Regardez Pascal Praud qui a dit au revoir aujourd'hui aux auditeurs de RTL et à ses équipes : "La vie sera ailleurs"
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00:00 - C'est mieux quand même. - Là où je serai, je penserai à vous.
00:02 Je crois aux forces de l'esprit.
00:04 Eh bien merci. Merci effectivement.
00:07 Vous l'avez compris, je quittais Rtel. La vie sera ailleurs sans vous.
00:10 Je me souviens qu'en 2010, j'étais à ramasser à la petite cuillère.
00:13 L'expérience du SC Nantes avait tourné court. Plus de job, pas d'avenir.
00:17 Eh bien Christian m'avait repêché, non pas dans la Seine, mais dans la Loire.
00:21 Merci Christian. En 2014, Jacques a dit banco pour une minute chaque matin
00:26 afin que je puisse saluer le génie d'Adidal Goh ou rapporter ce qui me passait par la tête.
00:33 Merci, merci Jacques.
00:34 Durant trois ans, Yves a écouté poliment cette chronique qui m'éloignait des plus
00:38 sans jamais regarder ni sa montre ni son smartphone.
00:41 Parfois c'était pas mal, parfois c'était pas terrible.
00:43 Yves n'en a jamais rien laissé paraître. Merci, merci Yves.
00:47 En 2018, le trio Baldelli, Tavernau et Snoune a plus voulu que les auditeurs aient la parole.
00:53 Ils ont pensé à moi. Merci à eux.
00:55 Plus tard, Amandine a compris que j'avais des troubles de l'attention.
00:58 Elle a blindé les lancements. Merci Amandine.
01:01 Amandine est une bonne copine. Elle a donné le mode d'emploi à Céline.
01:05 Céline a fait comme Amandine. Merci Céline.
01:08 Je n'avais plus qu'à m'asseoir chaque jour entre 12h et 13h
01:10 et suivre le chemin que Céline avait balisé. Voilà, c'est fini.
01:15 Je pense à Eugène. Laurent ne fera plus de débrief.
01:18 Olivier cherchera toujours l'amour entre la Savoie et l'île de France.
01:21 Damien changera enfin sa playlist.
01:24 Rachel déconcentrera toujours la régime et Mézouzou sera un souvenir.
01:29 Je suis triste, triste comme un enfant ou ado quand arrivait la fin du mois d'août.
01:34 Les vacances étaient finies. Je quittais la plage, l'océan, les boules de bois et les ballons de volets.
01:39 On se disait au revoir avec la certitude qu'on ne se reverrait pas forcément.
01:43 Je n'oublie pas les Stéphanes, celui du mercredi en studio, celui du samedi dans ma cuisine.
01:49 Je n'oublie pas Monique, Bernard, Steven, Laurent, Tony. Je me suis laissé tenter.
01:52 Je n'oublie pas les duos avec Agnès, ni les solos avec Jean-Alphonse.
01:56 Je n'oublie personne le féminisme de Guillaume, la pédagogie de Martial, la rigueur de Thomas.
02:02 On sait bien qu'il est difficile de se faire des amis passé un certain âge.
02:05 En revanche, il y a un sentiment qui remplace l'amitié dans la vie professionnelle.
02:10 Appelons ça l'estime. J'ai aimé ces instants de complicité avec la rédaction à la ville comme à l'antenne.
02:16 Vous allez me manquer. Brice, qui porte si bien son nom.
02:18 Louis, Peggy, Claire, Valérie, Marie, tous les Olivier, tous les Philippe, tous les Nicolas, toutes les Isabelle.
02:24 Sophie 1 et Sophie 2, Bénédicte, Marie-Bénédicte, Jean-Michel, Ludovic, William, Néryssa, Maxime, Cyprien.
02:32 Mais aussi ceux qui travaillent pour RTL à des kilomètres de Paris.
02:36 Dimitri et Samuel, les Patrick de Toulouse, Philippe et Denis, Étienne et Hugo, Mathieu et Philippe,
02:40 Franck et Antoine, sans oublier deux historiques, Christian et Frédéric.
02:45 Et notre cousin des Amériques, Lionel, Julie, Nathan, Marion, Alexandre, Valentin, Mohamed, Christophe, Anaïs, Tony, Hortense, Gautier, Morade, Guillaume, Gérôme, Marina, Pierre, Cindy, Agathe, Tom, Anne, Alice.
02:58 Je n'oublie pas non plus ceux qui encadrent. Depuis 1988, je suis dans les rédactions et Franck est un bonheur.
03:05 Merci à Olivier, merci à Pierrick, merci à Arnaud, bien sûr, qui, tout en harmonie cette saison, m'a facilité le travail.
03:13 Et merci enfin à Régis. Je ne me dirai pas nos conversations ni ses baskets qui dévoilent une jeunesse de tous les instants.
03:19 Que dire de plus ? Merci, je vous aime et à plus !
03:23 (Applaudissements)
03:35 Alors Eric Brunet, vous allez être parfait ! Bonjour Eric Brunet, vous êtes en Corse.
03:42 Vous savez que l'émission sera à Paris l'année prochaine. Vous êtes au courant, on viendra rentrer.
03:52 C'était tellement émouvant de vous écouter Pascal, c'était tellement émouvant et je suis tellement flatté, flatté, flatté de vous succéder pour ce rendez-vous que je ne connais rien.
04:04 Je le connais comme auditeur, moi. Je suis un auditeur à la parole. J'en suis un.
04:10 Les auditeurs sont là tout l'été. Vous êtes une belle et grande voix d'RTL, évidemment, Eric.
04:15 Et puis, il se trouve que par le plus grand des hasards, on se connaît depuis très longtemps, parce que lorsqu'on avait 15-16 ans ensemble,
04:20 on était du côté de la place Aristide-Briand à Nantes, du côté de la place du Commerce également.
04:25 Et nous nous croisions dans ces cafés. L'un s'appelait le Molière, l'autre s'appelait le Palatium. Merci Eric, vous serez parfait !
04:32 Voilà. Merci beaucoup Pascal. Et encore une fois, je suis très ému et très touché.
04:39 Eh bien, on vous attend de pieds fers. Je vois que Greg Caranoni est là également.
04:44 Et donc, on peut l'applaudir Greg, parce qu'il est venu. Et c'était lui qui avait commencé à la réalisation, évidemment, d'Amiens.
04:53 J'espère n'avoir oublié personne. Il est 14h28. Ça me fait plaisir de vous croiser tous, vraiment.
04:59 Et puis, on va aller boire un verre maintenant. Et nous nous reverrons surtout un jour ou l'autre, parce que c'est joyeux, finalement.
05:06 La publicité d'Aventrente ? Malheureusement, Pascal. Donc, c'est fini ? Ça y est. Donc, Gérald Faust-Richard ? Tout à fait.
05:20 C'est l'heure du crime. Merci, vraiment merci. Merci à tous les auditeurs.
05:24 (Générique)