Le patron du foot espagnol dans la tourmente depuis qu'il a embrassé de force sur la bouche la joueuse Jenni Hermoso après la victoire de l'Espagne dimanche au Mondial féminin, a refusé de démissionner vendredi.
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00:00 [Musique]
00:26 Le désir que j'avais pour ce bisou était exactement le même que celui que j'aurais pu avoir en faisant un bisou à une de mes filles.
00:36 Ni plus ni moins.
00:38 Mais croyez-vous que c'est pour souffrir la chasse que je suis en train de suffire ?
00:43 Sincèrement, vous croyez ?
00:45 C'est si grave que pour que je me fasse partir, en ayant fait la meilleure gestion de l'histoire du football espagnol ?
00:50 Vous croyez que je dois me dénoncer ?
00:52 Je vais vous dire quelque chose, je ne vais pas me dénoncer.
00:59 [Applaudissements]
01:07 C'est une erreur, car pour moi il fallait me dénoncer, car une chose comme celle-ci, pour moi, n'est pas bien.
01:13 Si ce n'est pas consacré à quelque chose, il ne peut pas donner un bisou à une personne, comme ça, parce que c'est comme ça.
01:21 [Applaudissements]
01:24 Il a un peu couvert ce qu'est la victoire, car il a parlé plus du bisou que de la victoire, et ça ne se comprend pas.
01:34 [Bruit de la ville]