Love, Cecil (Beaton) (2017) - Bande annonce - Vidéo Dailymotion

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Film documentaire réalisé par Lisa Immordino Vreeland. Avec David Bailey (Himself - Interviewee), Manolo Blahnik (Himself - Interviewee), Hamish Bowles (Himself - Interviewee), Susanna Brown (Herself - Interviewee), Leslie Caron (Herself - Interviewee), Peter Eyre (Himself - Interviewee), Philippe Garner (Himself - Interviewee), Ray Gurton (Himself - Interviewee), Nicky Haslam (Himself - Interviewee), David Hockney (Himself - Interviewee), Alastair Macaulay (Himself - Interviewee), Isaac Mizrahi (Himself - Interviewee). Sortie en 2019.  Synopsis : Le controversé Cecil Beaton était un artiste aux mutiples talents : chroniqueur, photographe de mode et de portrait, scénographe, concepteur de costumes pour le cinéma ("My Fair Lady" et "Gigi") et le théâtre. Fasciné par le glamour et la haute société, il a commencé sa carrière dans les années 1920 en tant que photographe pour le magazine Vogue. Ses modèles ? Les "bright young things" (les jeunes aristocrates anglais), les stars hollywoodiennes et la famille royale britannique. Ses amis le décrivent comme quelqu'un de complexe, qui donne son amour rapidement et déteste tout aussi vite....  En savoir plus :  L'actualité du cinéma : https://www.telerama.fr/cinema Les films de la semaine : https://www.telerama.fr/cine/film_datesortie.php  Plus de bandes annonces sur https://www.dailymotion.com/telerama_ba  Retrouvez Télérama sur : Facebook : https://www.facebook.com/Telerama/ Instagram : https://www.instagram.com/telerama/ Twitter : https://twitter.com/Telerama Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCb9EmqspwO4fHZHvJdM38HA

Transcript

00:00 Mr. Beaton, vous avez été décrit comme un auteur, un designer, un peintre, un photographe.

00:05 Quel est votre profession principal ?

00:07 J'aimerais que je connaisse, j'espère que cela a été mon problème depuis longtemps.

00:11 C'est toujours le look de Beaton, le touch de Beaton.

00:18 Le travail de mode, la portraiture, le travail de cinéma et du théâtre.

00:23 Il capture Hollywood et l'Amérique et l'élégance comme personne ne le fait.

00:29 Si je n'avais pas fait de photographie, si j'avais fait juste "My Fair Lady", ça aurait été assez pour moi.

00:32 Personne n'a eu l'opportunité de placer le couteau et de scatter la magie sur quelqu'un, comme Cecil Beaton.

00:39 C'était à moi de trouver le genre de monde que je voulais.

00:43 Sa vie était une scène.

00:47 Quelle merveilleuse chose, quelle belle beauté physique.

00:50 C'est rien de moins que un miracle vivant.

00:53 Tout ce qui lui appartient était son style.

00:55 Tous ces détails de la sorte de dandy.

00:59 Je savais qu'il était une vieille reine.

01:02 Est-ce que je suis vainqueur ?

01:03 Cecil avait une aura qui vous a vraiment attiré.

01:09 Mais il a l'air totalement différent de tout le reste.

01:13 Beaton était essentiellement un extérieur qui s'efforçait d'y entrer.

01:20 "Il y a peu de portrait de soi qui se flatte, mais la vérité commence par soi-même."

01:27 Je pense que l'amour ou la manière de ne pas être amoureux était une énorme partie de sa vie.

01:31 Il y avait quelque chose de self-destructif dans les relations.

01:35 "Ah oui, je peux haïr, je peux haïr sans raison."

01:39 Il aime, c'est très facile pour lui d'aimer.

01:41 Il aime positivement, il haït positivement.

01:44 Il avait des contradictions massives.

01:47 Aucune des choses qu'il a fait ne le satisfait pas.

01:50 Il était sur une quête inoubliable pour quelque chose.

01:53 J'ai voulu pouvoir m'étendre plus profondément.

01:57 Il a donné sa vie à l'expression de la beauté,

02:03 de toute façon qu'il pouvait le faire.

02:05 "Une fois que tu as commencé pour le bout du rainbourn,

02:08 tu ne peux pas bien te retourner.

02:11 Qu'est-ce si on est un rêveur ?

02:15 [Musique]

Love, Cecil (Beaton) (2017) - Bande annonce

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