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Transcription
00:00 Je pense que la télévision est un moyen d'expression qui peut se passer du découpage
00:08 et du gros plan, et du plan d'ensemble.
00:11 Je crois que la télévision est une chose qu'on doit voir comme un journal et qu'on
00:15 doit mettre en page comme un journal, c'est-à-dire qu'il n'y a pas à rechercher la télévision
00:19 de profondeur dans le champ car l'écran est trop petit pour qu'on puisse vraiment
00:23 l'apprécier, pour qu'on puisse la subir.
00:24 Je crois qu'une image de télévision doit se lire du premier coup et non plus être
00:28 due au montage rapide, ça n'existe pas.
00:31 Je crois que le spectateur doit analyser parce qu'il le peut, parce qu'il est tout
00:33 près du poste, parce qu'il est attentif, parce qu'il domine le poste alors que l'écran
00:37 le domine, l'écran de film, je veux dire, le spectateur lui domine son poste.
00:42 Et donc il peut analyser l'image très finement à condition qu'il regarde la télévision,
00:46 non pas en mangeant mais en regardant la télévision quand on doit la regarder, c'est-à-dire
00:49 en ne faisant rien d'autre.
00:50 De toute manière, cette uberboise va probablement faire grincer les dents ou bien à cause
00:54 du texte, à cause de la subversion même du texte même et en plus à cause du découpage
01:00 car jamais je ne me suis efforcé du moins de détruire la notion de raccord dans le
01:08 temps, dans l'espace.
01:09 Si vous voulez, les gens apparaissent quand j'en ai besoin, quand je n'en ai plus besoin
01:12 ils disparaissent.
01:13 Et puis somme toute, c'est un hommage que j'ai rendu à Jari car il n'a pas écrit
01:18 bureaui pour comme ça, il a fait une préface à cette pièce qui s'appelle, dans une lettre
01:25 fameuse, de l'inutilité du théâtre au théâtre.
01:28 Et moi je crois que j'ai fait de l'inutilité du théâtre à la télévision.
01:31 Pour faire de la télévision, je crois qu'il faut oublier toutes les formes d'expression
01:36 qui l'ont précédé car je crois profondément à la vertu spécifique de la télévision
01:41 comme langage d'expression, non pas comme véhicule, programme.
01:45 Oui, écoutez, là j'ai demandé beaucoup d'indulgence aux spectateurs, non pas qu'ils
01:50 assièdent de faire des critiques, je leur réclame, et même si ces critiques sont violentes
01:55 et afferbes et même injustes, ça sera de l'enseignement profond pour moi car je pense
01:59 que les gens qui croient au moins à leur métier ou du moins qui ont en fond leur raison
02:03 profonde de vivre, ont besoin de se faire engueuler pour réagir.
02:06 Mais je lui demande, à ce spectateur que je ne connais pas mais que je sais être un
02:10 monsieur intelligent, je lui demande ce soir-là, non pas de regarder la télévision comme
02:15 on ouvre son frigidaire pour voir s'il y a du jambon ou du poulet, pour manger, pour
02:19 que je trouve quelque chose de bon, mais de faire un effort supplémentaire au risque
02:22 de le trouver vide, ce poste.
02:24 Même s'il est déçu sur le résultat final du spectacle, je lui demande de faire l'effort
02:29 d'aimer au moins l'effort que j'ai fait, moi.
02:32 L'actualité des tournages nous conduit aujourd'hui à Joinville, où Jean-Christophe Averti essaye
02:39 de trouver une écriture peut-être plus simple, moins agressive, qui le réconcilierait avec
02:47 la majorité des téléspectateurs.
02:49 Eh bien, mes conceptions ont bien changé depuis cinq ans.
02:52 Je continue à déplaire et je le déplore.
