08 de nos jours. - Bah, là, c'est pareil.
10:10 - Oui, voilà, c'est ça. Non, mais ça, c'est une
10:12 bonne chose, mais ça existait avant
10:14 Chad JPT. Moi, cette intelligence artificielle me fait peur,
10:16 concrètement.
10:18 J'ai l'impression qu'à travers le temps,
10:20 on est en train de remplacer l'humain,
10:22 on est en train totalement de le faire, et là, encore plus,
10:24 à vitesse grand V, je suis
10:26 absolument contre cette...
10:28 Parce que, regarde, au final, il a eu
10:30 quoi au bac ? Il a eu 13.
10:32 Moi, je me jure, j'avais eu 16 au fil
10:34 de... Tu vois comme quoi, je sais pas.
10:36 Mais je trouve que ça va...
10:38 - Tu dégages qu'il y a 5, qu'il y aurait eu 5 sur 20,
10:40 par exemple, du coup, à 13.
10:42 (rires)
10:44 - Mais du coup, on est trop en train
10:46 de remplacer l'humain, même...
10:48 Rinaldo nous avait montré pour
10:50 l'architecture, pour la création
10:52 de plans. Tu as
10:54 des personnes qui ont fait des études,
10:56 qui ont lutté pour en arriver
10:58 là où elles sont, et là, t'as un logiciel qui arrive,
11:00 et comme toi, t'as écrit un livre grâce à ça.
11:02 T'as des personnes qui se sont... Non, mais
11:04 j'ai l'impression que tout devient... - C'est un peu psychique. - Non, mais que tout
11:06 devient trop facile. T'as des personnes qui
11:08 ont lutté, qui se sont saignées pour en arriver
11:10 là où ils sont, et même les journalistes.
11:12 C'est-à-dire que maintenant, demain, on n'a plus besoin de journalistes.
11:14 Demain, ils vont nous faire l'article, bien, sans faute,
11:16 d'ailleurs, mais
11:18 tout sera carré, et au final, l'humain
11:20 va disparaître, et je suis totalement contre
11:22 cette pratique. - Sans qu'il
11:24 disparaisse, effectivement, ça va potentiellement
11:26 remplacer des métiers. - Bah oui, mais du coup, ça va
11:28 faire disparaître, si ça ne remplace... - Je ne pense pas. Il faut
11:30 quelqu'un, quand même, qui rentre les données... - Oui, mais
11:32 une personne pour rentrer les données, et 10 vont
11:34 perdre leur emploi, au final. - Mais c'est comme les caissières
11:36 et les machines qui... - Mais c'est ça,
11:38 moi, j'en suis contre. - Mais après, aujourd'hui, les caissières n'ont pas
11:40 disparu non plus, tu vois, ils en mettent 2-3
11:42 automatiques, et ils gardent
11:44 l'humain. - Même au lieu de 10-2-3. - Après, je pense
11:46 qu'il faut laisser le temps au temps, c'est l'innovation,
11:48 donc on est en phase de test, on dit bien
11:50 que ce sont des tests, donc... - Après, là,
11:52 on est sur de la... C'est un truc qui va sortir ou pas,
11:54 John ? - Ça y est. - C'est sorti ? - Ouais.
11:56 - Même Sting s'est dressé contre ça.
11:58 - Enfin, c'est sorti, c'est pas sorti,
12:00 ils ont donné l'accord pour le faire, mais après,
12:02 il faut voir ce que ça donne. - Le morceau est créé,
12:04 on l'a entendu, ça y est, il y a l'accord,
12:06 il y a l'accord de, comment il s'appelle,
12:08 Paul McCartney, et puis,
12:10 de l'épouse de John Lennon, à savoir...
12:12 Donc à partir de là, j'ai envie de dire,
12:14 ça y est. - Non, mais qu'on teste et tout,
12:16 moi, je trouve ça bien, parce qu'il faut optimiser
12:18 justement cette nouvelle technologie.
12:20 Après, ce qu'il faut,
12:22 c'est, oui, il faudra cadrer après, à un moment donné.
12:24 Donc, voir tout le potentiel
12:26 que peut avoir cette nouvelle technologie,
12:28 voir jusqu'où on peut aller, si on peut toucher
12:30 tous les domaines, optimiser partout,
12:32 et puis, après, cadrer surtout. - Il y aura évidemment
12:34 des dérives, de toute façon, on s'est perdu.
12:36 - Il y a des dérives dans tout. - Mais c'est ça,
12:38 quand tu dis "cadrer", est-ce qu'on va vraiment pouvoir
12:40 cadrer ? - Non. - Ça part tellement vite,
12:42 en tellement peu de temps, c'est quelque chose qui va être,
12:44 à un moment donné... - Il va nous échapper, je pense.
12:46 - Mais c'est comme Internet, au final, quand ça a démarré,
12:48 au début, il y avait zéro législation,
12:50 et ça a mis du temps, ça fait quoi, 10 ans, maintenant,
12:52 qu'ils essaient de légiférer, d'encadrer un peu,
12:54 il y a eu Adopie, pour le téléchargement,
12:56 qui a été un échec, mais voilà, on voit quand même
12:58 que les gouvernements... Je l'espère, ça prendra pas 10 ans,
13:00 parce que sinon, il y aura des CD qui vont être faits.
