Le bilan des chroniqueurs pour la saison !

  • l’année dernière
Le talk-show le plus populaire de France est de retour sur C8 pour une nouvelle saison de divertissement et de surprises. Au programme : de la darka, des scoops, des infos médias, du show et bien sur la bande réunie autour de Cyril Hanouna.

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Du lundi au vendredi à 19h05

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Transcript
00:00 - Je l'ai trouvé passionnant, avec tous les sujets qu'on a vécu.
00:02 - C'est vrai.
00:03 - Et tout ce qu'on a vécu, les témoins que nous avons reçus et tout ça.
00:05 - T'as raison.
00:06 - Mais pour ce qui concerne l'image, parce qu'il fallait en trouver une.
00:09 Alors je suis...
00:11 Je me suis rappelé la façon que tu as de parler avec nous et de jouer avec nous.
00:17 Parce que tu n'aimes pas perdre, si tu veux.
00:19 - Ah, quand j'ai triché avec toi, je sais.
00:20 - Voilà.
00:21 - C'est l'image que t'as choisie.
00:22 - Ah, tu le sais.
00:22 - C'est quand on avait fait un espèce de fort boyard.
00:23 - Tu m'en rappelles ?
00:24 - Oui, il aime pas perdre, le chef.
00:26 - Vous pouvez rester, les chéris.
00:27 - Oui, oui, c'est pas désagréable.
00:29 - Franchement, vous pouvez rester.
00:31 Pour les caméras, sinon on ne voit plus rien.
00:33 - Ah, d'accord.
00:34 - Merci, merci.
00:35 - Au revoir, les dames.
00:36 - Ça nous fait plaisir.
00:37 Merci, merci.
00:38 - Je vous en prie.
00:40 - Merci.
00:41 - Je vous en prie, papa.
00:43 - Merci.
00:44 Merci beaucoup.
00:45 Merci.
00:46 Raymond, c'est Bernard Montel qu'il faut regarder.
00:48 - Ah !
00:49 - Merci, mon frère.
00:50 - Merci, Raymond.
00:51 - Merci, Raymond.
00:52 - Myriam, tu vas être les danseuses.
00:54 Myriam, reviens après.
00:55 Merci, ma famille.
00:56 - Bravo !
00:57 (acclamations)
01:00 - Alors, je me rappelle, t'avais soigné fort boyard
01:02 quand j'avais pas triché, d'ailleurs.
01:04 C'était un jeu de mémoire et je t'avais battu, regardez.
01:06 - Ouais.
01:07 - Regarde.
01:08 - C'est le jeu décisif, là.
01:10 - C'est de là, là.
01:11 - Ils sont devant moi, là.
01:12 - Ouais, c'est horrible.
01:14 - Un rouge, deux verts, un bleu...
01:17 Oh, putain !
01:18 Oh, là, là !
01:19 Un rouge.
01:20 - Je peux pas gagner, j'ai pas de verts.
01:22 Stop ! J'ai pas de verts.
01:23 - Mais j'en ai rien à foutre, maintenant.
01:25 Tu nous fais chier, mais y a pas de verts.
01:27 Mais il est daltonien, le mec.
01:28 Il est carmale, celui-là.
01:29 On joue avec un daltonien.
01:30 - Mais j'ai arrêté le cinéma pour ça, moi.
01:32 - Mais tu nous emmerdes.
01:33 - Comment ça serait Brad Pitt ?
01:34 - C'est terminé.
01:35 (acclamations)
01:37 Pas d'attente.
01:38 (acclamations)
01:41 - Incroyable !
01:42 - On peut voir.
01:43 Alors allons-y.
01:44 Rouge, rouge, rouge, jaune, jaune.
01:46 - Non, mais toi, là...
01:47 - Bleu, bleu.
01:48 - Quelle mémoire, hein ?
01:50 - Rouge.
01:51 - Quelle mémoire étonnante.
01:52 - Bah oui.
01:53 Et jaune.
01:54 (acclamations)
01:58 On va faire fourir depuis ce matin
02:00 avec les équipes, avec cette dark art.
02:02 (rires)
02:04 (acclamations)
02:07 C'est extraordinaire, cette dark art !
02:10 (acclamations)
02:11 - Les chéris, les chéris,
02:14 bien entendu, il y aura d'autres triches l'année prochaine.
02:17 Valérie Benahim.
02:18 - Alors, moi, j'ai deux adjectifs.
02:20 Incontournable et exaltante.
02:22 - Vous pouvez faire des phrases.
02:23 - Ah bah écoute, incontournable,
02:24 parce que je trouve que c'est une émission...
02:26 - Je ne sais même pas ce que c'est un adjectif.
02:27 Je pense que c'est un apéritif.
02:28 - Je pense que TPMP est devenue une émission incontournable
02:31 parce qu'elle a su évoluer avec son temps
02:33 et elle a su muer et muter.
02:35 - Ah, c'est vrai ?
02:36 - Et parce qu'effectivement,
02:37 dès qu'il y avait une actualité,
02:38 dès qu'il y avait quelque chose
02:39 qui se passait dans la société française,
02:41 le soir même, on retrouvait les acteurs
02:42 de cette actualité dans l'émission.
02:44 - Qui fait tomber ces choses, là ?
02:46 C'est mon fils ?
02:47 Ça va, c'est bon.
02:48 (Rires)
02:50 Non mais c'est vrai.
02:52 J'ai failli gueuler à la fin.
02:54 Non mais c'est bon.
02:55 Après, j'ai vu que c'était mon fils,
02:56 j'ai dit laisse tomber.
02:57 C'est mon fils, c'est bon.
02:58 Il a raison.
02:59 Si il a fait tomber, c'est que ça devait être par terre.
03:01 - Et exaltante parce que, de fait, ça en découle.
03:03 À partir du moment où c'est là où ça se passe,
03:05 pour nous, c'est exaltant parce qu'il faut être bon,
03:07 il faut être là, il faut être présent.
03:08 Et donc, voilà.
03:09 - Alors, vous avez été exprès.
03:11 - Non mais moi, par rapport au fourrir de tous les camarades,
03:13 c'est lié à quoi ?
03:14 C'est lié au fait qu'on fait des imitations,
03:16 que vous faites des imitations.
03:17 Ça part de là.
03:18 C'est parce que s'il n'y a pas d'imitation,
03:19 il n'y a pas de début de fourrure.
03:20 Et donc, moi, c'est toutes les imitations
03:22 de tous nos personnages.
03:23 - J'explique Myriam Palomba.
03:24 - Myriam.
03:25 - Michel Marie.
03:26 - Je parle de toi parce qu'avec ta petite voix,
03:30 tes petites manies, oh, Michel Marie !
03:33 Merci, regardez.
03:34 Donc, l'individu va être placé, ce qu'on appelle,
03:37 en garde à vue.
03:39 En IJV, ce qui veut dire, en garde à vue,
03:41 c'est donc qu'il va être gardé à vue
03:43 par une tierce personne,
03:44 donc qui va le garder sous surveillance oculaire.
03:47 Demain, il sera donc avec les copains du Spiv.
03:50 - Il est 8h30.
03:55 Joy arrive dénudée dans un bar.
03:59 Le bar s'appelle le Choupa-Choup.
04:05 - Mais du coup, on joue ou pas ?
04:07 - Attends.
04:08 - On va voir.
04:09 - Visiblement, les individus se seraient introduits
04:13 avec un camion Ben dans le rectum de la perte.
04:17 - Myriam.
04:22 Myriam Palomba, elle est incroyable, Myriam Palomba.
04:29 Et même le DJ Spiv, il était très fort.
04:31 Je suis désolé, hein, DJ Spiv, très, très, très, très fort.
