• l’année dernière
27 août 2 023
Entrevue entre Carl Brochu et Mila Aleckovic-Bataille
Québec, Serbie => Humanité

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Titre originel
« Mila Aleckovic-Bataille, Psychiatrie noire - nouvelles méthodes | Brochu en direct du Dimanche »
https://www.youtube.com/watch?v=_MwIGAmBkj0

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Article sidérant (28/08/23)
● dans le blog de Pierre Jovanovic
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Voyages
Transcription
00:00:00 en direct de Belgrade, Serbie.
00:00:02 Je vous présente Mme Mila Aleksiković.
00:00:04 Madame Aleksiković, bonjour.
00:00:07 Bonjour, bonjour, cher ami.
00:00:09 Bonjour pour tous vos éditeurs.
00:00:13 J'espère que vous m'entendez bien.
00:00:15 C'est pas... voilà, d'accord.
00:00:16 Parce que je me suis un petit peu éloignée,
00:00:18 étant donné que je suis très fatiguée.
00:00:20 Je travaille jour et nuit sur mon nouveau livre, bouquin.
00:00:25 Et donc, je m'éloigne pour que vous ne voyez pas
00:00:29 les traces de la fatigue.
00:00:32 Pour plaisanter un petit peu.
00:00:33 Merci de m'avoir donné la possibilité,
00:00:36 l'opportunité de parler encore une fois.
00:00:39 Je suis vraiment honorée de pouvoir parler dans votre...
00:00:43 dans votre capsule, comme vous dites maintenant, Média.
00:00:47 Parce que je vois que ça devient de plus en plus important
00:00:50 et que les spectateurs sont partout.
00:00:55 En Europe, même en Russie, en Amérique latine.
00:00:58 Ça devient de plus en plus important, votre média.
00:01:03 Et donc, je vous remercie encore une fois.
00:01:05 Et bonjour à tous ceux qui nous regardent ou regarderont.
00:01:11 Moi, je ne suis absolument pas contre l'émission en direct.
00:01:15 Si vous voulez bien, je suis à votre disposition.
00:01:20 Et après cet exposé,
00:01:23 je pourrais aussi répondre à des questions, si y en a.
00:01:27 D'accord, c'est tout à fait acceptable.
00:01:32 Alors, la dernière fois,
00:01:36 quand on avait cette discussion sur l'ingénierie sociale,
00:01:42 j'ai parlé surtout sur l'aspect historique.
00:01:45 Et j'ai commencé avec la psychologie,
00:01:51 la guerre psychologique de Sun Tzu.
00:01:53 On a parlé de l'ignacite de Loyola.
00:01:58 Ensuite, on a parlé des débuts du siècle avec les grands chercheurs
00:02:03 comme la neurophysiologie russe, ensuite le MK ultra américain, etc.
00:02:08 Cette fois-ci, je parlerai d'autres choses.
00:02:12 Enfin, peut-être que parfois, je pourrais éventuellement
00:02:18 mentionner quelque chose de cet aspect historique.
00:02:22 Pour faire le lien.
00:02:23 Mais aujourd'hui, je dirais plutôt quelque chose sur ce qui se passe aujourd'hui
00:02:30 et sur les techniques et méthodes et stratégies, si vous voulez, nouvelles
00:02:36 de cette guerre, toujours guerre psychologique,
00:02:40 parce que c'est ça la définition.
00:02:42 Et à la fin, je dirais,
00:02:44 c'est surtout ce qui est important pour moi dans cet exposé,
00:02:47 c'est ce qui se prépare contre,
00:02:51 allez-y, on peut dire carrément contre nos enfants.
00:02:55 Alors, les questions qui se posent pour nous, d'abord,
00:02:58 juste pour mentionner ce que c'était la psychiatrie noire,
00:03:01 parce que c'est un concept qui est vraiment pas joli du tout, pas beau.
00:03:08 Et ensuite, pour dire quelle est la motivation de mes collègues d'y participer.
00:03:13 Et finalement, à la fin de cet exposé, de répondre qui survivra à tout cela.
00:03:19 Et là, vous savez que je cite souvent le philosophe Nietzsche qui disait
00:03:25 "ne survivrons que les courageux et les forts".
00:03:29 Et à la fin, on verra bien qui est dans cette catégorie.
00:03:33 J'espère votre média, bien sûr, et tous ceux qui sont avec nous en ce moment.
00:03:38 Alors, la psychiatrie noire, c'est un concept qui n'est pas accepté en France.
00:03:45 Le pays de mes études, le pays de la médecine.
00:03:48 Bientôt, j'y serai.
00:03:49 Je serai bientôt en France dans quelques jours.
00:03:53 C'est un concept qui n'est pas accepté en France.
00:03:56 Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de pratique de la psychiatrie noire en France,
00:04:02 mais tout simplement, c'est un concept qui est refusé.
00:04:05 En revanche, aux États-Unis, au Canada, partout dans l'anglosphère,
00:04:10 comme vous dites, "black psychiatry", "dark psychiatry",
00:04:14 c'est quelque chose de très courant.
00:04:16 Enfin, au niveau de la sonorité, c'est-à-dire c'est accepté comme titre.
00:04:21 En dépit de cela, je dirais une petite anecdote.
00:04:25 Enfin, les deux anecdotes pour commencer.
00:04:28 Ce sont des anecdotes vraies, comme on dit.
00:04:30 C'est quelque chose qui s'est bien passé.
00:04:33 Récemment, j'avais donné un texte à une revue américaine scientifiquée.
00:04:42 Et alors, le titre, c'était exactement ça.
00:04:45 "La psychiatrie noire et ses conséquences", c'était en anglais.
00:04:49 Alors, ils m'ont dit, et les collègues m'ont dit,
00:04:52 "Votre texte, il est très bon, il est très bien,
00:04:56 sauf que le titre ne passera pas.
00:04:58 Vous devez changer le titre.
00:05:00 On ne peut pas dire 'la psychiatrie noire', 'black', 'saccage'".
00:05:04 Alors, je leur ai dit, je leur ai répondu,
00:05:06 "Écoutez, moi, je peux changer le titre,
00:05:09 mais je ne change absolument pas le contenu."
00:05:12 C'est pour dire qu'ils sont en train aussi d'oublier allègrement
00:05:20 ce qui a été fait dans notre, disons pas dans leur,
00:05:24 mais dans notre passé commun.
00:05:26 Et là, je m'adresse spécialement à vous parce que vous savez très bien,
00:05:29 et ça, il faut le répéter à chaque fois,
00:05:31 que chez vous, justement, pas chez vous, au Canada,
00:05:35 à l'Institut Allen Memorial à Montréal,
00:05:39 pendant 30 ans, pendant plus de 30 ans,
00:05:41 peut-être quatre décennies,
00:05:43 toutes ces pratiques de la psychiatrie noire s'exerçaient.
00:05:49 C'est quelque chose qui se passait surtout au Canada,
00:05:54 parce que le fameux psychiatre dont on a parlé la dernière fois,
00:05:58 Donald Evan Cameron, il travaillait à Montréal.
00:06:02 Et évidemment, dans d'autres universités, dans les hôpitaux,
00:06:06 dans les prisons, surtout au Canada,
00:06:10 c'était une réalité et ce l'est toujours.
00:06:13 C'est ce que je dis, parce que je pense que ce sont des pratiques
00:06:16 qui n'ont jamais cessé.
00:06:18 Alors, pardonnez-moi, j'entre dans le vif de sujet.
00:06:21 Je dirais tout simplement,
00:06:24 la dernière fois, on a parlé aussi de l'ontologie du mal.
00:06:27 Je n'aborderai pas ce sujet philosophique cette fois-ci.
00:06:31 C'est juste pour répéter que depuis le zoroastrisme,
00:06:36 qui a influencé toutes les religions
00:06:40 et toutes les philosophies du monde,
00:06:45 on doit distinguer le bien d'un côté et le mal de l'autre
00:06:49 et ne pas les confondre.
00:06:50 Donc, le relativisme ne passe pas.
00:06:53 D'ailleurs, dans le sens logique du mot,
00:06:57 le relativisme conséquent s'autorefute toujours.
00:07:01 Donc, c'est quelque chose qui n'est pas pertinent.
00:07:06 Mais dans notre vie morale, éthique, il faut choisir.
00:07:09 Nous sommes tous peut-être dans la zone grise dans notre quotidien.
00:07:13 Mais quand on fait un choix dans la vie,
00:07:16 il faut choisir soit le blanc, soit le noir.
00:07:19 On ne peut pas confondre.
00:07:21 Ça, c'est l'aspect éthique.
00:07:23 Et ça, il faut toujours le noter, l'accentuer.
00:07:29 Parce que beaucoup de mes collègues, malheureusement,
00:07:33 ont violé toutes les lois de la psychopathologie.
00:07:38 Et c'est là le vrai début.
00:07:40 Parce que quand on pose la question pourquoi la psychiatrie noire existe,
00:07:44 eh bien, elle existe parce qu'il y a le mal,
00:07:47 il y a l'anthologie du mal.
00:07:50 Je ne parle pas des catastrophes,
00:07:51 je ne parle pas des drames, je ne parle pas des accidents.
00:07:54 Je parle du mal qui était conçu, prémédité, voulu,
00:07:59 qui a été fait sciemment, en pleine connaissance de cause
00:08:02 et avec la volonté libre,
00:08:08 comme aurait dit Boéssi au XVIe siècle,
00:08:14 le discours de la servitude volontaire,
00:08:17 qui dit aussi pourquoi on fait le mal d'une façon volontaire.
00:08:21 Ça aussi, on a dans la discussion entre Malbranche et Montesquieu.
00:08:27 Alors, le mal anthologique, le vrai mal, le mal absolu,
00:08:32 c'est celui qui a été fait d'une façon prémédité, voulu et sciemment.
00:08:36 Et quand on parle de...
00:08:38 On peut se demander quelle est la motivation profonde de mes collègues,
00:08:42 des spécialistes dans le domaine de la psychologie, psychiatrie,
00:08:47 psychothérapie et médecine, tout court,
00:08:50 de violer les lois parce que ce que nous appelons la psychiatrie noire,
00:08:55 c'est l'abus de toutes les lois de la psychopathologie.
00:09:00 La science, c'est la psychopathologie et la psychiatrie,
00:09:02 ce n'est que l'application de cette science.
00:09:06 Alors, violer toutes les lois de la psychopathologie,
00:09:10 c'est exactement cela.
00:09:12 Et les opérations de ce qu'on appelle la psychiatrie noire,
00:09:16 ça, il faut noter à chaque fois, il faut répéter à chaque fois,
00:09:20 sont interdites par l'éthique tout court,
00:09:24 c'est-à-dire la déontologie morale consciente, si vous voulez,
00:09:30 par l'éthique médicale, c'est-à-dire par le serment d'Hippocrate,
00:09:33 par le chapitre 5 de la Déclaration universelle des droits de l'homme
00:09:37 et par le Code de Nuremberg.
00:09:40 Donc, tout ça, c'est interdit, c'est absolument interdit
00:09:43 et ça passe sous la coupe pénale.
00:09:46 Ce sont des opérations,
00:09:49 permettez-moi de le dire, criminelles.
00:09:53 Alors, on se pose la question pourquoi il y a des collègues
00:09:57 qui se laissent aller ou qui sont corrompus
00:09:59 ou qui sont peut-être par structure psychopathe.
00:10:03 Ça existe aussi dans notre milieu et dans notre communauté, malheureusement.
00:10:07 Et moi, j'ai l'habitude de dire souvent,
00:10:10 les médecins qui ne savent pas ce que c'est l'éthique,
00:10:13 ils sont a priori des assassins.
00:10:18 Alors, je vais juste...
00:10:21 Madame Alexkovitch, deux secondes.
00:10:24 On comprend le pouvoir qu'ont les psychiatres
00:10:27 ou les chercheurs à travailler dans ce domaine-là.
00:10:30 Comment on peut arriver à des projets de manipulation énormes?
00:10:34 Puis on le voit avec des Anglo-Saxons qui, eux, ont le cinéma,
00:10:39 la musique, les médias pour nous jouer dans le cerveau.
00:10:44 Donc, il y a un potentiel énorme là-dedans.
00:10:48 C'est pour ça qu'il ne peut pas se faire n'importe quoi,
00:10:50 qu'on doit avoir une éthique.
00:10:51 L'autre chose qui m'arrive en tête quand vous dites ça aussi,
00:10:54 par contre, si on se prive de faire des études sur la psychologie noire,
00:10:59 il y a d'autres pays, il y a aussi le domaine militaire où on peut
00:11:04 approfondir ça.
00:11:06 Donc, effectivement, il y a un problème de gestion de cette psychologie noire-là.
00:11:13 Exactement.
00:11:14 Après cette petite introduction,
00:11:19 je vais justement expliquer ce qui se passe aujourd'hui.
00:11:21 Et aujourd'hui, ce qui est actuel et ce qui est le plus dangereux,
00:11:24 c'est l'attaque sur notre cerveau.
00:11:27 Et là, ce sont les nouvelles recherches et des études neurologiques qui montrent
00:11:32 ce qui est faisable aujourd'hui, parce qu'aujourd'hui,
00:11:34 beaucoup de choses sont absolument faisables,
00:11:37 étant donné qu'on a de nouvelles technologies, nanotechnologies, etc.
00:11:42 J'y reviendrai.
00:11:44 Donc, évidemment, vous avez tout à fait raison,
00:11:47 parce que la psychiatrie, c'est un domaine,
00:11:50 c'est une application d'une science, une application.
00:11:52 La médecine n'est pas une science.
00:11:56 La neurologie, c'est une science.
00:11:57 La biologie, génétique, etc.
00:11:59 La médecine, c'est une activité sociale, finalement, par des grèves.
00:12:04 Et la psychiatrie, c'est une application de la psychopathologie, de la science.
00:12:08 Donc, dans cette application,
00:12:10 évidemment, il y a des abus de tous côtés.
00:12:12 Les psychiatres ne sont pas dans le vide.
00:12:15 Ils sont souvent encadrés par des...
00:12:18 Excusez-moi, parce qu'en ce moment, je ne pourrais pas tout lire.
00:12:22 Mais tout à l'heure, oui, oui, oui.
00:12:24 Juste après la...
00:12:26 On va répondre aux questions des autres stars.
00:12:28 Oui, d'accord. Je suis là.
00:12:29 Bonjour à tous ceux qui nous écoutent.
00:12:31 Je suis tout à fait à disposition de répondre à toutes vos questions.
00:12:36 Mais juste pour que je fasse mon exposé rapidement.
00:12:43 Donc, voilà.
00:12:44 Donc, ils ne sont pas indépendants.
00:12:46 Nous avons vu dans l'opération COVID-19,
00:12:49 parce que c'était une opération virus SARS-CoV-2, ce n'est pas 19.
00:12:53 Nous avons bien vu que les médecins,
00:12:56 les psychiatres et autres épidémiologues et autres,
00:12:59 ils étaient encadrés par le Pentagone.
00:13:01 Et que l'opération COVID-19, c'était une opération militaire, justement.
00:13:06 Le seul fait...
00:13:07 Ça, je n'ai pas prévu comme introduction,
00:13:10 mais vous m'aviez inspiré.
00:13:14 Au moment où j'ai vu que COVID-19 était classé comme secret d'État,
00:13:20 c'est-à-dire "military top secret", secret d'État,
00:13:24 pendant 50 ans,
00:13:28 c'était clair dès le départ qu'il y avait un côté militaire dedans.
00:13:31 Donc, les psychiatres ne sont pas indépendants.
00:13:34 Ça, il faut savoir.
00:13:35 Ils ne sont pas dépendants dans la société,
00:13:38 mais ils sont dépendants du point de vue intellectuel et moral.
00:13:41 Et c'est là où il faut se battre.
00:13:43 Parce que de toute façon, les psychiatres de MK Ultra américain étaient...
00:13:48 En tout cas, Cameron en question, qui a travaillé au Canada,
00:13:52 Donald Hebb, non, il était plus ou moins indépendant.
00:13:54 Mais Donald Cameron travaillait comme un agent de la Central American Agency.
00:14:03 Et il était financé par eux.
00:14:05 Donc, c'était un scientifique, comme d'ailleurs le psychiatre Sidney Gottfried.
00:14:13 Ce sont des psychiatres de la CIA.
00:14:15 C'est simple.