13:02 - Je suis pas inquiet pour la suite, parce que,
13:04 on prend notre génération à nous,
13:06 on revient à l'ancien, on revient
13:08 au truc d'avant,
13:10 on préfère aller au cinéma, même si on peut
13:12 tout télécharger aujourd'hui, on préfère quand même
13:14 aller au cinéma, on préfère sortir, on préfère...
13:16 - Alors ça, c'est bon, je te sens petite base,
13:18 mais les cinémas, tu fais pas la queue.
13:20 - C'est une surprise pour les gros,
13:22 dans ce monde clair, mais sinon, tu vas pas voir
13:24 le petit film français qui est sorti,
13:26 tu vas attendre, parce que dans 6 mois,
13:28 même pas, moins de 6 mois,
13:30 il est déjà sur... C'est Avatar,
13:32 Avatar, il est parti...
13:34 C'est pas longtemps qu'il est plus au cinéma,
13:36 parce qu'il est resté longtemps. - Il est sorti en décembre, quand même.
13:38 - Oui, en décembre, on est en juin,
13:40 il est déjà à la télé.
13:42 - Oui, mais ça, c'est... De quoi, sur Canal ?
13:44 - Oui, sur Canal. - Donc, au final...
13:46 - C'est vrai que c'est rapide, après, les DVD.
13:48 - C'est super rapide, alors qu'avant, on attendait plus d'un an
13:50 avant que ça sorte, les DVD, et maintenant, tu te dis,
13:52 "Je vais pas dépenser son argent." - Mais ça, c'est pas...
13:54 Pour le coup, parce qu'autant... On peut parler d'autres cas
13:56 où ça a été des échecs et tout, Avatar,
13:58 c'est redevenu le 3e, je crois,
14:00 plus gros succès du monde, tu vois, donc, pour le coup,
14:02 on peut pas dire que les gens sont pas allés le voir,
14:04 donc est-ce que là, c'est pas Canal, juste, qui a
14:06 dû mettre un gros billet pour l'avoir en très vite
14:08 sur sa chaîne ? Mais je suis d'accord,
14:10 moi, effectivement, même un blockbuster, aujourd'hui,
14:12 je regarde beaucoup de critiques de ciné avant,
14:14 avant de me dire, OK, je vais mettre 10,
14:16 un peu plus, "Seed of Prodé",
14:18 entre 10 et 15 euros, on va dire, pour aller voir ça,
14:20 parce que même un...
14:22 Même des gros studios, même des bons réalisateurs,
14:24 aujourd'hui, t'es pas sûr que,
14:26 en payant ta place, tu vas voir un bon film.
14:28 Alors, il y avait ça avant, mais c'était moins cher et...
14:30 - C'était moins facile. - Maintenant, tu sais que tu peux regarder
14:32 chez toi... - Les plateformes, tu vas
14:34 payer 15 euros
14:36 au mois et tu as tellement de
14:38 productions, maintenant, je pense à Netflix,
14:40 qui crée elle-même sa production,
14:42 c'est énorme. Qu'est-ce que tu vas
14:44 aller payer une séance ? Si tu y vas
14:46 seul, si tu y vas en famille, ça te fait un beau billet,
14:48 quand même. Il faut vraiment, en fait, maintenant,
14:50 tu vas plus au cinéma pour te dire, "C'est ma sortie, je vais au cinéma."
14:52 Tu cibles bien ce que tu veux
14:54 voir avant d'y aller. Et je pense que le mode
14:56 de consommation des personnes a changé totalement.
14:58 - Je me souviens, quand j'étais petit,
15:00 je me rappelle, quand on allait voir les Disney,
15:02 genre Tarzan et tout, c'était vraiment au début, l'année 2000,
15:04 c'était 5 euros la place, à l'époque.
15:06 Alors, je sais pas si c'était pareil partout,
15:08 à la Réunion et tout, mais dans ma région,
15:10 en tout cas, je me rappelle que c'était 5 euros la place.
15:12 5 euros, à l'époque, c'était déjà
15:14 énorme, parce qu'on venait de passer à l'euro,
15:16 5 euros, on pouvait ça, prendre une place du cinéma.
15:18 Là, aujourd'hui, bon, 5 euros...
15:20 - En vrai, c'est comme le prix de la descente,
15:22 ça donne bien l'avant. - On fait même pas attention.
15:24 - En tout cas, pour dire que,
15:26 effectivement, cette nouvelle
15:28 technologie, est-ce qu'elle va vraiment
15:30 prendre la place de l'humain progressivement,
15:32 intelligent, artificiel ?
15:34 Est-ce que, clairement, on va lui donner tous les besoins
15:36 que nous, on estimait, "Ce serait
15:38 pas plus mal qu'on se décharge là-dessus ?"
15:40 Et dans la finalité, la créativité,
15:42 les nouvelles tendances aussi,
15:44 parce que c'est vrai que la médecine s'y intéresse,
15:46 forcément, les technologies
15:48 nouvelles de pointe s'y intéressent.
15:50 Enfin, on se souvient
15:52 quand même de cette histoire du clonage,
15:54 beaucoup de peur, beaucoup de...
15:56 On repense à cette brebis, et au final,
15:58 elle a été clonée ? Non, moi, non.