04:33 Jean-Michel, t'as choisi quoi ?
04:35 - Comme image ?
04:36 - Non, comme ça va ?
04:37 - Ah oui, ça va très bien.
04:38 Non, comme moi, je voulais dire,
04:39 on dit souvent qu'on reconnaît le bonheur au bruit
04:41 qu'il fait quand il s'en va.
04:42 Et le fait de mettre Léo Hagné un certain temps du plateau
04:45 fait encore plus prendre conscience du kiff
04:47 que c'était d'être autour de la table.
04:48 Et du coup, je suis très content d'être là.
04:50 - On est très contents, Jean-Michel.
04:52 Tu le mérites.
04:53 T'as fait une année incroyable.
04:55 - Une demi-année, mais...
04:56 - Oui, une demi-année, mais on l'a pas vue.
04:58 On a cru que t'allais faire une année.
04:59 Non, sérieux.
05:00 T'as plus parlé que des mecs qui ont fait toute l'année.
05:03 - Et comme image, j'ai choisi...
05:05 Comme TPP, c'est une famille, et on l'a...
05:07 - TPP, c'est une famille.
05:08 - TPP, c'est pas ici.
05:13 - TPP, c'est une famille.
05:15 Et voilà, et comme on l'a bien, son âge en famille,
05:18 moi, les moments que j'ai préférés,
05:20 c'est quand il y avait des doses qui sortaient entre chroniqueurs
05:22 et qu'on se balançait un peu des histoires dans la figure.
05:24 - Quand même, et toi ?
05:25 - Même quand j'étais un peu...
05:26 - Donc, c'est-à-dire que vous voulez refoutre la merde, en fait ?
05:28 - Non, parce que j'étais inconcerné, donc je foutais la merde de ça.
05:31 - Allez, on va le foutre.
05:33 - On a le cul propre que moi, ici.
05:34 - Personne.
05:35 (Rires)
05:37 - Pousse pas trop non plus, quand même.
05:38 Ne pousse pas trop.
05:39 - Vraiment, ne pousse pas, parce que j'ai des photos d'on m'a envoyé.
05:41 Des photos de toi.
05:42 Mais des photos de toi nu.
05:44 - Arrête !
05:45 - Je les ai là.
05:46 - Non, vas-y.
05:47 - A la plage, à la plage.
05:48 - A la plage.
05:49 - A la plage, en toile à cuir.
05:51 - Avec une table basse et des fauteuils en cuir.
05:54 (Rires)
05:56 - Avec une table basse et des fauteuils en cuir.
05:59 (Rires)
06:01 - Mon confort de l'époque.
06:02 - J'aime mon confort à la plage.
06:03 J'aborde ma peau de beau-fille.
06:04 - J'ai joué contre Dortmund, Télébataire.
06:06 - Non, mais c'est bon.
06:07 Il y a une émission à faire.
06:08 (Rires)
06:09 Il y a un truc à faire, là.
06:10 - C'est quoi, l'histoire ?
06:11 - J'ai des photos où il regarde un match.
06:13 - J'ai des trucs sur vous aussi, Cyril.
06:15 (Rires)
06:16 - Non, j'arrive.
06:17 - Si, j'ai des trucs aussi.
06:18 Vous le savez très bien.
06:19 - Il y a des photos où il y a le maigre derrière.
06:21 - N'oubliez pas de dire "c'est dommage, on s'aime bien".
06:24 (Rires)
06:25 "Ca serait dommage que ça se termine comme ça, c'est ridicule".
06:28 - Si vous voulez qu'on fasse un pété, on va tout faire péter.
06:30 - Moi, je ne souhaite pas.
06:31 - Ce soir, on va tout faire péter.
06:33 - Moi, je ne souhaite pas.
06:34 - On va faire un pété.
06:35 - Moi, je ne souhaite pas.
06:36 - Attends, on dit la vérité.
06:37 On n'a pas des conneries.
06:38 - Je note.
06:39 - Je note.
06:40 Moi, je n'en ai rien à foutre.
06:41 - Regardez.
06:42 - On le fait voir.
06:43 - Regardez.
06:44 Je pense qu'il va bien fermer votre gueule après.
06:46 (Rires)
06:52 - On fait son émission gentiment, comme tous les jours.
06:55 On oublie tout ça.
06:56 Ça n'aurait jamais dû avoir lieu.
06:58 (Rires)
07:00 (Applaudissements)
07:06 - C'est bon.
07:07 Hugo, nous vous rentrons.
07:09 - Oui.
07:10 - Ca va, mon chéri?
07:11 - Ca va super bien.
07:12 - Alors, tu es heureux?
07:13 - Oui, je suis très heureux.
07:14 Et moi, le mot qui me vient, c'est liberté.
07:17 C'est la liberté de s'exprimer, la liberté de dire, de penser, de débattre.
07:22 Parce que je trouve qu'autour de cette table,
07:24 à chaque fois, j'ai entendu beaucoup d'avis différents.
07:26 Parfois, je me suis senti convaincant.
07:28 Parfois, je me suis senti convaincu.
07:30 On m'a fait changer d'avis.
07:31 On m'a renforcé dans mes idées.
07:33 Et tout ça, je trouve que c'est, en fait,
07:34 la meilleure façon de faire évoluer la société.
07:36 Donc, voilà, pour tout ça, merci à tous.
07:38 - Bravo.
07:39 - J'ai passé un mois super avec vous.
07:41 (applaudissements)
07:46 - C'est extraordinaire ce qu'il a dit.
07:47 Mais moi, j'ai fait une vraie d'arcade parce que, en fait,
07:49 Gilles t'aurait rigolé parce qu'il y a Géraldine qui me regarde.
07:52 On est un peu les deux maîtres des musées.
07:53 Je lui fais "non, très bien, parfait".
07:55 - Nouvelle idée.
07:56 - Je dis la vraie.
07:57 - Très nouvelle idée.
07:58 - J'ai adoré.
07:59 Elle me regarde "très bien, parfait".
08:01 - C'est émouvant.
08:02 - C'est pas mal, ce qu'il a dit.
08:03 - C'est pas mal.
08:04 - Qu'est-ce que tu penses de l'image, mon bébé?
08:06 - Alors, l'image, c'est pas aussi émouvant, mais c'est particulièrement drôle.
08:09 En fait, c'est la séquence qui m'a fait personnellement le plus rire.
08:11 Et en fait, il n'a suffi que d'un mot pour me faire rire.
08:15 Je pense que le mieux, c'est de regarder les images.
08:17 Je vous laisse la surprise.
08:18 - Je sais, c'est Guillaume Danton avec Jordane Deluxe.
08:20 - Je crois bien que c'est ça.
08:21 (rires)
08:23 - T'as donné mon droit de faire les sextapes.
08:24 - Il a fait des sextapes.
08:26 - Il a fait des sextapes.
08:27 - J'ai une personnalité que j'ai reçue dans mon émission
08:31 qui m'a dit que Guillaume en avait fait une.
08:33 - Ah!
08:34 - Jamais de la vie.
08:36 - Tu sais qui c'est? Je ne dirais pas le nom.
08:37 - Lauréna? Pélissa?
08:39 - Non, mais bien sûr.
08:40 (rires)
08:42 - Guillaume, c'est vrai.
08:44 - Guillaume, tu sais.
08:46 - C'est qui? Dis-moi.
08:47 - Je ne vais pas donner le nom, sinon ça va partir en live.
08:50 - Ah, si, si.
08:51 - Voilà.
08:52 - C'est qui?
08:53 - C'est ta mère.
08:54 (rires)
08:56 (acclamations)
09:04 (acclamations)
09:15 - Bonne année de visite, abonnez-vous.
09:17 - Merci, j'en ai assez.
