Le Journal - 22/06/2023 - JO PARIS 2024 / La maison d'arrêt de Blois dans les starting blocks

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JO PARIS 2024 / La maison d'arrêt de Blois dans les starting blocks
DON D'ORGANES / Ils pédalent pour promouvoir la greffe
DON D'ORGANES / Faire connaitre ses dernières volontés
JEUX DE SOCIETE / Un marché en plein boom
Transcript
00:00 [Générique]
00:10 Bienvenue sur TV Tour Val-de-Loire. Si vous nous rejoignez, c'est l'heure de votre JT.
00:16 Nous sommes le jeudi 22 juin, tout de suite le sommaire en images de ce que nous avons retenu dans l'actualité du jour.
00:22 Le sport a Saint-Vite à la maison d'arrêt de Blois. 78 détenus ont participé ce jeudi à une série d'activités autour des valeurs de l'olympisme.
00:31 Le point sur l'intérêt d'une telle initiative dès le début de ce JT.
00:36 Focus sur le don d'organes à l'occasion de la journée nationale de réflexion sur cet acte altruiste.
00:42 Il y a quelques jours, une dizaine de transplantés ont sillonné les routes de notre région pour promouvoir le don d'organes et de tissus.
00:51 Enfin, les jeux de société cartonnent. Depuis le confinement, petits et grands ont retrouvé le plaisir de jouer, que ce soit en famille ou en couple.
00:59 Les ventes sont en constante progression, vous le verrez.
01:03 Je vous le disais dans les titres, à un an des JO de Paris, les valeurs de l'olympisme ont déjà franchi les murs des prisons.
01:13 Ce jeudi, à la maison d'arrêt de Blois, les détenus avaient la possibilité de pratiquer différentes activités sportives.
01:19 Un moment de détente pour eux qui passent de nombreuses heures dans leur cellule.
01:23 Un temps aussi pour voir différemment le personnel pénitentiaire.
01:27 Léa Turquiez avec Clémence Dosc.
01:30 Répartis en plusieurs groupes, les détenus de la maison d'arrêt de Blois alternent entre rameurs, courses de vitesse et couis sportifs.
01:42 Derrière ces animations, une logistique rigoureuse et la mobilisation de tous les personnels.
01:47 Objectif, lutter contre l'oisiveté en cellule et inciter au dépassement de soi.
01:53 Ça nous fait beaucoup de bien pour la prison car on peut sortir, s'amuser, profiter des autres détenus à l'air libre.
01:58 Ça me motive vraiment, ça me permet de me remettre en question, de me canaliser, d'apprendre comment me canaliser.
02:06 Ça nous permet de nous sociabiliser avec les intervenants extérieurs et de nous responsabiliser.
02:11 Ça fait du bien au moral surtout, c'est important de sortir un petit peu et d'avoir des activités avec des gens et de se sentir un petit peu "libre".
02:20 Une bouffée d'oxygène pour mieux digérer la dureté carcérale et dont les bénéfices sont multiples.
02:26 Outre la possibilité de se dépenser, les activités mobilisent l'écoute et la communication à la fois entre les détenus et les intervenants.
02:34 L'objectif il est à la fois sportif, à la fois social, à la fois culturel.
02:39 On suit les règles qui nous sont fixées, c'est la base du sport en fait, il y a des règles, on suit les règles et si on ne suit pas les règles, l'arbitre siffle faute.
02:49 Camaraderie, respect et discipline, les valeurs de l'olympisme sont transverses.
02:54 Au-delà d'une image de décontraction, le chef de l'établissement rappelle les enjeux sociaux et éducatifs du projet.
03:01 Le sport est essentiel en détention, au même titre que le travail, l'école, les soins.
03:07 Non, ils ne s'amusent pas, ils luttent aussi contre l'oisiveté, ils sont enfermés, ils ont la possibilité de s'inscrire aux activités, de se mobiliser au cours de leur détention.
03:18 Donc nous c'est ça aussi qui va nous intéresser.