16:00 - Je sais pas s'il y avait... Non, je crois pas.
16:02 - Toi ? - Ah, moi ?
16:04 Non, je croyais que je parlais de la brebis, excuse-moi.
16:06 - Je croyais qu'elle allait prendre. Mais, voilà,
16:08 on a eu des craintes pour rien. Il s'est rien passé.
16:10 Et finalement, je sais même pas si le projet
16:12 aujourd'hui est encore d'actualité.
16:14 - Et juste pour terminer, il y a une émission, je sais pas si vous avez déjà vu,
16:16 sur France 2, ça s'appelle "L'hôtel du temps",
16:18 avec Thierry Ardisson, où justement, il a fait avec...
16:20 - Il a fait appel à des... - Avec la chanteuse
16:22 égyptienne. - Dalida.
16:24 - Dalida, pardon. Où il avait ressuscité,
16:26 mais là, ils ont refait tout le corps, le visage,
16:28 et en fait, il interview Dalida,
16:30 comme à l'époque, et même lui, en fait,
16:32 je crois qu'il arrive dans l'hôtel, il est rajeuni
16:34 numériquement comme il était au début. - C'est très bien fait.
16:36 - Oui, mais je veux dire, on est sur la même chose,
16:38 tu vois, ça génère des réponses.
16:40 Alors, peut-être pas avec l'intelligence artificielle,
16:42 quoique maintenant, il y en a un prochain qui va sortir en plus,
16:44 mais on est sur le même principe, tu vois,
16:46 et ça a mis la... Alors, quand c'est sorti, ça a fait aussi
16:48 une polémique, ça a divisé sur ce côté-là, tu vois,
16:50 de ressusciter les morts, je crois que le prochain s'est collé,
16:52 je dis pas de bêtises. - Ah ouais ? - Et enfin, ça,
16:54 sur ça, vous êtes aussi contre ou...
16:56 - En quoi c'est gênant ? - Non, là, je suis pas contre.
16:58 - Je vois pas en quoi c'est gênant. Tu fais une interview...
17:00 - Entre guillemets, bien sûr,
17:02 ça va générer un intérêt
17:04 pour regarder l'émission, il y aura peut-être des coupures pub,
17:06 ça fera du business.
17:08 Très bien, OK, mais là, on rentre pas sur quelque chose
17:10 qui vient nous gêner dans notre quotidien
17:12 et dans le gérer, même dans l'emploi,
17:14 de façon générale, ou même dans le quotidien
17:16 des uns et des autres.
17:18 On sait que le Louvre va faire appel à ça, Louis XIV
17:20 va recevoir le public et discuter avec eux.
17:22 Maintenant, dans l'idée
17:24 de ressortir...
17:26 Quand on dit qu'on aime une star, par exemple,
17:28 on aime Johnny Hallyday, on se réécoute un morceau,
17:30 on se dit "qu'est-ce que c'était bien", mais est-ce que, franchement,
17:32 on a envie d'écouter un nouveau morceau
17:34 de Johnny Hallyday qui est décédé ?
17:36 - C'est le public qui décidera.
17:38 - Oui, mais ça marche pas.
17:40 - J'ai envie de te poser la question, est-ce que t'as envie
17:42 de voir une interview de Dalida qui est décédée
17:44 il y a 20, 30 ans ? - Ça, c'est différent,
17:46 parce que c'est un... - On a pas vu ça
17:48 sur ce temps-là. - Oui, mais il se...
17:50 Il se rajeunit...
17:52 C'est des paroles qu'elle a dites, en fait.
17:54 C'est pas... Là, dans la chanson, c'est quelque chose
17:56 de nouveau, c'est pas lui qui l'a forcément fait.
17:58 Dalida, ils ont repris...
18:00 Ce sont ses paroles à elle.
18:02 Il s'est rajeuni, comme quoi on fait un bond dans le passé,
18:04 et c'était comme si il l'interviewait.
18:06 Mais c'est ses paroles à elle,
18:08 c'est elle qui a parlé. Ils lui ont pas
18:10 inventé des paroles, au final.
18:12 - C'est une rétrospective. - Il crée une fausse discussion.
18:14 La rencontre n'a jamais eu lieu.
18:16 - Avec des paroles qu'elle a dites déjà en interview.
18:18 - Oui, mais pas à l'artisan. Tu vois ce que je veux dire ?
18:20 L'artisan, c'est à caler ses questions
18:22 sur ses réponses à elle, au final.
18:24 - C'est un montage. - Oui, c'est un montage, bien évidemment.
18:26 - Ça, ça vaut chaque mois que... - Oui, parce que c'est pas quelque chose...
18:28 On n'a pas mis des paroles dans la bouche de Dalida
18:30 qu'elle n'avait pas dites, au final. Tout ce qu'elle a dit,
18:32 c'est des choses qui ont été dites sur le papier, qui ont été dites
18:34 en interview. On lui a pas créé une histoire.
18:36 Là, c'est comme si Johnny sortait
18:38 un titre, c'est pas lui
18:40 qui l'a créé. - En même temps,
18:42 tous les titres de Johnny, c'est pas lui qui les a écrits.
18:44 - Oui ! - Oui, alors là...
18:46 - Alors lui...
18:48 Il est infernal.