02:55 Malheureusement, tant que je pourrais faire les variétés comme je les aime, comme je
03:00 les conçois, je continuerai parce que je pense que de temps en temps, il faut qu'un
03:04 metteur en scène, quitte à déplaire à tout le monde, continue à chercher quelque chose,
03:09 quitte à ne rien trouver.
03:10 Ce qui est mon cas, apparemment, d'après les critiques.
03:13 La plupart des spectateurs qui ont la télévision chez eux ne la respectent pas et la considèrent
03:21 comme un véhicule à théâtre, un véhicule à musical, un véhicule à cinéma, et absolument
03:25 pas comme un appareil de télévision.
03:27 Tant et si bien que les gens sont ravis de voir un chanteur derrière un micro sur une
03:33 scène de musical, de voir des acteurs sur une scène de théâtre, de voir des films
03:39 bons ou mauvais, mais ils ne voient rarement de la télévision.
03:41 On peut dire qu'au départ, il y a eu une recherche personnelle pour essayer d'intégrer
03:48 un acteur, un danseur, un chanteur à un écran de télévision.
03:51 Les critiques les plus acerbes que je reçois, c'est "ça bouge trop".
03:57 Effectivement, ça bouge trop et je le veux comme ça parce que j'estime que la télévision
04:01 n'a pas un art de tourpeau, on ne doit pas voir la télévision bien assise dans son
04:05 fauteuil, il faut protester, remuer, se secouer, bref, avoir en sorte une déréaction brutale
04:12 devant son poste.
04:13 La télévision est un instrument qui vient vous trouver chez vous, il faut donc qu'il
04:18 tienne sa réputation, il faut donc secouer les gens chez eux.
04:21 Maintenant, on dit exactement que je sers mal les chanteurs, que je les cache derrière
04:29 une mise en scène exubérante, mais enfin, en tant que moi qui aime bien les chanteurs,
04:33 au bout d'un quart d'heure, quels qu'ils soient, les plus talentueux, ils deviennent
04:37 extrêmement rasoirs si on les montre comme dans des émissions où il n'y a absolument
04:40 aucune recherche de présentation.
04:43 Au bout d'un quart d'heure, moi j'ai la nausée.
04:45 Si bien que les décors et la mise en scène, autrement dit l'intégration télévisée
04:51 ou télévisuelle d'un chanteur dans l'écran, doit être comme un écuisson, c'est de l'éraldisme.
04:58 Autrement dit, il y a un symbole latent autour du chanteur formé par un décor ou formé
05:04 par une suite de montage.
05:07 Autrement dit, je vais essayer de traduire visuellement ce qui n'est que jamais que la
05:12 reproduction d'un disque.
05:14 Autrement dit, il fallait intégrer le chanteur dans son décor et faire du décor l'élément
05:19 visuel de la chanson.
05:20 Le fond commande la forme, ça revient à la surface comme indissociable.
05:25 L'enterrement de Cornelius est une chanson caricaturale de l'enterrement à Nouvelle-Orléans.
05:31 La chanson dit que seulement nous étions 200 à l'enterrement de Cornelius.
05:36 Donc 200 figurants, ça vient de soi.
05:38 J'aurais bien également pu mettre 200 petits bouts de papier mais je pensais que c'était
05:41 drôle de faire une fête macabre à la fin d'un show qui prétendait être une distraction.
05:46 Et les Champs-Elysées, on a tout mélangé et on chante.
05:54 Et puis ils sont débouchés en criant à l'avance du Champagne de France.
05:59 On a dansé le pas.
06:01 Par contre dans le domaine que nous allons aborder maintenant, toutes les fantaisies
06:21 sont permises dans le domaine des variétés.
06:23 Et avec une image, on peut faire des milliers d'images, on peut décortiquer une image,
06:29 on peut faire dire aux gens et aux choses le contraire de ce qu'ils pensent.
06:33 Ça c'est le domaine des magiciens des variétés.
06:35 Et en tête de tout cela, il y a un garçon dont je n'ai pas besoin de faire l'éloge
06:40 et dont le nom vient tout de suite à votre pensée.