00:14:17 C'est aussi simple que ça.
00:14:19 Donc, il y en a qui travaillent pour les services ouvertement.
00:14:23 Et peut-être que, bon, ça, c'est leur droit.
00:14:26 Mais il faut savoir ce qui peut et ce qui ne peut pas être fait sur la population.
00:14:32 Alors, pour aller vite, je ne vais pas répéter la diachronie historique cette fois-ci,
00:14:39 mais je vais juste répéter simplement et brièvement
00:14:43 ma systématisation de ces opérations.
00:14:47 Permettez-moi de le dire à titre personnel,
00:14:51 je pense que ce sont des opérations criminelles.
00:14:55 Et là, j'accentue ce mot "criminels".
00:14:59 Je les ai systématisées.
00:15:01 Je vais vous dire seulement comment j'ai fait cette systématisation.
00:15:05 On ne va pas parler du programme Monarch, Bluebird, Artichoke,
00:15:10 Alpha, Beta, Delta, Z,
00:15:12 c'est tous les programmes de MK Ultra, parce qu'on a déjà parlé de ça.
00:15:17 Mais si quelqu'un veut quelques explications là-dessus, aucun problème.
00:15:21 Ça reviendra plus tard.
00:15:23 Ma systématisation de toutes les opérations de la psychiatrie noire,
00:15:29 voilà comment je les ai systématisées.
00:15:33 Non pas logiquement, parce que logiquement,
00:15:35 tous sont entre-influences, si on peut dire,
00:15:40 mais c'est une systématisation pédagogique.
00:15:43 Nous avons d'abord les opérations qui concernent la privation sensorielle
00:15:48 et psychologique.
00:15:49 On a parlé la dernière fois, on mentionne uniquement.
00:15:52 Donc, c'est le programme de privation.
00:15:55 C'est la privation physiologique et la privation psychologique.
00:15:58 Ce sont un groupe d'opérations de privation.
00:16:02 L'être humain est privé, soit de côté physiologique, soit de côté psychique.
00:16:07 Et ça, c'est très grave pour notre mental et pour notre santé.
00:16:11 En gros, ce sont les opérations de privation.
00:16:15 Sensory deprivation.
00:16:17 L'autre groupe des opérations,
00:16:19 ce sont les opérations qui concernent le choc, la peur, le traumatisme,
00:16:24 la schizophrénie et la paranoïa.
00:16:27 J'ai mis tout ça ensemble parce que ceci implique cela.
00:16:30 Si vous avez le programme de traumatisme,
00:16:33 vous avez aussi la paranoïa et la schizophrénie collectives.
00:16:38 Et ce sont les virus.
00:16:39 Le virus de la paranoïa collective est bien plus dangereux que tous les autres
00:16:45 virus dans l'épidémiologie.
00:16:48 Donc, là, deuxième groupe,
00:16:50 c'est tous les programmes qui concernent le choc, la peur, les traumatismes.
00:16:55 Et ça, évidemment, a pour conséquence
00:16:58 l'ambiance schizophrène et paranoïaque dans une société.
00:17:03 Dans le monde entier, comme c'était le cas d'ailleurs,
00:17:05 il y a deux ou trois ans.
00:17:07 Troisième groupe des opérations,
00:17:09 ce sont les opérations de violence et de répression.
00:17:13 Ça, c'est pas la peine d'en parler.
00:17:15 On a bien vu ce qui s'est passé ces derniers temps chez vous au Canada,
00:17:19 en Europe, dans la Macronie, surtout chez nous en France, dans la Macronie,
00:17:24 en Australie, c'était le pire en Australie, dans les Balkans, partout.
00:17:29 Quatrième groupe d'opérations, ce sont les opérations d'humiliation.
00:17:34 Ça, c'est très important de pointer parce que les opérations d'humiliation sont
00:17:38 diverses aussi et ce sont les opérations qui servent à,
00:17:44 comment dirais-je, à casser la personne,
00:17:47 que ce soit la personne individuelle ou collective.
00:17:50 Donc, ce sont les techniques de, comment dirais-je,
00:17:55 de casser les mécanismes psychologiques de défense.
00:17:58 Et ça, c'est vraiment une...
00:18:01 Ça, c'est quelque chose de très grave parce que l'humiliation pour le psychisme
00:18:05 humain, c'est une catastrophe.
00:18:07 Donc, ce sont les opérations d'humiliation.
00:18:09 Cinquième groupe d'opérations, ce sont les opérations brainwashing,
00:18:13 lavage du cerveau, mais les opérations idéologiques.
00:18:16 Aujourd'hui, je parlerai de cela,
00:18:18 mais surtout des opérations idéologiques et ensuite de notre cerveau,
00:18:24 de notre système nerveux central.
00:18:25 Donc, les opérations idéologiques.
00:18:28 Là, maintenant, ce n'est pas la privation sensorielle et psychologique,
00:18:31 c'est l'idéologie.
00:18:32 On va voir ce que c'est.
00:18:33 Et finalement, le plus grave, ce sont les programmes,
00:18:38 les opérations et les programmes de dommages physiques,
00:18:42 de dommages physiques, carrément physiques.
00:18:44 Donc, ce sont les...
00:18:46 l'eugénisme expérimental, ce qui était d'ailleurs le cas dans
00:18:49 l'affaire COVID.
00:18:51 Ce sont les opérations avec les nanotechnologies, avec les
00:18:56 technologies électromagnétiques et avec ce qu'on appelle aujourd'hui,
00:19:00 comment dirais-je, directed energy weapon, l'énergie directe
00:19:08 orientée vers la cible.
00:19:11 Je parlerai tout à l'heure de cela, de système nerveux central et
00:19:15 justement de ce qui se prépare, on peut dire, contre nos enfants.
00:19:21 Parce que cette fois-ci, je vais mettre aussi l'accent sur la
00:19:25 tragédie de nos enfants aujourd'hui.
00:19:27 Donc, encore une fois, pour terminer cette systématisation,
00:19:31 les opérations de privation, les opérations de choc, de
00:19:35 traumatisme et de peur, schizophrénie, paranoïa, ça va avec,
00:19:40 les opérations de violence et de répression, les opérations
00:19:44 d'humiliation, les opérations de lavage du cerveau, mais idéologie,
00:19:49 là, il s'agit d'idéologie.
00:19:50 On va voir tout à l'heure ce que c'est le wokisme et quelles sont
00:19:54 les conséquences.
00:19:56 Et finalement, les opérations physiques, c'est-à-dire l'attaque
00:20:01 physique sur nous, sur notre organisme, mais surtout sur le
00:20:04 cerveau humain.
00:20:05 Donc, lorsqu'il s'agit des opérations de privation, ça, on a
00:20:09 vu la dernière fois, on a parlé de ça.
00:20:12 On ne va pas s'attendre là-dessus maintenant, mais juste pour rappeler
00:20:15 que ça a commencé avec les scientifiques américains très
00:20:21 compétents, et c'était Nathaniel Kleitman et Eugene Ezerinsky,
00:20:29 qui ont fait pour la première fois dans les années 50,
00:20:32 précèdemment en 1953, dans les laboratoires aux États-Unis,
00:20:39 les cobayes soi-disant volontaires, les premières recherches sur la
00:20:43 privation, c'était la privation du sommeil.
00:20:45 C'était la privation du sommeil paradoxal,
00:20:48 Rapid Eye Movement Phase.
00:20:50 C'est le sommeil où on enregistre les ondes profondes, c'est les
00:20:54 ondes D de notre cerveau.
00:20:57 Et c'est le seul moment, plusieurs moments d'ailleurs, au cours de
00:21:00 notre sommeil, lorsque les neurones de notre système nerveux central
00:21:05 se récupèrent, se régénèrent.
00:21:08 Et donc, ces recherches de Kleitman et d'Ezerinsky étaient très
00:21:13 importantes du point de vue de la science.
00:21:16 Ce n'était pas n'importe quoi, c'était des gens très compétents
00:21:19 parce qu'on a un résultat scientifique important, c'est que
00:21:26 la privation du sommeil, c'était le début des opérations de
00:21:30 privation, qui d'ailleurs étaient faites après dans les prisons,
00:21:35 etc. d'une façon abusive.
00:21:38 Mais les deux chercheurs américains ont fait ça scientifiquement et
00:21:42 ils ont prouvé quelque chose d'important pour la science,
00:21:44 c'est-à-dire que privation du sommeil profond une nuit, par exemple,
00:21:50 une nuit dans la semaine, nous aide à traiter les dépressions
00:21:55 majeures.
00:21:56 Si on a des cas de grands déprimés au bord du suicide, la privation
00:22:04 du sommeil au moins une fois par semaine mène à une petite euphorie
00:22:08 le lendemain.
00:22:09 Vous voyez, ça c'est les neurotransmetteurs agissent
00:22:11 autrement, le lendemain on a un effet complètement contraire.
00:22:19 Et ça, c'était un résultat important pour la science parce que la
00:22:25 privation du sommeil, qui est vraiment conduite par des
00:22:31 spécialistes, des compétents, qui est de temps en temps,
00:22:35 proportionnellement, etc., pourrait être une méthode
00:22:40 psychothérapeutique et neurothérapeutique.
00:22:43 Mais si vous privez les patients, les sujets, plusieurs nuits
00:22:50 successivement de la phase du sommeil profond, ça conduit
00:22:56 directement vers les hallucinations et les états psychotiques.
00:23:00 Et ça aussi, c'est important comme résultat.
00:23:03 Donc, nous avons un côté bénéfique, mais nous avons aussi un côté
00:23:07 très dur et dangereux parce que la privation du sommeil plusieurs
00:23:13 nuits successivement, surtout lorsque vous réveillez,
00:23:15 c'est ce que d'ailleurs ont fait les nazis dans les camps de
00:23:18 concentration, quand ils ne laissaient pas les détenus dormir,
00:23:22 ils les réveillaient pendant la nuit.
00:23:24 Et Kleitman et Ezeris, qui étaient en effet, ils étaient
00:23:29 inspirés, malheureusement, par des recherches des médecins nazis.
00:23:32 Alors, si vous privez les patients plusieurs fois successivement de ce
00:23:37 sommeil profond, quand on enregistre les ondes D,
00:23:41 on les, comment dire, ça conduit directement dans les états
00:23:46 psychotiques.
00:23:47 Et si vous voulez, malheureusement, ça se faisait dans les prisons,
00:23:50 si vous voulez vraiment rendre un détenu psychotique, vous faites ça.
00:23:56 Vous ne le laissez pas dormir dans plusieurs nuits, vous le réveillez
00:24:01 au moment où vous enregistrez les ondes D.
00:24:03 Ça, c'était très dangereux.
00:24:04 Mais je voulais dire que les recherches sur la privation n'étaient
00:24:08 pas forcément et n'étaient pas a priori la psychiatrie noire.
00:24:13 C'était aussi un côté scientifique sérieux.
00:24:15 Maintenant, ce que nous avons eu dans l'affaire Covid, tout le monde
00:24:19 le sait, on ne va pas répéter ça.
00:24:20 On avait la privation sensorielle et physiologique.
00:24:24 Il n'y a pas de soleil, il n'y a pas de vitamines D, vous ne pouvez
00:24:27 pas sortir, etc.
00:24:28 Malgré le fait que le grand confinement, et moi, je dirais ici
00:24:33 le grand renfermement, je fais exprès de dire le grand renfermement
00:24:36 parce que c'est le titre de livre de Michel Foucault,
00:24:40 le grand renfermement 1656, si ma mémoire est bonne, c'est le 17e siècle.
00:24:45 Parce que ce grand renfermement qu'on a subi tous pendant l'affaire
00:24:50 Covid n'a jamais rien réglé dans l'histoire.
00:24:54 Médicale, que ce soit la peste, que ce soit, je ne sais pas,
00:24:57 quelle maladie, le confinement et le renfermement des gens n'a
00:25:01 jamais rien réglé.
00:25:03 Donc, cette privation qu'on a eue pendant le Covid, c'était
00:25:08 uniquement afin de contrôler les populations et de les apprendre
00:25:18 à vivre dans un monde totalitaire, confiné, renfermé, etc.
00:25:24 D'ailleurs, maintenant, aujourd'hui, nous aurons la même chose avec
00:25:27 le confinement climatique.
00:25:29 Là, ce n'est pas la peine, vous voyez, aujourd'hui, ce n'est pas la peine
00:25:33 de faire un confinement épidémiologique.
00:25:37 Il suffit d'avoir la température 60 degrés à l'ombre, et bien,
00:25:42 les gens vont se confiner eux-mêmes.
00:25:44 Ils ne vont pas sortir.
00:25:45 Moi, je ne dis pas qu'il n'y a pas vraiment des catastrophes et des
00:25:48 changements climatiques qui ne sont pas dépendants de nous.
00:25:54 Mais il est évident que le facteur humain y est pour quelque chose.
00:25:58 Alors, vous voyez maintenant, le renfermement, ça va être autre
00:26:02 chose, ça ne va pas être le virus, ça va être le climat.
00:26:05 Bon, passons.
00:26:06 Donc, tout le monde sait ce que c'était la privation physiologique
00:26:10 à l'époque.
00:26:11 La privation psychologique, c'était juste pour mentionner une
00:26:14 mémoriam parce qu'il ne faut absolument pas, jamais, au grand
00:26:18 jamais, il ne faut pas oublier ce qu'ils ont fait contre les populations.
00:26:23 Et surtout, contre nos vieux et contre nos enfants.
00:26:26 On ne pouvait pas voir les enfants, on ne pouvait pas les toucher.
00:26:31 Les grands-parents ne pouvaient pas voir leur petit-fils, leur petite-fille, etc.
00:26:35 Ça, c'était la privation psychologique et la privation sensorielle,
00:26:40 physiologique, les deux.
00:26:41 Donc là, ces méthodes-là, on les a bien étudiées.
00:26:45 On a vu ce que s'était passé ces dernières années.
00:26:47 Aujourd'hui, ça va être autre chose.
00:26:51 Je me dirige...
00:26:54 Mme Aleksitovic, toujours en assiéd.
00:26:56 Je vais me diriger pour l'actualité.
00:26:58 Je vais me diriger.
00:26:59 Oui, mais toujours en ayant en arrière de la tête de manipuler la population.
00:27:04 Derrière ça, c'est le confinement, le grand, vous avez dit tantôt,
00:27:09 le grand renfermement.
00:27:11 Tout ça est dans le but de créer une dynamique pour mieux contrôler
00:27:16 la population.
00:27:17 C'est ça?
00:27:18 Il n'y a que ça.
00:27:19 Il n'y a que ça.
00:27:20 Pour contrôler, pour confiner, pour apprendre aux gens d'écouter,
00:27:23 pour les enfermer.
00:27:24 Soyons...
00:27:26 disons quelque chose de très banal.
00:27:28 Si les finances s'écroulent, si les banques ferment,
00:27:33 ce qui va venir à tous les coups,
00:27:35 ça serait très bien de dire à la population, aux citoyens,
00:27:39 ne sortez surtout pas.
00:27:40 Il ne faut surtout pas aller vers les banques.
00:27:42 Soyez dans les maisons.
00:27:43 Il y a le climat, il y a les virus.
00:27:45 Vous ne pouvez pas sortir.
00:27:47 Vous voyez, tout est...
00:27:49 la motivation, ce qu'on appelle la motivation profonde de ceux qui font
00:27:55 cela est claire pour nous.
00:27:57 Mais il s'agit de comprendre leur mécanisme et de voir quelles sont
00:28:02 nos défenses.
00:28:03 C'est ça le plus important.
00:28:05 Donc ça, ce sont les méthodes de privation.
00:28:08 Aujourd'hui, ça va être autre chose, mais ne vous inquiétez pas,
00:28:11 les méthodes et les opérations de privation vont continuer.
00:28:14 Il faut savoir que ça va continuer.
00:28:17 Vous savez, quand Clinton s'est excusé auprès de la population américaine
00:28:22 en 1970, en disant "sorry people" pour ce qu'on avait fait dans le
00:28:28 "mind control", il a fait ça parce qu'il a fait ça d'office,
00:28:32 mais ça n'a jamais cessé et ça ne cessera jamais.
00:28:36 Il faut simplement pouvoir décortiquer, comprendre et se battre,
00:28:41 se défendre.
00:28:42 Parce que moi, je suis...
00:28:44 A la fin de cet exposé, je vais parler de notre combat,
00:28:48 de notre bataille.
