• l’année dernière
Retrouvez le replay des derniers kilomètres de la 5e étape du Tour de Pologne du 02/08/2023.

Category

🥇
Sport
Transcription
00:00 - Et alors là, tout à l'heure on l'a vu donner des consignes, etc.
00:03 Là il fait encore la même chose, il continue à donner des consignes ou là c'est déjà acté pour vous ?
00:10 - Il n'y a plus besoin de trop se parler.
00:13 La consigne c'était d'accélérer en haut du dernier premier catégorie, c'était chose faite.
00:19 Et puis maintenant c'est de maintenir, reprendre la vitesse,
00:22 dès qu'on peut dans les faux plats descendants, gérer les montées.
00:27 - Et voilà, je ne sais pas s'il communique entre eux.
00:30 Thomas de Gent, il communique avec ses mollets, beaucoup.
00:34 Appuie très fort sur les pédales.
00:37 - Et puis chacun sait ce qu'il a exactement à faire.
00:40 Et en fait, on voit Thomas de Gent, il passe des rallais un peu plus longs pour soulager,
00:46 parce qu'à 25 km de l'arrivée c'est important de soulager ses coéquipiers d'échappée.
00:51 Ce ne sera pas le cas dans les derniers kilomètres.
00:54 - On voit ce peloton qui revient, mais qui a été mis en fil complètement par les équipiers de Michel Kwiatowski.
01:01 On resserre les boas.
01:05 - L'équipe Ineos dans les premières positions, la baragne victorieuse derrière.
01:14 Encore tout le groupe de l'équipe Ineos pour Michel Kwiatowski.
01:18 Et puis l'équipe UAE pour les deux leaders, João Almeida et Rafal Maïka.
01:25 Ah regardez, on est en train de remonter du côté de l'équipe AG2R.
01:30 Alors c'est peut-être Vendramé qu'on est en train de remonter.
01:32 - On est en train de remonter Vendramé, effectivement.
01:35 Dorian Gaudon va se débrouiller tout seul.
01:37 Il est habitué à fonctionner comme ça.
01:40 Et une chose à prendre en compte...
01:41 - Là c'est Gaudon qu'on voit en première position et Vendramé qui était à côté de lui.
01:45 - Et 30 secondes, on a encore perdu du temps messieurs.
01:53 On fait attention à tout, y compris l'équipe groupe AMA FDJ qui va remonter.
02:00 Lenny Martinez en deuxième position.
02:02 On aperçoit Michael Scherel également.
02:04 - Un sous-groupe clairement du côté de l'équipe AG2R, Citroën.
02:10 Michael Scherel c'est un coureur expérimenté qui sait bien manœuvrer.
02:15 Il y a Larry Barber sur la gauche de l'égrant avec ses liserés d'anciens champions des Etats-Unis.
02:20 Lui qui a été marqué par la chute.
02:22 Ils sont capables de se regrouper dans le final, de bien manœuvrer.
02:25 Et finalement c'est peut-être les coureurs qu'on attend le moins qui vont être en capacité de pouvoir s'exprimer.
02:38 - Et Sam Oman qui est encore loin derrière.
02:41 Mais on ne voit pas beaucoup de coureurs autour de lui.
02:44 Le coureur de la Jumbo Visma.
02:47 Vous en avez vu d'autres que Sam Oman messieurs ?
02:52 Ne m'écoutez pas, vous êtes dans mon pensée.
02:57 Je suis toute seule au monde là.
02:59 Est-ce que vous avez vu un autre coureur que Sam Oman dans ce...
03:02 Ah, ils sont deux. Voilà, il y en a un autre avec lui.
03:04 De la Jumbo Visma dans ce peloton.
03:06 - Vous voulez que je vous laisse ?
03:08 - Il y a un coureur échappé, donc ils sont trois.
03:10 Ils sont encore bons pour le classement par équipe.
03:12 Et oui, c'est vrai qu'on n'a pas l'habitude de les voir, les Jumbo Visma, dans cette configuration-là.
03:17 - Oui, c'est étrange, exactement.
03:19 - C'est assez étrange, ils ont l'habitude de peser énormément sur le classement général.
03:23 - Parce que là, Sam Oman est loin. Il est à 57 secondes.
03:26 C'est lui qui ferme la marche de l'incourage.
03:28 - On va avoir des nouvelles victimes de Thomas De Gea.
03:30 - Il les a cassés en deux.
03:32 Il les a cassés en deux, il ne s'est même pas retourné.
03:34 - Il a discuté avec Van Lennberg.
03:36 - C'est bon, t'en as assez, moi oui.
03:38 Bon allez, c'est bon, on rentre à la maison.
03:41 - Il ne reste qu'au garde avec Thomas Dorent.
03:44 - Il est impressionnant ce coureur, du haut de ses 37 ans.
03:57 - Oui, c'est ça. C'est vraiment quelque chose qu'il n'a pas perdu.
04:00 C'est encore un exercice qu'il manie parfaitement bien.
04:03 - La résistance, on ne la perd pas avec les années.
04:05 Ce qu'on va perdre, c'est son punch, son explosivité, son sprint forcément.
04:10 Mais la résistance, le poids des âges ne joue pas là-dessus.
04:14 Au contraire...
04:15 - La forme physique aurait pu être atteinte.
04:17 - La forme, mais c'est vrai que là, on est dans un effort de résistance.
04:20 Ça fait plus de 4 heures qu'ils sont partis.
04:23 - C'est vrai qu'on parait un coureur comme Lenny Martinez
04:25 qui va découvrir son premier grand tour.
04:27 On dit souvent, quand les coureurs font des grands tours,
04:29 on est capable ensuite d'emmener beaucoup plus de braquets.
04:32 Thomas Degenth en a fait un paquet de grands tours.
04:34 - Il a 500 000 km de plus au compteur que Lenny.
04:38 500 000, c'est les 2 BX, un des grands-parents.
04:42 C'est assez impressionnant quand on compare.
04:46 Il a minimum ça de plus qu'un coureur comme Lenny.
04:51 30 000 km par saison que les coureurs effectuent, plus ou moins.
04:57 Sachant qu'il est pro depuis plus de 16 ans.
05:01 - Quand on va reprendre les 2 hommes, il n'en restera plus que 2 à l'avant.
05:05 Est-ce que la formation Evignéos va relever légèrement le pied ?
05:09 J'en doute, mais c'est un circuit qui est quand même exigeant.
05:12 Ça, c'est une difficulté qui n'est pas répertoriée.
05:15 Pourtant, c'est un long, faux plat montant.
05:18 On va s'approcher tout doucement de la ligne d'arrivée.
05:21 - En tout cas, c'est fort aussi ce que fait Marco Soulgaard
05:24 pour résister à Thomas Degren, pour continuer à tenir l'allure du coureur belge.
05:30 - On est sur le circuit, on est à 1 km de l'arrivée.
05:35 On est dans cette dernière difficulté à escalader 4 fois.
05:41 - 4% de moyenne, on nous indiquait pour l'instant.
05:44 Il n'y a pas de gros pourcentages, mais c'est la répétition.
05:47 Le fait de passer 3 fois ici qui va rendre les choses difficiles.
05:59 - 25 secondes d'écart et le peloton derrière, c'est aussi ça
06:02 qui n'est pas à l'avantage des échappés sur un tel circuit.
06:07 On évite un point de mire.
06:10 Ils sont repris, Van Dijk et Van der Berghe.
06:14 - On voit, il n'y a pas énormément de vitesse.
06:17 Ça écrase, ce n'est pas très impressionnant,
06:19 mais il y a 4% de pente sous les roues des coureurs.
06:23 Donc ça va être un sprint un peu à l'arraché.
