RTG DU 11 AOUT 2023 |www.rtgguinee.info|

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Transcript
00:00 Bonsoir à tous et merci de nous préférer au sommaire de cette édition.
00:15 Journée pluvieuse à Conakry.
00:17 Ce vendredi, les fortes précipitations ont provoqué des inondations.
00:20 Des cas de mort sont signalés et des dégâts matériels chez certains habitants des zones
00:25 inondées.
00:26 Les réactions des habitants de ces zones inondées ont été très agressives.
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13:28 Les réactions des habitants de ces zones inondées ont été très agressives.
13:31 Les accords établissent des conditions clés, y compris les paramètres techniques et économiques de l'infrastructure,
13:36 le régime fiscal, la question de l'accès prioritaire, les principes tarifaires et l'accès des tiers.
13:44 Et j'espère qu'à la fin de cet exercice, toutes les structures et les parties impliquées dans ce travail
13:52 En tant que partenaire, Rio Tinto win une consortium,
13:57 En tant que partenaire, Rio Tinto win une consortium,
14:01 et la République de Guinée, nous apportons nos forces et notre expérience complémentaire à ce projet UDI,
14:09 mais aussi qui a des défis majeurs.
14:12 Donc il s'agit d'un projet d'un effet d'intégration,
14:15 réunissant des partenaires anglo-australiens, chinois et guinéens.
14:20 Le projet Simandou délivrera des résultats de développement économique pour la Guinée,
14:24 tout en contribuant à la croissance économique de la région et de l'ensemble du continent africain.
14:29 Il a également le potentiel d'être un modèle de développement durable
14:33 qui contribuera aux efforts de décarbonisation de l'industrie de l'acier.
14:37 Il s'agira du plus important investissement dans une mine vierge et des infrastructures connexes en Afrique,
14:45 avec plus de 600 km de voies ferrées traversant le pays
14:49 et des installations portuaires pouvant apporter une contribution significative au développement économique de la Guinée.
14:56 La signature d'aujourd'hui témoigne de notre engagement à regarder l'avenir et à aller de l'avant avec fierté et détermination
15:05 pour transformer un rêve en réalité, en réalisant le projet Simandou au profit du peuple guinéen.
15:11 Je suis très heureux d'être ici pour assister à la signature du deuxième document du projet Simandou,
15:18 qui est le document le plus important, la Convention de co-développement, ceci après 18 mois de négociation.
15:24 Nous apprécions la détermination sans faille du Président de la République, son Excellence le Colonel Mohamed Yidroubouia.
15:31 Ceci est un excellent projet. Nous avons déjà construit près de 25% des tunnels
15:36 et nous avons déjà produit pour au moins 45% des piliers de fondation.
15:41 C'est mon engagement personnel.
15:46 Je partenais à partir d'aujourd'hui, à partir de maintenant, à partir de ce moment.
15:55 Nous sommes ensemble. Il n'y a pas toutes les bêtises. Il n'y a pas tous les fins.
16:04 Nous travaillons ensemble. Nous vivrons ensemble.
16:09 C'est un grand honneur pour moi de représenter China Baowu à la cérémonie de signature des documents de cet important projet Simandou.
16:19 Dans les prochaines années, nous continuons à travailler ensemble pour réaliser nos promesses au gouvernement guinéen, au peuple guinéen, à nos actionnaires.
16:27 La signature de l'accord d'aujourd'hui renforce la détermination de Baowu d'accélérer le projet en Chine.
16:34 En tant que représentant d'une entreprise chinoise, nous chérissons l'amitié traditionnelle entre la Chine et la Guinée
16:41 et nous espérons sincèrement, dans ce pays plein de potentiel, le projet Simandou perpétuera notre amitié traditionnelle.
16:48 Aujourd'hui, nous partageons la joie et assurons la responsabilité.
16:52 Et dans notre coopération future, nous défendrons les concepts et principes de respect mutuel, d'équité et de coopération gagnant-gagnant.
17:00 Le président du conseil d'administration du comité stratégique a exprimé sa gratitude envers le chef de l'État pour sa confiance et sa vision en soulignant l'importance du contenu local.
17:12 Le projet est en cours de réalisation, donc c'est une réalité. Le résultat sera le projet beaucoup plus compétitif, ça réduit le CAPEX et donc ça sera rentable pour le bénéfice de tous les partenaires de l'État guinéen.
17:26 Par ailleurs, l'avantage de ce projet qui est aujourd'hui, c'est qu'il va permettre de... c'est un catalyseur pour le développement économique du pays.
17:36 C'est-à-dire qu'il va libérer un potentiel agricole au long du corridor, il va permettre la réalisation d'un parc industriel dans la zone portuaire
17:45 et il va permettre également de créer une chaîne logistique, parce que c'est une chemin de fer de 657 km et qui rouennera environ 400 km du Mali.
17:55 Donc ça permet de créer d'autres opportunités pour les acteurs économiques du pays, mais également ça permet de réduire les attentes de la Guinée juste vers les projets miniers.
18:08 Il faut louer le leadership du président de la République. Simandou, c'est dix fois le PIB de la Guinée que cela va générer.
18:20 C'est 15 milliards de dollars de CAPEX. C'est tous les Guinéens, toute l'Afrique qui va s'en sortir victorieuses.
18:27 Faire partie de ceux qui ont piloté ce projet et géré ce projet devrait être considéré comme une remarquable baraka.
18:37 Pour cela, je ne cesserai jamais de remercier le président de la République de nous avoir fait confiance, de nous avoir associés à ce projet.
18:45 Nous sommes 13 millions de Guinéens. Je voudrais remercier le ministre-directeur de cabinet, qui a une patience que moi, qui suis beaucoup plus son aîné, je n'ai pas.