09:19 - On peut parler si t'as des trucs comme ça.
09:22 - Je ne peux plus, c'est dans le cadre.
09:24 - C'est démi-chaud et fort.
09:26 (acclamations)
09:28 - Ça représente parfaitement Guillaume.
09:31 - En fait, il est tel un félin, il patiente silencieusement.
09:34 Et clac, il attaque.
09:36 - C'est quel Darka, franchement.
09:37 - J'en ai de l'huile, faites-moi un petit bisou.
09:39 Tiens, j'en ai de l'huile.
09:40 - Un petit bisou.
09:41 - Il a voulu me sauter dans les bras tout à l'heure.
09:42 - Oui, j'ai vu.
09:43 - Abonnez-vous.
09:44 ♪ ♪ ♪ (applaudissements)
09:48 ♪ ♪ ♪
09:51 - C'est là?
09:52 ♪ ♪ ♪
09:56 (cris de joie)
09:59 - Un smack! Un smack!
10:01 - Suri, qu'est-ce qu'il fait?
10:04 - Qu'est-ce qu'on attend?
10:05 Je veux qu'on aille au smack.
10:06 - Un smack.
10:07 - Un smack!
10:08 - Un smack!
10:09 - Un smack!
10:10 - Un smack!
10:11 - Un smack!
10:12 - Un smack!
10:13 - Un smack!
10:15 - Allez!
10:16 (cris de joie)
10:18 (applaudissements)
10:21 - Euh... Guillaume?
10:23 (cris de joie)
10:26 - Déjà, ça me rappelle des souvenirs.
10:28 - Non, mais si je peux me permettre,
10:30 ta mère embrasse mieux.
10:31 (cris de joie)
10:34 - Vous laissez faire ça?
10:36 Vous laissez faire ça?
10:37 - C'est comme on l'embrasse, ta mère.
10:39 - Mais est-ce que tu peux t'excuser pour ma mère?
10:41 - M'excuses, Jordan.
10:42 - Non, mais pas moi!
10:43 - C'est pas moi, c'est ta maman.
10:44 - D'accord. Merci.
10:45 - Bonsoir.
10:46 (rires)
10:47 - Bonsoir.
10:48 - Bonsoir.
10:49 - Bonsoir.
10:50 (applaudissements)
10:51 - Ça va, Grigole?
10:52 - Oui, mais ça la fait pas rire!
10:54 - Non, mais ça va, on l'embrasse, Madame Deluxe.
10:56 - Ah, merci, maman.
10:57 - Madame Deluxe?
10:58 - Madame Deluxe?
10:59 - Quoi?
11:00 - Madame Deluxe.
11:01 - Elle a quoi?
11:02 - Elle s'appelle comment, Valentine, ta mère?
11:04 - Non, non, pas Valentine!
11:05 - Ah, pas de prénom, parce qu'après,
11:07 ça va encore partir en live.
11:08 Parce que lui, il est chaud comme une baraque à frites,
11:10 il va sortir des horreurs.
11:11 - C'est bon, il a son prénom.
11:12 - Ma maman s'appelle Louisette.
11:13 - Ah!
11:14 - Oui, c'est joli, c'est mignon.
11:15 - Ah oui, non. Par contre...
11:16 - Non, non, non, non, non, non, non, non, non!
11:18 Non! Non! Non, Cyril, on arrête!
11:20 Parce que moi, je n'en peux plus.
11:22 - Non, mais c'est vrai.
11:23 - Louisette, elle a...
11:24 - Parce que la dernière fois, il y a eu Jean-Marc.
11:26 - T'es le plus vieux de la famille.
11:27 - Hein?
11:28 - T'es le plus vieux de la famille.
11:30 - Mais non!
11:31 - T'es l'aîné, là.
11:32 - Mais quoi, Louisette?
11:33 (rires)
11:34 - Elle s'appelle comment, votre maman?
11:36 - Non, mais elle s'appelle Esther, mais c'est plus quand même...
11:38 - Oui, c'est vrai, c'est un peu plus...
11:39 - Louisette, t'es pas entendu ça depuis 10 ans, donc...
11:41 - Non!
11:42 - Il l'adore, mais ça va.
11:43 - C'est un joli prénom.
11:44 - C'est vrai, dans Louisette, c'est Louis ou féminin.
11:46 - Oui, exactement, oui.
11:47 Je sens le truc arriver, là, ça me fait peur.
11:49 Je vais partir, Cyril.
11:50 - Non, mais c'est vrai, Louisette.
11:52 - Oui, c'est très joli.
11:53 - Oui, ça va, oui.
11:54 - Qu'est-ce que ça veut dire?
11:55 - Ah bah rien, mais moi, je ne sais même pas pourquoi je suis là.
11:57 - Moi non plus.
11:58 (rires)
11:59 - On m'a dit "Viens", il y a 30 minutes, on m'a dit "Viens là".
12:01 Je suis venu, vous savez que je suis très fidèle.
12:03 - Je sais, mon chéri, carrément.
12:04 - Je voulais vous remercier d'ailleurs.
12:05 - Tu reviens l'année prochaine.
12:06 - Parce que... Ah, c'est bon?
12:07 - Mais non, pas ici.
12:08 - Ah, d'accord.
12:09 - C'est vite.
12:10 Tu sais, tu vas venir un peu avec nous.
12:12 - Ah, si vous voulez.
12:13 Oui, d'accord, OK.
12:14 Avec plaisir.
12:15 - J'ai décidé ça hier.
12:16 - Moi non plus.
12:17 - Bon, merci en tout cas.
12:18 (rires)
12:19 Merci à tous, en tout cas, de l'avoir passé des extraits,
12:21 de s'être allé chez Jordan, d'avoir parlé.
12:23 Merci beaucoup à Kelly, parce qu'elle est toujours très gentille
12:26 avec moi.
12:27 Ce n'est pas le cas de tous les chroniqueurs, mais franchement...
12:29 - Je veux dire, à Gilles Verdes.
12:31 - Voilà, exactement, à Gilles Verdes.
12:32 - Il y a un problème?
12:33 - Oui.
12:34 (rires)
12:35 Je crois, franchement.
12:36 (rires)
12:37 - Le bagarre, le bagarre!
12:39 - Il faut aller boire un verre à la buvette avec ses amis.
12:41 - Pas la buvette avec ses amis.
12:43 - Je pense qu'il faut que vous alliez boire un verre à la buvette
12:45 avec vos amis, ça vous fera du bien.
12:47 - Non, mes amis, mais qu'est-ce que tu me veux, toi?
12:49 - Mais non, mais même en coulisses...
12:50 - À faire tes interviews le matin, mon maire de Passe est la dernière
12:53 au bureau.
12:54 - Ça fait plaisir de faire du mal à une personne.
12:56 - Ah!
12:57 - Franchement, alors qu'en coulisses, vous êtes gentils.
12:59 - Mais t'es tout frais, tout gentil.
13:00 Je t'aime beaucoup.
13:01 - Oui, oui, c'est ça.
13:02 - Faites bon bisous.
13:03 Tiens, faites bon bisous.
13:04 - Allez, viens, viens.
13:05 - Un smack!
13:06 Un smack!
13:07 Un smack!
13:08 Un smack!
13:09 Un smack!
13:10 Un smack!
13:11 - Attends!
13:12 - Ouais, la même jeunesse!
13:13 - Un smack!
13:14 - Un smack!
13:15 - Un smack!
13:16 - Alors, je te laisse un petit app.
13:23 Pour toi, ça met en moins de...
13:24 - Un smack!
13:25 - Ah!
13:26 - J'aime bien Hugo Manos aussi.
13:29 - Ah!
13:30 - Hugo!
13:31 - Ah, Hugo!
13:32 - Un smack!