00:28:49 C'est ça qui est important, mais il faut d'abord savoir ce qu'ils font.
00:28:51 Le deuxième groupe, c'était les opérations, comme on vient de dire,
00:28:55 de choc, peur, traumatisme, schizophrénie, paranoïa.
00:28:59 Ça, on a déjà dit comment ça se passait ces dernières années.
00:29:02 En ce qui concerne aujourd'hui, quand on parle de choc,
00:29:07 de traumatisme, de peur, les programmes de traumatisme,
00:29:14 continuent.
00:29:15 Souvenez-vous, on avait la petite récapitulation.
00:29:21 On avait d'abord la grippe porcine, la grippe aviaire,
00:29:25 ensuite les coronas, les machins, les virus, il y en a partout.
00:29:28 Les coronas, il y a beaucoup de coronas.
00:29:29 Finalement, on avait SARS-CoV-2, c'est-à-dire l'opération COVID-19,
00:29:34 ensuite Omicron, ensuite, maintenant, iris.
00:29:38 Il y a maintenant une mutation iris et il y a maintenant une mutation
00:29:42 qui s'appelle BA.6.
00:29:44 Bon, là, ça doit être mortel, comme ils disent, donc ça continue.
00:29:48 Ça continue.
00:29:49 Écoutez, dans la nature des virus, tout peut être mortel et rien,
00:29:54 ça dépend, c'est la nanonature.
00:29:57 Les virus vivent leur vie.
00:29:59 Il ne faut pas leur déclarer la guerre, en tout cas.
00:30:04 Tout ça s'est utilisé dans un nouveau programme de traumatisme.
00:30:07 Le nouveau programme de traumatisme qui va continuer aujourd'hui,
00:30:11 il n'y a pas que les virus et les épidémiologies et les pandémies,
00:30:14 des fausses pandémies, etc.
00:30:16 Aujourd'hui, on a de toute façon le changement climatique,
00:30:20 les changements séismiques, les tsunamis, les poisons,
00:30:26 les poisons dans la nourriture, les poisons dans l'agriculture,
00:30:30 les poisons dans les médicaments, les poisons dans l'air,
00:30:33 toutes sortes de poisons, l'arme biologique.
00:30:36 Et finalement, la chose qui est la plus grave,
00:30:39 et j'en dirai quelque chose un peu plus tard,
00:30:42 c'est les opérations et les opérations de traumatisme
00:30:48 faites sur nos enfants.
00:30:50 Ce qui est à la mode,
00:30:52 permettez-moi de dire ce mot à la mode aujourd'hui,
00:30:55 ce sont les mass shootings, c'est-à-dire les meurtres en masse,
00:30:58 qui d'ailleurs existaient de tout temps dans certains pays aux États-Unis,
00:31:02 mais par exemple dans les Balkans,
00:31:04 récemment on avait un shooting, un mass shooting,
00:31:08 un adolescent avait tué 11 personnes,
00:31:10 et c'était la première fois dans l'histoire des Balkans
00:31:13 que quelque chose comme ça s'est passé.
00:31:15 Donc ici, c'était pas en cours,
00:31:18 c'était pas quelque chose, aux États-Unis,
00:31:20 ça arrivait tout le temps pour des raisons diverses et variées,
00:31:23 ils ont accès aux armes, leurs parents ont les armes dans la maison,
00:31:29 ils regardent les films agressifs, etc.
00:31:31 Mais dans la région des Balkans, ça n'existait pas.
00:31:35 Maintenant, ça commence.
00:31:36 Maintenant, on va voir pourquoi ça commence dans tous les pays.
00:31:38 Donc, c'est la dernière méthode de manipulation.
00:31:43 Nos enfants, et nous tous d'ailleurs, parce que c'est la tragédie majeure,
00:31:49 c'est d'influencer sur le cerveau des enfants.
00:31:51 Je vous expliquerai plus tard comment ça se fait.
00:31:54 Et là, nous avons la dernière opération,
00:31:57 je dis opération parce que c'est aussi un phénomène tragique,
00:32:01 catastrophe, un drame, mais c'est aussi une opération,
00:32:04 c'est meurtre en masse et les suicides en masse,
00:32:08 disons, pour connaître l'original, disons mass shooting.
00:32:13 Donc, ça, c'est l'actualité.
00:32:16 Concernant le groupe des traumatismes, violences et répression,
00:32:21 ce n'est pas la peine d'en parler.
00:32:22 On en a dit beaucoup de choses là-dessus.
00:32:24 On a vu comment la répression va continuer,
00:32:27 comment ça s'est passé déjà dans ces dernières trois années
00:32:30 et comment ça continue aujourd'hui.
00:32:33 Maintenant, le point le plus important pour moi aujourd'hui,
00:32:35 ce sont les opérations qui sont dans le groupe de brainwashing,
00:32:39 c'est-à-dire de lavage du cerveau,
00:32:41 parce que là, il s'agirait des opérations idéologiques.
00:32:45 Je vais parler des opérations idéologiques.
00:32:47 Et les opérations idéologiques,
00:32:51 on accentue ça là-dessus.
00:32:55 Là, il y en a absolument beaucoup.
00:32:59 Et ça commence avec, évidemment,
00:33:03 la conception de l'homme nouveau.
00:33:07 On va voir ce que c'est la conception de l'homme nouveau,
00:33:11 la conception du wokeisme, le faux-gauchisme,
00:33:14 qui est un nihilisme en fait.
00:33:16 La conception de la, comment dire,
00:33:20 relativisation de toute maladie,
00:33:23 conception de partage et de division en permanence des populations.
00:33:30 Et des familles, ça on va voir aussi.
00:33:32 Et finalement, l'attaque,
00:33:36 enfin le programme qui a été élaboré contre les gosses,
00:33:40 contre les enfants.
00:33:41 Je vais expliquer ça.
00:33:43 Alors, ce qui est,
00:33:46 si on peut dire, on va peut-être commencer avec,
00:33:50 juste pour dire, on a aussi les programmes d'attaque physique,
00:33:55 mais on en reviendra plus tard.
00:33:57 Alors, tout cela, c'est en fait une sorte de déshumanisation
00:34:03 de la population.
00:34:05 Et les méthodes, quand on parle de l'idéologie de l'homme nouveau,
00:34:11 on peut dire que c'est une vieille, nouvelle et aussi vieille idéologie,
00:34:18 parce que nous avons vu cette philosophie de l'homme nouveau
00:34:21 partout dans l'histoire.
00:34:23 On en a eu dans l'histoire moderne, l'homme nouveau le plus important.
00:34:29 Ça existait aussi dans Moyen-Âge et bien avant.
00:34:32 Mais disons qu'on peut parler de l'homme nouveau du nazisme
00:34:36 et l'homme nouveau du communisme.
00:34:37 Tout le monde sait ce que c'était l'homme nouveau du nazisme.
00:34:40 C'était un homme, un rien génétiquement pur,
00:34:44 entre guillemets, qui était fort, qui était fécond,
00:34:49 qui était combattant, qui était beau.
00:34:53 Blond, yeux bleus, etc.
00:34:55 Bon, d'accord.
00:34:56 L'homme nouveau du nazisme, c'est bien connu.
00:34:58 L'homme nouveau du communisme, bon, je stylise,
00:35:00 je vulgarise un petit peu, mais passons.
00:35:03 C'était l'homme bien prolétaire, pauvre, qui est fort,
00:35:09 qui est intègre, qui se bat pour la justice sociale, morale, etc.
00:35:13 Bon, voilà.
00:35:14 Mais l'homme nouveau d'aujourd'hui, l'homme nouveau de Davos,
00:35:18 c'est ça qui est important.
00:35:20 Ce n'est pas une nouveauté.
00:35:22 On voit que l'idéologie de l'homme nouveau, elle est bien ancienne,
00:35:27 mais l'homme nouveau d'un certain Klaus Schwab, d'un certain Bill Gates,
00:35:32 d'un Fauci, de tous ceux qui ont accepté l'idéologie de Davos,
00:35:37 c'est en fait le transhumanisme, c'est le wokisme,
00:35:44 c'est l'homme divisé en tous points.
00:35:49 C'est déjà la société divisée, la famille et la personne elle-même.
00:35:53 Et c'est aussi quelqu'un, on peut dire, si on parle dans notre domaine,
00:35:58 je dirais que c'est un caractère psychopathique parce que c'est un homme
00:36:02 sévère, déshumanisé, structuré analement, structure anale,
00:36:08 très égoïste, très narcissique,
00:36:11 qui s'occupe uniquement de ses besoins sexuels et biologiques.
00:36:16 L'accentue est mis justement là-dessus.
00:36:18 Et qui n'a aucune solidarité, aucune empathie pour les autres
00:36:22 et qui devient pratiquement un cobaye robot.
00:36:26 Là, on va voir, ce n'est pas encore le cas, heureusement,
00:36:28 mais c'est une conception de créer un monde comme ça, comme cela.
00:36:33 Qu'est-ce que c'est que le wokisme ?
00:36:35 Parce que tout est lié.
00:36:35 Là, maintenant, l'idéologie, les opérations de la psychiatrie noire
00:36:40 idéologique sont liées à la conception de l'homme nouveau,
00:36:44 au wokisme, transhumanisme, passivisation de l'homme,
00:36:48 division, division idéologique du genre, relativisation des maladies
00:36:54 et attaque sur les enfants.
00:36:55 Tout ça, ça fait un.
00:36:56 C'est tout un.
00:36:57 Alors, le transhumanisme, évidemment, mais disons déjà le wokisme.
00:37:02 Le wokisme, c'est une idéologie.
00:37:04 Tout le monde sait, c'est à la mode aujourd'hui, mais il y a très peu
00:37:08 de personnes qui vraiment comprennent ce que c'est le wokisme.
00:37:12 À titre personnel, je pense que c'est un nihilisme pur et simple.
00:37:17 C'est une déconstruction.
00:37:19 C'est une destruction de la société.
00:37:21 C'est une destruction de la famille et c'est une politique de division
00:37:28 permanente et de création de la guerre de tous contre tous.
00:37:33 Donc, bellum omnia contra omnes, en permanence.
00:37:38 Le wokisme, c'est quoi ?
00:37:41 C'est Black Lives Matter.
00:37:44 Évidemment que la vie des nègres, des Africains, c'est important,
00:37:50 la vie de tous ces gens-là.
00:37:51 Mais pourquoi ?
00:37:53 Pourquoi il faut faire un activisme pareil ?
00:37:55 Parce que dans l'idée du wokisme, nous avons l'idéologie de la vengeance,
00:38:02 de la vengeance de la femme contre l'homme.
00:38:06 La femme devrait se venger sur l'homme.
00:38:10 Les homosexuels devraient se venger sur les hétérosexuels.
00:38:14 Les Noirs devraient se venger sur les Blancs.
00:38:18 Et en permanence, évidemment qu'on peut être coupable dans toute l'histoire,
00:38:22 mais c'est l'idéologie de la vengeance permanente et d'un morcellement
00:38:30 de la société et surtout de la famille.
00:38:32 On va voir ce que ça donne sur les enfants un peu plus tard.
00:38:35 Donc, c'est une idéologie de la guerre permanente, de tous contre tous.
00:38:40 Et ce n'est pas fait parce que les Noirs et les Africains devraient avoir
00:38:47 plus de droits ou les femmes, d'ailleurs on en a déjà suffisamment,
00:38:51 ou bien que, je ne sais pas, les familles et tout ça.
00:38:55 Non, c'est fait pour morceler, pour atomiser une société et pour détruire.
00:39:03 L'élément le plus important, c'est la famille.
00:39:05 Alors, le wokeisme, ce n'est que ça.
00:39:08 Cette idéologie n'a rien à voir avec le gauchisme, n'a rien à voir avec
00:39:13 les droits des ouvriers, solidarité financière, économique, absolument
00:39:18 rien à voir.
00:39:19 Ce n'est que le partage et la division de la société.
00:39:23 Et tous les problèmes et tous les aspects, tous les questions des marxistes
00:39:29 et des contrepoids, étaient transférés dans le sociétal, comme on dit
00:39:33 aujourd'hui.
00:39:34 Mais c'est bien plus grave que ça, parce qu'il ne s'agit pas du sociétal,
00:39:40 il s'agit de la haine et de la vengeance propagée dans cette idéologie
00:39:46 et qui mène à l'atomisation de toute la société, qui est d'ailleurs,
00:39:51 à ce moment-là, facilement contrôlable.
00:39:54 Et évidemment, c'est la fin de tout cela.
00:39:59 Le but, c'est le totalitarisme et le contrôle généralisé.
00:40:03 - Mme Alekshovitch, vous me faites comprendre pourquoi ils sont si violents,
00:40:08 malgré tout leur politiquement correct quand ils se présentent en public.
00:40:13 Comment ils peuvent être violents aussi par rapport à ceux qui ne pensent pas
00:40:16 comme eux?
00:40:17 Vous me faites bien comprendre ça.
00:40:19 - C'est pour ça que j'ai dit au départ
00:40:24 et encore une fois, permettez-moi d'accentuer cela.
00:40:27 C'est pour ça que j'ai dit au départ que toutes ces opérations,
00:40:31 qui d'ailleurs sont les opérations de la psychologie et de la psychiatrie
00:40:34 noire, parce que les autres ne sauraient même pas de quoi il s'agissait,
00:40:36 de quoi il s'agit.
00:40:38 C'est pour ça que j'ai dit que je les trouve absolument criminels
00:40:44 et jugeables.
00:40:46 C'est quelque chose qui doit être jugé.
00:40:51 - Mme Alekshovitch, je pourrais rajouter aussi que nos autorités politiques
00:40:55 vont laisser aller ces gens-là.
00:40:57 Ici, on a une mairesse, Valérie Plante, qui dit que le Black Bloc
00:41:02 et tous ceux qui font de la violence à Montréal dans des manifs ou autre,
00:41:05 ce n'est pas grave.
00:41:07 C'est des petits enfants qui apprennent la vie.
00:41:09 Il faut les laisser aller.
00:41:10 Gabriel Nadeau-Dubois, qui est le chef des WOC ici au Québec,
00:41:15 n'a jamais condamné la violence que faisait le Black Bloc.
00:41:20 On comprend très bien qu'on monopole la violence aussi quand on ne les écoute pas.
00:41:24 - Voilà, parce que la violence, c'est la règle du jeu.
00:41:30 Il faut de la violence, il faut la vengeance, il faut la haine.
00:41:34 Donc, si vous voulez, le WOKisme ne peut pas être une idéologie,
00:41:38 qu'on soit de droite ou de gauche.
00:41:40 Aujourd'hui, ça ne vaut plus rien dire.
00:41:43 Mais qu'est-ce que ça veut dire, propager une haine et une vengeance ?
00:41:47 Encore une fois, la femme doit se venger contre l'homme.
00:41:51 Les homosexuels sur les hétérosexuels, les Noirs sur les Blancs.
00:41:55 Bon, la femme était opprimée, ça c'est évident.
00:41:58 Les homosexuels étaient opprimés, ça aussi c'est évident.
00:42:01 Les Noirs étaient opprimés, ça aussi c'est évident.
00:42:04 Mais est-ce que nous devrions faire une...
00:42:08 enfin, propager une idéologie d'une vengeance et de la haine et de la guerre ?
00:42:14 Aujourd'hui, aller dans un autre extrême.
00:42:17 Mais ça, c'est encore une fois, ces opérations sont complètement,
00:42:22 complètement préméditées, planifiées, programmées.
00:42:28 Et ce qui se fait dans cette idéologie,
00:42:30 ça se fait sciemment et avec la pleine connaissance de cause.
00:42:35 Ceux qui font ce programme,
00:42:38 ils sont tout à fait conscients de ce qu'ils font.
00:42:40 Tout à fait conscient.
00:42:41 Ça, il ne faut pas se leurrer en disant,
00:42:43 "là, ça arrive parce que les femmes étaient opprimées et sont malheureuses."
00:42:51 Non, non, non.
00:42:52 Ils sont stimulés de propager cette haine.
00:42:56 Voilà, ça sert à ça.
00:42:59 Ça sert à contrôler complètement la société.
00:43:01 D'abord l'atomiser, ensuite la contrôler et la mettre dans un...
00:43:05 pour que les gens se tiennent au carreau.
00:43:06 C'est évident, c'est évident.