18:56 Il a cette patience, il a la patience du leader, il a l'écoute.
19:01 Après la signature des documents, les partenaires miniers ont mis en avant leur engagement en faveur d'un développement durable et responsable,
19:09 en mettant particulièrement l'accent sur la protection de l'environnement, l'impact social et la croissance économique locale.
19:17 Donc les prochaines étapes pour nous, c'est d'accélérer le projet. En ce moment, nous avons plus de 3 000 employés.
19:26 Donc dans les mois à venir, nous comptons doubler ça, ou même tripler, autour de 6 000 employés.
19:33 Donc pour nous, le plus important, c'est de recommencer les travaux et accélérer les choses sur le terrain.
19:41 Winning Consortium Simandou est déjà dans la dynamique de l'après.
19:45 Aujourd'hui, nous avons déjà plus de 10 000 employés qui sont en train d'œuvrer nuit et jour sur les différents lieux du projet.
19:51 La prochaine étape, c'est de continuer cet investissement humain et en ressources le long du projet.
19:56 Pour nous, à Winning Consortium Simandou, nous allons essentiellement mettre l'accent sur les normes SG, environnement, social et gouvernance.
20:05 A la suite de cela, nous allons aussi mettre un accent particulier sur le contenu local,
20:09 pour qu'effectivement l'essentiel de la population guinéenne puisse profiter des retombées de cet immense et gigantesque projet, qui est le projet Simandou.
20:16 C'est avec un grand honneur que BAU a rejoint le gouvernement guinéen pour le projet Simandou,
20:22 mais aussi aux côtés des autres partenaires industriels pour le projet Simandou.
20:26 Et nous croyons aussi que le contenu local bénéficiera à tout le peuple du Guinée.
20:31 En conclusion, le président du comité stratégique de suivi du projet Simandou, Djibadja Kite, a rappelé les défis à relever et les retombées attendues.
20:42 Il a réaffirmé que la signature de ces accords fondateurs marque une étape cruciale dans le projet Simandou,
20:48 promettant de stimuler l'économie locale, de créer des opportunités et de transformer durablement la vie des Guinéens.
20:56 Nous allons réaliser le projet Simandou avec les partenaires stratégiques comme Rio Tinto, comme Winning Consortium de Simandou,
21:04 mais également autour aussi de l'acceptation de l'arrivée d'un partenaire extrêmement important,
21:13 qui est le géant chinois de l'acier, Bao, pour pouvoir nous aider à accélérer très rapidement le financement du projet.
21:23 Avec la compagnie du Transguinéen, nous essayons de mettre des mécanismes en place pour que le projet Simandou puisse avoir des impacts attendus directement sur la population.
21:35 Ça c'est la première phase. Il y a une seconde phase de ce projet qui, pour le coup, va prendre suffisamment de temps, c'est la phase d'exploitation du projet.
21:46 Dans cette phase, il y a aussi des éléments importants qui viennent directement des instructions du chef de l'État,
21:54 c'est comment garantir les aspects stratégiques de gouvernance du projet, comment garantir que les ressources issues de l'exploitation du projet puissent avoir des impacts directs sur la population,
22:12 mais également tenir en compte tous les enjeux stratégiques, que ce soit des relations bilatérales à travers les différents pays, les différents partenaires,
22:27 pour que chacun puisse avoir apporté en tout cas sa contribution dans cette phase-là.
22:34 Vous l'aurez compris, Simandou, l'un des rêves les plus fous que nous avons, c'est que nous puissions par exemple prendre, pourquoi pas, les produits agricoles des Érythrée-Courée jusqu'à Mourbaïa,
22:47 vers le corridor, créer de nouvelles villes, créer de nouvelles routes, créer tout un écosystème de zones économiques spéciales autour de ce projet, afin que la vision du chef de l'État puisse être matérialisée.
23:06 Il est important de noter que, conformément à la vision du président de la République, le colonel Mamadi Doumbouya, vision mise en action par Dibayagite,
23:15 le co-développement du projet Simandou n'est pas un choix, mais un impératif dans l'intérêt de toutes les parties prenantes.
23:23 Les accords clés signés ce jeudi 10 août doivent être ratifiés par le gouvernement guénais.
23:34 Et puis le ministre de l'Économie et des Finances invite les sociétés publiques mixtes et à participation minoritaire de l'État au paiement des dividendes revenant à l'État au titre de l'exercice 2022.
23:51 Il est important de rappeler que les dividendes sont régulièrement dus à l'issue de la tenue des assemblées générales ordinaires de ces sociétés, chaque année au plus tard le 30 juin.
24:04 Pour le respect de ces dispositions réglementaires, il est demandé à toutes les sociétés publiques mixtes et à participation minoritaire de l'État de procéder au paiement à la Direction générale du Trésor et de la comptabilité publique des dividendes dus à l'État au titre de l'exercice 2022, au plus tard le vendredi 30 septembre 2023.
24:30 Passé ce délai, des mesures pécuniaires et administratives seront prises par la Direction générale du patrimoine de l'État et des investissements privés à l'encontre des sociétés défaillantes, notamment des pénalités de retard conformément à la réglementation en vigueur.
24:50 Concernant les dividendes non payés au titre des exercices antérieurs à 2022, les sociétés concernées doivent prendre des dispositions urgentes pour procéder à leur régularisation.
25:05 A défaut, l'Inspection générale des finances procédera au contrôle nécessaire afin d'appliquer avec fermeté les sanctions prévues en la matière.
25:17 Le ministre de l'économie et des finances s'est compté sur la responsabilité des sociétés pour le paiement des dividendes non recouvrés.
