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00:00 - Peu importe où est-ce que l'insecte est pris, elle va le
00:03 déplacer pour la digestion qui se fait toujours dans le centre.
00:06 - Plus de 200 espèces de plantes capables de capturer
00:09 des proies poussent cet été au cerf Paolo de Saint-Jean-Pourjoli.
00:12 Certaines sont capables d'avaler des oiseaux et même des
00:15 reptiles.
00:16 - Vous allez voir, dans la plante, il y a chaque lab,
00:19 ils ont trois cils détecteurs.
00:21 Si je mets l'insecte dedans, qui touche aux cils, la plante
00:24 va vouloir se reformer.
00:26 - Cet ancien militaire sait bien que les plantes sont
00:29 plus agréables.
00:30 - Le militaire s'est tourné vers un travail plus paisible.
00:33 Il importe des plantes carnivores de partout dans le monde
00:37 pour les vendre ici.
00:38 Certaines servent, par exemple, à se débarrasser des insectes.
00:41 - Au lieu d'utiliser des collants jaunes pour attraper
00:44 des mouches, puis c'est pas beau, c'est pas écologique,
00:47 mais t'sais, acheter une belle plante carnivore, va faire
00:50 le même travail, mais en plus, va embellir la maison, puis en
00:53 plus, ils font des belles fleurs.
00:55 - Le propriétaire, Pablo Pipilla, veut déconstruire
00:58 des plantes carnivores d'ici, car il en existe beaucoup
01:01 au Québec.
01:03 - Notre plante indigène du Québec, la Serracina purpurea,
01:06 vous allez voir, le piège, c'est une entrée poilue avec
01:09 du liquide dans l'intérieur.
01:10 L'insecte, il se fait prendre parce qu'il veut commencer
01:14 à licher pour le côté sucré qui s'écrète. Et pas à pied,
01:17 il tombe dans le piège.
01:18 - Et heureusement pour nous, les plantes carnivores de la région
01:21 n'attrapent que de petits insectes. Jessica Poirier-Roy,
01:24 CMT-TVA, Saint-Jean-de-Paris.
01:26 Jessica Poirier-Roy, CMT TVA, Saint-Jean-Pourjoli.