00:43:08 Alors, dans les opérations idéologiques de la psychiatrie noire,
00:43:14 comme je dis, le wokisme, passivisation de l'homme, transhumanisme,
00:43:19 l'idéologie du genre, division de tout secteur de socialité
00:43:23 et finalement, attaque sur nos enfants,
00:43:26 attaque sur les enfants, je continue avec.
00:43:29 Mais juste pour dire, l'idéologie du genre,
00:43:32 donc changement de sexe comme une...
00:43:35 comment dire, comme une offre, une norme.
00:43:39 Parce que, attendez,
00:43:41 les personnes qui n'étaient pas contentes dans leur sexe existaient de tout temps
00:43:47 et les opérations de sexe se faisaient de tout temps.
00:43:51 Si on avait la possibilité, si on avait les moyens,
00:43:54 si les médecins disaient qu'il fallait le faire, etc.
00:43:57 Mais ce n'était pas une idéologie.
00:43:59 C'était des...
00:44:01 comment dire,
00:44:03 des actes et des opérations médicales qui se faisaient de tout temps.
00:44:07 Il n'y a rien de nouveau.
00:44:09 Mais ce qui est nouveau, c'est qu'aujourd'hui, c'est une offre.
00:44:13 C'est une norme.
00:44:15 Parce que dans les crèches de nos enfants,
00:44:17 on va voir tout de suite que le Davos avait...
00:44:21 l'équipe de Davos avait développé un programme de ce qu'on appelle
00:44:24 la sexualisation de nos enfants, ce qui est d'ailleurs le plus tragique.
00:44:28 Et ils disent que les Nations unies avaient accepté ce programme,
00:44:31 ce qui n'est pas vrai tout à fait, parce que j'ai lu le traité des Nations unies.
00:44:37 Ce n'est pas tout à fait ça, mais ils oeuvrent,
00:44:40 ils travaillent là-dessus pour que les Nations unies acceptent
00:44:44 ce programme de la soi-disant sexualisation des enfants,
00:44:47 qui planifie
00:44:51 ces soi-disant l'éducation sexuelle des enfants.
00:44:54 Mais dans ce traité, il est dit que les enfants,
00:44:58 à partir de quatre ans, de trois ans, de quatre ans,
00:45:01 devraient être stimulés sexuellement pour qu'ils développent
00:45:05 le plus vite possible la sexualité génitale.
00:45:10 Alors là, c'est vraiment un drame pour nous et pour tous ceux
00:45:14 qui connaissent la psychologie et la psychiatrie, si vous voulez, des enfants.
00:45:19 Insister, faire un programme de la sexualisation des enfants,
00:45:23 qui devrait...
00:45:25 La sexualité enfantile des enfants existe, ça on le sait, il n'y a aucun problème,
00:45:30 mais planifier le passage de la sexualité
00:45:35 enfantile vers une sexualité génitale à partir de quatre ans, ça veut dire quoi ?
00:45:41 Ça veut dire ouvrir la porte de la pédocriminalité.
00:45:47 C'est aussi simple que ça, parce qu'un enfant de quatre ans
00:45:51 ne peut pas avoir, comme ils disent, ça, écoutez, je cite une phrase,
00:45:57 la masturbation programmée qui devrait être éduquée et pratiquée
00:46:03 à partir de trois ou quatre ans.
00:46:05 Mais un enfant, c'est la sexualité génitale,
00:46:08 mais on ne peut pas faire ça quand on a quatre ans avec les enfants dans les crèches.
00:46:13 Vous vous rendez compte ce qu'ils sont en train de faire ?
00:46:16 En fait, le but de tout cela, c'est ouvrir la porte de la pédocriminalité.
00:46:21 C'est évident.
00:46:21 Et affaiblir l'inversion contre la pédocriminalité.
00:46:28 C'est le début.
00:46:29 En fait, c'est revenir le vieux "Kinsey Report".
00:46:33 Ça revient petit à petit.
00:46:35 Ça revient.
00:46:36 Bon, alors, je dirais tout simplement,
00:46:39 l'idéologie du genre, qui est aussi dans ce magma,
00:46:44 dans ce paquet des opérations idéologiques de la psychiatrie noire,
00:46:49 ne traite pas le changement de sexe comme une opération médicale,
00:46:55 comme un événement médical, mais comme une offre, comme une norme.
00:46:59 Une norme, ça veut dire il faut.
00:47:01 Ils viennent dans les crèches et dans les écoles.
00:47:05 Maintenant, en tout cas, ce sont les mineurs.
00:47:09 Ils viennent dans les lycées et ils disent aux enfants,
00:47:13 vous avez la possibilité de changer votre sexe.
00:47:16 On vous offre cela.
00:47:18 On vous offre la liberté de dire est-ce que vous êtes content dans votre sexe?
00:47:23 Vous voyez ce que ça veut dire?
00:47:25 Oui, on est en train de créer un besoin.
00:47:27 C'est un besoin.
00:47:28 Déjà, au départ, c'est toujours une mode.
00:47:32 C'est la mode au départ.
00:47:33 Ensuite, c'est un besoin.
00:47:34 Et finalement, c'est une norme.
00:47:36 Et à la fin, c'est une nécessité.
00:47:38 Ça, c'est une catastrophe.
00:47:39 C'est un drame.
00:47:41 C'est vraiment le crime.
00:47:43 C'est génocidaire contre nos enfants.
00:47:46 Alors, ce que je voudrais dire ici, c'est évidemment,
00:47:49 c'est tout à fait soutenu par les GAFAM,
00:47:53 c'est-à-dire les bras et les jambes de ces opérations.
00:47:57 Ce sont les GAFAM, c'est Google, Amazon, Facebook, Twitter, Media.
00:48:02 Et ne jamais oublier les ancêtres de ces idéologies, du wokisme.
00:48:09 Là, il faut mentionner...
00:48:10 Déjà, vous avez une certaine chance chez le pauvre Thomas More
00:48:15 dans "La République universelle",
00:48:17 mais il n'est pas coupable, Thomas More, pour ça,
00:48:19 parce que de toute façon, en Angleterre, il n'était jamais compris.
00:48:23 Il était plutôt compris en France, Thomas More, qu'en Angleterre.
00:48:25 Mais il y a cette...
00:48:28 On trouve déjà chez Aristote une idée de la République universelle et tout ça,
00:48:33 mais ce n'était pas de cette façon-là.
00:48:35 Dans notre histoire moderne,
00:48:38 le parent de toutes ces âneries, c'est Jacques Attali.
00:48:44 C'est même Alain Minc,
00:48:46 quand il parle de la mondialisation heureuse, n'oubliez pas Alain Minc,
00:48:51 qui est un homme d'ailleurs assez intelligent,
00:48:54 mais qui est dedans, qui est dans cette idéologie.
00:48:57 Ce sont des ancêtres du wokisme
00:49:00 banalisé et vulgarisé d'aujourd'hui.
00:49:02 Pour en revenir à un certain Klaus Schwab,
00:49:05 qui est un charlatan cultivé qui ne comprend pas grand-chose.
00:49:09 Ce n'est pas un idéologue.
00:49:10 Klaus Schwab, c'est un homme très motivé de réduire la population,
00:49:15 comme Bill Gates, ce n'est pas un idéologue.
00:49:16 On va voir que Klaus Schwab est très,
00:49:19 très motivé de faire des brevets neurologiques,
00:49:22 alors qu'il ne connaît rien en neurologie, mais absolument rien.
00:49:25 C'est un charlatan intelligent.
00:49:28 J'ai lu son livre,
00:49:31 "La quatrième révolution industrielle".
00:49:34 C'est un homme assez intelligent,
00:49:35 mais complètement charlatan dans le domaine de la neurologie.
00:49:38 Et là, il se permet de donner, de faire des brevets
00:49:43 neurologiques avec, d'ailleurs, l'école de Bill Gates.
00:49:47 On va voir tout à l'heure.
00:49:48 Donc, encore une fois, l'homme nouveau, le wokisme, la passivisation,
00:49:54 la division éternelle de la société, des familles et des individus.
00:49:58 La division au niveau de l'individu, ça s'appelle la schizophrénie.
00:50:02 C'est à ce niveau-là.
00:50:03 La relativisation des diagnostics,
00:50:06 j'y reviendrai, et l'attaque sur les enfants.
00:50:08 Donc là, l'idéologie de changement du sexe,
00:50:11 ça devient une norme et c'est une propagande très agressive
00:50:18 chez les mineurs.
00:50:19 Alors, ce qu'il faut dire ici également,
00:50:23 ce qui est très important de ne pas oublier, c'est que
00:50:28 la transgression sexuelle,
00:50:31 en tout genre, fait partie de cette idéologie
00:50:36 du wokisme, évidemment, et de ces opérations idéologiques
00:50:39 de la psychiatrie noire.
00:50:41 Donc, nous avons transgression sexuelle, changement de sexe,
00:50:45 programmation sexuelle, l'adaptation aux perversions
00:50:51 qui existent, les perversions existent,
00:50:55 la tolérance croissante vers la pédocriminalité,
00:51:00 ça, on le voit partout, c'est ça le but final.
00:51:03 Et ce qui est le plus grave, le plus dur,
00:51:06 c'est ce qu'ils programment pour nos enfants,
00:51:09 c'est la nouvelle méthode des stratégies, méthode,
00:51:14 comme vous voulez, des bloqueurs de puberté.
00:51:18 Alors, les bloqueurs de puberté, ça veut dire tout simplement,
00:51:22 c'est une méthodologie, enfin, c'est déjà une stratégie,
00:51:26 ensuite une méthode qui est déjà très en cours,
00:51:30 déjà dans certains pays, qui dit que les enfants,
00:51:34 et surtout les mineurs, dans les écoles maternelles
00:51:37 et dans les lycées, devraient être examinés,
00:51:43 donc on fait vraiment une attaque sur les enfants,
00:51:45 on les examine en leur posant la question,
00:51:47 est-ce que vous êtes content ?
00:51:50 Est-ce que vous êtes content dans votre sexe ?
00:51:51 Est-ce que vous voulez, si c'est une fille,
00:51:53 est-ce que tu veux être un garçon ?
00:51:55 Dis-moi, chouchou, tu veux être un garçon ?
00:51:57 Tu sais que tu peux être un garçon si tu veux,
00:52:00 et les garçons, tu sais que tu peux être une fille.
00:52:02 Vous voyez, c'est une attaque,
00:52:05 c'est vraiment quelque chose de très grave,
00:52:07 on ne laisse pas tranquille les enfants.
00:52:09 Et finalement, on leur propose ce qu'on appelle
00:52:12 les bloqueurs de puberté.
00:52:13 Les bloqueurs de puberté, c'est une méthode médicale
00:52:17 qui consiste en, comment dirais-je,
00:52:20 bloquer la puberté, c'est-à-dire, c'est une méthodologie
00:52:24 qui va avoir comme conséquence finale
00:52:28 le fait que les enfants et les ados
00:52:32 qui ont été bloqués de cette façon-là
00:52:34 ne pourront jamais, jamais procréer.
00:52:37 Cela dit, ces enfants ne pourront pas avoir leurs enfants.
00:52:42 Ça, c'est clair et net.
00:52:43 Et ça, on ne le dit pas.
00:52:45 On dit cette ânerie, mais moi, je dirais,
00:52:50 ce crime a été expliqué en disant qu'on propose
00:52:55 les bloqueurs de puberté aux enfants
00:52:57 pour que les enfants ne soient pas emprisonnés
00:52:59 dans le mauvais sexe.
00:53:02 Qu'est-ce que ça veut dire ?
00:53:03 Ça ne veut rien dire.
00:53:04 Un enfant de 5 ans, de 6 ans, même de 12 ans,
00:53:07 ne peut pas être emprisonné dans un mauvais sexe.
00:53:10 C'est même pas encore...
00:53:11 C'est après la puberté qu'on a vraiment
00:53:15 une identité sexuelle, psychologique.
00:53:18 La biologie, c'est la biologie.
00:53:19 Qu'est-ce que ça veut dire, "mauvais sexe" ?
00:53:21 Il ne peut pas avoir cette perception,
00:53:23 ni cette conscience.
00:53:25 C'est n'importe quoi.
00:53:26 C'est un non-sens.
00:53:28 Mais pourquoi ils font ça ?
00:53:30 Pourquoi ils font ça ?
00:53:31 Eh bien, ils font ça parce que ça aussi,
00:53:33 ce n'est pas le bienfait pour les enfants.
00:53:37 Ce n'est pas une nouvelle méthode
00:53:40 pour "libérer" les enfants, comme ils disent.
00:53:43 Non, c'est la continuation de la stratégie
00:53:48 de la réduction des populations.
00:53:51 En fait, ça revient à la vieille guerre maltusienne.
00:53:59 C'est-à-dire, c'est la méthode de Malthus,
00:54:02 c'est-à-dire réduire, réduire et réduire.
00:54:05 Nous étions réduits, en tout cas,
00:54:08 ceux qui ne nous ont pas écoutés,
00:54:09 avec les faux vaccins, les sérums.
00:54:13 Il y en a beaucoup qui sont morts partout dans le monde,
00:54:15 sur tous les continents, sur tous les pays.
00:54:17 Heureusement, ça va continuer.
00:54:18 Comme disait d'ailleurs le fameux,
00:54:22 le connu et célèbre médecin qu'on connaissait personnellement,
00:54:29 qui n'est plus parmi nous,
00:54:32 pour nous faire hommage, parce que c'est vraiment un prix Nobel.
00:54:35 Et quelqu'un qui a été accusé de dire n'importe quoi,
00:54:37 d'être dément, d'être, je ne sais pas.
00:54:43 Il a payé fort cher ces accusations des charlatans,
00:54:51 des charlatans et des fact-checkers.
00:54:53 Il n'y a pas que lui.
00:54:54 Il y a aussi Didier Raoul qui a été attaqué,
00:54:56 Nobel Prize Michael Levitt, Jean Fourtillon,
00:55:00 Christian Perron et tous ces braves gens
00:55:05 qui disaient la vérité dès le départ.
00:55:06 Et donc, puisque j'ai cité Luc Montaignez,
00:55:10 comme il l'a dit, ceux qui n'ont pas écouté ce qu'on avait dit au départ
00:55:15 et qui se sont fait inoculer 5, 6 doses de Pfizer,
00:55:19 je ne sais pas quoi,
00:55:20 eh bien, ils vont vivre encore 5 ans.
00:55:21 Bon, fin de citation.
00:55:24 Ce n'est pas moi qui le dis.
00:55:25 Donc, c'est quelqu'un qui sait, il savait de quoi il parlait.
00:55:29 Donc, pour quelles raisons on peut se poser maintenant cette question-là ?
00:55:33 Pour quelles raisons on applique et on propage ces bloqueurs de puberté
00:55:38 pour nos enfants ?
00:55:39 Pour réfléchir un petit peu, d'abord les sérums ont fait ce qu'ils ont fait.
00:55:44 Le programme de Malthus a été fait.
00:55:47 Et comment ?
00:55:49 Ensuite, les changements climatiques vont faire la même chose.
00:55:52 Ensuite, nous avons la guerre maintenant qui va s'élargir un peu partout,
00:55:56 qui fait aussi, qui contribue aussi dans le programme malthusien.
00:56:01 Et finalement, nous avons les bloqueurs de puberté qui vont faire de nos enfants
00:56:08 les enfants qui ne pourront pas avoir leurs enfants,
00:56:11 qui ne pourront pas procréer.
00:56:12 Donc, c'est fini.
00:56:14 Non seulement qu'ils ont tué nos vieux dans les EHPAD,
00:56:17 avec le remdesivir,
00:56:22 médazolam, des médicaments,
00:56:25 midazolam, oxycodone, remdesivir.
00:56:29 Nos vieux étaient tués 3 ans en arrière.
00:56:33 Maintenant, ce n'est pas suffisant.
00:56:35 Non seulement qu'ils ont tué des vieux partout, dans tous les pays,
00:56:38 maintenant, ils s'attaquent aux enfants.
00:56:39 Ils font la guerre aux enfants.
00:56:42 Ils font le prosélytisme sur les enfants.
00:56:45 Il faut bloquer votre puberté.
00:56:47 Mais qu'est-ce que ça veut dire bloquer la puberté ?
00:56:48 Ce n'est pas libérer l'enfant.
00:56:50 Ça conduit à la stérilité.
00:56:56 C'est aussi simple que ça.