06:43 C'est Jean-Christophe Averti que nous allons retrouver maintenant.
06:45 - Cher Jean-Christophe, la télévision française à ses débuts quand nous l'avons connue
06:49 était très libre dans le ton et dans l'esprit.
06:52 Et puis le ton s'est fait un peu plus grave et l'esprit s'est fait un peu moins léger.
06:55 Heureusement, vous avez fait votre apparition à ce moment-là et vous avez libéré la
06:58 télévision de la pire des oppressions, l'oppression de la forme et l'oppression de l'image.
07:02 Vous avez tout fait voler en éclats.
07:03 Les têtes sont parties d'un côté, les jambes sont parties de l'autre côté.
07:06 Et enfin, grâce à vous, on a inventé ce mouvement qui déplace les lignes, détesté
07:11 par le poète mais très apprécié par le téléspectateur.
07:13 - Non, je pense que le trucage électronique est une manière de poétiser la télévision
07:19 qui trop souvent est terre à terre et se contente de filmer ce qu'elle voit.
07:24 Je pense que la télévision est un peu huissière.
07:26 Elle constate que de telle heure à telle heure, telle personne se fait passer devant
07:30 telle et telle caméra et puis c'est tout.
07:31 Et on se contente de peu.
07:33 Je pense que la télévision, une des voies appréciées de la télévision, c'est de
07:36 faire rêver.
07:37 Et le rêve se fait avec des images.
07:38 La vie est assez monotone et assez sinistre, assez morose.
07:42 Alors les images que je fabrique sont des images jamais vues.
07:45 Du moins par mois, je pense que les autres ne les ont pas vues non plus.
07:48 Si bien que je ne comprends pas les gens qui n'aiment pas mes émissions.
07:51 Ils devraient même, si ça ne leur plaît pas, être contents de voir quelque chose
07:54 de différent plutôt que de voir des assassinats, des histoires de coqus, des meurtres, des
07:59 accidents.
08:00 Un bébé qui passe dans une moulinette est plus drôle que n'importe quel président
08:06 en volguette.
08:07 Je me suis bien sorti.
08:08 Vous en êtes bien sorti.
08:09 Je pense que maintenant, pour éviter de nous embarquer dans une direction qui nous
08:15 amènerait très loin, à la maison de retraite directement, je pense qu'il est bon de laisser
08:22 à Max De Vrennes la responsabilité de montrer.
08:24 De Vrennes, sauve-moi la mise.
08:25 Votre propre De Vrennes, si j'ose dire, comment l'en sentir grâce au trucage, qu'il
08:29 explique cela à nos téléspectateurs.
08:30 Le trucage consiste à faire un montage analogue au montage photographique en prenant un signal
08:38 qui va permettre de découper comme un porte-pièce le signal, l'image fournie par la caméra
08:44 et dans un décor.
08:45 L'image fournie par la caméra reprend sa place dans le trou qu'on a ainsi constitué
08:54 et on met autour un décor qui peut changer, qui peut être bien d'autres images.
09:00 Toutes les images dont nous disposons, en particulier, nous pouvons remettre nos personnages
09:04 sur nous-mêmes, sur toutes les images que nous fournit le plateau à ce moment-là.
09:08 Et à l'intérieur des personnages, on peut aussi, à la place des personnages, mettre
09:20 ces images dont nous disposons.
09:21 Le trucage électronique ne consiste pas simplement à faire que des incrustations.
09:27 Le générateur d'effets nous livre un certain nombre de volets et de médaillons, en particulier
09:34 ce rectangle de largeur, de hauteur variable et d'emplacement réglable.
09:40 Monsieur Georges Lecomte va vous demander dans quelques instants de jouer avec ce médaillon.
09:47 Oui, c'est ça.
09:48 On va faire une démonstration.
09:49 C'est une scène classique.