13:33 - Moi, je veux bien smacker que Jean-Mi, sinon personne d'autre.
13:36 - Mais pourquoi?
13:37 - Alors, il est à côté de moi aujourd'hui.
13:39 - J'ai rien fait, j'ai rien fait!
13:42 - Allez, allez!
13:43 - Oh!
13:44 - Oh!
13:45 - Vous avez fait un SMS de Laurent Ruquier.
13:48 - Je commence vraiment à aimer cette émission.
13:50 - Il vient de faire une balle de ouf, le joueur d'adrophée.
13:52 - Non, je vais pas la reprendre.
13:53 - Vas-y, vas-y.
13:54 - J'ai dit, vous avez un SMS de Laurent Ruquier.
13:56 - Toi, t'as un SMS de ta mère.
13:57 - Regarde, regarde.
13:58 - Qu'est-ce que...
13:59 (rires)
14:00 (applaudissements)
14:01 (rires)
14:02 - Donne-nous ça, ce que ça fait.
14:04 - Qu'est-ce que j'aime?
14:05 - C'est d'arca, putain.
14:06 - Dès qu'on commence à faire des smacks à ses voisins voisins...
14:09 - C'est vrai, c'est vrai.
14:10 Il a rien...
14:11 - Il a rien.
14:12 - Il a rien.
14:13 - Il a rien.
14:14 - Il a rien.
14:15 - Il a commencé, puis là, on passe à autre chose.
14:17 - Quand il fait un smack à sa fille.
14:19 - C'est pas passé loin.
14:20 - Alors franchement, ce busquet de smack...
14:22 - Monsieur Prat.
14:23 - Oh!
14:24 - Non, non, non, non, non.
14:25 - Il va oublier cette phrase.
14:26 - Le busquet de smack.
14:27 - Ah!
14:28 - Là, tu es Robert Redford.
14:29 - C'est le smack bar.
14:30 - Allez, allez, on y va.
14:31 On oublie ce que je viens de dire.
14:32 Euh...
14:33 - Un mot chéri.
14:34 - Les chéries...
14:35 - On en était où, chérie?
14:36 - On en était où, chérie?
14:37 - J'ai un manette, j'ai un manetteur à lancer, si vous voulez.
14:39 - Oui, c'est vrai, Kelly, attends.
14:40 Deux petites minutes.
14:41 - Ah, on était à Kelly.
14:42 - Mais c'est vrai que...
14:43 - Bah, smackez-vous, c'est bon.
14:44 - Oui, un petit smack.
14:45 - Oui.
14:46 - Allez, Raymond.
14:47 - La séquence, franchement, c'est rien.
14:48 - C'est le smack de l'amitié.
14:49 - En fait, en télévision, il faut jamais revenir en arrière.
14:51 - Exactement, bravo.
14:52 - En télévision, en radio, il faut...
14:53 - Oui, mais bon, on parle seulement de Cyril
14:55 comment fait la télé.
14:56 - Vous n'allez pas apprendre à Cyril comment fait la télé, quand même.
14:58 - Oui.
14:59 - C'est incroyable.
15:00 - C'est Camembert qui fait le renfort.
15:01 - C'est là que j'ai dit je smack mes voisines.
15:03 - Non, mais moi, je suis prise.
15:04 - Moi aussi.
15:05 - Moi aussi, je suis pris.
15:06 - Moi aussi.
15:07 - Tout le monde est pris.
15:08 - Tout le monde est pris.
15:09 - Jéradine est prise.
15:10 Sophie, franchement...
15:11 - Ah, j'ai pris.
15:12 - Sinon, Jéradine embrasse Sophie, comme ça, l'histoire se fait.
15:15 - Qu'est-ce que c'est que ce truc?
15:16 - Non, non, non, je veux dire...
15:17 - C'est des malades.
15:18 - Jéradine est prise.
15:19 - Jéradine est prise.
15:20 - Jéradine est prise.
15:21 - Jéradine est prise.
15:22 - Jéradine est prise.
15:23 - Jéradine est prise.
15:24 - Jéradine est prise.
15:25 - Jéradine est prise.
15:26 - Jéradine est prise.
15:27 - Sophie...
15:28 - Moi, je suis prise.
15:29 - Daniel Moreau est d'accord.
15:30 - Moi, je suis sa magie.
15:31 - Il a dit comme ça.
15:32 - Daniel Moreau est vraiment...
15:33 - Je suis sa magie.
15:34 - Oui, mais...
15:35 - Allez, je te...
15:36 - C'est trop loin.
15:37 - C'est trop loin.
15:38 - Non, mais non.
15:39 - Non, mais non.
15:40 - Non, mais non.
15:41 - Non, mais non.
15:42 - Bravo.
15:43 - Bravo.
15:44 - Bravo.
15:45 - Bravo.
15:46 - Bravo.
15:47 - Bravo.
15:48 - Bravo.
15:49 - Bravo.
15:50 - Bravo.
15:51 - Bravo.
15:52 - Bravo.
15:53 - Bravo.
15:54 - Bravo.
15:55 - Bravo.
15:56 - Bravo.
15:57 - Je suis sûr que tu n'as pas la...
15:58 En vacances avec moi, c'était...
15:59 - Il a sauté les frontières.
16:00 - Kelly, alors, c'est quoi, toi ?
16:01 Qu'est-ce que tu as passé, une belle année ?
16:02 - J'ai passé une super année.
16:03 Malgré une émission
16:04 qui devient de plus en plus sérieuse vers la fin,
16:05 parce qu'on est en train de faire
16:06 un film qui est très très bien,
16:07 et qui est très très bien,
16:08 et qui est très très bien,
16:09 malgré une émission
16:10 qui devient de plus en plus sérieuse vers la fin,
16:11 parce qu'on est à la pointe de l'actualité,
16:12 je trouve qu'on se marre toujours autant au début,
16:13 et c'est ça qui me plaît.
16:14 Parce que moi, si je suis encore là aujourd'hui,
16:15 c'est parce que je rigole tous les jours.
16:16 - Est-ce que tu es une amoureuse de la Darkar ?
16:17 - Je termine ma 6e année avec vous.
16:18 - C'est pas vrai, 6e année ?
16:19 - Ouais.
16:20 Je suis là à la rentrée.
16:21 Je suis très heureuse.
16:22 - Ouais !
16:23 - Ouais !
16:24 - À mon côté.
16:25 - Ouais.
16:26 - Je suis content.
16:27 - Mais j'ai validé, ça ?
16:28 - Ouais, vous l'avez dit hier.
16:29 - Ah oui, ça.
16:30 C'est bien.
16:31 Non, tous ceux qui sont là sont confirmés pour la rentrée.
16:32 - Ah !
16:33 - Forcément, bah oui,
16:34 j'allais pas aller remuer le coteau dans la pluie.
16:35 - Ah oui.
16:36 - Ah oui.
16:37 - C'est pas cool.
16:38 - C'est pas votre genre.
16:39 - C'est pas votre genre.
16:40 - C'est pas mon genre.
16:41 - Tu connais, l'empathie.
16:42 - L'empathie.
16:43 - Oui, Kelly.
16:44 Alors, et vous êtes contente ?
16:45 - Ouais, je suis très contente.
16:46 - Vous êtes contente de votre nouveau petit camarade ?
16:47 Parce que vous savez que Kelly,
16:48 Kelly, c'est un peu ma chouchoute.
16:49 - Oui.
16:50 - Et elle est très contente.
16:51 - Oui.
16:52 - Et à côté, il y a aussi un nouveau chouchou à moi.
16:53 - Ça match très bien.
16:54 - Donc, je suis content.
16:55 - Alors, ça match très bien.
16:56 - Ouais.
16:57 - J'aime beaucoup Hugo.