06:27 Un sprint assez long, 2 km de ligne droite.
06:31 Il y a un petit rond-point qu'on n'avait pas sur notre profil.
06:35 Mais à cette vitesse-là, ça ne va pas avoir énormément d'incidence.
06:39 - C'est vrai que j'ai du mal, au vu de la dernière difficulté,
06:43 l'ennemi artinéen qui vient se replacer sur la gauche,
06:46 de voir cette formation Ineos Grenadier,
06:49 la personne de Michel Kiatowski, être en mesure de s'imposer,
06:53 de créer des différences.
06:55 Ça n'a pas l'air forcément très dur.
06:58 - Créer des différences ? Non.
07:00 S'imposer au sprint, c'est une possibilité.
07:03 En tout cas, il va falloir sortir au dernier moment
07:06 et retarder son sprint au maximum.
07:09 Parce qu'entre l'inclinaison de la route, plus le vent de face,
07:14 il va falloir retarder peut-être à 100 mètres, 75 mètres, son sprint.
07:21 On ne peut pas lancer à 200 mètres, c'est beaucoup trop long.
07:24 - Le Rennes de plus, en tout cas toujours en tête.
07:29 Ça veut dire que vous n'imaginez pas forcément des mouvements
07:32 dans ce peloton d'ici l'arrivée ?
07:34 - On l'espère, mais ça semble compliqué.
07:37 Après, il faut voir l'autre côté du circuit,
07:42 peut-être des routes un peu plus sinueuses.
07:45 Et Ilan Van Wilder a l'air sur ressort aujourd'hui.
07:50 Il est bien, il se décale, il se met dans le vent.
07:53 - C'est le courant de la Soudal Quick-Step que vous avez vu se décaler du train.
07:58 - Il est là, un petit peu esselé.
08:02 Quand on est à côté d'Armada, où ils sont encore 5-6,
08:06 et que nous on est tout seul ou avec un équipier à l'arrière du peloton,
08:09 on se sent un petit peu seul au milieu de ces équipes en surnombre.
08:14 - Il reste toujours 30 secondes d'avance, en tout cas,
08:18 pour le garder de Rennes devant.
08:21 - On devrait avoir des assistants avec des bidons.
08:25 C'est le dernier moment pour ravitailler.
08:28 Ils ont le droit jusqu'à 20 km de l'arrivée aujourd'hui.
08:32 - Attention, les écarts sont quand même serrés au classement général.
08:44 Il ne suffirait pas de grand-chose pour se rapprocher.
08:47 - Sur ce genre de sprint, il peut y avoir des cassures,
08:51 des coureurs qui emmènent le sprint et qui s'écartent.
08:56 Rien que sur un sprint plat, avec ce dernier virage à 400 m de la ligne,
09:00 on est déjà à la limite de la cassure.
09:03 Il y a surtout les secondes de bonification à aller chercher.
09:06 Matej Moroï est certes leader, mais Jaouel Meda est à 10 secondes derrière.
09:11 Rafal Majka, au profit des places, est troisième.
09:15 Kwiatowski est à 12 secondes.
09:18 Le coureur qui va remporter l'étape va mettre 10 secondes de bonification.
09:22 6 secondes pour le deuxième et 4 secondes pour le troisième.
09:26 Il va y avoir un marquage entre ces coureurs qui peuvent prétendre
09:30 à une victoire pour le classement général.
09:33 - Ça va se jouer à coup de bonif !
09:44 Au vu du compte à montre qui va donner énormément d'écarts.
09:48 Il va y avoir des bonifications le dernier jour.
09:51 - Mais pas de place non plus dans le final !
09:54 - Ça va être l'enjeu, ça va se jouer à coup de bonifications
09:57 au vu de l'orientation de la course.
10:00 - Il est en train d'en plier un autre, Thomas Degate.
10:03 C'est Marcus Holgard.
10:05 - Il n'a pas pris un relais depuis le pied de la bosse.
10:08 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:12 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:15 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:18 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:21 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:24 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:27 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:30 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:33 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:36 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:39 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:42 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:45 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:48 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:51 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:54 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
10:57 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
11:00 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
11:03 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
11:06 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
11:09 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
11:12 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
11:15 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
11:18 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
11:21 - Il a du mal à garder contact de la roue, c'est comme quand on fait du dernier à dernier.
11:24 - Les deux passants de la semaine se sont écartés. Qui va prendre le relais ?
11:27 - On a en train d'avoir un vrai bras de fer entre les deux coureurs de devant et le peloton.
11:33 - Mais c'est entre Thomas Degent et le reste du peloton.
11:38 - On voit Michel Katowski qui met sa main au niveau du thorax pour parler à l'oreillette.
11:44 - Il en parlait des bonifs. Dans l'état actuel des choses, il n'y aura plus que 4 secondes à aller chercher à l'arrivée pour le premier du peloton.
11:52 - Puisque les 10 et 6 secondes seraient prises par les deux hommes de tête pour l'instant si Holgarde continue à résister comme ça.
11:59 - Et à tenir le rythme de Thomas Dorent. En tout cas, on ne rigole pas du tout derrière.
12:03 - Regardez ce peloton à la file indienne.
12:07 - Il y a des coureurs qui vont avoir beaucoup de mal à remonter.
12:10 - Guérin-Thomas dans les dernières positions d'ailleurs pour l'instant.
12:12 - Ce n'est pas lui le leader, on le sait.
12:14 - Il a craqué, Lorenz. Et on ne peut plus.
12:19 - Il est au bout du rouleau.
12:21 - La différence de style entre Lorenz de Pluss et son mètre 90 presque.
12:29 - Et Thomas de Gendt, on ne peut plus ramasser.
12:33 - On voit beaucoup plus à l'aise Lorenz de Pluss quand la route s'élève. Un petit peu moins sur le plat.
12:39 - Forcément, la prise au vent est beaucoup plus importante.
12:44 - Thomas Dorent dans ses œuvres, dans ce qu'il sait faire de mieux en tout cas aujourd'hui.
12:49 - Si vous aviez très envie de revoir Thomas Dorent dans un art qui l'excelle, c'est exactement ce qu'il est en train de faire pour le moment.
12:56 - On a encore des interrogations. Il y a quelques kilomètres on se disait c'est foutu, c'est fini.
13:00 - Et puis là on commence à se dire "Hmmm, et pourquoi pas ?"
13:03 - Evidemment ce sera difficile, mais pourquoi pas ? Le pourquoi pas est revenu déjà, Pierre, c'est pas mal.
13:07 - Ce long faux plat quand même va être difficile.
13:11 - Avec le pied à 5% de kilomètres d'ascension.
13:15 - C'est l'arrivée finale, les coureurs doivent encore escalader 3 fois.
13:20 - Ça va être dur la répétition de cette difficulté pour les 2 coureurs qui sont échappés depuis 180 kilomètres maintenant.
13:28 - Michel Kwiatkowski qui est bien caché par Moe Rich, bien entouré à côté de Pavel Sivakov.
13:35 - Qu'est-ce qu'on va avoir de mouvement dans cette ascension, dans le peloton.
13:40 - Il restera 2 tours sur la ligne.
13:45 - Encore une fois, les coureurs vont essayer de remonter.
13:49 - Garen Thomas, en équipier modèle, qui avait descendu, c'est pour cette raison qu'il était à l'arrière.
13:56 - Il a ramené des bidons à Michel Kwiatkowski, peut-être à manger.
14:01 - On le dit à chaque fois, mais c'est hyper classe de voir ce type de comportement, même si on se rend l'appareil sur les courses au fur et à mesure.
14:09 - On ne dit pas le palmarès de Garen Thomas qui a coché le Tour de France.
14:14 - Quand on a un vainqueur du Tour qui nous donne des bidons, c'est quand même quelque chose.
