Le 7 minutes du 27 juin 2023 (édition du 19h)
7info est la première chaîne d'information en continu en Côte d'Ivoire. Retrouvez ici en replay nos programmes et restez informés en temps réel en vous abonnant à nos différentes plateformes :
Site web : https://www.7info.ci
YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCYHo...
Dailymotion : https://www.dailymotion.com/7info
Facebook : https://www.facebook.com/7infoci/
Twitter : https://twitter.com/7info_ci
#7INFO #VUDECOTEDIVOIRE
Site web : https://www.7info.ci
YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCYHo...
Dailymotion : https://www.dailymotion.com/7info
Facebook : https://www.facebook.com/7infoci/
Twitter : https://twitter.com/7info_ci
#7INFO #VUDECOTEDIVOIRE
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 [Musique]
00:15 Bienvenue dans cette édition spéciale Tabaski, les voyageurs ont pris d'assaut les gares routières.
00:22 Pas d'affluence dans les ateliers de couture, nos équipes y ont fait un tour et le transport du bétail vers les domiciles.
00:29 Comment est-ce que ça s'est passé ?
00:31 [Musique]
00:33 Il est 10h, nous sommes à Hadjam et Renaul, Ulrich se dépêche pour se procurer son billet de départ pour le Ghana.
00:39 Je suis venu naturellement à la compagnie, comme vous avez pu le voir, j'ai demandé le ticket pour le Ghana, c'est pas assez cher.
00:45 Puis j'avais les documents qu'ils avaient demandé, à savoir une pièce d'identité, en l'occurrence moi j'avais mon passeport, et puis le carnet de vaccination à jour.
00:55 Hommes, femmes et enfants au milieu de leur bagage bien scellé attendent l'heure d'embarquement.
01:00 Pour la fête de Tabaski, tout le monde est impatient de retrouver les l'heure.
01:04 Les gens sont motivés à voyager parce que ça fait trois ans et demi, fermeture de frontières c'est pas évident pour tout le monde.
01:10 Les gens ont des obligations familiales de l'autre côté de la frontière, donc c'est les allers et tout.
01:15 Depuis que la frontière est ouverte, les gens y vont massivement, surtout dans cette période de fête de Tabaski, c'est deux ou trois fois plus de monde que d'habitude.
01:25 Fermées à cause de la pandémie, les frontières terrestres sont désormais ouvertes depuis bientôt quatre mois, ce qui représente un soulagement pour les compagnies de transport international.
01:35 Nous avons été les premières victimes de la COVID, même si nous ne sommes pas tombés malades, mais économiquement nos entreprises ont été malades.
01:45 Depuis la fermeture des frontières, ce qui sous-entend que la ferme et l'arrêt de nos activités parce que nous desservons le Ghana, le Togo et le Bénin.
01:56 Vivement que les tracasseries décriées par les transporteurs puissent trouver une solution.
02:04 Toujours dans l'ambiance de la Tabaski, dans les ateliers de couture, ce n'est pas l'affluence des grands jours.
02:09 Dans celui de Cheikh Diorhane, dans la commune de Trècheville, il n'y a pas de monde, contrairement aux années précédentes.
02:15 Par rapport à l'année dernière, en tout cas, l'année dernière, on a travaillé mieux que cette année.
02:20 Cette année, je ne sais pas ce qui se passe, mais on sent une petite crise quand même.
02:25 Par rapport aux années dernières, cette année, ça a beaucoup relâché et beaucoup lentu.
02:34 D'habitude, on voit plus de clients, on travaille 24 heures sur 24, on travaille jusqu'à 2 heures du matin, 3 heures, mais cette fois-ci, on travaille peut-être 22 heures.
02:43 22 heures 30, on descend et puis matin, plus tard, 9h30, 10h, on est là.
02:47 Même son de cloche chez Dialo Alassane, dans la même commune.
02:51 L'année de 2023 est marquée par la cherté de la vie et ses conséquences.
02:55 Le couturier reconnaît que ses ventes ont diminué, mais cela ne l'empêche pas d'être satisfait de ce qu'il a gagné.
03:01 L'année dernière, même période, c'était un peu effluent, l'engouement était élevé plus que cette année.
03:10 Voilà.
03:12 Maintenant, on ne sait pas ce dire, parce que le temps est un peu dur.
03:16 Mais par la grâce de Dieu, on a eu ce qu'on devait avoir. Par la grâce de Dieu, ce n'est pas petit.
03:23 Les rares clients présents n'ont pas voulu se faire compter la fête de l'Eid el-Kébir.
03:27 Comme ici, Madjouma est venue récupérer son vêtement de la fête.
03:31 C'est une couture, c'est une tradition.
03:33 C'est très important pour mes parents.
03:35 On les accompagne, on les soutient en portant le basin, et puis, en tout cas, par le mouton, après.
03:41 Il faut rappeler que la tabaski est célébrée le 28 juin 2023 en Côte d'Ivoire.
03:46 Et pour finir, comme tout bon fidèle musulman, l'achat du mouton pour la tabaski constitue un sacrifice financier important.
03:55 C'est le cas de Koné Noutier, chauffeur de taxi exerçant dans la commune de Portbouy,
04:00 qui a préféré faire transporter ses bêtes par une moto tricycle, un engin à trois roues, pour éviter de payer plus cher.
04:06 C'est par rapport à la tour des bachets. Les bachets, ça peut nous coûter ici à Djoufou.
04:11 Moi, ils m'ont mis précisément à Djoufou.
04:13 Ici, à Djoufou, ça peut nous coûter 10 000 francs.
04:15 Parce qu'on rentre dans le quartier, avec la tricycle, au masse, 3 000, ça peut aller.
04:23 J'ai vu un quartier comme ça chez moi à domicile.
04:27 Moi, je me reçais à 3 500.
04:30 Quant au chauffeur de tricycle, il trouve que le prix fixé est abordable, car il s'en sort parfaitement en cette période de fête.
04:37 13 villes comme ça, 7 000. À Kumasi, 5 000.
04:41 Ça, c'est deux fois.
04:44 Ça, c'est deux fois.
04:46 Premier, Kumasi, Grand Mosquée.
04:51 Moi, je suis venu, ça, je suis parti, 13 villes.
04:54 Pour rappel, la Tabaski est un moment de piété, mais aussi un moment festif, de retrouvailles autour d'un plat de mouton.
05:00 C'est la fin de cette édition. Merci de l'avoir suivie.
05:03 Bonne suite de programme sur cette info.
05:05 Bonne fête de Tabaski à tous les musulmans de Côte d'Ivoire.
05:08 (Générique)