16:58 - Ouais, je l'adore.
16:59 - J'aime beaucoup aussi.
17:00 - Très sympathique.
17:01 - Ouais.
17:02 - Très bienveillante.
17:03 - Ouais.
17:04 - J'essaye.
17:05 - Et tu sais que c'est vraiment devenu un proche à moi.
17:06 Tellement proche, tout à l'heure, il m'a montré son slip.
17:07 - Non, tout à l'heure, on était dans la loge
17:08 et on s'est tous montré un peu...
17:09 - Non, non, non, je suis...
17:10 - On s'est tous montré un peu...
17:11 - Non, non, non, je suis...
17:32 - Et sans filtre, comme ça, je l'ai vu, bravo.
17:35 - Ouais.
17:36 - Oui.
17:37 - Bah, c'est tout.
17:38 Je suis très heureuse d'être ici.
17:39 Ah, juste un petit truc.
17:40 Est-ce qu'il y a la rentrée ?
17:41 - Non.
17:42 - C'est la question, tu vois pas ?
17:43 - C'est quand ?
17:44 - Un petit peu m'approcher.
17:45 - De où ?
17:46 - Malheureusement, non.
17:47 - Bah, si je peux être...
17:48 - Non, non, tu veux sauter là.
17:49 - Non, non.
17:50 - Pourquoi ? Pourquoi faire ?
17:51 - Bah, c'est dur, c'est loin, c'est agile.
17:52 - C'est dur, c'est dur.
17:53 - On est venu être à cette place depuis 6 ans.
17:54 - Ouais.
17:55 - Il faut plus s'imposer, plus parler fort, plus crier.
17:56 - Alors, je peux vous proposer un truc, sinon,
17:57 c'est que vous me mettez plus loin.
17:58 - Et vous ne nous voyez pas.
17:59 - Non, non, non.
18:00 - Et vous ne nous voyez pas, donc c'est dur.
18:01 - Non, non, non.
18:02 - Alors, je vous dis, j'ai dysthénie sur 2 yeux,
18:03 donc je vous vois très bien.
18:04 - Cette place, c'est difficile.
18:05 - Je vous vois très bien.
18:06 Je mets les...
18:07 Je mets ceux de fond...
18:08 Je mets les...
18:09 Franchement, je mets les physiques avantageux au fond.
18:10 - Ah !
18:11 - Merci.
18:12 - Merci.
18:13 - Enfin, surtout d'un côté.
18:14 - C'est vrai que Hugo et Kelly, côte à côte, ça claque.
18:15 - C'est ça, exactement.
18:16 - Le duo, c'est ça.
18:17 - C'est vrai que...
18:18 - C'est mieux que Cointreau.
18:19 - Et là...
18:20 - Reprenez-vous.
18:21 - Mais chérie, regardez, là, t'arrives là, t'arrives là,
18:22 t'es au paradis, t'arrives là, t'es en enfer.
18:23 - Le plateau tire à droite comme une bagnole.
18:24 - C'est vrai, c'est comme la direction d'une bagnole,
18:25 il tire à droite, le plateau.
18:26 - C'est un truc de fou, là.
18:27 - C'est un truc de fou.
18:28 - C'est un truc de fou.
18:29 - C'est un truc de fou.
18:30 - C'est un truc de fou.
18:31 - C'est un truc de fou.
18:32 - C'est un truc de fou.
18:33 - C'est un truc de fou.
18:34 - C'est un truc de fou.
18:35 - C'est un truc de fou.
18:49 - C'est un truc de fou.
18:50 - C'est un truc de fou.
18:51 - C'est un truc de fou.
18:52 - C'est un truc de fou.
18:53 - C'est un truc de fou.
18:54 - C'est un truc de fou.
18:55 - C'est un truc de fou.
18:56 - C'est un truc de fou.
18:57 - C'est un truc de fou.
18:58 - C'est un truc de fou.
18:59 - C'est un truc de fou.
19:00 - C'est un truc de fou.
19:01 - C'est un truc de fou.
19:02 - C'est un truc de fou.
19:03 - C'est un truc de fou.
19:04 - C'est un truc de fou.
19:05 - C'est un truc de fou.
19:06 - C'est un truc de fou.
19:07 - C'est un truc de fou.
19:08 - C'est un truc de fou.
19:09 - C'est un truc de fou.
19:10 - C'est un truc de fou.
19:11 - C'est un truc de fou.
19:12 - C'est un truc de fou.
19:13 - C'est un truc de fou.
19:14 - C'est un truc de fou.
19:15 - C'est un truc de fou.
19:16 - C'est un truc de fou.
19:17 - C'est un truc de fou.
19:18 - C'est un truc de fou.
19:19 - C'est un truc de fou.
19:20 - C'est un truc de fou.
19:21 - C'est un truc de fou.
19:22 - C'est un truc de fou.
19:23 - C'est un truc de fou.
19:25 - On voit que depuis quelques mois, voire quelques années, vous avez entamé un régime strict pour être au top physiquement.
19:31 - C'est pas vraiment un régime. C'est vrai que je m'entraîne beaucoup. Voilà. Mais voilà, j'ai pas de régime particulier.
19:37 - D'accord. Mais est-ce que vous vous interdisez des aliments ?
19:40 - L'apkeïla. Je m'interdis vraiment à l'apkeïla. J'en prends jamais. Et le chocolat.
19:45 - Oh putain ! Oh non !
19:48 - Qu'est-ce que j'avais dit ?
19:50 - Qu'est-ce que j'avais dit ?
19:52 - Oh putain !
19:54 - Oh putain !
19:56 - J'ai fait ça. J'ai fait ça.
19:58 - Sachez, je voudrais dire aux téléspectateurs qu'on a fait toute cette séquence juste pour ça. Applaudissement pour eux.
20:03 - C'est comme un tune.
20:05 - Affaçonnée.
20:07 - Sexy, raffinée.
20:09 - Comme dans les films aussi.
20:11 - On est d'accord. On est d'accord. On fait pas... Excusez-nous. Comme on a dit à la chasse.
20:15 - Merci. Qu'est-ce que j'aime ça.
20:19 - Et justement, on était étonnés, nous les filles, d'être derrière. Et en fait, vous avez mis les hommes devant pour pas qu'on soit trop tâchés.
20:24 - C'était élégant.
20:26 - C'est vrai que c'est une belle...
20:28 - L'élégance. - La qualité première.
20:30 - Non. Alors, je vais vous dire la vérité.
20:32 - Non. - Je le dis aux téléspectateurs.
20:34 - J'ai revu les images. Je pense que c'est l'année où j'ai été le plus beau gosse.
20:38 - Ah oui. - Et le plus modeste.
20:40 - Le plus modeste.
20:42 - Je rigole. C'est pour l'échauffer. J'adore l'échauffer.
20:45 - Par contre, on peut parler de votre styliste qui est exceptionnel.
20:47 - Ah oui. - Valentin.
20:49 - Qui n'est pas venu danser, d'ailleurs.
20:51 - Valentin, attention, hein. Attention, mon chéri. Il faut venir danser.
20:53 - Il y a Cathy aussi, qu'on adore. - Ah oui.
20:55 - Mimi. - Elle est maquilleuse.
20:57 - Maquilleuse, coiffeuse. Je vais les faire venir après.
20:59 - Mimi, Galie. - C'est la famille, ça. On va leur faire un petit bisou.
21:04 - Gilles Verdez, comment tu as appréhendé ton année ? T'as aimé ?
21:09 - Oui. J'ai un mot. Moi, c'est plaisir. - Plaisir.
21:11 - Plaisir de travailler avec vous, avec certains chroniqueurs et avec les équipes.
21:16 - Franchement, les équipes ont été extraordinaires. - Extraordinaires.