09:50 Un français moyen rentrant chez lui, trouve sa bouteille de vin rouge ordinaire, ne pense
09:55 pas à mal, s'en pensez, imaginez que les caméras de télévision suivent ses mouvements,
10:00 sert, se remplit un verre de vin rouge.
10:02 Mais il montre l'étiquette.
10:04 Par la même occasion, sans le vouloir, il y a cependant toujours parmi les téléspectateurs
10:08 quelques personnages un peu pointilleux, quelquefois un sénateur, homme charmant par nature, mais
10:14 toujours un peu diligent et qui aurait tendance à avoir des arrières-pensées où il n'y
10:16 en a pas, et qui se dit, tiens, monsieur machin, montre la marque de Talvin, qui nous vient
10:21 d'une région de France où le vin commencé n'est pas frelaté.
10:25 Donc, pas d'arrière-pensées pour qu'il n'y ait pas de soucis quelconques.
10:29 Monsieur, vous allez vous servir et nous, à la régie, nous allons faire en sorte que
10:32 personne ne puisse dire quoi que ce soit sur le geste banal que vous accomplissez.
10:35 Servez-vous de vin rouge et buvez tranquillement.
10:37 Voilà.
10:38 Voilà.
10:39 Resservez-vous, je vous en prie, monsieur, mais sans cacher l'étiquette, n'ayez pas
10:45 honte.
10:46 Voilà.
10:47 Ne cachez rien, nous ferons le nécessaire et nous montrerons ainsi qu'en France, ni
10:57 le vin, ni nos émissions ne sont coupées de la moindre façon.
11:00 Voilà.
11:01 Il s'agit de faire un saut de mouton par-dessus un mouton en dessin.
11:05 Alors, je vais cadrer le fond du décor sur une caméra, sur la 4, qui n'est toujours
11:10 pas branchée et qui le sera bientôt.
11:12 Caméraman, viens voir un peu là.
11:15 Cadre-moi ça.
11:16 Et le cube fera la place du mouton, ce cube bleu, dans l'espace.
11:22 Vous aurez donc à sauter par-dessus ce cube et vous sauterez par la même occasion par-dessus
11:27 le mouton sur le dessin.
11:28 Oui, vous par exemple.
11:31 Ah mais toute la famille va sauter, tout le monde va sauter.
11:36 Il fera une partie de saut de mouton.
11:39 Voilà.
11:40 Le dessin est cadré.
11:41 Fixe-toi bien.
11:42 Max, c'est complet là.
11:43 Il faudrait de la colle.
11:44 Voilà, c'est très bien, ça va, ça va, ça va.
11:45 Viche encore un peu, viche encore un peu.
11:59 Non, de trop.
12:00 Voilà.
12:01 Et donne-moi l'image, Max, de l'encadre.
12:02 Voilà.
12:03 Bon, il faut que tu recentres le mouton au fond de l'image.
12:12 Pas dans la micadro.
12:17 Redonne l'image, je l'encadre.
12:22 Encore.
12:23 Voilà.
12:24 Très bien.
12:25 Faut pas bouger la 2 maintenant.
12:26 La 2.
12:27 C'est encadré.
12:28 Regarde-moi la 2.
12:29 Tu le cadres.
12:30 Tiens, Mademoiselle, soyez gentille, viens faire vieille pour rendre ma place à vous,
12:31 s'il vous plaît.
12:32 Défaire le mouton.
12:43 Tu me donnes la surimpression, Max.
12:54 Bien, vous voulez enjamber cette petite construction, là.
13:01 Allez-y, sautez par-dessus.
13:03 Allez, hop.
13:05 Bon, passez de côté, comme ça, plusieurs fois.
13:09 Oui, faites deux côtés.
13:12 Enjamber le mouton comme si c'était un escalier.
13:17 Voilà.
13:18 Voilà.
13:19 Voilà, continuez.
13:20 Hop.
13:21 Bien.