25:28 Dans l'actualité encore, renforcement de capacités au niveau des forces de défense et de sécurité.
25:35 Des officiers stagiaires ont reçu leur diplôme de fin de stage.
25:40 Il s'agit de la deuxième promotion de l'école d'état-major de Guinée.
25:44 Ils sont désormais qualifiés dans la gestion d'une unité d'état-major.
25:50 La cérémonie était présidée par le ministre d'État, ministre de la Défense nationale.
25:56 Le compte rendu avec le capitaine Fodé Aboubakar Bangoura.
26:00 Après neuf mois de cours intenses dans cette nouvelle école d'état-major de Guinée,
26:07 ces 28 officiers stagiaires venus de différents corps de l'armée guinéenne reçoivent leur diplôme de fin de stage.
26:14 Cette deuxième promotion est la véritable cheville ouvrière auprès du commandement.
26:19 Elle constitue un outil d'aide à la décision.
26:22 Elle porte désormais le nom du général de deuxième section, Amadou Kaba, ex-directeur général de la DOPEF,
26:29 membre de la commission de défense et sécurité du conseil national de transition, CT.
26:35 Cette promotion a suivi avec satisfaction
26:39 tout le programme de l'enseignement militaire du premier degré mis en place à l'école.
26:46 Ce programme, reparti sur 38 semaines, est articulé en sept modules,
26:56 dont l'enseignement opérationnel, les techniques et procédures d'état-major,
27:05 les opérations de soutien à la paix,
27:09 ainsi que d'autres savoirs, y compris l'élaboration des mémoires de fins de formation.
27:18 Il faut noter le montage des exercices tactiques purement guinéens,
27:24 montés et joués sur le terrain guinéen, en tenant compte des défis sécuritaires guinéens.
27:32 Désormais, vous êtes outillés pour travailler dans un état-major,
27:36 qu'il soit national ou multinational.
27:39 Vous êtes les indiens du chef.
27:42 Je suis particulièrement honoré de m'adresser à vous en ce jour
27:45 marquant la fin de stage de la deuxième promotion du cours d'état-major,
27:49 organisée dans notre pays, dans un cadre entièrement dédié
27:53 et avec un encadrement composé uniquement du cadre guinéen.
27:58 C'est en 2007 que la Guinée a connu sa première promotion d'officier d'état-major,
28:03 logé dans l'ancienne de l'école militaire interarmée, EMIA, avec un faible effectif.
28:08 Grâce aux efforts du Comité national du rassemblement pour le développement,
28:12 CNRD, et de son président, le colonel Mamadi Doumbouya, chef suprême des armées,
28:18 les officiers de l'armée guinéenne peuvent désormais suivre ce stage sur place.
28:23 Il y a un an, nous étions là, cette école était un rêve.
28:28 Cette école est la première depuis l'indépendance de la République de Guinée.
28:33 Le colonel a eu le courage politique, intellectuel, militaire,
28:39 de créer en une seule année quatre écoles en République de Guinée.
28:45 Depuis la prise du pouvoir par le CNRD, la formation et la qualification du personnel militaire
28:51 suit une courbe ascendante.
28:54 L'hierarchie militaire compte mettre en place une armée bien formée,
28:58 prête à répondre aux attentes du peuple.
29:01 Lancement aussi ce vendredi du concours d'accès aux classes préparatoires
29:08 aux grandes écoles de Dalaba et de l'Institut Polytechnique Félix-Ouphète-Bagné de Yamoskoura,
29:14 en Côte d'Ivoire. Cette année, le concours a connu 512 candidats
29:19 et seulement les 50 meilleurs seront retenus, à savoir 40 places pour l'école de Dalaba
29:26 et les 10 autres pour la Côte d'Ivoire.
29:29 Reportage Mounir Bari.
29:31 C'est un concours national pour former l'élite qui doit répondre à la problématique du capital humain
29:37 dans le processus de développement du pays voulu par les autorités de la transition.
29:43 Le ministère de l'Enseignement supérieur a déjà lancé les travaux de construction
29:48 de classes préparatoires aux grandes écoles dans la préfecture de Dalaba.
29:53 Un chantier qui sera opérationnel au mois de septembre prochain.
29:58 Les meilleurs bacheliers qui seront récrutés après ce concours suivront les cours de l'ingénierie
30:04 dans cette école de grande rénomme.
30:07 Ce projet est aujourd'hui une initiative présidentielle de pouvoir ouvrir les classes cette année
30:12 et de pouvoir offrir une formation de qualité en Guinée
30:16 et pousser les jeunes guineyens à se former après avoir l'accès aux plus grandes écoles d'ingénieurs du monde,
30:22 aux plus grandes écoles d'administration, de commerce.
30:26 Et la finalité de cela, c'est de venir et de servir la République avec patriotisme et avec amour.
30:32 Même des lauréats qui ont déjà des bourses dans leurs mains pour d'autres pays
30:37 sont ici, sont présentement en salle pour passer ces épreuves-là.
30:41 Depuis 2017, la Guinée, en collaboration avec les autorités ouvariennes,
30:46 s'avertit à former des ingénieurs de haut niveau.
30:49 Cette année, ils sont pris des 500 candidats qui caressent l'horaire de fêtes carrières dans le domaine de l'ingénierie.
30:57 Cette année, c'est un grand défi parce que généralement, on est habitué à une centaine de candidats.
31:02 Et cette année, on a plus de 500 candidats.
31:05 Et nous espérons tirer les meilleurs candidats pour intégrer les classes préparatoires l'année prochaine.
31:10 Cette année, nous souhaitons ouvrir la filière MPSI.
