• il y a 2 ans
Châtelain KONO, ancien Directeur Général du Canon de Yaoundé, s'insurge contre les dirigeants de la Fécafoot et principalement Samuel Eto'o Fils.

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Sport
Transcription
00:00 Vous savez, je veux vous dire quelque chose.
00:02 Peut-être que les gens, à un moment donné, veulent qu'on parle.
00:04 Et s'ils veulent qu'on parle, on va parler.
00:06 Dites à M. Samuel Eto'o, y compris son secrétaire général,
00:10 y compris M. Franck, y compris M. Loewy,
00:12 qui ne sont pas venus de la Fédération Communiste de Football
00:14 pour se faire de l'argent,
00:16 qui comprennent que c'est le football
00:17 et que les gens dépensent pour entretenir
00:21 les joueurs et les joueurs.
00:23 Il est compréhensible que les gens aient fait toutes les formalités
00:26 et que M. le secrétaire général, via votre handicap,
00:29 ait décidé de garder les licences d'une équipe de football.
00:32 Ca, c'est incompréhensible, c'est tolérant.
00:34 Il faudrait qu'on soit ségurés dans ce cas.
00:36 On ne peut pas continuer dans cela.
00:37 Moi, je pense que le chef de l'État doit bien voir.
00:40 Est-ce que M. Samuel Eto'o n'est pas venu avec un argent d'accaché ?
00:42 Moi, je vous le dis aujourd'hui, il faudrait que les gens arrêtent.
00:45 Il faut qu'on arrête. M. Nduna va vous dire...
00:47 Il peut gâter Rassane Bafoussa,
00:48 il peut gâter l'union de Douala, il peut gâter Panthère,
00:51 mais c'est dans le calon qu'on vient faire tout ça.
00:53 Alors, il va demander à M. Rappi qu'est-ce qu'il en a tête de foutre ?
00:56 Il pense qu'il est mieux placé, il a mieux géré l'union de Douala ?
00:59 Hein ? Qu'ils arrêtent un peu.
01:01 Le canon sportif, il y a honte de tout, mais c'est tout ça.
01:03 Et je voudrais dire à mon père, mon père,
01:05 qui est du côté des Bolouvas, on se connaît très bien,
01:07 et cette fois-ci, s'il veut que je parle, je vais parler.
01:10 Je lui dis encore, s'il veut que je parle, je vais parler.
01:13 Parce que là, ça commence à être trop.
01:15 Je lui ai demandé, je lui ai proposé
01:17 qu'il fallait que la famille canon, ça s'aie.
01:19 Et pour ça, j'ai fait le premier pas.
01:22 Vers ce qu'on appelle les autres.
01:23 J'ai dit, appelle le président B, ils l'ont fait.
01:26 J'ai des preuves. Je suis reparti vers lui, je lui ai dit la même chose.
01:30 On ne peut pas contrôler éternellement une équipe
01:32 alors qu'on n'apporte rien. Il faut le dire.
01:34 Parce que ça commence à être de trop.
01:36 Ça commence à être de trop.
01:38 Le président B ne peut pas s'accaparer
01:40 de l'occidence sportive, j'avoue.
01:42 Il ne peut pas.
01:43 C'est une équipe qui coûte.
01:47 Donc beaucoup de Camerounais aiment que l'on arrête cela.
01:50 Que l'on arrête cela.
01:52 Que M. Samuel Neto, il est venu à la fédération,
01:54 qui disait à M. Ndoulan, à M. Abdi,
01:58 M. Loué, qu'ils arrêtent les combats avec Mme Sénéco.
02:01 Ça ne nous regarde pas.
02:02 Parce qu'on a l'impression qu'ils sont là-bas
02:04 à tapis dans l'homme pour combattre des gens.
02:06 Si on se combatte là-bas, on organise le football féminin,
02:08 on peut pas venir au stade.
02:09 Vous imaginez, les gens sont là. Quel moral.
02:12 Quel moral.
02:13 Hein ?
02:15 Quel moral ?
02:16 Que le secrétaire général dise exactement ce qu'il veut.
02:20 Qu'il veut, n'est-ce pas, avoir des marchés au sud.
02:22 C'est pas en passant par le Cameroun,
02:23 c'est pas en gâtant le Cameroun.
02:25 Qu'il arrête cela très vite.
02:26 Et je lui ai dit qu'il n'a même pas le niveau
02:28 d'un secrétaire général.
02:29 Par afin, dormi dans son bureau,
02:31 vous imaginez que vous arrivez sur le séance
02:33 secrétaire général des fédérations,
02:34 vous avez un paraphrase qui fait quatre jours,
02:36 sans que ce monsieur n'ait pu regarder,
02:38 pour vous mettre des cigarettes,
02:39 pour gâter une équipe de football.
02:40 Qu'il arrête ça.
02:41 Et je dis encore, je dis encore, mon père,
02:43 présentement, qu'il arrête ça très vite.
02:45 Merci.

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