13:22 Alors, toute la famille en place, allons-y.
13:27 Il faut aller sauter le mouton.
13:28 Il faut essayer de faire des choses comme ça, si c'est possible.
13:29 Enfin, je sais pas, mais je trouve impossible de faire ça, quand même, non ?
13:33 Hein ?
13:34 S'il vous plaît, procédons.
13:35 L'image.
13:36 Voilà.
13:37 Une fois.
13:38 Mademoiselle, allons-y.
13:39 Voilà.
13:40 Allons-y.
13:51 Eh bien, dites-moi.
14:02 Au mouton.
14:08 Encourageux.
14:09 Très bien.
14:10 Bon, ça y est.
14:11 Je vois que la démonstration est probante.
14:12 C'est un mouton.
14:13 Voilà.
14:14 Alors, je vais substituer.
14:15 Du coup, nous allons, avec De Brènes et tous les techniciens qui sont ici, la tête
14:30 de ce monsieur, on va la mettre sur le corps de la petite fille.
14:35 Alors, c'est très simple.
14:37 On couvre le corps de ce monsieur avec un voile bleu, de manière à incruster son corps
14:45 dans le fond du décor.
14:46 Voilà.
14:47 Vous ne bougez plus.
14:50 Regardez bien cette caméra.
14:51 Et quant à la petite fille, on va lui mettre la cagoule sur la tête.
14:56 Attention, hein.
15:00 Ça fait pas mal, mais c'est...
15:02 Voilà.
15:03 Voilà.
15:04 Alors, De Brènes, à toi.
15:05 Élargis la petite.
15:14 Élargis la petite fille.
15:15 Voilà.
15:16 Ou réciproquement, on dégage la tête.
15:23 Attention.
15:24 Attendez.
15:25 La petite fille.
15:26 On enlève la caigoudeau, monsieur.
15:27 Hop, attention.
15:28 Hop.
15:29 Voilà.
15:30 Je crois qu'il faudrait qu'on se retire, Georges.
15:39 Oui.
15:40 Tous les deux.
15:41 De manière à ce qu'on puisse faire le trucage tranquille.
15:43 Il faudrait grossir un peu la tête de la petite fille, là.
15:46 Encore.
15:47 Encore, encore.
15:48 Et la remonter.
15:49 Élargis un peu.
15:50 Voilà.
15:51 Remets les bras, monsieur.
15:52 Et voilà.
15:53 Bon.
15:56 Mon cher Jean-Christophe, c'est l'heure de la conclusion.
16:01 D'abord, il faut que je vous dise merci.
16:02 Vous fuite grand.
16:03 Oui.
16:04 Ensuite, il faut que je vous dise que c'est très commode.
16:05 Attendez, on libérance, monsieur, parce qu'il a le temps.
16:06 Oh non, attendez qu'il a le temps.
16:07 J'ai des combinais qui restent des fois deux heures comme ça, avec ça sur la tête.
16:08 Puis c'est très commode quand on change de directeur chez...
16:09 Là, vous voulez vraiment me faire mettre à la porte ?
16:10 Ah non, non, j'insiste pas.
16:11 Alors j'abrège...
16:12 S'il vous plaît.
16:13 J'abrège nos commentaires.
16:14 Merci, Jean-Christophe.
16:15 Merci, Jean-Christophe.
16:16 Il est au jour le soir.
16:22 Je vous remercie d'être venu.
16:23 Je remercie Agnès Lellarive, je vous remercie tous les professionnels de la télévision
16:24 et je remercie ceux sans qui le professionnel de la télévision n'aurait pas de raison
16:25 d'exister, notre cher public, les téléspectateurs.
16:26 Jean-Christophe avertit.
16:27 Le zapping est la principale cause de destruction de la culture, de la culture de l'homme.
16:28 C'est un phénomène qui est très important.
16:29 C'est un phénomène qui est très important.
16:30 C'est un phénomène qui est très important.
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