18:50 - Bon, on va refamer le dossier sur ses paroles.
18:52 Du coup, on va envoyer une petite page de publicité.
18:54 Dans un instant, on reçoit Carole Parquet
18:56 qui a créé l'application Allons, qui vous propose
18:58 des boissons gratuites
19:00 dans différents établissements de Lille.
19:02 On en parle dans un instant. A tout de suite.
19:04 - Stop au gâchis. Leclerc continue
19:10 sa lutte contre le gaspillage alimentaire.
19:12 Vos magasins Leclerc de Lille
19:14 adoptent la démarche zéro gâchis.
19:16 Tous les jours, des produits frais
19:18 à date courte sont remisés jusqu'à
19:20 70 %. En rayons ou dans les
19:22 corners dédiés, profitez de bons produits
19:24 à petit prix et luttons
19:26 ensemble contre le gaspillage alimentaire.
19:28 Leclerc.
19:32 - Les aviez-vous ? Martine n'a pas trouvé un emploi
19:34 en demandant dans les commentaires Facebook, ni en
19:36 scrollant sur TikTok.
19:42 - Non. Martine s'est juste rendue
19:44 sur une plateforme révolutionnaire.
19:46 Incroyable et peu
19:48 soufflante. On exagère peut-être un peu.
19:50 Pour trouver son emploi
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20:10 - Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible
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35:05 Vos magasins Leclerc de Lille adoptent la démarche zéro gâchis.
35:09 Tous les jours, des produits frais à dette courte sont remisés jusqu'à 70%.
35:14 En rayons ou dans les corners dédiés, profitez de bons produits à petit prix
35:18 et luttons ensemble contre le gaspillage alimentaire.
35:21 Leclerc.
35:24 100% La Réunion.
35:27 La nouvelle marque du savoir-faire réunionnais pour soutenir nos producteurs pays.
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35:55 [Musique]
36:09 Les aviez-vous ?
36:11 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires Facebook
36:14 ni en scrollant sur TikTok ?
36:16 Non.
36:22 Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire.
36:25 Incroyable et peu estouflante.
36:28 On exagère peut-être un peu.
36:30 Pour trouver son emploi en un clic ?
36:32 Un clic ? Mais c'est super !
36:34 Clic emploi.
36:35 Avec clic emploi, vous aussi, trouvez le job qu'il vous faut en un rien de temps.
36:45 Martine, on dit merci qui ?
36:49 Pour toutes les raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
36:52 Bah ouais, elle bosse.
36:53 Merci clic emploi.
36:54 Ensemble, suivons le talk et luttons contre le gaspillage alimentaire avec Leclerc et Zerogachi.
37:19 Leclerc.
37:21 Et de retour pour la troisième et dernière partie de l'émission.
37:25 On va parler emploi tout de suite avec Laurent.
37:27 On envoie le jingle et on en parle.
37:29 Et du coup, de quoi on parle avec toi Laurent aujourd'hui ?
37:35 Pas d'emploi, mais de quoi dans l'emploi ?
37:37 Oui, d'emploi.
37:38 Enfin, d'emploi plus de...
37:39 Je reste encore dans mon carré habituel
37:41 puisqu'on est à l'approche quand même du forum de l'alternance.
37:43 Donc, je vais rester dans l'alternance.
37:45 Mais c'est de l'emploi tout pareil.
37:47 À savoir deux offres qui seront proposées pendant l'événement
37:50 mais qui le sont déjà sur les réseaux sociaux,
37:52 notamment sur leur site.
37:54 On a d'un côté la SPL Eden
37:56 qui est une grosse structure sur Saint-Leu
37:58 qui s'occupe de tout ce qui est biodiversité,
38:00 sentiers, sentiers naturels sur l'île de la Réunion.
38:04 Il y a un certain nombre d'actions professionnelles à travers la nature de notre île.
38:08 Elle propose deux gros postes, à savoir cadre quand même,
38:12 à savoir ce qu'on appelle un responsable de site pépinière.
38:15 C'est lui qui va mettre en place les différents modes de culture
38:19 qui seront après...
38:20 - Pour replanter les arbres.
38:21 - Voilà, exactement.
38:22 Pour remettre après dans la nature sur les espèces endémiques de l'île de la Réunion.
38:27 Et un agent polyvalent des activités horticoles.
38:30 Donc, cette fois-ci, c'est en second.
38:32 C'est la personne qui va travailler sous la responsabilité
38:34 justement de ce responsable de site pépinière
38:37 qui sera tout simplement au développement des différentes plantes,
38:41 qui sera en réalité à remettre et à rebouturer sur l'île de la Réunion.
38:45 Donc, deux beaux postes assez, je dirais, dirigés vers notre biodiversité,
38:51 vers notre nature.
38:53 SPL Eden a, depuis un certain nombre d'années, mis un gros...
38:57 - C'est quoi ? C'est une entreprise ? C'est un centre de formation ?
38:59 - Non, alors, SPL Eden, on l'appelle une institution réunionnaise,
39:05 au même titre que, par exemple, la région, le conseil départemental.
39:09 Ce sont des très grosses structures qui travaillent avec plusieurs centres de formation
39:12 et plusieurs organismes professionnels à travers justement la nature et la biodiversité.