03:20 Des bénéfices dont les détenus sont conscients comme en témoignent leurs sérieux.
03:25 Tous le savent, un bon comportement égage d'autres activités.
03:29 Savez-vous si vos proches sont pour ou contre le don d'organes post-mortem ?
03:36 Une question que l'on peut tous se poser aujourd'hui à l'occasion de la journée nationale de réflexion sur le don d'organes.
03:42 Selon l'agence de biomédecine, au 1er janvier 2023, 28 000 patients étaient encore en attente d'une grève.
03:50 Rencontre avec quelques chanceux qui ont pu en bénéficier.
03:54 Pendant deux jours, des transplantés ont sillonné notre région à vélo.
03:59 Sarah Gros les a croisés lors d'une courte pause à Bléry.
04:04 Encore un effort, il ne reste plus que quelques mètres pour ces cyclistes avant de franchir les portes de l'école primaire de Bléry.
04:11 Depuis deux jours, 18 patients greffés et 6 soignants pédalent ensemble pour sensibiliser le public au don d'organes.
04:18 Objectif atteint ce matin au cours d'un pique-nique avec les élèves de CM1.
04:23 Ça peut permettre, pas une nouvelle vie, mais ça peut leur rendre un organe que j'avais perdu.
04:30 Je trouve ça génial qu'il y ait des personnes assez gentilles qui veulent bien donner leur organe pour qu'il y ait quelqu'un qui puisse survivre.
04:39 Sauver une vie, ce retraité de 63 ans greffé d'un rein il y a 19 ans en a bien conscience.
04:45 C'est un geste d'une très très grande générosité.
04:48 Mon donneur, je ne le connais pas, bien évidemment, parce que l'anonymat régit le don d'organes.
04:56 Mais j'ai une très très grande estime pour mon donneur et comme je dis souvent, je ne le connaissais pas et ne lui devais rien.
05:04 Je ne le connais toujours pas et je lui dois tout.
05:07 L'émotion est tout aussi présente chez Alexandra, la plus jeune de l'équipe.
05:11 Il y a à peine 8 mois, cette danseuse professionnelle de 36 ans a reçu un nouveau cœur.
05:16 Avant cette greffe, elle était bien loin d'être informée sur le don d'organes.
05:20 Je n'avais jamais parlé du don d'organes et de tissus d'ailleurs, parce qu'il y a les tissus aussi.
05:26 Et je trouve que plus jeune comme ça, c'est hyper important, déjà à l'école, de pouvoir en discuter, de pouvoir sensibiliser.
05:36 Plus qu'une mobilisation, du côté des soignants, c'est aussi un véritable moment de partage.
05:41 Pour nous, ça a été très très chouette de rouler avec ces personnes greffées, parce qu'on n'a pas souvent l'occasion de rencontrer
05:47 et de montrer qu'ils sont vraiment en pleine forme, qu'ils vont bien, qu'ils respirent la joie de vivre.
05:53 Donc ça a été souvent des très très belles rencontres et on est très très heureux d'avoir organisé et participé à cette manifestation.
06:00 Un coup d'eau pour la route, il est déjà temps de repartir.
06:03 Dernière étape, direction Tour, point d'arrivée finale.
06:09 En 2022, dans l'Hexagone, 5494 personnes ont été sauvées grâce à une greffe.
06:16 231 en région centre-valle de Loire.
06:19 Pourtant, le taux de refus avoisine toujours les 30%.
06:22 Alors, comment faire pour convaincre ses proches récalcitrants ?
06:26 On en parle avec notre invité du jour.
06:28 Jean-Christophe Vénard, bonjour.
06:30 Bonjour.
06:31 Vous êtes médecin, coordinateur des prélèvements d'organes au CHU de Tour.
06:35 D'abord, un petit bilan de votre activité.
06:37 Le CHU de Tour, c'est combien de greffes à l'année ?