31:14 Et c'est la même pour laquelle nous envoyons des étudiants à Yamoussoukro.
31:19 Mais en collaboration avec cette institution, Sœur de la Côte d'Ivoire, nous avons co-organisé ce concours.
31:25 La particularité des classes préparatoires, c'est que nous allons prendre nos étudiants en régime internal,
31:31 c'est-à-dire qu'ils vont être logés et nourris, et avoir des conditions minimales, n'est-ce pas,
31:36 ou au maximum de vie possible dans le campus et d'apprentissage qui leur permettent d'être parmi l'élite de l'intelligence de notre pays.
31:44 Avec la construction des classes préparatoires aux grandes écoles,
31:48 à Dalaba, la première promotion sera reçue cette année pour se préparer aux grandes écoles d'ingénierie au monde.
31:54 J'aime défier, en fait. C'est ce qui m'a un peu poussée à faire ce concours.
31:59 Je pense qu'avec ce concours, je peux réaliser mes rêves avec les grandes écoles
32:05 pour me préparer pour être une meilleure ingénieure.
32:08 Après ce concours, dans les domaines comme la culture générale, anglais, sciences et mathématiques,
32:14 les meilleurs seront déployés, 40 à Dalaba et les 18 à l'Institut national polytechnique au Feuillboigny de la Côte d'Ivoire.
32:24 Et puis les lauréats de la journée des élites de l'école guinéenne ont été également reçus ce matin par le ministre Guillaume Hawing
32:34 pour les mots d'encouragement du gouvernement.
32:37 L'initiative est présidentielle et elle vise à reconnaître le mérite pour ressortir la valeur intrinsèque des élèves
32:45 afin de créer l'émulation dans les écoles.
32:48 Abdelaziz Baldé.
32:50 Ils sont tous des lauréats aux différents examens nationaux session 2023.
32:55 À la veille donc de l'ouverture de la journée des élites guinéennes, ces jeunes champions visitent quelques départements ministériels.
33:02 Le ministre de l'enseignement préuniversitaire est le premier à accueillir ces majors.
33:06 Ce samedi, le mérite sera reconnu et les lauréats immortalisés.
33:11 C'est cette fière...
33:12 ...que nous voulons que l'école guinéenne embrasse.
33:21 Désormais tous les premiers de la République au baccalauréat et l'enseignement général et franco-arabe
33:27 seront désormais dans un panthéon. Ils auront tous leurs photos là-bas de 58 jusqu'en 2023.
33:35 Et cela sera continuel. Ça c'est au niveau de la République.
33:38 Au niveau du CEE passage en 7ème année, nous avons aussi instruit à nos services déconcentrés
33:46 que les premiers de CEE aient aussi un panthéon.
33:50 De 1985 à nos jours, la Guinée a connu 179 premiers de la République au baccalauréat pour seulement 8 filles.
33:58 Premier de la République en mathématiques, session 2023, Adolphe Irénée Colli des Elysées de Corée garde le trône avec 18,99 de moyenne.
34:08 Aujourd'hui, ce jeune recordman est désigné comme porte-parole des lauréats.
34:12 C'est pour nous un grand honneur d'être récompensé à...
34:15 ...à un niveau d'être reçu par la première autorité du département de l'éducation.
34:28 Donc cela représente beaucoup, beaucoup de choses pour nous.
34:31 Et aussi, demain, nous serons immortalisés, comme il l'a dit.
34:36 Et je rappelle cette pensée qui dit que l'homme ne peut dépasser sa condition mortelle que par l'art ou la révolution.
34:42 C'est-à-dire en accomplissant quelque chose dont la portée excède celle de son existence particulière.
34:47 Et c'est exactement ce qui est en train de se produire.
34:49 Donc cela ne peut qu'être source de joie et surtout de grand honneur pour nous.
34:54 Faire du mérite quelque chose de beau et de grand.
34:57 De la reconnaissance du mérite à la présentation de la nouvelle plateforme CIGI, système intégré de gestion de l'éducation guinéenne.
35:03 Elle va permettre de maîtriser l'effectif des élèves et faciliter le suivi de la gestion administrative du MEPIA.
35:10 Ce système est un assemblage de plateformes qui nous permet de faire un meilleur pilotage, donc une meilleure gouvernance de notre sous-secteur.
35:18 Il permet de renseigner l'ensemble des élèves que nous avons sur le territoire, donc à travers des écoles.
35:24 À travers donc le système, nous avons une idée précise du nombre d'élèves car ils seront identifiés numériquement.
35:31 Donc du coup, des nombres d'écoles aussi que nous avons sur le territoire public, privé et communautaire.
35:35 Pour une éducation basée sur l'innovation et le numérique, le ministère, à travers la direction générale des examens, met 350 ordinateurs à la disposition des DPE et IRI de la Guinée.
35:46 L'enjeu est de faciliter le traitement des données afin de proclamer les résultats des examens nationaux dans un délai raisonnable.
35:54 Si on maîtrisait, croyez-moi, le mouvement de ces élèves, le passage de ces élèves, on n'allait pas connaître ce qu'on est en train de traverser aujourd'hui.
36:06 Sans les ordinateurs, c'est difficile, c'est compliqué.
36:10 J'ose espérer qu'à travers toute la dynamique que nous sommes en train de mettre sur pied, l'année prochaine, nous réussirons à changer de donne.
36:21 Les bénéficiaires saluent l'acte et s'engagent à promouvoir le mérite et l'excellence dans le milieu scolaire.
36:28 Je vous l'annonçais aussi dans le titre des pluies d'Olivier, elles ont été enregistrées ce vendredi à Conakry, après Koya et Kindia ces derniers jours.
