"La chroniqueuse de "TPMP" s'indigne lors d'une interview à propos de la masturbation chez les enfants !"
Béatrice Rosen critique l'idéologie woke en matière d'éducation sexuelle
La chroniqueuse de "TPMP", Béatrice Rosen, était invitée sur Sud Radio lundi 19 juin pour débattre avec André Bercoff sur l'idéologie woke en matière d'éducation sexuelle. Elle critique cette idéologie qui confond selon elle l'apprentissage de la tolérance et de la bienveillance avec une espèce de propagande d'une idéologie. Pour elle, les enfants ont besoin de repères fermes pour se construire.
Le consentement est une notion binaire
Selon Béatrice Rosen, la notion de consentement est binaire. Elle n'est ni fluide ni modifiable, c'est-à-dire qu'elle ne se résume qu'à "oui" ou "non". Elle juge dangereux de s'engouffrer dans un flou et une fluidité entre le "oui", "oui peut-être", "non mais pourquoi pas". Pour elle, les prédateurs profitent de ce flou autour du consentement.
L'âge de l'innocence et de la pureté
Béatrice Rosen cite l'exemple de sa fille de cinq ans et exprime son désir de ne pas apprendre la masturbation à des enfants aussi jeunes. Elle estime qu'il y a un âge pour tout et que les enfants ont besoin d'un temps pour l'innocence, la pureté et les moments magiques qu'on peut leur offrir. Elle défend l'idée que pour l'éducation sexuelle, la puberté, la majorité sexuelle, il y a un temps pour tout.
La chroniqueuse de "TPMP", Béatrice Rosen, était invitée sur Sud Radio lundi 19 juin pour débattre avec André Bercoff sur l'idéologie woke en matière d'éducation sexuelle. Elle critique cette idéologie qui confond selon elle l'apprentissage de la tolérance et de la bienveillance avec une espèce de propagande d'une idéologie. Pour elle, les enfants ont besoin de repères fermes pour se construire.
Le consentement est une notion binaire
Selon Béatrice Rosen, la notion de consentement est binaire. Elle n'est ni fluide ni modifiable, c'est-à-dire qu'elle ne se résume qu'à "oui" ou "non". Elle juge dangereux de s'engouffrer dans un flou et une fluidité entre le "oui", "oui peut-être", "non mais pourquoi pas". Pour elle, les prédateurs profitent de ce flou autour du consentement.
L'âge de l'innocence et de la pureté
Béatrice Rosen cite l'exemple de sa fille de cinq ans et exprime son désir de ne pas apprendre la masturbation à des enfants aussi jeunes. Elle estime qu'il y a un âge pour tout et que les enfants ont besoin d'un temps pour l'innocence, la pureté et les moments magiques qu'on peut leur offrir. Elle défend l'idée que pour l'éducation sexuelle, la puberté, la majorité sexuelle, il y a un temps pour tout.
Transcript
00:00 La chroniqueuse de TPMP, Béatrice Rosen était invitée sur Sud Radio lundi 19 juin pour
00:06 débattre avec André Berkhoff sur l'idéologie Wouk en matière d'éducation sexuelle.
00:10 Elle critique cette idéologie qui confond selon elle l'apprentissage de la tolérance
00:14 et de la bienveillance avec une espèce de propagande d'une idéologie.
00:17 Pour elle les enfants ont besoin de repas fermes pour se construire.
00:21 Selon Béatrice Rosen la notion de consentement est binaire, elle n'est ni fluide ni modifiable,
00:26 c'est à dire qu'elle ne se résume qu'à oui ou non, elle juge dangereux de s'engouffrer
00:30 dans un flou et une fluidité entre le oui, oui peut-être, non mais pourquoi pas.
00:34 Pour elle les prédateurs profitent de ce flou autour du consentement.
00:37 Béatrice Rosen cite l'exemple de sa fille de 5 ans et exprime son désir de ne pas apprendre
00:42 la masturbation à des enfants aussi jeunes.
00:44 Elle estime qu'il y a un âge pourtout que les enfants ont besoin d'un temps pour l'innocence,
00:49 la pureté et les moments magiques qu'on peut leur offrir.
00:52 Elle défend l'idée que pour l'éducation sexuelle, la puberté, la majorité sexuelle,
00:56 il y a à temps pour tout.
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