06:40 C'est 130 greffes rénales, c'est 110 à 120 greffes hépatiques,
06:45 c'est entre 10 et 15 greffes cardiaques.
06:48 C'est un établissement dont l'activité de greffe est très importante
06:54 et dont on a fait un pôle d'excellence depuis maintenant plusieurs années.
06:57 Et le seul de la région ?
06:59 Oui, c'est le seul établissement de la région qui greffe.
07:01 Tous les autres établissements, Châteauroux, Bourges, Blois,
07:07 peuvent prélever bien entendu, mais Tour est le seul établissement greffeur.
07:10 Alors, par définition, nous sommes tous donneurs d'organes,
07:13 on appelle ça le consentement présumé.
07:15 Pourquoi est-ce que si on est tous donneurs,
07:17 il y a toujours autant de personnes malades sur liste d'attente ?
07:20 Alors, il y a beaucoup de malades sur la liste d'attente
07:22 parce que d'une part, on inscrit beaucoup plus de gens,
07:26 on peut greffer des gens de plus en plus âgés,
07:29 donc ça c'est important.
07:31 Et puis, l'autre paramètre qui est de l'autre côté, c'est le taux de refus.
07:35 C'est-à-dire qu'on a aussi un taux de refus qui est à 30%, vous l'avez bien dit,
07:39 et il faut aussi qu'on arrive à jouer sur ce taux de refus,
07:42 c'est hyper important, ce qu'on a fait avec la loi Radon,
07:45 ça a été un gros succès, il faut le dire,
07:48 et il faut qu'on arrive à baisser ce taux de refus.
07:50 Quelles sont les réticences ? Qu'est-ce que vous disent les familles ?
07:53 Alors en fait, ce sont des réticences, mais ce sont des réticences
07:55 par rapport au moment où ça se passe.
07:57 C'est trop tôt ?
07:58 Oui, je ne sais pas si c'est trop tôt, c'est les circonstances.
08:02 Si on interroge les gens dans la rue, on a un taux de refus qui est bas.
08:06 On va avoir 85-90% des gens qui sont forcément favorables à la greffe,
08:10 forcément favorables aux dons.
08:12 Dans une situation de décès, on parle d'un décès,
08:15 l'émotion est vive, l'émotion est forte,
08:18 et c'est vrai que le côté émotionnel prend le dessus.
08:21 Et c'est vrai que même si la loi nous dit qu'on est tous donneurs,
08:24 sauf si on s'est inscrits bien entendu, ou si on l'a dit,
08:27 ce n'est pas facilitant de ne pas savoir ce que notre proche qui est décédé souhaitait.
08:33 Et donc dans ces cas-là, c'est difficile,
08:36 ce sont des démarches qui sont émotionnellement encore une fois très compliquées.
08:40 Et on insiste énormément nous par rapport à ça,
08:43 sur le fait que les gens doivent se prononcer sur ce sujet.
08:46 Ce n'est pas un sujet facile à aborder, c'est clair,
08:48 mais il faut en parler pour dire "moi s'il m'arrive quelque chose,
08:52 je veux bien qu'on prélève mes organes".
08:54 - Est-ce qu'il y a justement une limite au niveau du nombre de prélèvements
08:58 réalisés sur une seule et même personne ?
09:00 - Non, il n'y a pas de limite de prélèvements d'organes.
09:03 La limite va être médicale, elle va être physiologique.
09:06 Souvent les gens sont très surpris par rapport à des abords sur ce sujet-là.
09:11 On peut aborder le sujet du nom d'organe dans la situation de la mort cérébrale,
09:15 qui est encore une fois un sujet bien particulier,
09:18 mais les gens sont décédés en mort cérébrale, il faut bien insister là-dessus.
09:21 Un état clinique, ce n'est pas un coma, les gens sont décédés.
09:24 En fait, des gens de 80-85 ans peuvent tout à fait donner leurs organes.
09:29 Ce sont des choses que les gens ignorent.
09:31 - Il n'y a pas de "d'âge" après 60-70 ans ?