36:39 La capitale et ses périphéries se sont réveillées les pieds dans l'eau. La forte pluie qui s'est abattue a occasionné des cas de mort et des dégâts matériels importants.
36:51 Madame Bangura Kayatou Sylla, en service à la Banque Centrale, emportée par les eaux à Kobaya, fait partie des victimes de cette autre inondation.
37:02 Reportage Foudé Kamara, Daouda Tabansila.
37:06 Ce vendredi, les eaux torrentielles ont pris d'assaut la chaussée et ont empêché les citoyens de se déplacer à quelques endroits.
37:14 Des routes recouvertes des eaux torrentielles, des ponts submergés, comme ici à Kobaya, où la dame Kayatou Sylla, en service à la direction de l'agence principale de la Banque Centrale de la République de Guinée, a perdu la vie dans sa voiture, emportée par les eaux.
37:32 Ici à Kobaya, c'est une voiture qui a été entraînée par le courant d'eau au niveau du pont où nous nous trouvons, qui à l'intérieur, il se trouvait une dame.
37:41 Malheureusement, d'ici l'arrivée de l'hôpital, la dame a rendu l'âme. Le véhicule a été repêché, c'est ce que vous avez trouvé sur le lieu.
37:47 Ça a parti de 5h36, il y avait beaucoup de faute de la pluie. Moi, je n'ai pas dormi, mais ici, il n'y avait pas d'eau.
37:55 Jusqu'à 5h36, l'eau avait sauté au pont. Quand l'eau a commencé à sauter, la femme est venue de Kobaya.
38:05 Il y avait une pick-up qui était venue. Quand la pick-up est passée, la femme aussi a suivi la pick-up.
38:09 Les gens ont crié maintenant "Faut pas venir, faut pas venir", et là, on fonce.
38:13 Donc, quand la pick-up est passée, elle n'a pas pu passer. Elle avait pu descendre. Ça a parti de là-bas, c'est arrêté.
38:19 À ce moment-là, il y avait l'eau même, on ne le voit même pas dans la voiture. Nous-mêmes, on pensait qu'il y avait deux personnes.
38:25 C'est par après, quand l'eau est calmée, il y a des jeunes volontaires qui sont venus faire sortir de la voiture.
38:31 Maintenant, c'est là qu'on a su qu'elle était seule. À partir de son carte dentaire, on a pu appeler là où il travaille, la banque centrale.
38:38 C'est eux qui nous ont dit maintenant qu'elle était habituée de conduire sa voiture.
38:42 Mais par après, les gens sont venus. On a su maintenant que c'était une citoyenne de Kobaya. C'est notre citoyen.
38:48 À l'image de Kobaya, des inondations sont également enregistrées à Lambagny, Kisoso et en Tannour, Tessis.
38:55 Par rapport à ce que nous avons tous fait comme constat, on a d'abord deux cas de dégâts humains.
39:01 Une dame vieille qui est là au bord de la route, au niveau du poteau Hariba.
39:05 Et là où nous sommes maintenant dans la concession de M. Souman, il y a un autre cas.
39:09 Et plus grave, c'est un enfant, c'est le mur qui est tombé sur lui.
39:12 Après le constat et d'autres dénonciations que les citoyens, particulièrement les concessionnaires, ont fait,
39:18 c'est des caniveaux qu'on a pris ailleurs et on a vraiment diluanté vers eux.
39:22 Les citoyens ont vraiment peur. C'est pas la première fois, je vous informe.
39:26 Moi, je suis un observateur. J'ai observé une première fois, une deuxième, une troisième fois.
39:30 Alors c'est ce qu'on veut expliquer à l'autorité, c'est de nous aider vraiment à gérer les caniveaux et sauver les vies.
39:37 Partout, d'importants dégâts sont signalés. Des maisons englouties, des véhicules immobilisés et piégés par les eaux d'huiluvienne.
39:46 Un phénomène qui interpelle pour le respect scrupuleux de quelques principes basiques.
39:51 L'inondation, là d'abord, il y a les fortes pluies, il faut reconnaître. Il y a aussi les bafons.
39:55 Par exemple, l'ambaï, qu'on dit, qui signifie bafon, c'est la jaune qui est au bafon.
39:59 Donc quand ça déborde, ça va toujours inonder.
40:02 Et il y a des zones aussi qui ne sont pas habitables où les gens ont construit.
40:06 Il y a aussi des fosses qui sont été bouchées par les saletés, les déchets, je ne sais pas.
40:11 Là, l'inondation est partout, donc ce n'est pas le seul secteur.
40:14 Tout ce qu'on a cru, à Kagbelé, à Yataya, à Kobaya, à Lammaï, donc on ne peut citer que ceci.
40:19 Partout, c'est les mêmes constats.
40:21 Aujourd'hui, il ne s'agit pas seulement de ce quartier, mais de tous les secteurs.
40:24 Il faut que les populations comprennent que lorsque vous vous installez dans une zone inondable,
40:30 vous empêchez les eaux de ruissellement de circuler normalement,
40:34 le seul recours, c'est d'empêcher que la situation-là crée des inondations.
40:41 Ça veut dire quoi ?
40:43 Les dispositions sont prises pour que là où il faut dégager les emprises, le dégagement soit fait.
40:49 Pour que les eaux de ruissellement circulent et qu'on évite.
40:53 Il faut qu'on arrête d'occuper les emprises.
40:55 On ne peut pas occuper les emprises et penser qu'on est à risque zéro.
41:00 Le risque zéro n'existe que lorsque les emprises sont dégagées.
41:03 Donc aujourd'hui, les dispositions ont été prises avec les services des infrastructures et des travaux publics
41:09 et les autres services, notamment de l'habitat, pour dégager et permettre la circulation normale des eaux.