39:17 - OK. Et une deuxième... - Et la deuxième érope,
39:20 alors là, c'est un organisme de formation, Concept Formation,
39:23 qui, lui, sera présent également sur nos différentes activités,
39:26 notamment le Forum de l'Alternance,
39:28 et qui, lui, se place sur, d'abord, un gros hub vente,
39:31 les managers des univers marchands, le VCM,
39:34 à savoir le vendeur conseiller magasin,
39:36 avec là-dessus, je dirais, un gros accent, un gros focus sur le recrutement pour les partenaires,
39:41 les entreprises, je dirais, du commerce prêt-à-porter et de vente en général,
39:45 les métiers du secrétariat, donc le tertiaire, assistante de direction, secrétaire,
39:50 et aide à la personne, qui, depuis quelques années, ici, à La Réunion,
39:54 est gros proverbe d'emploi, à savoir pour travailler aussi bien dans les structures
39:57 que de travailler auprès des personnes directement chez elles, à domicile.
40:01 Donc voilà, deux organismes qui recrutent, deux grosses structures, ici, à l'île de La Réunion.
40:05 Vous verrez sur écran les coordonnées, les numéros de téléphone,
40:08 de telle manière à pouvoir candidater ou postuler,
40:11 ou tout simplement venir mercredi prochain au forum de l'alternance au tampon
40:15 pour les rencontrer, échanger avec eux, déposer vos CV,
40:18 et par la suite, j'ai envie de dire, candidater à leurs offres.
40:21 - Super ! - Voilà, tout est dit, j'ai envie de dire.
40:24 - Michael, tu seras, bien sûr. - Faire naître précisément.
40:26 - T'as l'air d'avoir la main verte, toi. - C'est clair.
40:28 - C'est ce que je pensais. - Super.
40:30 Merci, en tout cas, Laurent, pour ces bons plans emploi, encore une fois.
40:33 - Cette fois, c'était un peu plus environnemental.
40:35 - Oui. - Aide à la personne pour le deuxième.
40:37 Comme il a dit, foncez au tampon pour aller au forum de l'alternance le 28 juin prochain.
40:43 On va passer à la suite de l'émission.
40:44 Je vais vous faire un petit focus info avec une grosse info politique.
40:47 On envoie le jingle et je vous en parle.
40:49 On focus aujourd'hui sur cette info.
40:55 Richard Ferrand, l'ancien président de l'Assemblée nationale,
40:58 qui souhaite supprimer l'interdiction de se représenter aux élections présidentielles
41:02 après deux mandats.
41:03 Vous savez, aujourd'hui, un président ne peut pas se représenter plus de deux fois consécutive.
41:07 L'ancien président de l'Assemblée nationale qui dit que la Constitution, aujourd'hui,
41:13 corsette notre vie publique dans des règles qui limitent le libre choix des citoyens.
41:17 Il faut savoir que même s'il s'est retiré officiellement de la vie politique,
41:20 Richard Ferrand est toujours proche du pouvoir.
41:23 Il participe notamment à des réunions stratégiques à l'Elysée.
41:26 Il est toujours proche d'Emmanuel Macron.
41:28 Actuellement, le texte suprême dit que nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs.
41:33 En conséquence, Emmanuel Macron ne pourra pas se représenter en 2027
41:37 lors de la prochaine élection présidentielle après ces deux quinquennats.
41:41 À titre personnel, c'est encore Richard Ferrand qui parle.
41:44 Je regrette tout ce qui bride la libre expression de la souveraineté populaire.
41:48 Ces déclarations n'ont pas manqué forcément de faire réagir.
41:51 D'autant plus dans un contexte où l'exécutif a fait passer en force la réforme des retraites.
41:57 L'opposition parle piétinement de la démocratie.
42:00 Et pourquoi pas restaurer l'empire avec Macron,
42:03 premier à lancer Mathilde Panot, chef de la file des députés insoumis,
42:09 qualifiant Richard Ferrand de visage de la dérive démocratique de la Macronie.
42:13 Qu'en pensez-vous de cette info ?
42:15 Est-ce qu'il faut supprimer le non...
42:17 De ne pas pouvoir faire trois, deux mandats consécutifs à l'Elysée ?
42:21 Ça a été remis il n'y a pas si longtemps que ça, au final.
42:24 Parce qu'à l'époque, il pouvait. Alors, je ne dis plus la date.
42:27 - Est-ce que tu pouvais faire plus de sept aînats ?
42:29 - Parce que Macron, déjà, lui, avait validé l'idée qu'il n'y aurait pas plus de deux fois.
42:32 Et je ne sais plus si Sarko, justement, lui...
42:35 De toute façon, lui, il savait qu'il ne pourrait pas aller au-delà de deux,
42:37 parce qu'après, il y avait la prison qui l'attendait et pas mal de choses.
42:39 Mais pour le coup... - Qui n'a pas fait.
42:41 - Hein ? - Qui n'a pas fait.
42:42 - Du coup, qui n'a pas fait. - Oui, compliqué.
42:44 - Quand il y avait encore les sept aînats, est-ce que tu pouvais te représenter plus de deux fois ?
42:48 - J'ai un doute, mais je crois que ce n'est pas si vieux que ça, pour demander...
42:53 - Demander la vare ?
42:55 - Mais... Alors, pourquoi pas ?