09:34 - Non, c'est l'âge physiologique qui prime, c'est les pathologies,
09:38 c'est les antécédents.
09:40 Tout ça va être analysé de façon très scrupuleuse, vous entendez bien.
09:43 Ça va être analysé plusieurs fois, on va faire des examens,
09:46 mais en aucun cas on mettra en péril la vie du receveur.
09:49 Donc on peut donner jusqu'à très tard.
09:52 - Ça veut dire qu'une seule personne peut sauver 5, 10, 15 vies ?
09:56 - On énumère les organes qui peuvent être greffés sur une limite d'âge correcte,
10:00 ça va être le cœur bien entendu, les poumons, le foie, les reins,
10:04 chez les plus jeunes, les intestins, le pancréas.
10:07 Donc effectivement, il y a beaucoup de vies à sauver.
10:10 Une personne peut sauver 5-6 vies facilement.
10:13 - Il y a aussi des moments où on peut donner de son vivant.
10:17 Expliquez-nous, dans quel cas, est-ce qu'on peut donner un organe ?
10:20 - Le donneur vivant se fait en France, je ne dirais pas exclusivement,
10:23 mais quasi exclusivement sur le rein, puisqu'on a deux reins.
10:26 Donc on peut en donner un.
10:28 Un des objectifs du donneur vivant, c'est de ne pas mettre en danger.
10:31 Sauver quelqu'un, bien sûr, l'aider, c'est des proches, c'est de la famille,
10:34 mais c'est aussi des proches, mais c'est sauver quelqu'un
10:37 sans mettre en péril et sans mettre en danger la santé du donneur.
10:40 Ça, c'est fondamental.
10:42 Donc effectivement, le donneur vivant sur le rein, à tour,
10:45 il y en a une vingtaine qui sont faits par an.
10:48 On voudrait augmenter, on voudrait insister beaucoup plus,
10:51 parce que c'est une grève qui marche très bien.
10:54 Mais c'est vrai que ce sont des étapes qui sont compliquées,
10:57 qui sont longues pour le donneur vivant, qui, comme vous le comprenez aussi,
11:00 sont lourdes aussi sur le plan logistique, puisqu'il faut opérer
11:03 en même temps le donneur et le receveur.
11:05 Donc tout ça s'organise, bien entendu.
11:07 - Et qui doit se faire sans échange d'argent, j'imagine bien, évidemment.
11:10 - Exactement, c'est ça.
11:12 C'est pour ça qu'effectivement, il y a des validations par un tribunal,
11:15 mais ce sont des validations très formelles.
11:17 Mais effectivement, il y a des comités d'éthique qui entourent tout ça.
11:20 Et c'est très, très important.
11:22 Et les donneurs vivants, on en manque, comme des donneurs,
11:25 malheureusement, des donneurs décédés.
11:27 - Merci, merci Jean-Christophe Wehner d'être venu nous parler
11:30 de ces dons d'organes à l'occasion de cette journée.
11:32 - Merci beaucoup.
11:34 - Les fans, compte les jours.
11:36 La prochaine édition du Japan Tour Festival, c'est quasiment dans une semaine.
11:40 Les festivités vont débuter le vendredi 30 juin.
11:43 Trois jours dédiés à la culture nippone au parc des expositions de tour.
11:48 25 000 visiteurs sont attendus pour faire le tour des 260 exposants
11:52 et profiter des 600 animations programmées.
11:55 La nouveauté cette année, c'est l'accueil de la finale
11:58 de la Coupe de France de cosplay.
12:00 29 candidats et candidates vont s'affronter pour décrocher
12:03 le titre du meilleur costume de manga.
12:08 - Recevoir cette Coupe de France, c'est un honneur
12:10 parce que c'est une compétition de niveau national, mais pas que.
12:15 Ces candidats vont après concourir parfois au niveau européen.
12:18 Donc on a un niveau de qualité, de finition, de mise en scène
12:24 pour ces concours-là qui dépasse la plupart des attentes
12:28 des visiteurs en règle générale.