21:19 - Le matin, dès qu'on sait qu'on vient à la table, parce qu'on est prévenus en fin de matinée,
21:23 on bosse avec eux. Ils sont géniaux. - Oui, voire début d'après-midi.
21:25 - Voire début d'après-midi. On bosse avec les équipes et tout le monde est génial dans votre environnement.
21:31 C'est extraordinaire. Moi, ce qui m'a le plus plu, évidemment, c'est les débats.
21:34 - Bien sûr. - Et parmi ces débats, j'en ai retenu un
21:37 qui n'a pas été tout à fait au bout de la discussion, mais qui a été très mouvementé.
21:42 La question du débat, c'était "Faut-il interdire la corrida ?"
21:45 Et donc, au bout d'un moment, eh bien, le débat s'est fait avec Solveig, la militante,
21:51 qui est arrivée et qui a, en quelque sorte, illuminé le plateau.
21:54 C'est ce que j'ai choisi. - J'adore être ça, le gars.
21:57 - Ici, si peu aimés, il y aurait pas des millions d'amis qui viendraient,
22:02 des millions d'afficionados qui viendraient chaque année au Feria.
22:05 - Alors c'est Solveig. - Je vous présente mon épouse.
22:08 - Non, non, mais c'est Solveig, qui est là. Solveig. - Elle est où ?
22:11 - Elle fait une action. - La tête et la queue. La tête et la queue.
22:16 - Qu'est-ce que vous avez à dire à un matador en plateau ? C'est la première fois.
22:19 - Mais vous plaisantez, on ne dresse pas la parole à un meurtrier, c'est très dangereux.
22:23 On ne dialogue pas avec le danger. - Raymond, qu'est-ce que t'as à lui dire ?
22:26 - Non, mais c'est chiant, parce qu'on avait les protagonistes.
22:29 Moi, je suis contre la corrida. On a un toréro ici, on a un mec qui fait de la corrida.
22:32 - La corrida n'est pas un débat. - Arrête de parler pour rien, regarde.
22:34 - C'est une question de livre. - C'est Solveig.
22:36 - Vous voyez, les mecs, on ne va pas s'engouiller avec Solveig.
22:39 - Mais là, Solveig, tu délires, là. Non, non, non, non.
22:41 - C'est Solveig. - Mais on le fera malgré vous. On le fera malgré vous.
22:45 - Mais pas la démocratie, hein.
22:47 - Mais à qui tu parles, Solveig ? A qui tu parles ? Tu parles à qui ?
22:51 - Je parle à... Je parle à... Je parle à l'esclavagiste. Je parle à l'actaliste.
22:58 - Mais c'est qui, l'esclavagiste ? Arrête, ne nous mette pas à ça.
23:01 - C'est normalement aux gens, les pays libres, qui vont voir ton truc. Putain !
23:05 - Mais pas sur France 5, Solveig. On ne comprend rien de ce que tu dis.
23:09 - Mais tais-toi, on ne comprend pas ! Tais-toi ! Mais tais-toi !
23:13 (acclamations)
23:21 - Merci. Daniel Moron.
23:23 - Alors pour moi, ta PMP, ça a été une cure de jouvence.
23:25 Quand je suis arrivée ici, j'avais un pied dans la tombe.
23:27 Et grâce à vous, j'ai fait un grand pas en avant. Donc ça, je vous en remercie vraiment énormément.
23:31 - Quoi ? Ça veut dire que t'es dans la tombe ?
23:33 - Oui, pas en avant. Parce que si t'avais un pied dans la tombe, t'aurais fait un pas en avant.
23:36 - Non, mais vraiment, j'ai rajeuni à votre contact et je vous en remercie.
23:40 Et un seul mot pour résumer, c'est "émotion" parce qu'on a ri, on a pleuré, on a niqué, ou presque.
23:46 (rires)
23:48 Ou presque, ou presque. C'est ce "presque", évidemment, qui fait la différence.
23:51 - Pourquoi c'est elle qui pose problème, en fait ?
23:54 - Non, mais c'est pour introduire l'image. C'est qu'en fait, évidemment, il y a eu un événement People cette année.
23:58 La France retenait son souffle pour savoir ce qui s'est passé ce fameux 8 mars, après le match Bayern de Munich.
24:05 Et comme d'habitude, Myriam Palomba savait tout. Elle a tout raconté.
24:09 - Elle est incroyable. - C'était drôle.
24:11 - Qu'est-ce qui s'est passé ?
24:12 - À 21h13 à peu près, tous les chroniqueurs ont décidé de se rendre dans le domaine de Cyril Hanouna.
24:20 Cyril est détendu. Il croit vraiment à la victoire du PSG.
24:23 Les chroniqueurs aussi. Le match démarre et moi, selon mes informations,
24:27 et je vais utiliser le conditionnel parce que c'est des chroniqueurs anonymes qui m'ont apporté cette information,
24:33 visiblement, Daniel Moreau aurait sursuré à l'oreille de Cyril "ce soir, ton ballon va finir dans ma culotte".
24:42 Précisément, ce qui se passe, c'est que Cyril, là, il est un peu effrayé, on ne va pas se mentir.
24:48 Et puis, à la fin du match, là, c'est le drame. Daniel Moreau aurait demandé des relations sexuelles non conventionnelles à Cyril.
24:58 - Il a tout donné hier soir et il a marqué beaucoup plus de buts que le PSG, je peux vous le dire.
25:05 Le petit est en route !
25:07 - Guillaume Palomba, qu'on ne parle plus de lui.
25:15 - Salut !
25:17 - T'es à côté de moi, moi. - Je suis déjà à côté de toi.
25:23 - Guillaume Palomba. Franchement, elle était avec nous cette année aussi. Elle fait partie de la famille.
25:26 - Merci. - Et PMP m'a mis de l'amour.
25:28 Et chérie, tu m'en veux que je t'imite ?
25:31 - Des fois, ça m'énerve. - C'est vrai ?
25:33 - Parce que moi, en fait, j'aimerais bien t'imiter parce que toi aussi, t'as plein de types de langages.
25:36 T'es là, "ouais, ma chérie, je vous adore, c'est trop d'arcain".
25:41 Donc voilà, moi aussi, j'aimerais pouvoir le faire.
25:43 - Visiblement, elle aimerait m'imiter.
25:46 Non mais j'adore parce que Myriam Palomba, elle peut parler d'un truc vraiment ripoux,
25:51 mais elle est toujours à fond, Myriam. C'est ça que j'aime. C'est une professionnelle.
25:54 Visiblement, il aurait volé un stylo plume.
25:59 Non mais c'est incroyable.
26:01 - Non mais je viens toujours pour parler de trucs hyper drôles.
26:03 - C'est vrai. Pas comme Michel-Marie. - Oui, c'est vrai.
26:05 Et puis bon, des fois, c'est pas drôle, mais quand même, on rigole bien.
26:09 - Franchement, Myriam, je voulais qu'elle soit là ce soir parce qu'elle fait partie de la famille.
26:12 Elle va être avec nous l'année prochaine, bien entendu. Et on l'aime fort.
26:14 Merci, Mamie, évidemment. - Merci beaucoup.
26:16 - Merci, Myriam. Merci, chérie. Merci, chère.
26:18 Merci, mame et madame.
26:20 Sophie Coste, qui aime toutes les... Qui aime les belles choses.
26:25 - Oui, elle aime les beaux vêtements, les belles femmes, les beaux hommes.
26:30 - Et les beaux hommes, surtout. - C'est vrai.
26:32 - Oui, c'est sûr. Non, moi, ce que je retiendrai de cette année, c'est...
26:34 Bon, à chaque fois que je viens ici, c'est la récréation.