14:19 - Après dans cette équipe, ils ont tous un palmarès long comme le bras.
14:23 - Ah là là, ça c'est pas le plan qu'il faut nous montrer.
14:27 - Quand on est fan de Garen Thomas, c'était le cas devant votre écran.
14:31 - 23 secondes, mais on va garder le pourquoi pas en tête.
14:34 - On ne se retourne pas, surtout pour l'instant, ni pour Thomas DeRenthe, ni pour Marcus Holgarde.
14:39 - Le peloton qui pointe le bout de son nez, derrière 15 km encore à parcourir sur ce circuit final aujourd'hui.
14:46 - En tout cas, il fait mal à ses pédales. Il les écrase à chaque coup de pédale.
14:53 - Il appuie, il en remet et derrière on se dit "Allez, on revient" puisqu'on l'a porté de fusil.
14:58 - Quand on voit Lorenz de Plus qui se positionne à l'avant, il voit que c'est Thomas DeRenthe.
15:04 - On essaie de revenir, on gratte mètre par mètre, mais non, on se dit "Il va finir par se relever".
15:07 - Il ne se relève jamais. Tout simplement, c'est ce qui fait la marque des champions comme lui. Il n'abdique pas.
15:13 - Le rond-point et après la flamme rouge. Ce sera le dernier endroit stratégique.
15:23 - Comme vous l'imaginez, il faudra bien prendre sur la droite de la route parce qu'à gauche on va faire beaucoup plus de chemin.
15:29 - Une longue, longue, longue ligne droite pour rejoindre cette ligne d'arrivée. C'est interminable, très honnêtement.
15:37 - Oui, ça doit être très dur psychologiquement de voir les choses comme ça. En tout cas, Marcus Holgard a passé un relais à Thomas DeRenthe.
15:45 - Mais le peloton est vraiment derrière. 13 secondes maintenant. Il commence à effacer le pourquoi pas de nos tablettes.
15:51 - Les carottes sont cuites. Très honnêtement, ça va être compliqué. On le sait depuis un petit moment.
15:58 - Mais voilà, c'est Thomas DeRenthe. Il n'abdique pas. Il rend la tâche difficile aux coureurs qui chassent.
16:03 - Lorraine de plus, je pense qu'il va pouvoir se taper dans la main et rigoler de ça après.
16:09 - Mais en tout cas, pour l'instant, il les fait souffrir derrière. Hansman est de plus.
16:14 - Et pour la baragne, c'est parfait pour eux. Ils n'ont pas à rouler. Ils ont fait rouler que les rouleurs dans la première partie de course.
16:22 - Et maintenant, c'est la Ineos qui fait le travail pour eux.
16:27 - Alors, est-ce qu'il reste des sprinters, grimpeurs ou punchers dans ce groupe ?
16:35 - C'est aussi ça qu'il faudrait réussir à identifier pour la fin de ce circuit.
16:42 - On l'a vu Andréa Vendramé, on l'a déjà dit, mais c'est une des meilleures cartes.
16:47 - Après, il est difficile de voir qui a été capable de passer la dernière difficulté répertoriée.
16:55 - Ça va certainement se jouer entre les leaders du classement général, entre Kwiatowski, Maschka, Dunbar, toujours bien placé de la formation Jaiko Alula sur la gauche.
17:08 - 5 secondes, 5 secondes et il en tire la langue Thomas Dorent.
17:13 - Les deux hommes de tête vont bientôt être avalés par le ploto. On se retourne du côté de l'équipe Ineos.
17:20 - Alors, qu'est-ce qui va se passer quand on va revenir sur les deux hommes ?
17:25 - Pour les coureurs de IF, il y a 3 ou 4 coureurs qu'on n'a pas réussi à identifier.
17:33 - Il me semble qu'il y a Van Den Berghe, je l'ai vu, et c'est ce que je me demandais tout à l'heure.
17:39 - Ça va vite. - Je l'ai vu être équipe sur le ponton Pierre, donc je pense qu'il est encore dans ce groupe.
17:44 - Ça va vite au sprint, mais c'est un sprint qui va être particulier.
17:48 - Vraiment, être sprinter, je ne sais pas si c'est un vrai avantage dans cette arrivée de 2 km en montée.
17:54 - On va retrouver des punchers, de toute façon, ça va être ceux qu'on a vus les premiers jours.
18:01 - Ceux qui sont dans le haut du classement général.
18:03 - Tim Weilems qui est venu se positionner à l'avant, dans le peloton.
18:06 - Ça fait mal derrière, les relances, à chaque fois, on est obligé d'appuyer sur les pédales.
18:15 - Thomas Sevette, finalement tout seul, alors que l'écart est désormais de 2 secondes.
18:22 - On ne sait jamais.
18:28 - Allez, Hall-Guard, c'est fini. Repris par le train Ineos Barhain-Victorious et Thomas Dorent.
18:36 - Quel match !
18:37 - Qui reste Thomas Dorent. C'est un coureur qui va beaucoup manquer en haut peloton quand il va partir.
18:42 - Ce n'est pas le cas, il sera encore là l'an prochain.
18:44 - Mais c'est sûr qu'il pèse, en tout cas dans le déroulement des courses.
18:50 - Allez, il va être repris lui aussi, Matej Mauric pour l'instant, toujours leader.
18:56 - Pas du tout inquiété encore. Il reste 13 kilomètres à parcourir sur cette 5e étape du Tour de Pologne, l'étape Rennes.
19:03 - Et oui, aujourd'hui, il y a eu du grabuge puisqu'il manque des coureurs dans le peloton.
19:08 - Mais en tout cas, pas d'attaque entre leaders aujourd'hui.
19:12 - C'est fini, bravo quand même à ce show aujourd'hui des échappés et de Thomas Dorent, le dernier à être repris.
19:23 - Matej Mauric, c'est un coureur qui est capable de gagner.
19:28 - J'ai même envie de vous demander, messieurs, entre ces coureurs du classement général, de ce top 4 en 12 secondes,
19:37 Mauric, Almeida, Majka, Kwiatowski, est-ce que c'est lui que vous mettez en premier ?
19:41 - Quand on voit le sprint qu'il a été capable de faire face à Kasper Asgreen, à Paulini, tout en résistance, en jeté de vélo.
19:50 - On parle de Tour de France. - On était sur le Tour de France, en dernière semaine, après une échappée, certes.
19:56 - Mais c'est pour vous dire que c'est un coureur qui aime bien les efforts longs, soutenus.
20:02 - Et quand on voit la bosse qu'il y a aujourd'hui, il va falloir trouver le bon timing, le bon moment pour remonter.
20:07 - On parlait du vent de face, il a encore un coéquipier en la personne de Damiano Caruso qui sait faire.
20:13 - Il a retrouvé encore deux autres équipiers, un autre équipier.
20:19 - Il fait figure un peu dépouvantable quand même.
20:22 - Il a huit équipiers, si on compte les Ineos.
20:25 - Donc il est à l'aise pour le moment, pour peu que Kwiatowski lui lance le sprint.
20:31 - Mais en tout cas, tout se passe bien.
20:33 - Il y a Kevin Vauclin aussi, vous avez vu, derrière, qui est encore là pour l'équipe Arkea.
20:37 - Maillot rouge, on ne l'avait pas encore nommé, Kevin.
20:43 - À l'arrière du peloton, ça fait mal, ce circuit, l'ensemble de la journée, et puis l'intensité depuis le départ de cette course.
20:51 - La cinquième étape, on rappelle, des étapes longues, difficiles.
20:55 - Toujours Damiano Caruso avec Mateo Ricci.
21:04 - Est-ce qu'on va avoir des coureurs qui vont essayer d'anticiper ?