12:30 On est sur des costumes qui sont proches du cinéma quand même,
12:34 dont certains travaillent même pour des fictions ou des séries.
12:37 - Blanc manger coco, qui est-ce ?
12:40 Ou encore Cluedo ?
12:41 Vous avez là le top 3 des jeux de société
12:43 les plus vendus en France en 2022.
12:45 Depuis le confinement, les jeux de société ont retrouvé la cote
12:48 auprès des adultes.
12:50 Le marché est florissant avec une croissance à deux chiffres
12:53 pour le secteur.
12:55 Preuve à l'appui, l'arrivée d'un nouveau magasin à Tours
12:57 alors que d'autres enseignes étaient déjà présentes,
13:00 l'Ea Turquie.
13:04 - Siroter une limonade artisanale tout en découvrant
13:07 un nouveau jeu de plateau.
13:09 Voilà le concept du Sablier Curieux,
13:11 cette nouvelle boutique de jeux de société à Tours.
13:14 De quoi se démarquer dans un secteur déjà très prisé.
13:17 - Je me suis dit que c'était intéressant de proposer
13:19 quelque chose d'un peu différent avec ce côté café-ludique.
13:22 On peut essayer un jeu, on peut boire un verre,
13:24 essayer de faire quelque chose de convivial,
13:27 de faire les choses un peu différemment
13:29 pour qu'on puisse coexister.
13:31 - Des premiers pas dans le monde du jeu de société
13:33 quand d'autres sont déjà des institutions.
13:36 Sortilège rue du Commerce à Tours
13:38 fête ses 20 ans cette année.
13:40 Plus de 4000 références au compteur,
13:42 le temps passe et les affaires marchent toujours aussi bien.
13:45 - Déjà dans une boutique, l'activité est plutôt bonne,
13:48 donc ça c'est chouette et agréable.
13:50 Et puis oui, on peut le vérifier aussi
13:53 puisqu'il y a pas mal d'ouvertures de boutiques
13:55 partout sur le territoire et à Tours notamment aussi.
13:59 - Un essor du jeu de société et encore plus
14:01 depuis la période du Covid.
14:03 La tendance ne fait que de se confirmer
14:05 même si la concurrence grandit aussi.
14:08 Comment les boutiques de centre-ville
14:10 persistent face aux grandes surfaces et à l'achat en ligne ?
14:13 - Je pense que la qualité de service,
14:15 c'est notre cheval de bataille.
14:17 On est des vendeurs conseils,
14:20 donc c'est ce qu'on essaye de faire au mieux,
14:23 transmettre notre passion aux gens
14:25 et bien comprendre leurs besoins pour y répondre.
14:28 - Des atouts majeurs dans ce secteur florissant
14:31 avec de la place pour tout le monde.
14:33 En France, environ 30 millions de boîtes de jeux
14:36 sont vendues chaque année.
14:38 - Cette info insolite avant de se quitter.
14:41 Des chercheurs viennent de découvrir
14:43 que les gravures identifiées sur les parois
14:46 de la grotte de la Roche Cotard à Longers
14:49 dateraient d'il y a plus de 57 000 ans.
14:53 Elles seraient donc bien plus anciennes
14:56 que les peintures et gravures trouvées dans la Grotte Chauvet
14:59 ou celle de Lascaux, une datation rendue possible
15:02 grâce à l'étude des dépôts laissés par la Loire.
15:05 Nous reviendrons plus en détail sur cette information
15:09 dans une prochaine édition.
15:12 Voilà, c'est tout pour aujourd'hui.
15:15 Merci de votre attention.
15:17 Retour de l'information locale vendredi soir.
15:20 D'ici là, vous pouvez voir ou revoir ces reportages
15:23 sur notre site internet ou nos réseaux sociaux.
15:26 A tout de suite, un nouveau programme sur TV Tourval de Loire.
15:29 [Musique]

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