42:58 Oui et non, parce qu'on sait que ça reste quand même le peuple qui décide, techniquement.
43:05 Oui, ça peut être controversé, mais il y a quand même des élections.
43:09 On n'est pas en Russie, là. Il y a quand même des élections.
43:12 Quand on voit... - En Russie, tu as des élections, aussi.
43:15 - Oui.
43:16 - On ne va pas rentrer sur ce sujet, mais on va dire que...
43:19 - Il est élu à 80 %, on dirait.
43:21 - Le match est joué d'avance.
43:23 - Mais quand on voit les figures politiques, à l'heure actuelle, ça fait peur pour la suite, quand même.
43:28 Alors, Macron, est-ce qu'il est ? Il n'est peut-être pas forcément...
43:31 Mais on se dit, qui pourrait le succéder ?
43:35 Quelle nouvelle figure ? Parce que ça fait un moment qu'on n'a pas de nouvelles têtes.
43:39 - Bah, tu as Edouard Philippe côté Macron, tu vois. Par exemple.
43:43 - Oui, qui pourrait, éventuellement...
43:45 - Jean-Marie Darmanin, Pepsi-Van Rattal.
43:48 - Je suis d'accord avec Bruno, pourquoi pas. Mais après, ça marche pas comme ça, non plus.
43:52 Là, on entre bientôt dans la campagne et on se dit, bah ouais, on change les règles.
43:57 Non, on change pas les règles maintenant.
44:00 Sinon, on les change pour... Après 2027, c'est quoi ?
44:03 - Ça serait 2032.
44:05 - Voilà, on change pour 2032, mais pas maintenant.
44:07 Et puis, après, ce qui me gêne aussi dans l'histoire, c'est...
44:10 C'est toujours l'opposition. L'opposition qui est toujours en train de se plaindre.
44:13 Là, on change. - C'est son rôle.
44:15 - Mais elle se plaint en disant que... - Sinon, c'est plus une opposition.
44:17 - C'est comme si ils étaient déjà assurés de perdre.
44:19 Donc, ouais, on va pas changer parce que, non, c'est pas bon.
44:22 - C'est un peu mauvais joueur. - On va perdre.
44:24 - Ça va au-delà de ça, parce que la sélection naturelle d'un vote, par définition,
44:28 c'est l'urne et c'est les gens, qu'est-ce qu'ils mettent en dedans ?
44:31 Sauf qu'on sait très bien ce qui va se passer.
44:33 Si jamais Marine Le Pen se retrouve face à un Macron qui se représente,
44:37 Macron est sûr de passer.
44:39 Même encore aujourd'hui, où on sait que malgré qu'elle monte dans les opinions publiques,
44:42 malgré les événements qu'on a pu traverser et les crises,
44:45 ça n'empêche qu'il veut jouer là-dessus.
44:47 Donc, il a plutôt intérêt, et notamment notre cher, comme ça s'appelle, conseiller politique,
44:52 de dire, écoutez, il pourrait briguer un troisième mandat
44:55 et aller au-delà des contradictions qu'il a pu dire,
44:58 tout simplement parce que si jamais il est face à Le Pen, il est sûr de passer.
45:01 - Non, mais c'est un peu son jeu aussi.
45:03 C'est qu'elle est toujours en face pour, au final...
45:05 Elle a toujours pas acquis, et je pense qu'elle le veut pas non plus,
45:08 cette stature présidentielle à chaque fois sur les deux débats.
45:10 Même Macron, la première fois, alors qu'il était pas encore élu,
45:13 il a réussi à avoir ce calme, et c'est ce qui l'a fait gagner.
45:16 La deuxième fois, il était clairement... On avait un président, un dirigeant politique,
45:20 chef d'État, quoi.
45:21 - C'est ça, concrètement, on sait que de nos jours, la droite est complètement éclatée.
45:25 - Éclatée ?
45:26 - Elle est éclatée, oui, Macron.
45:28 Le président a fait en sorte que cette droite n'existe plus vraiment.
45:32 De nos jours, tu le mets en face de qui ?
45:35 Il y aura encore Mélenchon, l'extrême-gauche.
45:37 Ça va pas passer. L'extrême-droite, ça va pas passer.
45:39 Et au milieu, il y a plus grand monde.
45:41 - Justement, quel est vraiment le besoin d'avoir encore, par exemple, Macron ?
45:46 Si... Voilà, on reste comme on est.
45:48 Tu vois, déjà, c'était chiquier, où tu sais que à gauche, c'est compliqué,
45:51 et droite, pareil, c'est compliqué.
45:52 T'as l'extrême-droite, dans tous les cas, même si tu mets Édouard Philippe,
45:55 en fait, tu mets n'importe qui face à... Peut-être pas n'importe qui non plus,
45:57 mais Benoît Hamon, je suis pas sûr qu'il gagne.
45:59 Enfin, ça m'arrive de peine, mais je sais pas, tu mets Édouard Philippe en face,
46:02 bien sûr qu'il va gagner, quand même, tu vois, avec le soutien d'Emmanuel Macron, par exemple.
46:06 - Donc, pourquoi, juste un quinquennat, tu n'aurais pas, par exemple,
46:09 Édouard Philippe, et puis, dans 5 ans encore...