00:56:57 Donc, c'est la continuation de la réduction des populations.
00:57:01 C'est clair et net.
00:57:02 Il faut comprendre ça comme ça.
00:57:04 Le but de cette opération n'est pas la libération des enfants,
00:57:08 ni la liberté sexuelle et d'autres conneries.
00:57:11 C'est réduire les populations.
00:57:14 Eux, ils ne pourront pas avoir leurs enfants.
00:57:16 Fini. Point final. Point barre.
00:57:18 Et alors ? Voilà ce que ce sont les idéologies.
00:57:22 Et maintenant, il faut dire, le but aussi de tout cela,
00:57:27 c'est créer des...
00:57:31 Quand on regarde cette division et cette idéologie de la division
00:57:35 des sociétés, des familles, etc.
00:57:38 Et des sexes, tout ça.
00:57:40 Division, guerre, vengeance.
00:57:42 C'est créer des individus égoïstes, intéressés uniquement
00:57:47 par leurs besoins biologiques et sexuels.
00:57:52 Les individus qui s'intéressent uniquement
00:57:55 par leurs besoins biologiques et sexuels,
00:57:58 c'est des individus...
00:58:00 Je ne peux pas dire que ce sont des psychopathes a priori,
00:58:03 mais évidemment, la société, le partage, la solidarité,
00:58:09 la justice sociale, l'empathie envers les autres, ça disparaît.
00:58:14 Et vous avez une société des électrons libres,
00:58:18 des individus sévères, cruels, égoïstes, narcissiques,
00:58:26 orientés vers eux-mêmes, atomisés, contrôlables.
00:58:31 Et puis voilà, c'est ça le but des opérations.
00:58:33 C'est ça le but de toutes ces opérations de l'idéologie
00:58:37 dans le groupe de la psychiatrie noire.
00:58:40 Maintenant, et évidemment, l'éducation sexuelle,
00:58:44 entre guillemets, ça sert à ça.
00:58:47 Ce qui fait partie de transhumanisme,
00:58:53 c'est exactement cet homme qui n'est plus homme,
00:58:57 qui n'a plus le "denka" humain,
00:59:02 qui s'éloigne de l'amour, de la solidarité, de l'empathie,
00:59:08 et qui devient un cobaye, si vous voulez, volontaire,
00:59:11 parce que la volonté, elle est déjà effacée,
00:59:15 qui devient un cobaye volontaire pour tout le reste.
00:59:19 Et le reste, c'est l'idée d'un certain Klaus Schwab,
00:59:24 qui d'ailleurs, encore une fois, je dois répéter, est un charlatan,
00:59:27 mais qui s'est lancé dans des idées de la reprogrammation des hommes
00:59:32 et de toutes sortes de brevets sur notre système nerveux central,
00:59:37 c'est-à-dire l'attaque sur notre cerveau.
00:59:39 Et là, il faut dire quelque chose là-dessus.
00:59:40 D'ailleurs, il n'est pas seul, parce que Bill Gates...
00:59:42 - Oui, parce que c'est mené souvent par des idiots utiles.
00:59:46 On a l'impression d'assister à un immense dîner de cons
00:59:50 où des ambitieux s'assoient à la table pour faire des opérations
00:59:57 où ils ont à peine conscience de l'impact.
00:59:59 Ils sont vraiment focalisés sur le résultat,
01:00:05 effectivement, de réduire la population.
01:00:07 Mais ça, madame Alexkovitch,
01:00:08 c'est très dur à faire passer chez le commun des mortels,
01:00:13 parce qu'ils disent comment ça, ces gens-là riches
01:00:16 voudraient éliminer leurs consommateurs.
01:00:19 Ce n'est pas logique.
01:00:20 Ils vont nous dire ben non,
01:00:21 ils veulent nous vendre plus de cochonneries, eux autres.
01:00:25 Donc, c'est souvent ça qu'on est frappé quand on leur dit
01:00:28 c'est né essentiellement pour réduire la population.
01:00:31 Ça, on est encore...
01:00:32 On a beaucoup de barrières à faire passer ce message-là aux gens.
01:00:37 - Exactement.
01:00:38 Et là, je vais juste résumer le but de tout cela,
01:00:43 de ces méthodes idéologiques.
01:00:45 Là, on va passer à l'explication de ce que ça veut dire,
01:00:48 vraiment l'attaque sur le cerveau.
01:00:49 Mais juste avant de dire ça, je fais un petit résumé.
01:00:52 Le but, c'est donc l'entretien permanent des personnes
01:00:57 en maladie et addiction à l'industrie pharmaceutique.
01:01:01 Ça, c'est numéro un.
01:01:02 Le secondo, c'est atteindre la stérilité mondiale
01:01:06 et arrêter les naissances.
01:01:08 Les bloqueurs de puberté, ce n'est que ça.
01:01:10 Arrêter les naissances.
01:01:12 Il faut regarder ça comme ça.
01:01:14 Ça n'a rien à voir avec la liberté.
01:01:15 Et troisième chose, c'est la liquidation,
01:01:18 réduction pure et simple des populations.
01:01:22 Encore une fois, nos vieux, on était les premières victimes.
01:01:27 Souvenons-nous, là, c'était vraiment des actions génocidaires
01:01:32 contre les vieux et nos grands-parents.
01:01:35 Et avec le remdésivir, l'amidazolam, l'oxycogone
01:01:41 et avec les systèmes de ventilation
01:01:45 et tout ce protocole qui n'était pas nécessaire.
01:01:48 Aujourd'hui, on le sait, on le dit, on en parle, on témoigne,
01:01:52 mais il n'y a pas de jugement encore.
01:01:54 Voilà.
01:01:56 Maintenant, je vais passer à parler de nos enfants.
01:02:00 Il faut expliquer encore une chose très importante,
01:02:03 c'est cette pathologie, cette motivation pathologique
01:02:10 d'attaquer le cerveau.
01:02:12 Le cerveau est au centre de la guerre psychologique.
01:02:16 Le cerveau est au centre de la psychiatrie noire.
01:02:19 Ça, c'est évident.
01:02:21 Tout est lié dans l'organisme, évidemment,
01:02:23 le psychisme, la physiologie, etc.
01:02:25 Mais le centre, la centrale électrique, c'est le cerveau.
01:02:33 Est-ce que vous m'entendez toujours?
01:02:34 Parce que oui.
01:02:36 Ah oui, oui.
01:02:37 Oui, je vous entends toujours.
01:02:38 C'est juste que j'ai une petite chose à régler en coulisses.
01:02:40 C'est continué.
01:02:41 D'accord, j'étais prévenu que si jamais pour l'instant,
01:02:45 on a bien de la chance parce que rien n'a été coupé.
01:02:48 Donc, le cerveau est le centre.
01:02:50 C'est une centrale électrique, évidemment.
01:02:53 Ce qui se passe dans le cerveau,
01:02:56 ce sont les impulsions électriques et biochimiques, chimico-électriques.
01:03:01 Et donc, l'attaque au cerveau,
01:03:03 l'attaque sur le cerveau est le but de toutes ces opérations modernes.
01:03:08 Là, je ne parle pas plus.
01:03:10 Je ne parle plus du passé, de ce qui se faisait dans le MK Ultra,
01:03:14 parce que ce qui se faisait dans le MK Ultra dans les années 50 et 60
01:03:19 du siècle dernier, c'était très moderne par rapport à l'époque.
01:03:22 Mais aujourd'hui,
01:03:23 les technologies nouvelles se sont tellement développées qu'aujourd'hui,
01:03:28 on a d'autres méthodes.
01:03:30 Et ce qui est le plus important à dire,
01:03:32 c'est qu'aujourd'hui, on peut très facilement agir à distance.
01:03:37 Et autrefois, ce n'était pas le cas.
01:03:40 Quand Hebb et Cameron avaient fait leurs expériences sur les détenus,
01:03:46 sur les malades, sur les patients psychiatriques,
01:03:49 ils faisaient ça dans les hôpitaux, dans les prisons.
01:03:53 Et voilà, ils emprisonnaient les gens.
01:03:56 Pour être juste, je ne parle pas seulement des États-Unis.
01:03:59 La même chose se passait en Union soviétique avec les monstres comme Luntz,
01:04:05 Marozov et Sniezniewski, c'était des psychiatres aussi
01:04:09 qui maltraitaient et torturaient les patients.
01:04:12 Mais c'était dans les hôpitaux et dans les prisons,
01:04:17 comme d'ailleurs, ça se faisait dans toutes les dictatures et tous les régimes
01:04:21 qui se servent de ces méthodes de la psychiatrie noire.
01:04:25 Aujourd'hui, c'est très facile de faire tout cela à distance.
01:04:30 Et là, nous voyons encore une fois les deux idiots,
01:04:33 permettez-moi cette expression, Bill Gates et Klaus Schwab,
01:04:37 qui ne sont pas bêtes, mais ils sont
01:04:40 moralement et ontologiquement des idiots et des charlatans.
01:04:44 Évidemment, au niveau des compétences,
01:04:46 ils sont charlatans parce qu'ils ne connaissent pas la neurologie,
01:04:48 qui se laissent dans ces projets et qui ont plein de projets
01:04:51 comment cibler le cerveau humain, surtout le cerveau des enfants.
01:04:56 Et ça, ce n'est pas pour rien parce que le cerveau des enfants,
01:04:59 qui n'est pas encore développé, c'est la victime idéale.
01:05:04 Donc, le dernier groupe des méthodes et des opérations de la psychiatrie noire
01:05:11 concerne le programme de dommages physiques, comme je l'ai dit tout à l'heure.
01:05:17 Et ça comprend
01:05:20 d'abord l'eugénisme expérimental,
01:05:24 ensuite les nanotechnologies et les technologies électromagnétiques et
01:05:29 également ce qu'on appelle
01:05:32 « directed energy weapon », c'est-à-dire l'énergie directe, orientée.
01:05:39 Je ne sais pas exactement comment traduire en français, qui d'ailleurs,
01:05:42 sans missile, peut être... Il s'agit des ondes.
01:05:46 Oui, est-ce que vous parlez du syndrome de la Havane, entre autres?
01:05:52 Ça fait partie de cela, mais là, il s'agit des méthodes de cibler tout simplement une énergie.
01:05:57 Il s'agit des électro-ondes, des micro-ondes, des lasers,
01:06:03 toutes sortes de...
01:06:06 On va voir comment ça agit sur le cerveau, qui peut être orienté vers les cibles.
01:06:09 Les cibles pourraient être les objets, mais aussi les humains.
01:06:13 Ça ne veut pas dire que c'est mortel à tous les coups.
01:06:15 Ça pourrait être conçu pour des raisons
01:06:22 diverses, mais il y a un grand potentiel d'attaquer les humains par les énergies
01:06:29 de cette espèce-là et à distance.
01:06:32 C'est ça, ce qui est important aujourd'hui, c'est la distance.
01:06:34 Parce que, comme vous voyez,
01:06:37 quand on vient de conclure, toutes ces méthodes existaient de tout temps.
01:06:42 Seulement, ce n'étaient pas les nanotechnologies qu'on a aujourd'hui
01:06:46 et ce n'étaient pas les méthodes à distance.
01:06:48 Aujourd'hui, on a un grand progrès avec, justement, les armes électromagnétiques.
01:06:55 Évidemment, je pense toujours au génie cerveau Nikola Tesla.
01:06:59 Tous ceux qui connaissent le phénomène de Tesla-Forest
01:07:02 savent qu'on peut agir de cette façon-là.
01:07:05 D'ailleurs, les physiciens le savent très bien.
01:07:06 Et donc, c'est quelque chose de tout à fait naturel.
01:07:11 La nature est bizarre, elle est mystérieuse, elle est fantastique.
01:07:15 C'est vraiment un chef d'œuvre de bon Dieu, la nature.
01:07:20 Mais notre cerveau en fait partie.
01:07:23 Et les ondes du cerveau, alpha, bêta, theta, delta,
01:07:27 ce sont aussi une sorte d'onde électromagnétique.
01:07:32 Une espèce de...
01:07:33 D'ailleurs, on enseigne ça quand on parle des fréquences de cerveau, etc.
01:07:37 Voilà, on a dit tout à l'heure,
01:07:39 le sommeil paradoxal, c'est les ondes profondes, c'est les ondes de D, à 4 Hertz.
01:07:44 Alors,
01:07:46 qu'est-ce qui se passe au niveau de ces nanotechnologies
01:07:49 et comment ça se passe aujourd'hui et comment ils agissent à distance?
01:07:52 Et après ça, je vais vous raconter une petite
01:07:55 tour aussi à des anecdotes, mais tout à fait vraies, pour montrer comment en France,
01:08:00 pays
01:08:02 de médecine et pays que
01:08:06 j'aime beaucoup et je respecte beaucoup.
01:08:08 Ce sont mes études, c'est mon travail, c'est ma carrière, c'est la France.
01:08:12 Comment dans ce pays-là,
01:08:15 on en est venu à des situations de la psychiatrie noire,
01:08:20 la plus catastrophique?
01:08:22 Je vais vous raconter un cas qui s'est passé récemment,
01:08:25 mais c'est juste après cette explication.
01:08:28 Alors, qu'est-ce que nous avons eu
01:08:31 concernant ces nouvelles méthodes?
01:08:33 Technologie d'armes à énergie dirigée.
01:08:36 Voilà, j'ai trouvé la traduction française de Directed Energy Weapons.
01:08:42 Alors, c'est technologie d'armes à énergie dirigée.
01:08:46 Qu'est-ce que nous avons?
01:08:47 Une partie particulière de ce programme
01:08:49 concerne toutes ces nouvelles techniques électromagnétiques et nanotechnologiques
01:08:55 qui sont très, très développées aujourd'hui.
01:08:58 Alors, tous ceux qui ont été, pardonnez-moi,
01:09:03 il faut encore parler, mentionner ces termes, ces mots,
01:09:08 qui se sont fait inoculer.
01:09:11 En tout cas, une grande équipe
01:09:15 de docteurs qui s'appelle, pardon, il est toujours parmi nous,
01:09:20 Ricardo Delgado, c'est un médecin qui a son équipe.
01:09:26 Il a fait avec une grande équipe des recherches et ils ont fait spécialement
01:09:30 les analyses du contenu de ces sérums qui, d'ailleurs, n'étaient pas des vaccins.
01:09:35 Tout le monde sait que ce n'était pas des vaccins,
01:09:36 c'était des faux vaccins, c'était un traitement génique,
01:09:40 expérimental, tout à fait expérimental.
01:09:42 L'eugénisme noir, c'est tout ce qui est expérimental,
01:09:45 parce que l'eugénisme humain, c'est autre chose.
01:09:47 Ça existait aussi.
01:09:49 Il n'y a pas que l'eugénisme noir.
01:09:51 Il y avait l'eugénisme humain.
01:09:53 Comment guérir ou empêcher les maladies génétiques?
01:09:57 Nous, on enseigne ça.
01:09:59 Les maladies génétiques cognitives, l'édiocie, etc.
01:10:04 Ça aussi, c'est l'eugénisme.
01:10:06 Mais ce n'était pas l'eugénisme expérimental
01:10:09 comme c'était le cas avec les faux vaccins ces dernières années.
01:10:14 Et raconter à des populations du monde entier
01:10:19 que vous vous battez contre un virus mortel,
01:10:22 et en fait, vous faites tout à fait autre chose.
01:10:25 Vous faites des expériences sur le côté génétique
01:10:30 et vous faites l'expérience comment attaquer le cerveau humain.
01:10:34 C'est vraiment quelque chose de criminel.
01:10:36 Ça n'a rien à voir.
01:10:38 Je n'ai jamais contesté l'existence des maladies ni des virus.
01:10:42 Au contraire, mais dire à la population
01:10:46 que vous avez un sérum contre le virus, alors que vous savez a priori
01:10:49 qu'il ne sert pas à cela, qu'il n'empêche pas la transmission,
01:10:53 qu'il n'a rien à voir avec les virus, que c'est une attaque,
01:10:56 que c'est en fait un eugénisme expérimental
01:11:00 et que finalement, votre but, c'est autre chose.
01:11:03 C'est de faire la recherche sur votre cerveau.
01:11:08 Et pas contre le virus.
01:11:09 Alors là, mentir à ce point là,
01:11:13 c'est vraiment quelque chose de génocidaire.
01:11:17 Alors, qu'est-ce qu'ils ont fait avec ces inoculations ?
