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Transcription
00:00 Salut, je suis JC Pluriel, je suis dans Pou-den-den-pou-den-den-pou sur l'infodrome.
00:06 Un cœur à prendre.
00:19 Célibataire alors?
00:21 Ouais, malheureusement, célibataire.
00:25 Dans la petite vallée, tout le monde est parti.
00:28 Tout le monde est parti, même ma femme est partie.
00:30 C'est aussi ça la vie.
00:33 Et c'est aussi l'expérience des hommes.
00:35 D'accord.
00:37 Donc, c'est ça.
00:39 Tu peux moi tirer un joker?
00:46 Il n'y a pas.
00:48 Parce que là, c'est la politique.
00:50 Et moi, je suis un artisti, un rassembleur.
00:52 J'aurais bien voulu ne pas me prononcer.
00:54 Je suis vraiment la politique.
00:55 C'est une réponse qui m'accrue beaucoup de choses.
00:58 Bon, on te prend un joker.
01:00 Un joker, merci beaucoup.
01:02 Merci.
01:02 Sinon, j'aime les deux.
01:04 Voilà, j'aime les deux.
01:06 Papa Koudou, vous connaissez, on a fait le zouk.
01:08 Boulang Pika aussi, c'est sous son règne que je connais le succès.
01:12 Vous comprenez que je ne suis que le petit petit picarier, petit petit fils.
01:16 Moi, je n'ai plus qu'à ouvrir mon cœur pour tous les Ivoiriens.
01:18 Artiste, chanteur.
01:25 Artiste, chanteur.
01:26 Je suis artiste.
01:27 Dans le sang, je suis artiste, diplômé artiste.
01:31 Donc, l'autre côté, et même l'autre côté encore, c'était pour servir la police dans l'orchestre de l'harmonie.
01:38 Pour préciser, dans l'armée, il y a les infirmiers, il y a mécaniciens, il y a informaticiens, il y a tout le corps de métier.
01:47 Même ce que vous faites, il y a journaliste dans la police.
01:49 Donc, moi, j'y suis parti pour la musique de la police.
01:53 Donc, on n'était ni dans le commissariat, ni sur la route, nulle part.
01:57 On appelle ça une section spécialisée.
01:59 Donc, voilà un peu.
02:01 Donc, artiste, chanteur.
02:02 De même étant là-bas, c'est dans le domaine musical.
02:04 Ange, oh là là.
02:08 Quand vous entendez mes chansons, vous savez que dans ce cœur-là, il y a de bonnes choses.
02:12 Donc, ma beauté, là, ce n'est pas physique.
02:14 Je n'ai aucune beauté pour tirer vos regards, mais regardez l'intérieur.
02:18 Destin.
02:23 Pourquoi?
02:24 Destin, parce que regardez ma vie, même là, ça ressemble à une destinée très glorieuse.
02:30 Voilà, et donc, en vérité, tout le monde porte un destin.
02:34 Le destin, on ne laisse pas à la maison pour sortir, comme le serpent.
02:36 Le serpent ne laisse pas son venin à la maison pour sortir.
02:38 Il a son venin.
02:39 Dès qu'il y a un danger, il présente.
02:41 Donc, tout le monde porte le destin en lui.
02:43 Le destin, c'est comme une conception, c'est comme une grossesse.
02:45 Donc, on le porte.
02:46 Et c'est au fur et à mesure que tu rencontres les personnes, que ton destin s'aiguise et se réalise.
02:51 Donc, je suis un homme de destin.
02:52 Là, je suis un héros d'honneur.
02:53 Ce n'est pas un hasard.
02:54 C'est vraiment le destin qui me conduit ici, parce que c'est une très grande chaîne, une puissante chaîne.
02:59 Donc, pour être ici, c'est parce qu'il y a une destinée qui me permet d'être ici, de me faire entendre.
03:03 Donc, destin.
03:04 Je ne suis pas football, mais Zidane, c'est le grand patron.
03:09 Vérité.
03:12 Alors, j'y sais plus rien.
03:13 Est-ce que tu as déjà eu la diarrhée lors d'une prestation?
03:17 Mal de ventre.
03:24 Mal de ventre.
03:25 Mal de ventre.
03:27 Très, très, très, très, très cher.
03:29 Et ça, c'était un cerveau de la première danse.
03:31 Et le jour-là, j'étais en blanc.
03:33 Tout blanc.
03:34 Oui, je me rappelle tout de suite.
03:37 Je ne sais pas si les gens se sont rendus compte ou pas.
03:40 Mais, c'était bizarre.
03:43 C'était vraiment bizarre et très gênant.
03:45 En même temps, quand il y a une cérémonie, une fois que le moment est assis, personne ne bouge.
03:49 Personne ne bouge.
03:51 Et tu n'as pas le droit, le temps d'aller dire aux dix com' ou les balus que je suis allé au passager.
03:56 "Ah papa, il y a un problème."
03:57 Bon, et si là, il finit de parler et puis on dit "c'est toi".
03:59 Parce que tout est millimétrique.
04:01 Donc, j'étais obligé d'attendre.
04:03 Donc, les gars imaginaient, ici, là.
04:05 Kafouké était là, tout le monde est là.
04:07 Mais si il est assis là, il ne s'est pas tranquille.
04:09 C'est vraiment indescriptible et c'était très vilain.
04:14 Et vu que j'étais en blanc, en fait, c'était un truc de djinn.
04:17 Bon, on pourrait dire...
04:18 Mais en blanc, donc, ça serait visible.
04:21 On m'a annoncé, j'ai joué.
04:24 Je ne sais pas si les gens ont remarqué.
04:27 Tu n'étais pas serré.
04:28 Non, non, non, du tout.
04:29 Du tout.
04:29 Il fallait vite finir, rapidement.
04:31 Il nous s'est cassé.
04:33 Et là encore, c'était un vilain.
04:34 C'est plus, c'est dans quel village.
04:36 Tu ne connais pas les gens.
04:37 Donc, il fallait aller démonner à quelqu'un.
04:39 Où est-ce qu'on peut trouver un endroit pour me soulager?
04:41 Donc, imaginez.
04:43 Non, je vous laisse dans le suite.
04:45 Mais vraiment, ça a été difficile.
04:47 Sincèrement, c'est des situations qui arrivent.
04:49 C'était très difficile.
04:51 [Générique de fin]

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