46:11 - Ce qui est important, c'est le contenu, hein, c'est pas forcément le futur président.
46:14 - Non, mais tu vois, c'est dans cette idée que...
46:15 - On connaît maintenant, on pense qu'on connaît assez bien, maintenant,
46:18 le travail du président qu'on a maintenant, depuis le 2e mandat.
46:22 Est-ce que, réellement, on veut la même chose ?
46:24 On considère que c'est vraiment bien, tel qu'on est aujourd'hui avec lui,
46:27 qu'on peut continuer sur cette voie, et on revote, on réélit,
46:32 comme ça s'appelle, Macron ? - Macron.
46:34 - C'est ça que je ne comprends pas, pourquoi on met des règles comme ça,
46:38 pas plus de 2 ans, pas plus de 2 mandats...
46:40 - En fait, c'est vraiment pour permettre une alternance politique,
46:42 et que t'aies pas d'avis de vote.
46:44 - Oui, mais quand tu écoutais ses discours, ce qu'il prônait,
46:48 quand il était devant Marine Le Pen, ou quand il était en pseudo-compagne,
46:52 parce qu'il n'a pas du tout été en compagne, c'est, en gros,
46:54 voilà, j'ai autre chose à faire, mais c'était la stabilité.
46:57 Voilà, on a commencé quelque chose, il faut qu'on le termine,
46:59 et il faut qu'on continue, et ce discours-là va durer.
47:02 La France a connu des crises, ceci, cela, donc il faut qu'il y ait
47:05 une personne stable qui reste pour qu'on continue sur cette lignée.
47:08 C'est ça, en fait, ils vont jouer là-dessus, parce qu'ils vont dire,
47:10 voilà, tu vas mettre Marine Le Pen, qui a certaines idées,
47:12 qu'on soit pour ou non, ça va éventuellement exploser tout ce qui s'est passé,
47:15 tu vas mettre aussi l'autre extrême, ça va...
47:18 Donc ils jouent là-dessus, sur cette stabilité, comme quoi,
47:20 c'est un peu lui qui fait régner, c'est un peu cette stabilité
47:23 qu'on peut avoir en France.
47:25 - T'imagines, si jamais il était réélu une 3e fois,
47:27 et qu'il installe toujours cette éternelle stabilité,
47:30 on pourrait repartir sur une 4e, une 5e, et il resterait linéaire
47:33 sur quelque chose, et donc un travail quasiment inachevé,
47:36 volontairement, pour pouvoir... - Pour pouvoir continuer...
47:38 - C'est ça, en fait, c'est là où l'opposition parle de dérives autoritaires,
47:42 c'est qu'en fait, si tu ouvres à la 3e fois, tu fais du recyclage
47:44 une 4e fois, une 5e fois, et là, c'est vraiment une monarchie,
47:47 presque que tu réinstalles, eux, ils parlent d'empire,
47:49 c'est vrai que dans l'idée... - C'est ça.
47:51 - J'aimerais vous poser une question et que vous répondiez vraiment honnêtement,
47:54 parce qu'en Russie, tu parlais de la Russie, tu vois,
47:57 même en Russie, alors déjà, il y a des élections, mais en plus, pareil,
48:00 alors je ne sais plus si c'est 2 ou 3, mais tu ne peux pas te représenter
48:03 plus d'un nombre de fois. Poutine, c'est ce qu'il a fait,
48:06 il a fait réélire, en gros, Edouard Philippe, on va dire, en France,
48:09 pour être son Premier ministre, et après, il est repassé à l'élection.
48:12 Si aujourd'hui, Poutine disait "Je supprime cette loi,
48:16 maintenant, je peux me faire réélire autant que je veux",
48:19 est-ce que là-bas, on dirait pas, même si ça l'est déjà un peu,
48:21 mais on ne crierait pas à la dictature complète en Russie,
48:24 et pourquoi ici, on se dit "Finalement, oui, pourquoi pas,
48:27 une troisième fois", vous voyez ce que je veux dire ?
48:29 - La forme n'est pas la même. - La forme, oui.
48:31 - Quand tu vois comment sont gérées les manifestations,
48:34 quand tu vois la dureté des manifestations, comment elles sont gérées,
48:36 là, tu as même l'ONU qui a dit à l'État "Faites attention,
48:39 on veut un compte rendu, on veut des nouvelles façons
48:42 de gérer les manifestations", parce qu'effectivement, il y a peut-être
48:45 beaucoup trop de violence en tout cas... - Tu parles d'où, là ?
48:48 - En France. - Tu parles de la France, là ?
48:50 - Oui, j'ai ça. - En gros, on va dire "Faites attention".
48:53 - Est-ce que là, le contexte, c'est pas que oui, on voit peut-être une dérive,
48:56 pas de dictature, mais une dérive autoritaire de l'État
49:00 en mode très violente, quand même ?
49:02 - Les mentalités ne sont pas les mêmes.
49:04 Tu ne peux pas comparer la France et la Russie.
49:06 Quand on sait que la Russie, les médias sont contrôlés,
49:09 quand tu sais qu'il y a plein de choses qui sont bloquées,
49:11 la France ne fait pas ça. La Russie, limite, ça passerait,
49:14 on dirait "C'est normal, c'est la Russie". La France, ça éclaterait.