01:11:21 L'équipe de Delgado,
01:11:25 ils ont beaucoup de chercheurs dans tous les domaines,
01:11:27 biochimie, physiciens, généticiens, épidémien, etc.
01:11:33 Et donc, ils ont analysé le contenu de quatre marques.
01:11:37 Si j'espère que vous n'avez pas la censure pour prononcer ces mots.
01:11:41 Donc, il ne s'agit pas des soi-disant les vaccins russes et chinois.
01:11:44 Les vaccins russes avaient aussi le Spike,
01:11:47 protéines,
01:11:49 poisons, Spike, existaient aussi dans les vaccins russes,
01:11:52 parce que ce n'est pas des vaccins russes, c'était aussi des vignettes.
01:11:55 Mais il n'y avait pas d'oxytocraphène dedans.
01:11:58 Alors, dans le Pfizer, dans le Moderna,
01:12:03 dans le Johnson & Johnson et dans les AstraZeneca,
01:12:06 l'équipe des chercheurs très sérieux ont analysé
01:12:11 et partout dans ces soi-disant vaccins, dans ces séropes,
01:12:14 il y avait l'oxytocraphène.
01:12:16 Bon, là, aujourd'hui, c'est une banalité,
01:12:20 parce que tout le monde en sait.
01:12:21 Je ne dis rien de nouveau.
01:12:23 Tout le monde sait que dans ces marques-là,
01:12:27 il y avait l'oxytocraphène.
01:12:29 Mais maintenant,
01:12:31 il y a des collègues qui disent, mais c'est normal,
01:12:34 l'oxytocraphène doit être dans les vaccins pour des raisons X, Y, etc.
01:12:38 Mais moi, ce que je veux dire ici,
01:12:40 c'est qu'il faut comprendre ce qui a été fait vraiment.
01:12:44 L'oxytocraphène, c'est un conducteur
01:12:47 et c'est un nanomatériel qui a des possibilités,
01:12:52 des capacités électromagnétiques et thermodynamiques.
01:12:56 Et alors, si les nanoparticules de l'oxytocraphène
01:13:04 ont la taille moindre à 35 nanomètres,
01:13:09 ce qui était le cas d'ailleurs dans ces serums,
01:13:11 à ce moment-là, ces nanoparticules pénètrent la membrane
01:13:18 hématome encéphalique qui sert à protéger le cerveau.
01:13:21 C'est la membrane qui protège le cerveau des attaques extérieures.
01:13:25 Si les nanoparticules sont, comme je viens de dire,
01:13:29 plus petits que 35 nanomètres,
01:13:32 elles passent dans le cerveau facilement.
01:13:38 Et à ce moment-là, ces petites nanoparticules de l'oxytocraphène
01:13:43 font leur réseau neuronal.
01:13:47 C'est quand on regarde dans les expériences
01:13:50 comment agit ce nanomatériel de l'oxytocraphène,
01:13:54 qui d'ailleurs, comme je viens de dire, est un conducteur
01:13:59 qui a des capacités électromagnétiques,
01:14:02 thermodynamiques, etc.
01:14:03 C'est un matériel très intéressant.
01:14:05 Ils se partagent.
01:14:07 Ça pourrait être rassemblé, mais aussi rallongé.
01:14:11 Et les particules font leur propre réseau
01:14:17 parce qu'ils vont vers les neurones.
01:14:18 Et pourquoi ils vont vers les neurones ?
01:14:20 Parce que notre cerveau, c'est une centrale électrique.
01:14:26 Alors, étant donné que l'oxytocraphène est un conducteur,
01:14:31 il est attiré par l'électricité.
01:14:33 C'est très simple.
01:14:36 Il est attiré par les organes qui sont les organes électriques,
01:14:40 comme le cœur, par exemple.
01:14:41 Le cœur humain est aussi un organe qui possède
01:14:44 sa propre électricité naturelle.
01:14:48 Les neurones également, puisque tous les processus dans le cerveau,
01:14:52 ce sont les processus chimiques et électriques.
01:14:56 Donc, le conducteur d'oxytocraphène,
01:14:59 les nanoparticules sont attirées par cette électricité.
01:15:04 Et à ce moment-là, les petites minuscules nanoparticules
01:15:08 d'oxytocraphène construisent leur réseau neuronal artificiel dans le cerveau.
01:15:16 Une fois pénétré dans le cerveau,
01:15:18 ils construisent, qui petit à petit, au cours du temps,
01:15:22 remplace le réseau neuronal naturel, le nôtre.
01:15:29 Ils le remplacent petit à petit.
01:15:31 Et qu'est-ce qui se passe à ce moment-là ?
01:15:33 Étant donné que l'oxytocraphène, comme je viens de le dire,
01:15:37 et je répète, est un conducteur,
01:15:40 il a la possibilité d'absorber les ondes électromagnétiques de l'extérieur
01:15:47 et de les amplifier selon l'effet transistor.
01:15:51 Ça, c'est très connu, parce que l'équipe de...
01:15:55 C'est tout simplement la physique et la chimie.
01:15:58 Pour nous, c'est une grande découverte,
01:16:02 mais pour les physiciens, c'est une banalité.
01:16:05 Alors, l'équipe de Delgado a analysé tous les sérums et ils ont trouvé...
01:16:11 Moi, je ne peux pas vérifier ça, mais c'est très pertinent,
01:16:14 c'est très cohérent, c'est très logique ce qu'ils disent.
01:16:17 Ils ont trouvé dans les analyses de ces sérums, les nanosantennes.
01:16:23 Les nanosantennes et les nanos...
01:16:27 Ils appellent ça les nanodécodeurs,
01:16:30 qui traduisent les adresses MAC,
01:16:34 qui pourraient être enregistrées par le réseau
01:16:39 sans fil, comme le tour, par exemple.
01:16:42 Et donc, ce qui est très clair et ce qui est évident,
01:16:46 c'est qu'un conducteur peut absorber
01:16:51 les radiations électromagnétiques de l'extérieur
01:16:55 et les amplifier, amplifier leurs signaux
01:16:59 selon l'effet transistant.
01:17:01 Et ça veut dire que toute action à distance est possible,
01:17:07 est faisable en principe.
01:17:09 Et comment s'agit-il sur le système nerveux central?
01:17:11 Eh bien, dans le système nerveux central,
01:17:13 vous avez des neurotransmetteurs qui sont très importants
01:17:17 pour le tumeur, pour le comportement, pour les émotions, etc.
01:17:21 Je simplifie maintenant.
01:17:24 Par exemple, la norepinephrine,
01:17:27 la dopamine, la sérotonine, etc.
01:17:30 Eh bien, et autres.
01:17:32 Il y a beaucoup de neurotransmetteurs.
01:17:34 Et alors, avec les signaux amplifiés,
01:17:36 on peut agir sur les neurotransmetteurs,
01:17:39 baisser ou augmenter leur production.
01:17:42 Ce qui veut dire que la chute de sérotonine,
01:17:45 c'est la dépression.
01:17:48 Pour dire simplement,
01:17:50 maintenant, il faut un peu vulgariser pour comprendre
01:17:53 de quoi il s'agit.
01:17:54 Donc, le taux des neurotransmetteurs dans notre cerveau
01:17:59 définit notre comportement, finalement,
01:18:04 nos émotions et notre comportement.
01:18:06 Maintenant, on voit qu'à distance,
01:18:08 on peut agir à distance facilement, en principe.
01:18:12 Je ne dis pas que ça se fait en masse, loin de là.
01:18:14 Mais ce qui est faisable, ce qui est tout à fait faisable
01:18:18 et ce qui est facile à faire aujourd'hui,
01:18:22 c'est d'agir une fois le conducteur dans votre organisme
01:18:28 et le conducteur oxydographène dans votre cerveau.
01:18:31 C'est surtout le cerveau, parce que moi,
01:18:34 je ne m'occupe pas de l'organisme, je ne suis pas cardiologue.
01:18:36 Je comprends ce qui se passe avec le cœur.
01:18:39 On va dire ça aussi.
01:18:40 Mais moi, ce qui m'intéresse, c'est le cerveau.
01:18:43 Une fois le conducteur oxydographène dans votre cerveau,
01:18:49 c'est très facile d'agir sur la production des transmetteurs,
01:18:53 de tout ce qui est sur vos neurones.
01:18:56 Et le réseau artificiel qui se crée dans votre cerveau,
01:19:03 d'une façon imminente,
01:19:04 ça va petit à petit remplacer votre réseau naturel.
01:19:09 Et à ce moment-là, vous n'êtes pas malade,
01:19:13 mais vous êtes déjà transhumain.
01:19:15 Vous voyez ce que je veux dire?
01:19:16 Vous êtes déjà pénétrable.
01:19:19 Vous êtes déjà comme dans l'ancien livre.
01:19:21 Je vais faire une métaphore.
01:19:24 Il y a un livre,
01:19:26 parce que là, on n'a pas dit à Harry,
01:19:30 c'est ma mémoire est bonne, qui parle d'une idéologie
01:19:33 suppression de la vie privée, suppression de la privation.
01:19:37 C'est aussi Claude Schwab qui est très motivé dans ce programme.
01:19:41 Vous voyez, c'est la folie totale.
01:19:43 Je pensais à suppression de la vie privée.
01:19:46 Je pensais à un livre d'un auteur russe de l'époque qui s'appelait Zamyatin.
01:19:51 Zamyatin, il avait un roman très connu qui s'appelait Nous,
01:19:56 Moui, ça veut dire nous.
01:19:58 Et dans ce roman, il y a longtemps,
01:20:02 les écrivains sont souvent des génies,
01:20:05 des gens avec des sentiments prémonitoires.
01:20:09 Et donc, dans ce roman, il décrit un monde où tout sera transparent.
01:20:15 Et lui, il parle des murs, des appartements, des maisons.
01:20:20 Il n'y aura plus de murs.
01:20:21 Tout le monde verra tout.
01:20:23 Écoutez, c'est exactement ce qui se réalise dans les reality program aujourd'hui.
01:20:28 Exactement.
01:20:30 Et là, j'ai pensé à Zamyatin.
01:20:31 Vous voyez, il y a des décennies,
01:20:34 bien avant, il avait déjà vu cette image.
01:20:37 Il avait déjà prévu un monde où on supprime la privation,
01:20:40 la vie privée.
01:20:43 Et là, quand on parle du cerveau humain, c'est la même chose.
01:20:48 Les écrivains sont souvent des génies, comme je viens de dire.
01:20:51 D'ailleurs, aussi un autre écrivain russe qui s'appelait Beliaïev
01:20:55 avait dans un essai décrit il y a très longtemps,
01:21:04 le titre était "Professeur Dowell, la tête sans corps".
01:21:09 Eh bien, c'était la première métaphore.
01:21:12 Ce qu'on a aujourd'hui, c'est l'ordinateur.
01:21:14 En fait, c'était "Professeur Dowell, la tête sans corps".
01:21:17 Et à l'époque, dans le roman de Beliaïev, c'était une fiction,
01:21:21 science fiction où vous voyiez un professeur qui n'a pas de corps,
01:21:25 il n'a que la tête.
01:21:26 Mais en fait, c'était la métaphore et la première image de l'ordinateur,
01:21:32 qui d'ailleurs est fait sur l'analogie du cerveau humain.
01:21:36 Donc, vous voyez, Zamyatin avait décrit cette opération,
01:21:40 parce que j'ai oublié de dire tout à l'heure, cette Harari,
01:21:43 Noah Harari, je pense qu'il s'appelle comme ça.
01:21:45 Et Klaus Schwab, ils se sont jetés aussi sur le programme
01:21:48 qui s'appelle aussi un programme idéologique,
01:21:50 qui est tout à fait sur la lignée de ce qu'on dit maintenant.
01:21:55 C'est le programme de la suppression de la vie privée.
01:21:59 Et d'ailleurs, il y a aussi dans les méthodes d'humiliation,
01:22:04 vous avez aussi le programme de vous supprimer le travail.
01:22:08 Mais parce qu'ils ne disent pas "vous n'êtes plus obligé de travailler",
01:22:12 ils vous disent "vous ne travaillerez plus".
01:22:16 Point barre, parce que vous n'êtes plus utile.
01:22:19 Il y aura des robots et vous aurez, comme aimé Jacques Attali,
01:22:25 le revenu universel et Bill Gates d'ailleurs aussi.
01:22:29 Vous serez très, et Schwab,
01:22:31 vous serez très content, très heureux d'avoir le minimum,
01:22:33 le revenu universel, mais vous ne travaillez pas.
01:22:37 Alors ça, ne pas travailler pour l'homme, c'est un suicide.
01:22:41 Parce que l'homme, c'est homophabe, c'est le travail,
01:22:44 c'est la création qui est notre DNK.
01:22:47 Et quand ils ne vous disent pas "vous n'êtes pas obligé de travailler",
01:22:51 ils ne disent pas ça, ils disent "vous ne pourrez plus travailler"
01:22:55 parce que vous serez content d'avoir un bac chiche.
01:22:58 Et alors, plus de travail, donc plus de côté humain.
01:23:03 Là, c'est dans le même sens.
01:23:05 Je ferme la parenthèse.
01:23:06 Donc, c'est la privation,
01:23:09 c'est la suppression de tout ce qui est privé.
01:23:14 Là, nous avons le cerveau qui est pénétrable.
01:23:17 Et sur le cerveau, et surtout le cerveau des enfants,
01:23:21 donc le cerveau qui n'est pas encore mûr,
01:23:23 qui n'est pas encore totalement développé,
01:23:25 il est très facile, mais je vous dis vraiment très facile, d'agir.
01:23:30 Même si ce n'est pas les méthodes électromagnétiques et nanoparticules
01:23:35 et conducteurs et tout cela,
01:23:36 on agit facilement sur un cerveau humain de l'enfant,
01:23:40 même sans ces méthodes-là.
01:23:42 Et avec ces méthodes-là, c'est une catastrophe ce qu'on peut faire,
01:23:45 surtout s'il s'agit des enfants, des petits-enfants.
01:23:49 Et là, maintenant, on peut se demander
01:23:51 qu'est-ce qui se passe avec tout ce phénomène de mass shooting des enfants
01:23:56 qui sont d'ailleurs déjà traités par les programmes,
01:24:00 programmes de monarques,
01:24:03 programmes d'archétypes
01:24:07 avec beaucoup de sang et l'agression, etc.
01:24:10 Ça, c'est monarque, et qui sont traités déjà sur les réseaux
01:24:14 et sur Internet, qui regardent les suicides, les meurtres et les tortures, etc.
01:24:20 Mais en plus de ça, en plus de contenu qui leur a été donné
01:24:25 pour qu'ils deviennent des assassins ou des suicidaires,
01:24:28 maintenant, nous avons aussi encore ces technologies d'agir sur leur cerveau
01:24:33 à distance et de les rendre soit très déprimés au bord de suicides,
01:24:38 passifs ou actifs, parce que le suicide pourrait être passif ou actif,
01:24:41 ou de provoquer un phénomène de mass shooting.
01:24:45 Ce n'est pas loin de cela.
01:24:47 Donc, ce que l'équipe de Delgado a trouvé dans ces sérums,
01:24:52 c'est vraiment, on peut faire la conclusion, c'est vraiment le génocide.
01:24:57 Ils ont trouvé des décodeurs et des petites antennes, nano antennes,
01:25:02 qui sont capables de déchiffrer la nano communication
01:25:09 entre votre cerveau et le serveur à distance.
01:25:14 Vous vous rendez compte ?
01:25:15 Bien sûr.
01:25:16 Ça, c'est faisable en principe.
01:25:17 Je ne dis pas que ça se fait et je ne dis pas que ça se fait en masse,
01:25:22 mais c'est facile à faire aujourd'hui.
01:25:23 Et si on se lance dans la pratique,
01:25:28 et bien, écoutez, maintenant, il y a toute une série de programmes
01:25:32 et de discussions sur la 5G.
01:25:35 Je dirais tout simplement, moi, je ne suis pas physicienne et ce n'est pas mon domaine.
01:25:40 Quoiqu'il faut connaître, évidemment, les processus dans le cerveau.
01:25:44 Je viens de dire, le cerveau, c'est une centrale électrique.
01:25:46 Mais ce que je sache, ce qu'on sait, c'est que la 5G,
01:25:53 si elle a des fréquences très, très hautes fréquences,
01:25:58 elle ne pénètre pas facilement les murs et les maisons.