21:09 - La Jumbo est en train de remonter, IF également pour Marijn van den Berghe, certainement.
21:14 - On aperçoit aussi l'équipe DSM qui remonte, et puis l'équipe AG2R Citroën.
21:18 - La formation française qui a Dorian Gaudon, qui a Andrea Vandrame.
21:23 - Et dans ce peloton, c'est Mika Cherelle qui est en tête de ce train blanc.
21:29 - Est-ce que Tobias Voss est encore là ? Il me semble que oui.
21:32 - J'ai vu Sam Omen.
21:38 - Il y en avait deux, plus certainement Mick Van Dijk qui est encore là.
21:41 - Et oui, c'est bien Voss, parce qu'il me semble avoir vu l'Elysée de toute façon.
21:45 - Ce n'est pas du tout le même gabarit que Sam Omen, Tobias Voss.
21:51 - Bram Walten.
21:53 - Gros travail. C'est Lewis Esquilac qui est là.
21:57 - Je l'ai compris, mais ils sont faits dans le même moule, les deux, Lewis Esquilac et Bram Walten.
22:03 - Bram Walten, ça m'étonnerait qu'il soit quand même là.
22:06 - J'allais dire, s'il a passé la dernière boss, qui était quand même très dure,
22:09 on a perdu énormément de sprinters.
22:12 - Et on a retrouvé du côté de la formation Bahrein Victorius,
22:16 un Sarta, Andrea Pasqualone, l'Italien, qui a une belle pointe de vitesse,
22:21 qui va se mettre au service.
22:24 - Non, il n'est pas là ?
22:25 - Pasqualone, il n'est pas là.
22:28 C'est Carruzzo avec la barbe de 3-4 jours et Tiberi, les deux équipiers pour Mateo Mauric.
22:35 - On est en train d'assister à un changement de physionomie en tête de peloton.
22:39 On avait les équipes de leaders qui étaient présentes,
22:42 et là, on commence à remonter avec d'autres formations,
22:45 notamment la J-Koalula, l'équipe des SM aussi.
22:47 - Et on arrive au pied de nouveau de cette difficulté, de cette arrivée finale.
22:52 - Thomas Dorent qui est ici en dernière position du peloton.
22:56 - Ça sera la cloche.
22:59 Pas Thomas Dorent, la cloche au passage.
23:02 - Oui, j'ai compris.
23:04 - C'était un point pour le précis.
23:06 - On sonne la cloche pour signaler le dernier tour de circuit.
23:09 Cotienne est arrivée en circuit.
23:11 Micka Cherelle bien positionnée dans la roue,
23:14 Wendramé pour l'équipage des 2 Air Citroën.
23:18 Lédi Martinez pour la Groupe AMA de Sar84 en queue de peloton.
23:26 - On aperçoit Kevin Vauclin un peu plus haut, comme on l'a dit.
23:30 - Il y a aussi Sylvain Monnique pour la Lotto Destini qui est présent.
23:35 - Sébastien Schoenberger, Humans Power s'est échappé hier toute la journée.
23:41 - L'Orient Godon, Kevin Vauclin qui a toujours des bandages,
23:45 notamment au niveau du coude gauche.
23:47 - Anthony Nibali également.
23:50 - Pour la IF, Bissegher.
23:53 - L'avantage de ces routes larges et ce vent de face,
23:57 c'est qu'on est en capacité de remonter au dernier moment.
24:00 Pas d'inquiétude pour Léni Martinez pour l'instant.
24:04 On peut rester bien au chaud au sein du peloton
24:07 et faire simplement son effort au bon moment.
24:09 - Il faut être patient, il faut savoir rester un peu derrière.
24:13 Le vent de face, il faut vraiment retarder.
24:16 On peut traîner un peu à l'arrière,
24:18 parce qu'il y aura toujours un moment où ça va temporiser.
24:24 - On n'aura pas vu d'hélico non plus pour faire la revue d'effectifs complète.
24:29 D'ici, il y a Samuel Watson qui est présent pour la Groupama FDJ.
24:34 - Tobias Foss, il est bien présent dans le peloton pour la Jumbo-Visma.
24:38 - Qu'est-ce qu'il se raconte à l'oreillette ?
24:41 - Vous l'imaginez ? Allez-y.
24:44 - Je vois Damiano Caruso qui parle à l'oreillette,
24:47 ça parle devant lui aussi, Thibéry également.
24:49 - Tu comprends ?
24:51 - Comment tu veux gagner le sprint ?
24:54 - Ça discute très clairement, il faut se placer là, lancer là.
25:00 On prend à droite le rond-point, on prend des informations.
25:04 Si ça bouge, tu n'y vas pas, c'est moi qui fais le travail.
25:08 On se donne des informations très brèves.
25:12 - En tout cas, ça va être difficile de ne pas voir Kwiatowski tenter quelque chose,
25:15 parce que l'équipe Ineos qui arrive en dernier moment pour protéger les leaders,
25:19 on l'a déjà vu faire plusieurs fois, mais vraiment rouler comme ça dans le final,
25:24 jusqu'au bout, ce n'est pas quelque chose qu'on a vu, en tout cas sur ce tour de Pologne,
25:28 par exemple hier.
25:29 Ça veut bien dire que normalement, Kwiatowski devrait tenter quelque chose, non ?
25:33 - Oui, enfin le sprint, là il ne va plus avoir d'attaque, très clairement.
25:37 - Oui, je ne dis pas forcément une attaque.
25:38 - Non, il va essayer de l'emporter au sprint.
25:42 Comme on l'a dit précédemment, il a déjà performé sur ce circuit.
25:46 Il est au top de sa forme, donc il a confiance en lui sur son sprint.
25:50 - Allez, attention, les trains qui se mettent côte à côte maintenant,
25:54 avec Tibéry, avec Caruso, avec Mauritsch, avec le train du AE aussi,
25:57 et puis EF qui est bien présent de l'autre côté de la route,
26:00 avec toute l'équipe quasiment de la Jaiko Alula.
26:02 La DSM également qui remonte avec Lewis Aski, qui est juste derrière pour la Groupama FDJ.
26:07 Ce n'est plus la même chose, là.
26:12 - On fait l'effort pour se placer avant d'arriver dans la partie un peu plus sinueuse, un peu plus technique.
26:19 Passage ligne, 500 mètres.
26:22 Ça, c'est carte à l'arrière, les coureurs échappés notamment.
26:25 - On n'oublie pas qu'on a quand même eu deux belles ascensions aujourd'hui,
26:29 qu'il a fallu faire des efforts également.
26:32 Il n'y a pas eu d'attaque, mais ça peut quand même peser.
26:34 - 3 mm de dénivelé sur l'étape, sachant que les 60 premiers kilomètres étaient plats.
26:41 - La cloche, Johan.
26:43 - Oui, on l'entend, la cloche.
26:44 Et d'ailleurs, on voit le visage des coureurs marqués par la difficulté.
26:48 Dorian Godon a fait le choix de rester pour l'instant dans les dernières positions,
26:52 le coureur de la formation AG2R.
26:54 Et à cet avantage-là, la formation INEOS,
26:58 on a quand même des coureurs qui sont en capacité de prendre du vent encore longtemps.
27:01 On a vu Arendtsman s'écarter, Lorenz de Puce s'écarter.
27:04 Mais il reste Pavel Sivakov, il reste Guérin Thomas également.
27:07 Donc pour Michel Kwiatowski, ça sera des points de plus essentiels s'il veut remporter ce sprint.
27:13 - Allez, on oublie les coureurs qui sont dans un deuxième peloton.
27:19 Bien trop loin derrière pour espérer se jouer la victoire aujourd'hui.
