Adil Rami évoque sa première rupture avec Léna Guillou

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Transcription
00:00 Je pense que toutes les femmes du monde demandent énormément d'attention.
00:02 Je ne suis pas un expert pour ça, donc je me fais gronder comme tous les hommes.
00:05 Je me fais gronder parce qu'on ne sait jamais assez.
00:08 Avec Léna, on a commencé il y a un an et demi, un peu plus d'un an et demi.
00:18 Pour être un couple, ce n'est pas si facile de trouver une chaussure à son pied.
00:21 Il y a toujours des hauts et des bas.
00:23 Et c'est vrai qu'il y a des moments compliqués, mais il y a des moments de très bons moments avec Léna.
00:28 C'est quelqu'un de bien.
00:30 C'est juste que c'est compliqué en étant à distance.
00:34 Moi, focus avec le foot, elle avec son métier d'influenceuse.
00:37 Ce n'était pas tout le temps facile de pouvoir se comprendre et s'adapter.
00:40 Puis après, on a discuté et on s'est dit que chacun de notre côté,
00:43 on devait être focus sur notre travail.
00:45 Et puis de temps en temps, donner à manger aux médias.
00:49 Mais en tout cas, moi, ce n'est pas ma priorité de me montrer en couple dans les médias
00:53 parce que je n'ai pas envie qu'on parle de moi, qu'on parle de mon couple plus que de mon sport.
00:58 Pour moi, c'était différent, mais c'est quelque chose que je devais respecter et à laquelle je devais m'adapter.
01:02 Je pense que là, on est en train de trouver le bon compromis.
01:04 En fait, on s'est tous les deux freinés parce que moi, la télé-réalité,
01:08 c'est quelque chose que je regarde, que je regardais et qu'aujourd'hui, je ne peux plus regarder.
01:12 Pour être honnête, je connais beaucoup de monde de la télé-réalité.
01:14 Et Léna, pareil, c'est quelque chose qui l'a freiné parce que footballeur, ce n'est pas non plus facile.
01:18 Bon, énormément de personnes nous jugent, je peux comprendre.
01:20 Mais voilà, tous les deux, chacun de notre côté, on avait des idées un petit peu diverses,
01:25 des idées sur notre travail respectif.
01:27 Mais bon, c'est comme ça, on ne choisit pas.
01:28 C'était compliqué, surtout que Troyes, ce n'est pas une ville où il y a beaucoup de choses à faire.
01:32 En sachant que moi, je suis quand même très casanier, je suis un peu geek.
01:35 Et Léna, c'est quelqu'un qui a besoin justement d'avoir du contenu, de bouger, de montrer des choses.
01:40 À Troyes, ça marche une semaine.
01:43 Après, tu as fait le tour, donc je peux comprendre.
01:45 Et c'était là où c'était compliqué.
01:46 Mais voilà, maintenant, elle est à Nice, dans son nouvel appartement.
01:50 Moi, je suis à la recherche d'un appartement à Paris.
01:52 Le quartier, je ne sais pas, mais je pense que ce n'est pas loin d'ici.
01:54 J'aime bien le 17e, j'aime beaucoup le 17e.
01:56 Comme ça, ça me permet d'être proche des enfants et de pouvoir travailler sur mes futurs projets.
02:01 Paris, c'est la capitale, capitale de tout.
02:03 Même pour moi, c'est important.
02:04 Et voilà, ce qu'on fait, c'est qu'on progresse petit à petit.
02:07 Et pour le moment, ça va.
02:08 C'est compliqué parce que moi, j'essaye de l'aider par ma présence.
02:17 J'essaye d'être proche d'elle.
02:18 Je ne suis pas l'homme parfait non plus.
02:20 Je suis souvent dans ma bulle.
02:20 Et la femme, je pense que toutes les femmes du monde demandent énormément d'attention.
02:24 Je ne suis pas un expert pour ça.
02:26 Donc, je me fais gronder comme tous les hommes.
02:28 Je me fais gronder parce qu'on ne sait jamais assez.
02:30 Et parfois, ça crée des conflits.
02:31 Mais c'est vrai qu'elle passe une période assez compliquée.
02:34 Mais même à travers cette période compliquée, ce qui est bien, c'est qu'elle ne mouille personne.
02:37 Moi, je suis différent.
02:38 Je suis beaucoup plus impulsif.
02:39 Quand on me fait du mal, je n'hésite pas à pointer du doigt.
02:42 Elle, on lui fait du mal, mais elle continue à respecter.
02:45 Elle dit juste aux gens qu'elle n'est pas très bien en ce moment, mais elle ne dit pas pourquoi.
02:48 Elle ne dit pas qui est la personne qui lui fait du mal.
02:49 Je trouve ça respectable, mais ça va passer.
02:51 Ce n'est pas ça que je lui dis.
02:52 Je lui dis, à ce moment-là, il faut les accepter.
02:54 Juste avec le temps de ne pas refaire les mêmes erreurs.
02:55 Donc, sois smart.
02:56 Et voilà, j'essaie de la conseiller comme moi, je fais pour avancer.
03:00 [Musique]

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