41:15 Avec les effets du dérèglement climatique qui s'ajoutent aux conséquences des comportements inciviques
41:20 et autres erreurs d'urbanisation, ces cas récurrents de perte en vie humaine et de dégâts matériels importants
41:27 dans le Grand Conakry invitent à l'action à tous les niveaux de la pyramide sociale des citoyens aux élus locaux.
41:35 Les fortes pluies continuent donc de s'abattre sur Conakry avec des conséquences dévastatrices.
41:44 Le décès de cette femme emportée par les eaux à Kobaya a aussitôt mobilisé le gouvernement.
41:51 Une délégation composée de l'administration du territoire et de la décentralisation et celui des infrastructures
41:59 s'est rendue dans la famille mortière pour présenter les condoléances du gouvernement.
42:05 Reportage Omar Barri.
42:10 Plusieurs concessions ont été inondées dans la nuit du 10 au 11 août 2023 à Lambany et Kobaya dans la commune de Ratoma.
42:20 Selon des victimes, c'est la rivière qui sépare ces deux quartiers qui est sortie de son lit créant ainsi des inondations ça et là.
42:29 Ces inondations ont causé des dégâts matériels importants et une perte en vie humaine.
42:35 Selon des témoins, les eaux furieuses ont endommagé des biens et emporté des véhicules.
42:42 C'est dans cette douloureuse circonstance qu'une dame a perdu la vie.
42:46 On nous a interpellé qu'il y a une voiture qui a coulé et du coup il y avait une forte pluie qui tombait en ce moment.
42:53 Et de 5h jusqu'à 7h on essayait d'identifier la voiture, on n'avait pas pu parce que la voiture était complètement noyée.
43:00 Et donc il nous a fallu des heures pour qu'on puisse au moins repérer la voiture.
43:06 Donc dès que l'un de nous a aperçu la voiture, au moment où j'essayais de secourir la dame quand même,
43:13 en ce moment j'avais l'espoir quand même qu'elle pouvait survivre.
43:17 Mais bon, Dieu l'a pas voulu.
43:19 Donc sur les papiers qu'on a retrouvés dans la voiture, elle se nommait Kadia Tussila.
43:25 Aussitôt informé, le ministre de l'administration du territoire et de la décentralisation
43:31 et celui des infrastructures et des travaux publics, dans un élan de compassion,
43:36 se sont rendus sur les lieux pour reconforter les sinistrés
43:40 et présenter les condoléances du chef de l'Etat et du gouvernement à la famille de la victime.
43:46 Ce qu'on peut retenir, comme vous l'avez constaté, au niveau de la zone de Kobaya,
43:50 le pont qui relie le quartier de la Mairie et Kobaya a été inondé ce matin.
43:55 Et la police avait fait des alertes par rapport à la mobilité des citoyens.
44:01 Et malheureusement, notre soeur, notre maman, qui était en partance pour son lieu de travail,
44:08 a connu une panne après avoir tenté de traverser le pont, qui était déjà inondé.
44:15 Et la voiture a été drainée par l'eau, de récèlement, jusqu'au niveau du lit du cours d'eau.
44:21 Et malheureusement, la mort s'en est suivie.
44:24 Avec l'ensemble des cadres du ministère des Travaux Publics et le ministre,
44:28 nous sommes venus au nom du chef de l'Etat, du monsieur le Premier ministre,
44:33 voir la famille qui a quand même été frappée par cette situation,
44:39 montrer la compassion du gouvernement et toute notre solidarité,
44:43 et montrer à la famille que le gouvernement est à côté d'eux.
44:46 Et pour rappel, l'époux de cette dame est un ancien recommis de l'Etat.
44:52 Il a servi pratiquement au ministère de la Sécurité comme directeur général de la police.
44:57 Donc en temps normal, il serait lui-même sur le terrain aujourd'hui
45:00 en tant qu'agent de protection civile pour sauver d'autres Guénéens.
45:03 Donc nous sommes venus dans la famille pour présenter les condoléances au nom de l'ensemble du gouvernement
45:08 et montrer à la famille que nous sommes solidaires et nous compatissons à leurs douleurs.
45:12 Ces derniers temps, les inondations meurtrières persistent
45:16 entraînant par endroits une vague de destruction d'habitations.
45:19 Dans ce contexte, le ministre des Travaux Publics lance un appel urgent à la prudence pour éviter de futures catastrophes.
45:27 Le message qui est important à passer, c'est la prudence.
45:30 Chaque année, dans des zones inondables, vous avez ce genre de situation.
45:35 Nous invitons la population à plus de prudence et surtout pendant les pluies qui sont abondantes,
45:43 de garder les mesures de précaution, éviter de risquer de traverser des zones où l'eau de ruissellement est très importante
45:56 et ne pas prendre de risques.
45:58 On le voit tous les jours où les automobilistes essayent de prendre des risques.
46:03 Il ne faut pas le faire.
46:05 Lorsque vous sentez que la pluie est abondante, il faut prendre toutes les précautions,
46:13 faire rebrousser chemin ou attendre que le niveau de pluie baisse.
46:18 Depuis les drames survenus à Koya et Kindia le week-end dernier,
46:22 les autorités multiplient les appels à la prudence et à la prévention,
46:27 ainsi qu'à la prise de conscience collective en vue d'adopter des mesures cruciales pour protéger les vies et les biens des populations.
46:36 Il faut préciser que le gouvernement a exprimé sa vive inquiétude suite aux tragiques inondations
46:46 qui ont frappé Konakry, Dubreka et Sigiri, engendrant malheureusement la perte de quatre vies humaines.