26:37 C'est-à-dire que, voilà, il y a des espèces de pourris comme ça.
26:39 Personne ne comprend rien parce qu'en fait, il y a des trucs en off qui se font.
26:42 Et en gros, voilà, il y a une espèce de connivence, quand même,
26:45 entre les chroniqueurs de bienveillance. Et il y a ce qui se passe en ce moment.
26:48 C'est-à-dire que dès qu'on balance un petit dos en loge ou en off, etc.,
26:54 c'est watch out, quoi. Il faut faire très, très attention à ce qu'on dit,
26:56 très, très attention à ce qu'on montre. Et surtout, il ne faut pas être susceptible.
26:59 - Non, c'est vrai. - Heureusement, je ne le suis pas.
27:01 Donc, tout se passe bien. Et ce que j'ai retenu...
27:03 - Ah, là, il ne faut pas, hein.
27:07 - Non, mais je me dis que si on l'est, il faut changer de crèmerie.
27:09 - Jean-Mi, tu penses qu'il devrait être susceptible ?
27:11 - Je n'espère pas parce qu'on a les cheveux à se faire.
27:14 - C'est sûr. - Les cheveux du bonheur, comme on dit.
27:17 - C'est vrai. - Dans le jargon.
27:19 - Ce que je retiendrai de cette... Qu'est-ce qu'il a dit ?
27:21 - Les cheveux du bonheur. - Les cheveux du bonheur.
27:23 Et ce que je retiendrai cette année, c'est l'indic de la rédac qui a quand même...
27:26 - Il va venir dans un instant. - Le problème, c'est que vous me chauffez
27:28 un peu entre les plateaux, en off. Donc, vous le faites un peu avec tout le monde.
27:33 Et moi, j'ai tendance à être assez spontanée.
27:35 - Elle oublie que là, il y a l'indic.
27:37 - Oui, mais c'est juste spontané. - C'est elle qu'on peut le plus piéger.
27:40 - Je suis naturelle et voilà, ça m'a fait marrer, en fait.
27:42 - La force. - Tu es susceptible ?
27:44 - Non. Heureusement. - Oui, je suis content.
27:46 - Non, mais vous imaginez la souffrance. - Après avoir vu ce que j'ai vu...
27:49 Ah, non.
27:51 - Vous avez retrouvé votre mec ce week-end ?
27:57 - Moi, je suis assez discrète quand même sur ma vie.
27:59 - Tu vas à Caine ce week-end ? - Bah oui, je vais au Caine, oui.
28:02 - C'est l'idée, oui. - C'est l'esprit.
28:03 - Moi, je suis assez discrète quand même sur ma vie.
28:05 - Ça me dégoûte. - Moi aussi.
28:07 Mais je me force. Je pense à autre chose, tu vois.
28:10 - Moi, je suis assez discrète quand même sur ma vie.
28:12 - Tu ne fais plus du tout l'amour, c'est tout ?
28:14 - Ça me dégoûte. - Oui, après, ça fait 5 jours
28:16 que j'ai pas qu'à l'amour. - Vous êtes tous les deux ?
28:18 - Oui, au Canada, oui. - Moi, je suis assez discrète quand même
28:20 sur ma vie. - C'est la quête directe, quand on va se retrouver.
28:22 - Ah ouais ? - Mon avère va chioter sur sa table
28:24 comme la misère sur le monde. - Non, c'est un peu...
28:26 - La merveilleuse belle-mère. - C'est comme... Tu vois un incarrière
28:28 au salon de la moquette ? Tu vois un peu ? C'est un peu ça, l'idée.
28:30 Moi, je suis assez discrète quand même sur ma vie.
28:33 - Merci, Sophie Koch.
28:36 Le 19h23, merci d'être avec nous. On est en direct.
28:39 C'est la dernière du 6 à 7 avec Babaï, de TPMP, bien sûr.
28:42 Dans un instant, Raymond, mon chéri, t'es heureux, toi ?
28:45 - Moi, je suis très heureux et je suis très fier de faire partie
28:48 de cette émission et tous les matins, quand je suis en livraison,
28:50 les gens me parlent dans la rue, je vois comment ils sont contents
28:53 de voir cette émission, c'est leur rendez-vous.
28:55 Ils disent tous "Allez, asseoir, asseoir" et qu'on mesure la chance
28:58 qu'on a de pouvoir débattre sur des faits d'actualité.
29:01 Il y a tellement de gens derrière leur télé qui voudraient aussi
29:03 donner leurs avis. Et tout ce qu'on a fait sur cette émission,
29:07 sur l'actualité, en fait, on a parlé de sujets en premier.
29:10 C'est pas cela raconté, c'est vrai. On a été sur des sujets
29:13 où personne ne voulait y aller et le lendemain, tu te dis
29:15 "Putain, comme par hasard, ils en parlent seulement maintenant."
29:18 Mais personne n'en a parlé pendant 2 semaines, pendant 3 semaines,
29:20 pendant même des fois 1 mois, personne n'en a parlé.
29:22 Donc je suis très fier de ça. Ça a été une saison très, très dure,
29:25 je pense, sur l'actualité, comme disait Kelly, vers la fin.
29:28 C'est très, très dur vers la fin. On en prend plein la gueule
29:30 avec des sujets qu'on ressort, on est vidé.
29:33 Mais tu tiens ça à la barque et tout, c'est très bien tenu,
29:36 les gens sont contents. Moi, franchement, je suis fier.
29:39 - Le retour du terrain. - C'est bien tenu.
29:42 - Le retour du terrain, c'est bien. - Les gens sont contents.
29:44 - Non, mais les gens sont super contents. Je te fais des vidéos
29:46 des fois le matin, je t'envoie des vidéos.
29:48 Alors peut-être que ça te casse les couilles, mais les gens...
29:50 Je vais continuer et les gens continuent à venir me parler,
29:53 comme vous voyez en livraison, continuent à venir me parler.
29:56 Ça me fait énormément plaisir et vraiment, on a une chance incroyable
29:59 d'être là et en plus, on est payés.
30:02 C'est vraiment incroyable, ça, tu vois.
30:04 - T'as choisi quoi comme image, mon gars ?
30:05 - Moi, j'ai choisi le jour où tu m'as demandé de faire le comédien.
30:07 - Ah, voilà ! - Quel d'arc-as.
30:10 - Regardez. - Je trouvais ça très drôle.
30:12 - Quel d'arc-as. - Voilà, exactement.
30:14 - Là, tu vas devoir dire "je ne pourrai pas être au tribunal à 14h30".
30:17 Donc là, tu vas dire "énervé". - Ah. - Eh ben !
30:19 - Écoutez-moi bien, M. Abbou.
30:21 Faudra que vous soyez au tribunal demain à 14h30.
30:23 - Je ne pourrai pas être là demain à 14h30.
30:25 - Mais où ça, bordel ? - Au tribunal !
30:27 - Bah, tu dis "au tribunal", bordel !
30:29 - Bah, vous le savez, parce que... - Putain, il a une phrase de texte,
30:31 on va chier, on va chier, Jean-Douc, on va en chier !
30:33 - C'est bon, je suis... - À ce rythme-là, on va combattre ton nom,
30:35 on est temps ! - Ça y est, j'ai compris.
30:36 - "Énervé", il a dit, hein. - Écoutez-moi bien.
30:39 - Je vous attends, que vous le vouliez ou non, à 14h30, demain, au tribunal.
30:42 - Je ne pourrai pas être là demain à 14h30, au tribunal !
30:45 (acclamations)
30:47 - Je l'ai même étonné. Alors, attends, je te redis la phrase.
30:50 M. Abbou, on vous attend demain à 14h30 au tribunal.
30:53 - Je ne pourrai pas être là demain à 14h30.