27:23 Il y a une cinquantaine, soixantaine de coureurs dans ce peloton.
27:26 7,2 km encore à parcourir pour arriver à la fin de cette étape
27:30 qui n'aura pas trop bousculé le classement général pour l'instant.
27:34 On rappelle qu'il y a des bonifications à aller chercher sur la ligne d'arrivée.
27:37 Mohoric est pour l'instant leader.
27:39 Maillot jaune, vous le voyez ici, 10 secondes d'avance sur le duo Almeida-Maïka.
27:43 Tiens, regardez-le d'ailleurs, João Almeida, bien dans la roue de Matai Mohoric, bien à côté de lui.
27:47 Michel Kwiatowski, le coordinateur au skate-up, 12 secondes, très exactement de Mohoric.
27:52 Donc ça veut dire deux secondes de retard sur Almeida et Maïka.
27:55 Et puis derrière, vous avez Dunbar-Van Wilder-Hanley, Battistella-Martinez-Mohoric
27:59 qui est pointé à 20 secondes de Mohoric.
28:03 Voilà pour ces coureurs qui vont être très intéressés par les bonifications.
28:07 Les UAE, y compris le lead de la course avec Tim Williams en première position.
28:12 Ça a un petit peu joué les coudes avec Tibéry, mais bon, on les a laissés prendre la tête.
28:19 Almeida ou Maïka ?
28:21 Almeida, sûr. Et certains Almeida avec un gros relais de McNulty pour le mettre sur orbite.
28:27 Pointe de vitesse Almeida, punch également.
28:30 C'est une arrivée, oui, c'est parfait pour lui. Il va falloir que ça roule vite.
28:34 Par contre, il va falloir qu'il y ait de temps de répit avec McNulty,
28:38 certainement qui va faire le poisson pilote pour Almeida.
28:42 On rappelle qu'il a gagné le Tour de Pologne Almeida en 2021, dont deux étapes,
28:47 notamment l'étape Corset où il avait joué aussi avec sa pointe de vitesse
28:51 pour se débarrasser parfois de ses concurrents également.
28:55 Là derrière, il faut s'accrocher.
28:58 Il va y avoir un statu quo dans cette partie descendante,
29:09 et puis après ça va être vraiment très intéressant avant le virage droite,
29:13 avant d'attaquer ce long faux plat, montant cette dernière ascension.
29:17 Là ça frotte pour Vignaud.
29:20 Il va falloir avoir un oeil attentif sur Vandenberg,
29:24 notamment le cours de l'AEF Education qui a une bonne pointe de vitesse.
29:28 Mauritsch, lui, dans une position idéale, clairement.
29:33 Il ne pédale pas, il double tout le monde.
29:36 Salut, je suis là. Ça va ? Vous faites quoi ?
29:39 Il y a un danger, il y a un danger. Les coureurs lèvent la main pour signaler un danger.
29:43 Il va voir.
29:44 Il va voir.
29:45 Il va voir.
29:46 Il va voir.
29:47 Il y a un danger, il y a un danger. Les coureurs lèvent la main pour signaler un danger.
29:50 Il va avoir un problème là.
29:51 Tout simplement que...
29:52 C'est pas le rond-point ? On en est loin encore ?
29:54 On est en train de doubler d'autres coureurs, non ? Qu'est-ce qu'il se passe ?
29:57 On n'a pas l'explication.
30:03 Radio Touranousse, une ambulance sur la route.
30:13 Certainement, il doit y avoir un danger. Les coureurs ont été prévenus.
30:17 Tout le mouvement qui avait été initié...
30:22 On stoppe la course.
30:23 ...est devenu un statu quo.
30:25 Est-ce que ça va repartir ou pas ?
30:27 Bonne question.
30:30 Pour l'instant, pas d'informations sur Radio Tour.
30:33 C'est particulier. On n'a pas plus d'informations que vous.
30:40 Concernant la course, la course a été lancée. On est à 4 km de l'arrivée.
30:43 On a vraiment l'impression qu'on a décidé de stopper la course.
30:47 Pour une raison qu'on ignore.
30:49 On a eu Matéj Moric en pleine discussion avec les autres équipes.
30:52 Guérin Thomas sur la droite qui discute avec Formolo.
30:55 On est à 3,9 km de l'arrivée.
30:59 J'ai envie de dire que si ça se relance à 2 km, c'est largement suffisant avec l'ascension.
31:08 Cet arrêt, pour l'instant, n'a pas d'incidence.
31:10 Tout le monde avait sa position.
31:12 Personne ne peut remonter au vu de la largeur de la route.
31:15 Un moment de flottement. On ne sait pas trop ce qui se passe.
31:19 On prend des informations à l'oreillette.
31:21 C'est Lewis Askey, à nouveau, moi aussi je l'ai faite, qui est en train de remonter.
31:27 On aperçoit également Lénie Martinez qui est là, le 284.
31:30 On arrête la course, mais on la continue un peu dans la gare de positionnement.
31:37 C'est Kofidis qui est remonté.
31:39 Il faut qu'il en refasse un tour, il n'y a pas de choix.
31:42 Avec Lastra et Fernandez.
31:44 Je précise que vous dites ça sur le ton de la blague.
31:48 Non, pas vraiment.
31:50 Non, non, là, c'est sermi en route.
31:52 De toute façon, si la course se lance à 2 km au vu de cette arrivée, il n'y a pas d'incidence.
31:59 Là, pour l'instant, ça n'a pas faussé la course.
32:01 C'est reparti, très clairement.
32:05 C'est Julio Zandernberg qui est là.
32:07 Il y a bien Biessegger, il y a De Baud également.
32:09 Et Marie Van Den Berg, qui est en train de se...
32:14 Attention, Morik, regardez la manière dont il est remonté sur la gauche de l'écran.
32:17 Avec son maillot jaune, il n'a pas eu besoin de mettre un coup de pédale.
32:21 Il est visible. On est à 700 m de l'arrivée.
32:24 Désormais, on va être obligé d'aller chercher ses secondes de bonification.
32:29 Cette victoire d'étape également sur cette 5e étape du Tour de Pologne.
32:32 On est passé de 700 m à 2,3 km.
32:34 Regardez ça, frottant contre le cours d'Ineos.
32:36 C'est Guérin-Thomas qui va venir se positionner.
32:39 Mais regardez, on est encore en train de discuter.
32:41 Je pense qu'on a réajusté du côté de l'organisation ce kilométrage qui est assez faux.
32:48 Depuis le début de l'étape, maintenant 2 km à parcourir. Il y a un problème.
32:52 Non, clairement, on ne prépare pas un sprint.
32:54 La manière de discuter entre Michael Scherrel et Guérin-Thomas qui se positionnent à l'avant.
32:58 Il y a quelque chose.
33:00 Scherrel et Godon qui est remonté aussi. Ils sont de Sartreize inversés.
33:03 On n'a pas les mêmes informations.
33:05 Guérin-Thomas a dit "on y va" très clairement.
33:08 Là c'est compliqué parce que qu'est-ce qu'on fait ? Est-ce qu'on ose y aller ? Est-ce qu'on attend ?
33:13 Mais là il n'y a pas de danger sur la route. Il faut qu'ils y aillent.
33:16 Mauritsch toujours bien placé pour l'instant.
33:21 Sebi Seger en première position maintenant.
33:24 Mauritsch dans la roue de Michel Katovski.
33:26 1,8 km de la ligne. Dorian Godon aux alentours de la 15e position.
33:31 Et Maren Vandenberghe qui a pris la roue de Mauritsch également.
33:35 C'est pour ça que Bi Seger est en train de travailler.
33:37 Petite information. Ah Almeida qui est remonté. Il était mal positionné.
33:41 C'était particulier comme finale.