01:26:03 Ce sont plutôt les fréquences plus basses.
01:26:06 Par exemple, si la 5G, elle peut aller jusqu'à 30 GHz,
01:26:12 vous voyez, même plus, 39 peut-être, GHz.
01:26:15 Mais les plus dangereuses
01:26:19 fréquences sont les fréquences de 600 MHz.
01:26:25 Vous voyez, c'est quelque chose qui est plus bas.
01:26:28 Ce ne sont pas les très hautes fréquences.
01:26:30 Les très hautes fréquences ne pénètrent pas
01:26:33 le brique, par exemple, le béton.
01:26:37 Mais les fréquences de 5G qui sont entre 600 MHz jusqu'à 1 GHz,
01:26:44 ça, c'est dangereux.
01:26:45 Ça, c'est très dangereux parce que ça pénètre tout.
01:26:48 Et si c'est à côté de vos demeures, de vos maisons, ça peut entrer.
01:26:54 Ça rentre partout.
01:26:56 En revanche, parce que quand on parle de 5G,
01:26:59 il faut connaître les détails là-dessus.
01:27:00 Pourquoi? Pourquoi ça se fait?
01:27:02 Est-ce que ce sont les hautes fréquences ou les petites fréquences?
01:27:05 Mais fréquences, pardon, c'est un lapsus logique.
01:27:10 Ce que je voulais dire, c'est que là, récemment,
01:27:14 la Fédération de Russie, si l'information est exacte,
01:27:18 je n'ai pas encore eu la possibilité de vérifier complètement,
01:27:22 mais je pense que c'est vérifiable facilement.
01:27:26 La Fédération de Russie est sortie de...
01:27:28 Ah, ça, c'est prouvé.
01:27:29 Ils sont sortis de World Health Organization,
01:27:31 c'est-à-dire de la Santé mondiale,
01:27:34 la Santé, sans disant...
01:27:35 L'OMS.
01:27:37 L'OMS, qui n'est ni mondiale ni santé,
01:27:39 mais c'est le truc privé de Bill Gates.
01:27:42 La Fédération de Russie en est sortie.
01:27:44 Il est sorti.
01:27:46 Mais ça, c'est connu.
01:27:50 Mais ce qui n'est pas encore prouvé,
01:27:51 c'est qu'ils ont annoncé la destruction des antennes 5G.
01:27:56 Là, je ne sais pas est-ce que c'est vrai ou pas.
01:27:59 Ça, il faut voir.
01:28:00 Mais c'est le cas, ce qui est aussi le cas.
01:28:04 Je dirais, pour ne pas oublier,
01:28:07 c'est que la Fédération...
01:28:08 Je ne fais pas l'apologie,
01:28:09 il y a de très mauvaises choses là-bas aussi.
01:28:11 Mais il faut quand même savoir que la Fédération de Russie,
01:28:16 je ne parle pas d'un homme,
01:28:17 je parle de la Fédération de Russie avec beaucoup de médecins,
01:28:20 spécialistes, psychiatres, psychologues, sociologues et autres,
01:28:24 ils ont refusé le programme de...
01:28:30 Comment dire ?
01:28:31 Le changement de sexe, les opérations,
01:28:33 le programme de genre.
01:28:34 Ils ont refusé le prosélytisme sur les enfants, pour être clair.
01:28:39 Ils ont refusé le prosélytisme sur les enfants.
01:28:41 Le reste, c'est la vie privée de tout un chacun.
01:28:44 Mais les trans, les pédocriminels, les zoophiles sont interdits
01:28:51 et toutes sortes de prosélytismes sur les enfants,
01:28:56 dans les crèches et dans les écoles, sont interdits.
01:29:02 Donc ça, c'est quelque chose.
01:29:04 On a quand même toute une partie du monde,
01:29:09 je crois que ce sera pareil en Amérique latine et en Afrique,
01:29:13 qui n'acceptent pas ce programme de la psychiatrie noire
01:29:19 et des idéologies, fausses idéologies, génocidaires,
01:29:24 qui font partie de cette psychiatrie noire
01:29:27 développée pour les enfants, enfin contre les enfants.
01:29:30 Et maintenant, ce qui est aussi important de dire,
01:29:33 juste pour ne pas oublier, l'oxyde de graphène est aussi
01:29:37 à la propriété de coaguler le sang.
01:29:40 Ça, on a bien vu avec les cléotes,
01:29:42 qu'est-ce qui se passe dans le sang de ceux qui se sont fait inoculer,
01:29:50 de provoquer les arrêts cardiaques, évidemment,
01:29:53 d'attaquer le système cardiaque, cardiovasculaire de notre organisme,
01:29:59 de provoquer des dissemines et d'autres maladies.
01:30:04 Et c'est très logique et très simple à comprendre une fois
01:30:08 quand on a compris que l'oxyde de graphène est un conducteur.
01:30:12 Comme c'est un conducteur, il est attiré par l'électricité.
01:30:16 Il a une affinité spéciale pour les neurones de notre cerveau,
01:30:20 mais aussi pour le cœur, parce que le cœur est un organe électrique.
01:30:25 Et cela explique pourquoi un grand nombre de sportifs,
01:30:31 de soi-disant vedettes, c'est un peu n'importe qui,
01:30:36 mais bon, apparemment, c'était les gens médiocres
01:30:41 qui se sont fait inoculer,
01:30:46 qui n'écoutaient pas ce qu'on disait dès le départ.
01:30:48 Cela explique pourquoi,
01:30:51 et bornons-nous à ce côté sportif, pourquoi un grand nombre de sportifs
01:30:55 est tombé sur le terrain,
01:30:58 causé par un arrêt cardiaque, par un évanouissement, par une syncope.
01:31:03 C'est très simple.
01:31:05 Au moment où le sportif est très engagé,
01:31:09 où il est vraiment en train d'être actif au plus haut niveau,
01:31:16 l'électricité du cœur augmente.
01:31:20 Le graphène d'oxyde est attiré à ce moment-là et il attaque à ce moment-là.
01:31:25 Il provoque les décharges électriques,
01:31:27 et les décharges électriques provoquent les arrêts de vie,
01:31:29 et l'arrêt de vie provoque l'arrêt ou syncope ou l'évanouissement et la mort.
01:31:35 Et là, je me permettrais de dire qu'au moment où les psychopathes en Australie
01:31:43 avaient décidé de reconduire à la frontière
01:31:49 le génie tennisseur serbe Novak Djokovic, qu'on connaît d'ailleurs,
01:31:54 là, j'ai fait un texte, on m'a demandé de faire un texte sur lui,
01:31:58 et je l'ai fait pour un livre.
01:31:59 Ce n'est pas mon livre qui va sortir en octobre,
01:32:01 mais je vais l'intégrer peut-être dans mon livre.
01:32:03 Puis moi aussi, Mme Alexkovic, je veux vous entendre comme Serbe.
01:32:06 Moi, je suis maintenant très fier de cet athlète qui est un exemple mondial.
01:32:11 Il vient de la Serbie, de votre pays à vous.
01:32:13 Donc, effectivement, c'était une demande spéciale aussi,
01:32:17 dans le cadre de votre exposé, de nous parler du courage de ce grand homme,
01:32:20 ce grand sportif.
01:32:22 Il est absolument important,
01:32:24 parce qu'on revient à la phrase de Nietzsche,
01:32:28 « Ne survivrons que des courageux et forts ».
01:32:31 Alors, il est courageux, il est fort, il a une personnalité intègre,
01:32:35 il n'a pas de masochisme moral,
01:32:37 ça veut dire qu'il était bien aimé dans l'enfance,
01:32:39 un enfant voulu et conçu et voulu.
01:32:44 Mécanisme de défense, comme chez tous les créateurs,
01:32:50 forte personnalité, refus, il y a un côté mondain dans ces choses-là,
01:32:55 évidemment, tennis, etc.
01:32:57 Mais lorsqu'il s'agit de la vie, c'est simplement « yet ».
01:33:00 Vous ne passez pas, là, c'est le limesse.
01:33:03 Et il ne s'est pas laissé faire.
01:33:07 Alors, au moment où le premier ministre australien
01:33:12 a ordonné sa reconnue à la frontière,
01:33:15 vous vous rendez compte, la vengeance immanente,
01:33:17 comme disait, comme aurait dit Spinoza, « Le Dieu est dans la nature ».
01:33:21 Le lendemain, un australien, un tennisseur australien,
01:33:25 s'est évanoui sur le terrain,
01:33:27 sur ce même endroit où devait être Novak Djokovic.
01:33:32 Voilà comment ça arrive.
01:33:33 Et donc, maintenant, pour nous, c'est très, très facile de comprendre
01:33:38 pourquoi l'attaque sur le cerveau, et surtout sur le cerveau de nos enfants,
01:33:42 est facile, dangereux, criminel et génocidaire.
01:33:46 Donc, une fois que nous avons le conducteur dans le cerveau,
01:33:49 quand il est entré, et il est entré, encore une fois, je répète,
01:33:52 si les nanoparticules sont plus petites que 35 nanomètres,
01:33:58 et c'est le cas, c'était le cas dans les séropes,
01:34:02 alors ça pénètre la membrane hémato-encéphalique,
01:34:06 les particules sont dans le cerveau,
01:34:10 et le réseau artificiel neuronal se fait petit à petit,
01:34:15 et il remplace notre raison neuronale naturelle.
01:34:19 Et nous sommes déjà, à tous les coups,
01:34:22 je ne dis pas qu'on est des robots et des cobayes,
01:34:24 mais on est déjà un matériel utilisable et pénétrable de l'extérieur.
01:34:30 Et c'est ça le but de tous ces charlatans,
01:34:32 de toute façon, là, il s'agit quand même des côtés scientifiques qui sont réalisables,
01:34:38 mais ce que Klaus Schwab projette à faire et Bill Gates,
01:34:42 ce sont vraiment des malades de syndrome d'Ubris,
01:34:48 c'est-à-dire, comme j'ai parlé la dernière fois,
01:34:50 le diagnostic, c'est les gens qui ne se sentent plus,
01:34:54 ils pensent qu'ils remplacent le bon Dieu,
01:34:57 que tout est permis pour eux de faire ce qu'ils veulent sur les humains.
01:35:06 La seule bonne chose, c'est qu'ils sont quand même des charlatans.
01:35:09 Klaus Schwab est un homme assez intelligent,
01:35:11 d'après son livre, je peux le conclure,
01:35:14 mais c'est un charlatan parce qu'il ne connaît pas la neurologie.
01:35:18 Il ne connaît pas et tout ce qu'il essaie de développer comme brevet,
01:35:22 ça, ce n'est pas bon.
01:35:26 Donc, ça ne réussira pas.
01:35:27 Bill Gates, il est beaucoup plus idiot que Klaus Schwab.
01:35:32 Mais voilà leur action.
01:35:34 Voilà en quoi consiste leur attaque sur le cerveau humain et sur nous tous.
01:35:41 Et maintenant,
01:35:43 pour dire ce qui est important pour nous,
01:35:49 c'est de ne pas être,
01:35:52 comme dans le discours, dans le traité de Boétie,
01:35:56 ce ne sera pas le...
01:35:58 qu'on n'accepte pas la servitude volontaire.
01:36:01 C'est ça qui est important et qu'on continue de nous battre.
01:36:04 Et pour la fin, je vais vous dire quand même,
01:36:08 malheureusement, ma profession des psychologues et des psychiatres,
01:36:11 elle a laissé bien des plumes et c'est très...
01:36:13 c'est désolant ce qui se passe parce que je me demande pourquoi cette communauté ne réagit pas.
01:36:19 Il y en a qui réagissent, il y en a.
01:36:21 Il y a des exemples,
01:36:23 des braves exemples en France, même en Russie, chez vous au Canada,
01:36:28 on a une communauté qui s'appelle
01:36:33 "Covid Care Alliance",
01:36:37 et j'ai tenu une conférence pour eux.
01:36:39 C'est des braves médecins, des gens qui se battent, qui ont tout compris.
01:36:43 Mais c'est une communauté dans la communauté canadienne,
01:36:46 comme vous d'ailleurs et vos médias.
01:36:48 Mais le reste, c'est cette hémorragie sociale continue,
01:36:54 tant que la majorité ne comprendra.
01:36:56 C'est pour ça qu'il faut dire à l'avance
01:36:58 ce qui se prépare et ce qui peut se passer.
01:37:01 Donc, il faut absolument
01:37:04 refuser toute inoculation dans notre corps, absolument tout.
01:37:08 On a l'immunité naturelle.
01:37:11 Il faut refuser les insectes dans la nourriture.
01:37:15 Il faut bien regarder ce qui est marqué dans les produits.
01:37:19 Là, maintenant, quand je serai en France, je vais, dans quelques jours,
01:37:23 je vais regarder tous les produits.
01:37:24 Est-ce qu'il y a une petite grenouille sur la boîte ?
01:37:28 S'il y a une petite grenouille,
01:37:29 ça veut dire que la farine des insectes est dedans déjà.
01:37:33 Donc, il faut bien lire ce qu'on achète.
01:37:35 Il faut bien lire ce qu'on...
01:37:36 Vaut mieux avoir son jardin, comme vous l'avez, je sais,
01:37:39 vous, monsieur,
01:37:41 et se nourrir de cette façon-là que d'être,
01:37:44 que devenir un cobaye volontaire à tous ces psychopathes
01:37:51 et tortionnaires qui font un programme sur nous,
01:37:55 qui voudraient développer un programme pour nous réduire,
01:37:59 pour finalement...
01:38:00 Là, maintenant, je peux me permettre de dire ça pour nous assassiner,
01:38:04 pour nous tuer.
01:38:06 C'est aussi simple que ça.
01:38:08 Et je voulais vous dire à la fin,
01:38:10 parce que toute l'histoire de la psychiatrie noire,
01:38:13 comme j'ai répété plusieurs fois dans cette conférence anglaise,
01:38:16 ça n'a jamais cessé.
01:38:18 Ça n'a jamais cessé.
01:38:19 Ces pratiques n'ont jamais cessé.
01:38:21 Ça se développe et on a de nouvelles technologies.
01:38:24 On a les nanotechnologies, on a la technologie à distance.
01:38:28 Mais ne vous leurrez pas que ça va cesser.
01:38:32 La guerre va continuer.
01:38:34 La guerre psychologique, la guerre neurologique,
01:38:36 physique, malheureusement, aussi,
01:38:38 elle continue.
01:38:39 Ça dépend de nous.
01:38:40 Est-ce qu'on va se défendre?
01:38:41 Est-ce qu'on va être plus fort et plus courageux, comme disait Nietzsche?
01:38:47 Malheureusement, je dois vous dire que je vais dire pour que ce soit pas seulement
01:38:52 la théorie,
01:38:54 qu'en France, le pays, encore une fois, de médecine,
01:38:59 le pays qui était très attaqué, parce que justement,
01:39:02 un pays de médecine, quand il est attaqué, les autres sont battus.
01:39:06 En vraie, c'est simple.
01:39:09 Et donc, il fallait se battre.
01:39:10 Et il y avait beaucoup de collègues très courageux.
01:39:14 J'ai mentionné quelques-uns tout à l'heure,
01:39:16 j'ai oublié le professeur Fortillon, qui était d'ailleurs à Le Porto,
01:39:20 il était interné comme un câble psychiatrique quand il a dit la vérité.
01:39:24 Vous voyez, on est en 2023.
01:39:27 Là, récemment,
01:39:29 je mettrais ça en parenthèse parce que je n'ai pas tout vérifié,
01:39:33 mais je viens d'entendre qu'un professeur
01:39:37 d'économie dans une ville dans le sud de la France,
01:39:44 donc il y a deux ans en arrière, mais c'est ça, c'est l'actualité.
01:39:49 Et il a écrit un livre maintenant qui s'appelle "Le rescapé de l'âme".
01:39:54 Donc, ce professeur d'économie qui était dans une université,
01:39:59 il était accusé,
01:40:03 excusez-moi, il avait découvert
01:40:07 une certaine corruption dans cette université vis-à-vis des diplômes
01:40:13 vendus, achetés, etc.
01:40:15 Et alors, comment ils ont voulu se débarrasser de lui?
01:40:18 Eh bien, il était interné
01:40:21 de force, sans jugement,
01:40:25 sans juge de liberté, parce qu'en France, il y a le juge de liberté.