30:55 (rires)
30:57 - Oui, oui, oui !
30:59 - Là, tu l'as fait triste. T'es vraiment très triste.
31:01 M. Abbou, on vous attend demain au tribunal, à 14h30.
31:07 - Je ne pourrai pas être demain au tribunal à 14h30.
31:09 (rires)
31:11 - À demain. - Pourquoi pas demain ?
31:13 - Après-demain. (rires)
31:15 - Demain, je ne peux pas.
31:17 - Et tu peux me la faire menaçante. - Ah oui, mais ça, c'est ma vie.
31:19 - Vas-y. - C'est ma vie ! (rires)
31:21 - M. Abbou, nous vous attendons demain à 14h30.
31:28 - Je serai là à 14h30 au tribunal. - Non, mais j'ai pas dit où, connard !
31:31 (rires)
31:32 - J'ai pas dit où ! - On n'a rien à vous dire !
31:34 - Je viendrai, je vais venir, qu'est-ce qu'il y a ?
31:36 Tu crois que ça me fait peur, le tribunal ?
31:38 (rires)
31:40 (applaudissements)
31:42 - C'était extraordinaire, ça !
31:44 - Ça, je m'en rappelle plus, c'était formidable !
31:46 - C'était très bien. - J'ai pas dit où, connard !
31:48 - Extraordinaire, ça ! - J'ai pas dit où, connard !
31:50 - J'ai pas dit où, connard ! - Bah, Juju ?
31:52 - Il a raison, en fait, Raymond, on en prend plein la gueule.
31:54 En fait, moi, mon mot, c'est "feu d'artifice".
31:56 Parce qu'en fait, quand on fait cette émission, c'est un peu un feu d'artifice.
31:59 C'est-à-dire qu'on regarde un peu comme ça, on est à la fois spectateur et acteur.
32:02 Parfois, on a la boule grande ouverte, parfois, on est merveillé.
32:05 Parfois, ça s'accélère, parfois, ça ralentit.
32:08 Et il y a toujours, à la fin, un bouquet final.
32:10 Donc vraiment, pour moi, c'est ça qui caractérise cette émission.
32:12 Et je présente mes excuses à Guillaume, parce que c'est vrai qu'on a beaucoup ri cette année.
32:16 Et qu'il fallait pas.
32:18 Et je me souviens particulièrement d'un fou rire avec toi.
32:20 C'était avec Mister France. - Ah oui ?
32:22 - Et je dois dire que ça a été... Bah, on l'a beaucoup reproché.
32:24 Mais cela dit, ça fait aussi beaucoup de bien de rire quand il faut pas rire.
32:27 - Ça va, oui. - Et donc, voilà, c'est mon moment.
32:30 - Bien sûr. Regarde, ma chérie.
32:32 - Tu es heureux ? - Ouais, super.
32:34 - T'as l'air... Vraiment, t'as l'air content.
32:36 (Rires)
32:41 - Est-ce que tu te considères comme un beau gosse ?
32:46 - Bah, forcément, en partie, dans ce concours, je pensais pas que j'étais moche.
32:50 Mais c'est... (Rires)
32:54 - Non, ça commence à venir.
32:56 - C'est pas con, là. - C'est vrai.
32:58 - Tu te présentes pas à Mister France. Tu penses que t'es un lédron.
33:01 Et puis, samedi soir, t'as fait quoi, là ?
33:03 - Bah, là, j'ai participé à différents plateaux TV.
33:06 Donc, ce matin, je suis passé à France Bleu.
33:08 J'ai fait aussi des radios.
33:10 (Rires)
33:13 - Tu sors, Géraldine. - Non, non, non.
33:16 (Rires)
33:18 - Mais qu'elle bataille, là. - France Bleu, la gueule.
33:20 - Mais c'est génial. - Non, mais elle est tarée.
33:23 - Excuse-moi, elle est folle.
33:25 - On l'embrasse. C'était ça, l'amour.
33:28 (Applaudissements)
33:30 - On l'avait la connerie, le joueur.
33:32 - Il était très gentil. - Un amour de mec.
33:34 - On l'embrasse. - France Bleu, ah ouais !
33:36 - En fait, ce qu'il voulait faire... - Non, France Bleu.
33:38 - Ah ouais ! - C'est pour ça qu'il est parti.
33:40 - Ah ouais, quand même. Très bon choix. - C'est énorme.
33:42 - Bon, Guigui. - Moi, pareil, ce que je retiens, c'est fou rire.
33:44 Je trouve que, comme l'a dit Kéli, d'un côté, l'émission,
33:46 elle a jamais été autant au coeur de l'actu
33:48 avec des sujets très sérieux. On a même créé l'actu cette année.
33:50 C'est ça qui a été fou. Et d'un autre côté, je trouve qu'on s'est jamais autant marrés,
33:52 on a jamais autant ri avec vous, avec Géraldine, avec Kéli.
33:54 On se tape vraiment des barres à toutes les émissions.
33:56 Et moi, je me souviens, il y avait un mec de la brigade de défense des rats
33:58 qui était une fois... - Ah ouais !
34:00 - Et c'était un comédien. Et nous, on sait pas quand c'est des comédiens.
34:02 Donc moi, je me tapais vraiment une barre en premier degré sur le mec.
34:04 J'étais mort de rire. Et regarde.
34:06 - Quoi consiste votre métier, en fait ?
34:08 - Alors, la B2R, c'est la brigade des répressions de rats.
34:10 C'est-à-dire que...
34:12 - Non, mais sérieusement !
34:14 - T'as pas cru, hein ?
34:16 - Des gens se font réellement embêter par des rats.
34:18 Ils nous appellent. Et nous, on arrive et on les...
34:20 - Vous êtes des ratiseurs, en fait ? - Mais exactement.
34:22 - Ah, d'accord.
34:24 - Vous savez qu'ils souffrent ?
34:26 - Mais évidemment que je sais qu'ils souffrent.
34:28 Mais c'est parce qu'ils souffrent qu'ils font du mal.
34:30 67 % d'entre eux, ils appliquent le Bushido.
34:32 Est-ce que vous savez...
34:34 - C'est une blague ?
34:36 - Non, mais franchement,
34:38 y a des chiffres qui sont balancés.
34:40 - C'est des vrais chiffres.
34:42 - Ils sont naturels. Veillez, tu y es.
34:44 - Madame, vous pouvez essayer d'écouter ?
34:46 - Le Bushido, c'est...
34:48 Ca va faire sourire, mais c'est un art martial
34:50 qui est très connu.
34:52 - C'est connu chez les rats ou...
34:54 - Ecoutez les scientifiques.
34:56 - Non, mais... - Les scientifiques, ça ?
34:58 - Non, mais c'est pas sérieux.
35:00 - Je suis d'accord.
35:02 - En Asie, ils font des combats.
35:04 Et je vais même pas dire le nom de cette race.
35:06 Ca s'appelle des punja.
35:08 En Asie, ils font des combats.
35:10 - Faut que je vous laisse faire peur.
35:12 - Est-ce que vous avez un... Ramenez un spécimen.
35:14 - Alors...
35:16 (Rires)
35:18 (Rires)
35:20 (Rires)
35:22 (Rires)
35:24 (Rires)
35:26 (Rires)
35:28 (Applaudissements)
35:32 - Ah, quelle rigolade.
35:34 Moi, le problème, c'est que je sais que c'est des comédiens.
35:36 A chaque fois, les équipes me disent,
35:38 "Cyril, putain, essaie de pas rigoler à chaque fois."
35:40 - C'est possible. - C'est insupportable.
35:42 Je n'y arriverai jamais. Je n'y arriverai jamais.
35:44 Je n'y arriverai jamais.
35:46 [Musique]

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