33:47 Il a de bonnes wheelbarrows, bien placé le coureur de la Soudal.
33:50 Ça parle encore. Regardez Katovski qui parle certainement à ses coéquipiers.
33:54 Mais c'est vrai qu'on est vraiment dans le final là maintenant.
33:56 Ça va se battre pour la roue de Michel Katovski.
34:00 C'est lui le mieux accompagné dans ce final.
34:02 Guérin-Thomas devant Pavel Sivakov pour l'équipe Ineos pour tenter de lancer Michel Katovski.
34:07 Aujourd'hui même Mauritsch est bien là à l'affût.
34:10 Comme convenu. Guérin-Thomas il sait faire.
34:12 Il l'a déjà fait pour emmener des sprints.
34:14 Et dans un faux plan montant comme ça il fait mal à tout le monde.
34:17 Il a encore Pavel Sivakov dans la roue.
34:19 C'est toujours terrible de voir ces coureurs qui essaient de se relancer.
34:25 Ces routes se fermer devant.
34:29 Dernier rond-point. Plus aucune difficulté pour les coureurs maintenant.
34:33 C'est tout droit en faux plan montant.
34:35 Et toujours Guérin-Thomas qui emmène ce groupe.
34:41 Mauritsch qui regarde partout.
34:43 Vandenberg derrière.
34:45 Maïka qui remonte.
34:47 Raphaël Maïka qui remonte en première position.
34:49 João Almeida également toujours présent.
34:51 Les UAE vont tenter d'enfermer les Ineos.
34:56 Mbachka il semble un peu à bloc.
34:59 On va bien le faire sur João Almeida.
35:01 Guérin-Thomas pour l'instant ne s'écarte pas.
35:03 Et Kevin Vauclin aussi qui est bien là.
35:05 Très bien placé.
35:07 Pour l'équipe Arkea à côté de João Almeida.
35:09 Il a Burnwilder dans la roue de Mathia Cataneo sur la droite de la route.
35:11 Qui va tenter de remonter.
35:13 D'ailleurs c'est très bien fait. Bon moment.
35:15 McNulty qui est dans la roue d'Almeida.
35:17 Et attention parce que là ça peut partir de n'importe où.
35:19 Ça va partir du côté de Lewiszewski.
35:21 Mais aussi Sivakov qui est en train toujours d'emmener cette formation.
35:24 On remonte.
35:26 Ineos pour l'instant toujours en tête à 500 mètres à peine de l'arrivée.
35:29 Pavel Sivakov qui fait un énorme travail le français de cette formation.
35:32 Ineos.
35:34 Imaginez le rythme derrière là.
35:36 Vandenberg bien placé. Position idéale dans la roue d'Erich.
35:39 Tout à fait.
35:41 Chute de Burnwilder.
35:43 Grosse chute derrière avec des coureurs qui sont à terre notamment.
35:46 C'est Ilan Burnwilder qui est tombé.
35:48 Et on est en train de lancer pour Marijn Vandenberg.
35:51 Notamment avec Kwiatowski dans la roue.
35:54 Et Mohoric.
35:56 Oh l'écart qu'il a creusé Marijn Vandenberg pour arriver ici.
35:59 Marijn Vandenberg qui va s'imposer sur cette étape.
36:02 Aujourd'hui Mohoric qui termine deuxième et qui va chercher des secondes de bonne discussion.
36:05 6 secondes pour lui.
36:07 Ah oui alors bravo Marijn Vandenberg.
36:09 Incroyable ce sprint à ce moment là.
36:11 Et la chute derrière qui a déstabilisé le milieu de paquet pour ce sprint.
36:16 La leçon finalement, on va en tirer plusieurs enseignements.
36:19 Mais c'est que Mohoric n'aura pas été inquiété.
36:21 C'est lui qui termine premier de ce groupe des leaders.
36:24 Almeida troisième et Michal Kwiatowski quatrième.
36:27 0 secondes de bonification pour Michal Kwiatowski.
36:30 Avec son équipe qui a travaillé tout le final.
36:33 Alors je mettais radio tour en même temps.
36:35 Pendant le sprint on a eu l'explication de par la commissaire et de la présidente du jury.
36:41 C'est tout simplement qu'il y a des coureurs qui étaient retardés, qui étaient attardés.
36:44 Ce circuit faisait 7,4 km à parcourir 3 fois.
36:47 Il y a des coureurs qui étaient distancés, qui se sont retrouvés sur le circuit.
36:50 On a dû arrêter les coureurs.
36:52 Ils seront classés au temps qui a été pris à l'entrée du circuit.
36:57 Ce n'est pas facile quand même.
36:59 Parce que finalement l'information n'était pas...
37:01 Je ne sais pas si elle a été juste pour tout le monde.
37:03 Parce que la faire circuler de manière comme ça.
37:05 Se demander vraiment si on peut y aller, si on ne peut pas y aller.
37:07 Se poser des questions comme ça dans le final.
37:09 Ce n'est pas évident.
37:10 On regarde le sprint puis on en reparle juste après.
37:12 Messieurs, à nouveau on aperçoit Guéraine Thomas là qui est en train de lancer.
37:15 Vandenberg qui est parfaitement placé derrière.
37:18 Qui est à côté de Maurits.
37:19 Oui, et puis Mathieu Cadenéo qui avait fait un gros travail avec Ilan Vanlwielder dans la roue.
37:24 Plein centre de votre écran.
37:25 Il vient se repositionner dans la roue des coureurs de la formation INEOS.
37:30 On se retourne et regardez, c'est là où il va y avoir cette chute.
37:33 Ilan Vanlwielder qui est en plein centre va venir toucher la roue du coureur devant lui.
37:39 Il va y avoir cette chute qui va complètement tout déstabiliser.
37:41 Regardez, c'est juste à ce moment là.
37:43 Un tout petit peu après.
37:47 C'est le coureur de la groupe à main qui vient le toucher, le déstabiliser.
37:56 Et puis du côté de la formation INEOS, on ne s'est pas retourné.
37:59 Sivakov toujours à bloc, sauf que dans la roue, Michel Kiatowski est légèrement enfermé.
38:03 C'est Vandenberg qui trouve la bonne ouverture.
38:06 Il a finalement été très bien emmené par les coureurs de la formation INEOS.
38:10 Majka pris dans la chute également.
38:13 McNulty, on se fait mal sur ce genre de chute parce qu'on ne s'attend pas du tout à tomber.
38:18 On est en plein sprint.
38:21 Et Mareille Vandenberg qui va s'imposer ici.
38:24 Belle étape, il fallait résister quand même aujourd'hui à cette étape, à ces ascensions.
38:28 Et puis venir s'imposer dans son exercice favori.
38:31 Très clairement le sprint pour Mareille Vandenberg qui était passé par l'équipe continentale,
38:35 Groupama et VDG en 2021, qui est ensuite parti du côté de l'équipe IF.
38:40 Qui avait gagné aussi la première étape de la Route d'Occitanie cette année, Mareille Vandenberg.
38:46 Qu'on avait vu aussi briller sur le région Pays de la Loire-Tour.
38:50 Puisqu'il avait remporté le classement par points notamment.
38:53 Et puis il avait remporté le trophée au 16 Salines.
38:56 C'est une course espagnole de tout début de saison, d'ouverture des débuts de saison.
38:59 Alors là vraiment, oui, il pouvait prendre le temps de se retourner, de souffler, de savourer.
39:04 Quand on voit le sprint qu'il a fait hier face à Olaf Koi et cette entame de virage à 400 mètres.
39:11 Là il était dans la position idéale, dans la roue de Michel Kiatowski.
39:15 Et Ilan Van Wilder qui a tenté de repasser.
