• l’année dernière
Transcription
00:00 Un pas à l'avant.
00:02 C'est ainsi que les dieux, les diées et les humains
00:08 ont traversé leur chemin de vie.
00:11 Mais le chemin peut être difficile à voir,
00:14 et surtout plus difficile que celui que nous avons aujourd'hui.
00:17 Car la balance dans le monde,
00:19 qui a toujours été maintenue par la lutte entre dieux et diées,
00:22 le bon et le mauvais,
00:24 se balançait sur un sac de couteaux.
00:27 Le jeune dieu de la torte avait enfin reçu Smith Muller,
00:31 l'arme la plus puissante du monde.
00:34 En même temps, il avait promis à son frère de ne pas l'utiliser.
00:40 C'est ainsi que s'est introduit un lien de vie comme arme
00:45 entre les deux vieilles ennemies de l'herbe,
00:48 les dieux et les diées.
00:54 L'arme la plus puissante du monde
00:57 a été remis sur un sac de couteaux.
01:00 Mais l'ennemi n'a pas été oublié.
01:03 Dans le choulté, Magne a essayé sans poignet
01:07 de continuer la lutte contre les diées.
01:10 Avec les règles du jeu du monde moderne,
01:13 il a essayé de trouver des profs pour une justice contre l'industrie du diable.
01:17 On a déjà essayé ça.
01:19 Tu as trouvé les ténèbres comme objets d'argent
01:21 et tu as réussi à en sortir le moins possible.
01:24 Mais c'était l'environnement, les gens.
01:27 Ici, c'est une liste des gens qui travaillent dans la fabrique.
01:30 Beaucoup sont malades, jeunes et morts.
01:32 Mais il nous faut un seul témoin pour avoir une cause.
01:34 Tu sais ce que nous avons offert pour que tu aies ce couteau ?
01:37 Ils m'ont tué mon frère, je l'utilise, tu ne comprends pas ?
01:39 C'était toi qui disais que la guerre était inévitable.
01:42 Je vais partir.
01:48 La société des dieux a été libérée.
01:51 Ils sont en colère pour leur valeur.
01:54 Aux diées, on vivait comme si on n'avait jamais fait.
01:57 Le père suivait son fils.
02:00 Son mère, la plus fière, regardait en surprise.
02:03 Et celle qui avait eu le courage de faire des erreurs
02:07 était maintenant liée à un très long-somme qui suivait son rédaction.
02:11 L'enfer était assez agressif pour les diées.
02:15 Ils n'avaient pas de mauvaise heure.
02:18 Pour les déclarations, il y avait un homme qui avait un pied dans chaque camp.
02:24 Un homme qui allait nourrir un être
02:27 avec l'unique objectif de tuer le jeune dieu Thornton.
02:31 Les diées savaient que chaque mois qui passait,
02:36 Uris grandissait de plus en plus fort.
02:39 Et que l'heure pour ses ennemis
02:41 était donc en voyage pour sortir.
02:45 Chaque fois qu'il trouvait un témoin,
02:48 il devenait clair la grande puissance de la famille Jutul dans la ville.
02:52 Je comprends que tu as été un employé de l'industrie Jutul,
02:57 mais que tu es malade et que tu n'as jamais reçu de remise.
03:01 Non, ce n'est pas vrai.
03:03 Je suis désolé, je ne peux pas aider.
03:06 Je n'ai pas le courage.
03:08 Un après l'autre, il s'en sortait.
03:10 Je pense que nous sommes là.
03:12 Car personne n'a eu le courage de recevoir l'industrie Jutul.
03:16 Au moment où les affaires de Magne devenaient plus et plus inespérées,
03:21 la pression a évolué vers une autre forme de réconciliation.
03:26 Car Mjöllnir n'était pas seulement un outil qu'il pouvait décharger.
03:31 Il avait sa propre volonté.
03:36 Et il appelait ses propriétaires à l'intérieur du noir.
03:40 Plus clair le jour, plus froid la nuit.
03:47 Pour savoir où courir, pour savoir où se battre.
03:54 Pas à pas, les dieux se déplacent et se proposent de se rapprocher
03:59 du combat inévitable.
04:01 Quand c'est fini ou mort.
04:08 En même temps, les gens qui ne connaissaient pas leur vie
04:11 vivaient sans savoir qu'un trou d'or
04:13 se grandissait de plus en plus dans la févrée.
04:16 Un être qu'un seul pouvait vaincre.
04:19 Mais les gens n'avaient plus le temps de croire en la force de la vie.
04:31 Les gens n'avaient plus le temps de croire en la force de la vie.
04:34 Sous-titres par Yannick Mahé
04:40 Allez, on y va.
04:44 Allez, on y va.
04:47 Sous-titres par Yannick Mahé
04:51 Allez, on y va.
04:53 Sous-titres par Yannick Mahé
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