46:53 Le gouvernement adresse un message de solidarité et de soutien à tous ceux touchés par ces inondations,
47:00 exprime son empathie profonde à l'endroit des citoyens affectés par la tragédie.
47:06 Ses condoléances attristées vont aux familles et aux proches des victimes.
47:12 Face à cette situation d'urgence, le gouvernement mobilise toutes ses ressources pour apporter secours aux personnes affectées.
47:22 Des équipes de secours ont été dépêchées sur le terrain pour leur apporter assistance
47:28 et une coopération étroite avec les acteurs locaux est mise en place pour assurer une réponse coordonnée et efficace.
47:38 Il convient de souligner que les constructions anarchiques obstruant les voies d'évacuation des eaux
47:45 demeurent parmi les principales causes de ces inondations et restent une préoccupation pour tous.
47:52 Aussi, le gouvernement tient-il à rappeler à tous les citoyens l'importance de respecter les réglementations
48:01 en matière d'aménagement urbain en évitant toute construction dans des zones inondables ou sur les voies d'écoulement des eaux.
48:12 Devant cette situation critique, des mesures immédiates sont prises pour remédier à la problématique des constructions illégales.
48:21 Face à l'urgence, des équipes de démolition seront mobilisées pour dégager tous les obstacles aux canaux d'évacuation des eaux.
48:31 Des inspections et évaluations seront également menées pour identifier et traiter d'autres facteurs contribuant aux inondations.
48:41 De Circroit, le gouvernement enjoint les autorités locales à tous les niveaux d'intensifier les actions de sensibilisation et d'éducation
48:51 afin de conscientiser la population aux dangers potentiels liés aux constructions anarchiques.
48:59 Il appelle les autorités locales à agir promptement et efficacement pour prévenir de telles catastrophes à l'avenir.
49:07 Le gouvernement réitère son engagement pour la sécurité et le bien-être de chaque citoyen
49:14 et mettra tout en œuvre pour soutenir les victimes de ces inondations et travaillera sur le long terme pour réduire les risques
49:23 et accroître la résilience de nos communautés face aux phénomènes naturels.
49:29 Un communiqué signé Mori Konde, ministre de l'Administration du Territoire et de la Décentralisation.
49:35 Célébration amatoto de la journée africaine de l'enregistrement des faits d'État civil,
49:41 une occasion de sensibilisation pour promouvoir ce document juridique auprès des chefs de famille.
49:48 Reportage Moussa Bangoura.
49:50 La journée africaine de l'enregistrement des faits d'État civil et des statistiques de l'État civil a été célébrée sur le continent.
50:02 Ici à Conakry, à la mairie de Matutu, acteurs de la justice, élus à la base et chefs de famille explorent tous les enjeux liés aux réformes engagées par le service de l'État civil, de la commune.
50:18 À date, les résultats sont satisfaisants.
50:22 Il y a beaucoup qui pensent que la déclaration qui a été faite à l'hôpital que c'est l'extrait, alors que ce n'est pas l'extrait.
50:27 L'extrait se prend à l'État civil.
50:29 Donc il y a l'amalgame entre les deux concepts.
50:32 Ceux qui ont leur déclaration à la maison, il ne faut pas qu'ils soient contents de la déclaration qui a été faite à l'hôpital, il faut qu'ils viennent à l'État civil pour arrêter.
50:39 Ça c'est un aspect qui est très important, que les gens ne sont pas informés.
50:42 Donc c'est une occasion de récupérer les enfants, comme je l'ai dit, de zéro à deux mois, qui n'ont pas l'extrait de l'état civil pour qu'on puisse les récupérer.
50:50 Le thème retenu cette année est la digitalisation des systèmes d'enregistrement des faits d'État civil.
50:57 Avec ce thème, les décideurs s'engagent à s'impliquer davantage dans la couverture nationale, tout en améliorant la traçabilité, la qualité et l'actualité des données.
51:09 Aujourd'hui, l'État civil de la commune de Matoto a pris toutes les dispositions pour que nos actes soient reconnus dans toutes les ambassades du pays.
51:21 Et cela est une illustration qui ne passe pas inaperçue, parce que nos documents sont respectés dans les ambassades.
51:32 Imaginez, depuis qu'on a commencé la biométrisation, aujourd'hui nous sommes à 85 000 actes numérisés.
51:43 Et de l'analogie à la numérisation, ce qu'on appelle immigration, nous sommes à 43 000.
51:53 Ça c'est une avancée très significative.
51:56 Un acte de naissance, une identité numérique. A partir de ce slogan, une campagne de sensibilisation est enclenchée.
52:05 Tout enfant doit avoir son excès de naissance à temps. Il ne faut pas attendre.
52:11 D'aller à la justice, ce n'est pas bon.
52:16 Moi qui vous parle, mon excès de naissance n'est pas comme celui d'aujourd'hui, parce que mon excès de naissance n'a pas été enregistré.
52:26 Mais aujourd'hui, ce qui se passe maintenant, l'enregistrement est bien. Et nous sommes très contents.
52:33 Cette campagne de sensibilisation va toucher tous les ménages, où souvent les enfants n'ont pas ce document qui représente leur premier droit.
52:44 Le 12 août de chaque année, l'Humanité célèbre la journée internationale de la jeunesse.
52:52 En Guinée, elle sera célébrée en différé, en Zérécorée et Sigiri le 25 août prochain.
52:58 En prolègue donc à la célébration de cette journée, le ministre de la Jeunesse et des Sports a fait ce vendredi une déclaration.
53:07 Déclaration que je vous propose dans ce commentaire de Djibril Kamara.