39:18 Il avait trois coureurs de la formation INEOS devant lui.
39:20 Finalement c'était lui le quatrième homme de la formation INEOS.
39:24 Finalement Matej Moric aurait dû choisir le côté droit.
39:27 On le voit, il tente de jauger.
39:30 Et au moment où le sprint est lancé, finalement c'est trop tard.
39:33 Il a su super bien jouer aussi devant Dan Merckx.
39:35 Parce qu'on l'a vu plusieurs fois, on l'a pointé ensemble Johan.
39:38 On l'a pointé plusieurs fois dans la roue de Moric.
39:40 Et là il a réussi avant le final à passer devant lui.
39:43 Et quand il démarre, il n'y a rien à faire.
39:44 Il n'y a pas photo.
39:45 Il n'y a pas photo, vu des lycônes, c'est assez impressionnant.
39:48 Donc voilà, il était une jambe au-dessus dans ce final.
39:50 Après je pense qu'il a aussi profité de ce temps d'accalmie, cette hésitation au pied de la bosse.
39:56 Du coup on était encore un petit peu plus dans sa filière, c'est-à-dire Sprinter, Explosive.
40:02 Donc voilà, il a su profiter de cette petite temporisation également au pied de la dernière ascension.
40:09 Alors pour l'instant, à vérifier, mais on annonce une cassure juste derrière Joao Almeida.
40:14 Donc entre Almeida et Kwiatowski que vous apercevez derrière.
40:18 On mettrait une seconde, mais alors je ne suis pas sûre, c'est évidemment à vérifier.
40:22 Je pense que c'est du conditionnel, parce qu'il se fait vraiment sauter sur la ligne par Almeida, Kwiatowski.
40:27 Et puis il y a eu cette chute.
40:29 Donc à voir ce que les commissaires vont décider.
40:31 Oui, bien sûr, évidemment.
40:33 En tout cas, Fischer Black termine 5e, Kroon 6e, Igita 7e, Lewis Askey pour la groupe AMA FDG 8e, Scaroni pour Astana 9e.
40:41 Et puis derrière, on compte encore une seconde d'écart sur un groupe avec Budzinski Only,
40:46 notamment Dorion Godon qui termine 15e de cette étape.
40:49 Il s'est passé beaucoup de choses quand même dans ces tout derniers kilomètres.
40:52 Et on va évidemment en reparler.
40:55 On va revoir la chute j'imagine aussi, pour essayer de comprendre ce qui s'est passé.
40:58 Prendre aussi des nouvelles des coureurs qui ont été impliqués.
41:01 La voilà cette étape.
41:03 Non, non, on la compte bien cette seconde.
41:05 Regardez.
41:06 Ça reste du provisoire normalement.
41:11 Mais bon, à voir ce que les commissaires vont décider avec la chute.
41:16 Ça a forcément eu une incidence.
41:18 Cette chute et puis aussi ce moment de flottement qui a été quand même décisif, je pense, dans l'emballage final.
41:23 Avec une certaine forme d'incompréhension.
41:25 On a vu Michael Scherel se porter à hauteur de Guérin Thomas.
41:28 Certains pensaient que la course était neutralisée.
41:30 Est-ce qu'on peut avoir des coureurs qui réagissent ce soir et qui précisent que par exemple, c'était pas très juste ?
41:36 Est-ce qu'on peut penser qu'il y a quelque chose d'injuste qui vient de se passer ?
41:39 On en a parlé tout à l'heure en disant que pour les derniers, il ne fallait pas traîner d'arriver sur le circuit.
41:45 Un circuit en ville assez court.
41:47 Et puis voilà, c'est ce qui s'est passé.
41:50 Heureusement qu'il n'y a pas eu de la course en amont.
41:52 Ou peut-être pas, parce qu'on aurait pu réagir.
41:56 Mais en tout cas, c'est sûr que ça allait être compliqué avec les coureurs qui allaient se faire rattraper.
42:01 Mais surtout, les voitures qui suivent, qu'il faut être en mesure d'arrêter sur un circuit urbain, ce n'est pas toujours évident.
42:08 Ah oui, un bon coup de coude de la part du coureur de la Groupe Amae FDJ avec Ilan Vanwielder.
42:15 On a su rester sur le vélo.
42:17 On le revoit, regardez.
42:18 On est sur la gauche de la route et on vient mettre le coup de coude.
42:21 C'est très limite.
42:23 Et derrière, c'est Andrea Vandramme qui tombe.
42:28 Le coureur italien de la formation AG2R Citroën.
42:31 Lui qui était pourtant bien placé.
42:33 Dorian Gonon qui tente de se relancer.
42:37 Mais cette chute a complètement tout déstabilisé.
42:40 Mais il n'y a pas photo, c'est le plus rapide qui gagne aujourd'hui.
42:43 On l'a vu sur ce démarrage avec cette vue d'hélico.
42:45 Le coureur de la formation EFE Education, au moment où il place son accélération,
42:48 au moment où Sivakov s'écarte, derrière, Michel Kiatowski est incapable de remonter.
42:53 C'est même Matej Mauric qui vient prendre la deuxième place.
42:56 Une jolie victoire de Marijn Van Den Berg.
43:08 Aujourd'hui, et l'enseignement messieurs, c'est Matej Mauric
43:16 qui fait clairement la meilleure opération de la journée.
43:19 Avec le jeu des bonifications, il reprend un petit peu d'avance.
43:23 On sait que le compte à la montre de demain ne va pas normalement.
43:26 Il ne devrait pas y avoir énormément d'écart entre les tout premiers.
43:29 Donc voilà, la bonne opération, c'est Matej Mauric et cette équipe, Marijn Victorius,
43:34 qui n'a pas eu énormément à travailler dans la partie finale de la course.
43:37 J'étais en train de vérifier, mais il me semble bien que c'est la toute première victoire en World Tour
43:41 de Marijn Van Den Berg aujourd'hui.
43:45 Ce coureur néerlandais, est-ce que vous êtes un peu déçu messieurs ?
43:49 Énormément.
43:51 J'enlève le "un peu".
43:53 Non, non, on est déçu forcément.
43:55 On s'attendait à une course un petit peu plus débridée au milieu de l'épreuve
43:59 pour essayer d'estabiliser Mauric en voie sur l'incruste, sur la droite de l'écran.
44:05 Il a pris 22 secondes de bonification au total, sur l'ensemble des coureurs.
44:10 12 sur Almeida, 12 sur Majka, 14 sur Kwiatowski.
44:16 C'est aussi sa pointe de vitesse qui permet ça.
44:18 Oui, oui, c'est que c'est le plus à l'aise.
44:20 Il est à l'aise sur les circuits comme ça, il a montré.
44:23 Mais il aurait eu moyen de le déstabiliser un petit peu plus, du moins son équipe,
44:28 en anticipant un petit peu plus tôt la bagarre du côté de la Ineos ou même de la UAE.
44:35 Quand on voit le collectif UAE, c'est dommage de faire 3, 7 et 12 de l'étape du jour.
44:41 Oui, d'autant plus que désormais, il y a 12 secondes qui séparent Mauric de Almeida.
44:45 Demain, c'est un contre la montre où Mauric est aussi à son avantage.
44:49 Et on n'a pas forcément su bénéficier de l'avantage collectif du côté de la formation Ultimate Emirates
44:56 et même de la formation Ineos, qui a durci, certes, mais dans la dernière difficulté.
45:01 Ils ont condamné l'échappée, mais au final, ils n'ont pas fait la bonne opération du jour
45:07 sur un parcours qui pouvait leur correspondre.
45:10 Pas du tout, même. Ineos, ils ont clairement loupé le coche.
45:14 On écoute le vainqueur du jour, Marijn Vandenberg,
45:17 qui vient chercher sa toute première victoire en World Tour à 24.