49:17 - Sarkozy l'avait fait virer Patrick Pauvre d'Arvor
49:21 parce qu'il n'avait pas aimé qu'il appelle petit président
49:25 qui est un président... Attendez, Patrick Pauvre d'Arvor
49:29 disait à Sarkozy, en gros, que c'était un enfant
49:31 qui était dans sa chambre, en gros, en tant que chef de l'État.
49:34 Il l'a appelé TF1, il l'a fait virer.
49:36 En quoi c'est différent de la Russie, par exemple ?
49:39 - C'est pas vraiment différent. - La pression électorale n'est pas la même.
49:42 En France, tu peux aller voter, tu peux aller couler ton bulletin,
49:45 il n'y aura personne qui va te surveiller, tu peux mettre ce que tu veux,
49:47 il n'y a pas de problème. Là-bas, on te surveille jusqu'au moment
49:49 où tu déposes, on regarde même ce que t'as mis dedans.
49:52 - C'est pas du tout pareil. - C'est pour ça que ça fait 15 ans...
49:54 - Après, il y a des pays où le mot dictature leur colle à la peau.
49:57 C'est presque un label, c'est presque une marque estampillée avec le pays.
50:02 Si, par exemple, tu me dis demain, il y a des élections en Afrique,
50:05 forcément, on va dire, il y a des dictateurs, Laurent Gbagbo, etc.
50:09 - Est-ce que ce n'est pas notre regard de Français aussi ?
50:11 - C'est ça, exactement. - Avec un peu d'arrondement quand même.
50:13 Où on se dit, ça se passe ailleurs, eux, c'est la dictature.
50:16 - Nous, c'est notre forme, mais il y a une forme de dictature
50:18 qui s'installe à l'arrière du pôle, à la réunion.
50:20 - On n'est pas, sur certains points, on n'est pas non plus très différents.
50:22 C'était juste pour dire, d'essayer aussi de prendre du recul,
50:24 et que souvent, on juge aussi les pays extérieurs,
50:27 mais peut-être qu'en France, il faut faire attention parce que...
50:29 - Faire passer des lois en force à coup de 49-3, on n'est quand même...
50:33 On n'est plus en République.
50:35 - Et d'ailleurs, ce n'est pas l'ONU aussi qui a diabolisé sur le 49-3.
50:39 - Il y a une commission d'enquête maintenant qui se positionne.
50:41 C'est la première fois que... On a eu tous les présidents inimaginables
50:44 en remontant très loin, mais celui-ci nous amène aujourd'hui
50:46 à être clairement regardés de près sur le mode de fonctionnement.
50:49 - C'est la première fois que le gouvernement agit ainsi aussi.
50:51 - En a connu. - Depuis un petit moment,
50:54 ça a été très condensé, on va dire.
50:56 - Après, je vous rappelle que c'était quoi ?
50:58 C'était Manuel Valls aussi qui avait passé par mal de 49-3 sous François Hollande.
51:01 Bref, on va refermer ce débat.
51:03 Merci à tous d'avoir participé aujourd'hui.
51:05 Bon, ce n'est peut-être pas le sujet le plus joyeux pour la fête de la musique.
51:08 On va fermer là-dessus quand même.
51:09 Mais voilà, en tout cas, merci à vous d'avoir regardé l'émission.
51:11 On espère que vous avez passé une bonne soirée.
51:13 Faites-le, allez fêter, allez danser, allez chanter dans les rues de Saint-André.
51:17 - Allons danser. - Allons, effectivement, avec la plus belle musique.
51:20 - Allons danser. - Donc, profitez bien de cette soirée.
51:22 En tout cas, nous, c'est toujours un plaisir d'être avec vous,
51:24 de vous faire ces émissions.
51:26 On se retrouve demain toujours à la même heure sur Télé-Créole,
51:28 18h35, bien sûr.
51:29 Suivez-nous sur nos réseaux sociaux, Facebook, Instagram, TikTok.
51:33 J'ai toujours peur d'en oublier.
51:34 Bref, on se retrouve demain toujours à la même heure.
51:36 Passez une bonne soirée, profitez bien.
51:38 Ciao, La Réunion.
51:40 (Générique)
51:58 (Sonnerie)
52:01 (Générique)
52:05 - Stop au gâchis. Leclerc continue sa lutte contre le gaspillage alimentaire.
52:09 Vos magasins Leclerc de Lille adoptent la démarche zéro gâchis.
52:13 Tous les jours, des produits frais à dette courte sont remisés jusqu'à 70 %.
52:18 En rayant ou dans les corners dédiés, profitez de bons produits à petit prix
52:22 et luttons ensemble contre le gaspillage alimentaire.
52:26 Leclerc.
52:29 - Les aviez-vous ?
52:30 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires Facebook
52:33 ni en se collant sur TikTok ?
52:35 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire.
52:44 Incroyable et peu estofflante.
52:47 On exagère peut-être un peu.
52:49 Pour trouver son emploi en un clic...
52:51 Waouh ! Un clic ? Mais c'est super !
52:53 Clic en plein.
52:56 Avec Clic emploi, vous aussi, trouvez le job qu'il vous faut en un et un temps.
53:00 Martine, on dit merci qui ?
53:02 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
53:06 Bah ouais, elle bosse.
53:07 Merci Clic emploi !
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