53:12 Les compétences vertes pour les jeunes vers un monde durable est le thème de la journée internationale de la jeunesse de cette année.
53:20 En Guinée, le gouvernement de la transition, à travers le ministère de la Jeunesse et des Sports,
53:24 saisit l'occasion pour inviter les jeunes à s'inscrire dans une approche participative pour un développement durable.
53:32 Cette journée d'action permet d'attirer l'attention de la communauté internationale et des gouvernements sur les problématiques liées à la jeunesse,
53:39 mais aussi de mettre en avant le potentiel des jeunes en tant que partenaires de la société d'aujourd'hui.
53:45 Il s'agit pour les jeunes, femmes et hommes, en tant qu'acteurs du changement,
53:50 d'attirer l'attention des autorités sur les défis et les épreuves auxquelles ils sont confrontés.
53:55 Les jeunes de notre pays doivent résolument s'engager pour un changement de mentalité.
54:00 La journée internationale de la jeunesse cherche à connecter les jeunes et les décideurs politiques
54:05 en élan de réponses à certaines questions liées au chômage, à la paix et à l'éducation
54:11 dans un processus de mise en œuvre du nouvel agenda du développement durable.
54:15 En aucun cas, les enjeux du développement et de la paix ne sauraient se gagner sans la participation des jeunes.
54:21 C'est le lieu de remercier le président de la République, chef de l'État,
54:25 son Excellence le Colonel Mahmadi Doumbouya, pour avoir placé la jeunesse dans les priorités de la République.
54:32 À l'heure actuelle, le gouvernement a reçu un document de rémunération
54:37 qui a été publié à l'Assemblée nationale de la jeunesse.
54:40 Le document est un document de rémunération qui a été publié à l'Assemblée nationale de la jeunesse.
54:45 Le document est un document de rémunération qui a été publié à l'Assemblée nationale de la jeunesse.
54:50 Le gouvernement a, à travers mon département et avec l'appui des partenaires techniques et financiers,
54:56 dont l'une des recommandations principales est la mise en place du Conseil national des jeunes,
55:01 qui offre à la jeunesse un espace d'expression et d'action.
55:05 Pour cette plateforme, je suis heureux d'annoncer que le travail à la base est déjà terminé
55:10 et bientôt nous arrivons à l'étape de sa finalisation.
55:13 Cette année, en Guinée, la journée internationale de la jeunesse sera célébrée le 25 août 2023 à Zérékouré et Sigurín.
55:20 Plusieurs activités sont programmées, tels que des panels et des campagnes de reboisement et d'assainissement.
55:27 Sport, la Guinée se qualifie au IHF Trophy Challenge.
55:35 Les cadets et les juniors ont terrassé leur adversaire.
55:39 Les filles guinéennes très déterminées ont hissé très haut le tricolore national.
55:45 Reportage Bintia Konde.
55:48 Les cadettes guinéennes affrontaient Madagascar pour leur troisième sortie au tournoi continental d'Abidjan.
55:55 Après sa victoire contre le Rwanda, l'équipe guinéenne ne lâche pas brise dans cette compétition qui réunit les champions des différentes zones.
56:03 Le Silihan Balkade impose dès les premières minutes sa stratégie qu'il réussit avec l'intensité et l'engagement rapide.
56:11 Les guinéennes qui voulaient rejoindre le Nigérian en finale dominent la première partie.
56:16 24 buts à 4, c'est le score à la pause.
56:19 A la reprise, les malgaches essaieront de contrecarrer la différence guinéenne, mais celle-là se montre plus solide et n'encaissera que 14 buts pour 46 marqués.
56:29 Je suis tellement fière de mes coéquipières et le staff, ainsi qu'à la Fédération Guinéenne de Handball, de nous avoir soutenus jusqu'ici.
56:40 C'est la finale qu'on cherchait et j'ai eu le trophée. On les a promis aussi d'envoyer le trophée en Guinée. C'est possible de le faire.
56:51 Je ne vais pas beaucoup commenter là-dessus parce que vous avez vu la première mi-temps.
56:56 Je vais inviter tout le public à venir voir le jour de la finale et vous allez voir ce qu'est le handball féminin guinéen.
57:06 De l'autre côté, les juniors avaient pour adversaire la Côte d'Ivoire, pays hôte de ce challenge continental.
57:13 Dans ce derby ouest-africain, les Guinéennes n'ont pas eu assez de difficultés à s'imposer dès les premières minutes.
57:19 Les partenaires de Mariem Bangoura dominent largement la première partie sur le score de 24 buts à 4.
57:25 Poussés par leur public, les Ivoiriennes réussiront à changer de tactique et à marquer quelques occasions de but.
57:32 Score final, 36 buts à 22 pour la Guinée.
57:35 La Guinée a été plus forte. Heureusement, on se retrouve en finale.
57:39 On va montrer un autre visage pour que la fête de la jeunesse africaine soit aussi belle que le Suède, la Câble et l'IHF.
57:46 Il faut rappeler que les équipes guinéennes sont toutes qualifiées au final de leur catégorie respective de cette compétition.
57:53 Dans la première se joue samedi 12 octobre 2023 à 16h pour les cadettes qui vont affronter le Nigeria et les juniors à 18h contre la Côte d'Ivoire.
58:03 Nous vous donnons à présent un lecture de ce communiqué avant de boucler cette édition.
58:10 L'Office de régulation des agences de sécurité de la protection civile se fait le devoir de rappeler aux chefs d'entreprise et dirigeants de sociétés de sécurité privées
58:21 que conformément aux dispositions de l'article 8 du décret D-2023-065-PRG-CNRD-SGG portant réglementation de la sécurité privée en République de Guinée,
58:38 nul ne peut exercer...