45:20 Marijn, félicitations, vous étiez proche hier et aujourd'hui, personne n'a pu vous battre.
45:30 Hier, c'était déjà pas mal.
45:33 Je sais qu'aujourd'hui, ça a l'air difficile.
45:37 Et si j'arrivais à passer les bosses, j'avais une meilleure chance après au sprint.
45:43 Donc j'ai vraiment pensé à ça aujourd'hui, je me suis battu pour ça et le final s'est bien passé.
45:47 Qu'est-ce qui s'est passé dans ces derniers kilomètres, quand on a ralenti du côté des équipes le peloton ?
45:54 Il y avait peut-être une chute d'une moto sur le rond-point,
46:01 donc on essayait plutôt de faire attention.
46:04 Mais après, tout le monde a essayé de continuer à courir, donc on y est allé.
46:09 Comme Olaf Koich hier, vous aussi vous aimez gagner en Pologne.
46:14 Qu'est-ce que ça vous fait ?
46:17 C'est génial de gagner, et bien sûr, ce que j'ai fait là, c'est forcément spécial.
46:26 On voit que ce que vous avez fait cette année, ça vous fait un grand vainqueur.
46:32 Il y avait un camp d'entraînement juste avant, je ne devais pas forcément être là,
46:40 je devais aller au Danemark, mais il y avait un garçon malade, donc je suis là finalement.
46:47 J'ai bien fait, parce que j'ai gagné.
46:50 Il n'a pas dit ça, mais c'est moi qui le dis.
46:53 Marijn van den Berg, qui s'impose aujourd'hui.
46:56 Il est sympa aussi ce geste, parce que ça veut dire beaucoup de ce qu'il a fait, de la stratégie.
47:00 On le rappelle encore, c'est l'étape prenne.
47:02 Si on prend l'étape en dernier lieu, quand on regarde le circuit,
47:05 on se dit que ce n'était pas une grosse étape à aller chercher aujourd'hui.
47:08 Mais avec toute l'ascension et le dénivelé qu'il y a eu aujourd'hui,
47:10 aller chercher ce sprint et faire encore partie de ce groupe des favoris,
47:15 ça veut dire beaucoup sur Marijn van den Berg, qu'on connaissait déjà avant.
47:20 Et si on regarde ce qui nous attend demain, messieurs, sur ce contre la montre,
47:25 dont Matthijs Vommerich est maintenant le grand favori.
47:28 Non, je plaisante.
47:29 Allez, on va le regarder. 16 kilomètres et une mini-bosse.
47:33 Oui, une mini-bosse au milieu du parcours.
47:36 Ce ne sera pas forcément le terrain d'expression des sprinteurs.
47:39 Mais il va y avoir une belle explication pour le classement général,
47:42 puisque tout se tient dans un mouchoir de poche.
47:45 16 kilomètres, c'est long et court à la fois.
47:48 Il va falloir faire parler à la fraîcheur.
47:50 Il n'y a pas trop de technicité sur ce parcours.
47:53 Des longues lignes droites, des passages en forêt.
47:56 Et surtout, un exercice qui est affectionné par certains plus que d'autres.
48:02 Pour le classement général, on parle bien évidemment de Matthijs Vommerich.
48:05 Rafael Maschka, c'est certainement ce qui va lui faire des faux, mais il est chez lui.
48:09 Ça va être certainement demain, là où on va voir qui peut gagner ce tour de Pologne.
48:18 Même si on rappelle que la dernière étape à Krakowie, parfois, réserve des surprises.
48:23 Mais contre la montre, intéressant.
48:25 Alors, je vous repose la même question que tout à l'heure.
48:29 Mais est-ce que Vommerich est bien parti pour remporter ce tour de Pologne ?
48:35 Oui, il est bien parti, mais tout comme Jawa Almeida, Kwiatowski,
48:41 et tous les coureurs qui sont dans les tout premiers du classement général.
48:47 C'est Maschka qui est reculé aujourd'hui.
48:50 Oui, Maschka a été pris.
48:52 Le classement, il va falloir attendre un petit peu pour voir le classement officiel.
48:55 C'est ce que les commissaires vont décider, parce qu'il a été pris dans la chute.
48:58 Il a été gêné le long des barrières.
49:00 Également, McNulty a été gêné.
49:02 C'est Fischer, Dunbar, il y a pas mal de coureurs des dix premiers qui ont été gênés.
49:08 Donc, à voir le classement officiel dans la soirée,
49:11 quand les commissaires vont décider quel temps attribuer à tous ces coureurs.
49:16 Mais en tout cas, le suspense, il est total.
49:18 Parce que ce qu'on compte, la montre va nous livrer peut-être à un autre leader ou pas.
49:23 Mais en tout cas, ce n'est pas un compte la montre.
49:26 On se dit, lui ou lui, il va écraser et ce sera figé.
49:30 Donc, il y aura du suspense demain pour l'étape et le général.
49:33 Et également, la dernière étape du côté de Krakow avec les Bonif,
49:37 les petits pavés de ville et le circuit urbain.
49:40 Et n'oubliez pas l'équipe du soir à 18h30, tout à l'heure autour de Giovanni Castaldi.
49:44 Et puis, tout à l'heure, même dans très peu de temps maintenant,
49:47 et puis le Tour de Pologne, cette sixième étape, ce compte la montre
49:50 qui sera très important pour le classement général.
49:53 Ce sera à partir de 13h30 également demain.
49:56 Est-ce que vous voyez Maurizio Ciaz battu demain, Johan ?
49:58 J'ai du mal à le voir battu.
49:59 Quand on voit son comportement tout au long de l'étape,
50:02 demain, c'est un chrono rectiligne.
50:04 C'est un coureur qui aime les efforts solitaires.
50:08 Souvent, quand il est échappé, d'ailleurs, il gagne, il gagne tout seul.
50:11 C'est quasiment 50% du temps, ses victoires sont solos.
50:15 Donc, c'est un coureur qui sait faire.
50:16 Il n'a pas trop souffert aujourd'hui.
50:19 Il y aura de la concurrence forcément,
50:21 mais à la limite, c'est bien pour le spectacle.
50:23 Ça va être un chrono à le temps.
50:25 On sait que parfois, il y a des coureurs qui écrasent la concurrence.
50:28 C'est le cas de Filippo Ganna,
50:29 quoique encore cette année, il était un peu en deçà sur certains chronos.
50:33 Demain, ça reste un chrono ouvert.
50:35 Et encore, si, comme le disait Pierre, il y aura cette étape de Krakow,
50:39 peut-être qu'il y aura encore des bonifications à aller chercher
50:42 dans la dernière étape.
50:44 Et ce Tour de Pologne n'est pas fini, loin de là.
50:46 J'ai hâte de voir ce que vont faire les Français, Léni Martinez et Kevin Vauclin,
50:50 également contre la monde.
50:51 Tous les deux, on les surveillera également demain.
50:54 Et cette chute qui est intervenue dans ce final également.
50:58 Et donc la victoire, première victoire en World Tour de Marijn van den Berghe.
51:03 Regardez-le sortir ici de la roue des Ineos.
51:06 Regardez Michel Kwiatkowski derrière, serrer les dents,
51:09 tirer la langue pour tout faire pour que l'élastique ne craque pas.
51:12 Il finira par craquer pour voir Marijn van den Berghe s'imposer.
51:15 Merci d'avoir été avec nous.
51:17 A demain, rendez-vous avec l'équipe du soir à 18h30.
51:20 Passez une magnifique soirée.
51:22 Pierre et Yoann également.
51:23 Bonne soirée.
51:24 Au revoir.
51:25 [Musique]

Recommandations