01:40:28 Il était interné dans une clinique psychiatrique,
01:40:33 dans cette ville au sud de la France,
01:40:36 et heureusement, transmis après à Montpellier, où il a été sauvé.
01:40:42 Il a été sauvé à Montpellier.
01:40:44 Je dis ça, je voudrais insister sur Montpellier,
01:40:46 parce que Montpellier, c'est un centre de médecine bien avant Paris.
01:40:50 Montpellier, 17e siècle, c'est connu.
01:40:52 Montpellier, c'est la marque.
01:40:54 La médecine à Montpellier, elle est supérieure à celle à Paris,
01:40:58 même aujourd'hui, malgré tout le reste.
01:41:01 Alors, il était sauvé par un psychiatre à Montpellier,
01:41:04 mais avant d'être sauvé, il est passé, si ma mémoire est bonne,
01:41:09 deux ans à interner dans cette clinique.
01:41:13 Et pourquoi je dis tout ça ?
01:41:14 Parce que il avait le droit à 14 séances d'électrochoc.
01:41:24 14 séances d'électrochoc, aujourd'hui, en France.
01:41:29 Moi, qui dis du bien de la France et de la médecine.
01:41:33 D'ailleurs, c'est mon pays d'accueil.
01:41:37 J'ai fait ma carrière là, je me suis éduqué en France.
01:41:41 Mais 14, vous vous rendez compte aujourd'hui,
01:41:44 les électrochocs étaient interdits il y a longtemps.
01:41:50 C'est une des méthodes de la psychiatrie noire.
01:41:52 Donc, il avait les états épileptiques provoqués tout de suite.
01:41:59 Il a reçu, soi-disant, l'anesthésie générale.
01:42:03 Soi-disant, ça, on ne peut pas vérifier.
01:42:05 Mais 14 séances d'électrochoc, un homme qui était complètement
01:42:09 sain d'esprit et qui était accusé parce qu'il a découvert la corruption
01:42:15 dans une université, je dis par laquelle, peu importe.
01:42:17 Donc, c'est un complot tout à fait humain, la corruption, etc.
01:42:24 Mais vous vous rendez compte, peu importe.
01:42:27 L'effet, c'était qu'il était interné de force.
01:42:32 Et il est passé presque deux ans dans ces états.
01:42:36 Avec les médicaments très forts, neuroleptiques et tout ça.
01:42:41 Et finalement, il est sorti plus ou moins vivant.
01:42:45 Et un psychiatre à Montpellier, voilà, là, on peut dire le docteur Billet,
01:42:50 parce qu'il mérite d'être mentionné, ne serait-ce que lui,
01:42:54 le docteur Billet a annulé tout.
01:42:57 Il a dit "laissez tranquille cet homme,
01:43:01 laissez le tranquille", il a annulé parce qu'il y avait d'autres,
01:43:04 le protocole électrochoc, etc.
01:43:06 C'est pour dire que, pour ceux qui disent "ah ben ça,
01:43:09 ce sont des pratiques qui n'existent plus".
01:43:12 Vous pouvez imaginer ce qui se passe dans les pays sous-développés,
01:43:16 où la médecine est très connectée avec, je ne sais pas, avec les prisons.
01:43:22 De toute façon, c'était toujours le cas.
01:43:24 En France, ça s'est passé.
01:43:26 Le docteur Fourtian était aussi emprisonné.
01:43:30 Il y a un an ou deux, quand il disait la vérité sur les virus.
01:43:34 Eh bien, il faut savoir ça pour pouvoir comprendre que c'est à nous de nous battre
01:43:42 et déjà de comprendre, de décortiquer le problème, de le comprendre
01:43:46 et de décider d'être courageux comme Djokovic et de dire non.
01:43:50 Et là, c'est pas Djokovic, c'est Boëssi au 16e siècle qui a dit
01:43:56 "il faut juste dire non".
01:43:58 Il faut mettre le limesse et dire là, vous ne passez pas cette frontière.
01:44:03 C'est ma liberté et je ne me laisse pas faire.
01:44:06 Ou comme chez nous, chez les serbes, pendant la guerre, on disait
01:44:11 "je ne me laisserai pas prendre, attaquer vivant, je me bats jusqu'au bout".
01:44:18 Voilà ce que je voulais
01:44:22 expliquer.
01:44:23 Bon, là, il y a beaucoup de commentaires dans le clavardage.
01:44:28 Si vous avez terminé, on va passer à quelques commentaires comme conclusion.
01:44:33 Plusieurs, vous avez parlé justement du graphène dans les vaccins.
01:44:38 Certains disent qu'il pourrait être aussi dans les tests PCR.
01:44:42 Je sais que vous n'êtes pas une biologiste, mais êtes-vous au courant de ça?
01:44:45 Est-ce que les tests PCR avaient cette cochonnerie là?
01:44:49 On dit aussi que certains, vous savez que les tests
01:44:53 Polymerase Chain Reaction, c'était les tests qui n'étaient pas du tout pour le
01:44:57 diagnostic, on sait tous que Carrie Mudd a dit ça dès le départ.
01:45:01 C'était les tests pour la recherche scientifique et pas pour le diagnostic.
01:45:05 Donc, ils étaient utilisés pour le diagnostic.
01:45:10 Tout ça, c'était vraiment un fantasme des statistiques.
01:45:15 Ce n'était pas l'épidémie de virus, c'était l'épidémie des tests.
01:45:18 Il y en a qui disent que même dans les tests, il y avait cette substance.
01:45:24 Moi, je ne peux pas confirmer ça à 100 % parce qu'il faut vérifier.
01:45:29 Mais ce qui est sûr, c'est que les tests PCR servaient à
01:45:35 collecter notre DNA.
01:45:37 Ça ne servait à rien d'autre parce que moi, je n'ai jamais autorisé quoi que ce
01:45:42 soit dans mon nez parce que de toute façon, vous avez eu la possibilité de
01:45:47 donner un crachat, la salive, n'est-ce pas?
01:45:50 Et ce n'était absolument pas nécessaire de mettre quoi que ce soit dans le nez.
01:45:54 C'est aussi une pratique.
01:45:56 C'est très bien que vous me posez cette question parce que c'était aussi une
01:45:59 pratique dans le registre d'humiliation.
01:46:04 Aussi, mettre quelque chose dans le nez ou dans l'arrière, comme en Chine,
01:46:10 c'était aussi une méthode d'humiliation pour ne pas dire que ce test ne servait à
01:46:18 rien, au sens du diagnostic ou la guérison, santé, etc.
01:46:26 C'était la collecte.
01:46:29 Ils ont fait la base de nos DNK dans le monde entier, selon les populations.
01:46:35 Ce qui se fait aujourd'hui, c'est normal.
01:46:37 DNK dans cette population là, comme à l'époque, chaplorogène,
01:46:43 vous savez ça, ça se fait.
01:46:44 Et je pense que je ne sais pas si vos auditeurs spectateurs ont
01:46:52 remarqué que dans les vrais tests PCAR, dans les originaux,
01:46:58 vous avez eu en bas de la page
01:47:04 très minuscule, l'écriture minuscule, mais c'était marqué.
01:47:09 "Toutes vos données seront transmises à Microsoft".
01:47:16 Ça, c'était écrit sur l'original de PCAR, que les données seront
01:47:23 transmises à Microsoft.
01:47:26 Donc, c'est évident.
01:47:27 La base, c'est Bill Gates qui l'a.
01:47:33 Pour dire vraiment, c'est Bill Gates qui l'a.
01:47:37 Heureusement, c'est un, pardonnez-moi, un crétin qui ne saura pas quoi
01:47:41 faire avec, mais la base était, le PCAR servait à cela.
01:47:45 Rien, aucun diagnostic ne pourrait être fait.
01:47:49 D'ailleurs, le test PCAR ne donnait aucune indication sur aucune
01:47:55 infection d'aucun virus.
01:47:57 Tout ça, c'était le fantasme, un grand bluff.
01:48:00 Et ça, c'était uniquement la collecte et la construction de la base du
01:48:06 cas des peuplades, des populations, des peuples, des hommes partout
01:48:12 sur la planète.
01:48:13 Et ça se fait.
01:48:14 Et ils vont continuer à le faire autrement.
01:48:17 Et maintenant, il faut être très vigilant parce que toutes ces méthodes
01:48:21 pourraient être introduites dans notre alimentation, dans les médicaments.
01:48:27 Ça y est déjà, les médicaments sont déjà empoisonnés à tous les coups.
01:48:32 Mais dans l'alimentation, surtout dans l'alimentation, c'est quelque chose
01:48:37 qui commence à se faire mal en ce moment.
01:48:40 Une autre question qu'on m'a demandé, Madame Alexkovic, c'est de savoir si
01:48:45 vous êtes en contact avec le professeur Campra en Espagne.
01:48:49 Malheureusement, non, je ne suis pas, mais je vais essayer d'entrer en
01:48:55 contact pour l'instant.
01:48:55 Moi, j'avais les, j'avais, comme je suis membre de ce groupe qui
01:49:02 s'appelle Doctors for Covid Ethics.
01:49:05 On était en contact.
01:49:07 Je suis très, très contente d'avoir un contact avec Michael Heaton,
01:49:13 qui était l'ex Pfizer, numéro deux d'ailleurs, un homme, un homme très,
01:49:20 un homme honnête, un scientifique digne de ce nom, qui m'avait écrit en me
01:49:27 disant ça devient déjà il y a deux ans, ça devient insupportable en Angleterre.
01:49:33 Je devrais m'exiler quelque part.
01:49:35 Moi, je dis viens dans les Balkans.
01:49:38 Je ne peux pas dire ça.
01:49:39 Alors, je pense qu'il voulait aller en Floride chez Desantis ou des choses
01:49:43 comme ça.
01:49:44 Enfin, donc, lui, voilà, c'est un homme, c'est la déontologie,
01:49:50 c'est la déontologie, c'est l'éthique, c'est moralement parlant.
01:49:54 Il a dit la vérité dès le départ, dès le départ.
01:49:57 La vérité, sachant exactement ce que Pfizer faisait.
01:50:00 Et moi, j'ai oublié de dire que la partie de l'humiliation était aussi,
01:50:07 aussi quand les dignitaires et les PDG de Pfizer disaient, vous vous
01:50:15 souvenez qu'ils disaient publiquement, nous, on ne va pas se vacciner.
01:50:17 C'est pour vous.
01:50:18 Et quand Bill Gates disait, ma fille ne va pas prendre le vaccin.
01:50:22 C'est pour vous.
01:50:23 Quand Bourla disait, moi, je ne me suis pas vacciné.
01:50:26 C'est pour vous.
01:50:27 Vous voyez, ça aussi, ça faisait partie.
01:50:29 Il le disait ouvertement.
01:50:30 Ça aussi, ça faisait partie de ces méthodes d'humiliation.
01:50:33 J'ai oublié de dire ça.
01:50:34 Là, vous m'avez fait penser à cela.
01:50:37 Donc, non, je ne suis pas en contact avec ce personnage en Espagne,
01:50:44 mais je vais essayer d'entrer en contact.
01:50:46 Pour l'instant, je suis tout ce que l'équipe de Delgado fait.
01:50:49 Et d'ailleurs, Luc Montaignez n'est plus parmi nous, mais il y a Didier Raoul,
01:50:56 il y a Christian Perron, il y a Alexandra Andriancode et tous ces braves gens
01:51:00 qui disaient parce que ça, ce n'est pas mon domaine.
01:51:02 En revanche, concernant les psychiatres et les psychologues,
01:51:06 il n'y en a pas.
01:51:07 Il y en a très peu qui disent la vérité.
01:51:10 Il y a une psychologue française qui, maintenant, vit en Amérique latine,
01:51:14 Bill Herrant, qui est parfaite.
01:51:17 Elle a dit la vérité dès le départ.
01:51:19 C'est ce qu'elle pouvait dire, ce qu'elle connaissait,
01:51:21 parce qu'elle a plutôt le côté sociologique.
01:51:24 Mais les autres, pour l'instant, se taisent.
01:51:27 Mais j'espère qu'avec le livre que je vais publier en mois d'octobre,
01:51:33 "La psychiatrie noire",
01:51:34 ça sera en langue serbe et en français.
01:51:37 Après aussi, j'espère en anglais.
01:51:40 J'espère qu'on va réveiller notre communauté et j'espère toujours
01:51:44 que dans la communauté des psys,
01:51:45 il y a encore des gens honnêtes et de ceux qui respectent le serment
01:51:51 démocrate, la déontologie humaine et tout simplement l'éthique des humains.
01:51:55 Et le Dieu qui est dans la nature, que vous soyez croyant ou pas.
01:51:59 Moi, je suis croyante, mais pour ceux qui ne sont pas,
01:52:01 le Dieu est à tous les coups dans la nature.
01:52:04 Voilà.
01:52:05 S'il y a d'autres questions, je suis tout à fait à votre disposition.
01:52:07 Oui, mais c'est ça.
01:52:08 C'est effectivement ce que les gens voulaient savoir, à savoir si vous avez
01:52:11 écrit d'autres livres avant pour pouvoir les consulter.
01:52:14 Il y a beaucoup de gens qui sont intéressés à vous lire.
01:52:18 Donc, votre livre sur la psychologie noire va paraître au mois d'octobre.
01:52:22 Donc, on va en parler.
01:52:24 Et là, je suis auteur de plusieurs livres.
01:52:26 Oui, mais là, je vais synthétiser tout ce que je connais dans le domaine.
01:52:34 D'ailleurs, une partie du livre sera consacrée à des opérations
01:52:39 et l'autre partie contiendra les diagnostics des personnages,
01:52:44 soit disons "connus", c'est-à-dire de tous ces psychopathes, pour faire simple.
01:52:50 Donc, je vous ai parlé la dernière fois.
01:52:53 Bon, Epstein, il est parti, mais il y aura Fauci, Bill Gates, Schwab,
01:53:01 votre Trudeau et certains d'autres.
01:53:07 Je tiens à préciser aux auditeurs qu'on a fait deux vidéos ensemble avant celle-ci.
01:53:11 Donc, entre autres, vous avez décrit les dirigeants psychopathes.
01:53:15 Et ça a eu beaucoup de...
01:53:19 Ça a roulé beaucoup sur le net.
01:53:21 Et donc, là, c'est ça.
01:53:24 J'invite les gens à aller voir ces deux
01:53:26 vidéos-là parce que ça nous aide à comprendre ce que vous venez de faire.
01:53:31 Donc, c'est tout.
01:53:33 Pour ce qui est des livres, Jean-Marc nous mettra ça en commentaire
01:53:39 après et spécifier aux gens qu'on va séparer cette vidéo-là pour créer seulement
01:53:44 que votre exposé, on va enlever l'intro que j'avais fait tantôt.
01:53:48 Donc, c'est pas mal tout.
01:53:50 Madame Alexkovitch, écoutez, moi Novak Djokovic,
01:53:55 qui est pour moi, quand j'étais dans la Matrice et que j'écoutais Fédérère,
01:54:00 on m'avait appris à haïr Djokovic.
01:54:03 On disait qu'il était hautain, qu'il était mauvais perdant.
01:54:07 Donc, il rentrait pas dans
01:54:11 le modèle occidental.
01:54:15 Et là, avec la COVID, vraiment,
01:54:18 mon opinion a complètement changé chez ce monsieur-là.
01:54:21 J'ai appris à le découvrir.
01:54:23 Et une chose qu'il a réussi à prouver, que plusieurs personnes disent maintenant,
01:54:28 c'est que j'avais pas le choix de me faire vacciner parce que mon travail l'exigeait.
01:54:34 Donc, Novak Djokovic vient de vous prouver totalement le contraire.
01:54:38 Il a abandonné, il allait devenir, c'était un tournoi majeur en Australie.
01:54:42 Il allait fort possiblement le gagner.
01:54:44 Donc, lui, il a pas dit je vais me faire
01:54:46 vacciner pour me permettre d'aller à ce tournoi-là.
01:54:50 Il a gardé ses convictions.
01:54:51 Donc, ceux qui me disent on n'a pas eu le
01:54:53 choix parce qu'il fallait que je travaille, parce que j'aime voyager,
01:54:56 ben, ont une leçon avec ce monsieur-là.
01:54:59 Et
01:55:01 c'est, on va conclure là-dessus, là.
01:55:03 Pour moi, Novak Djokovic, c'est un exemple, puis c'est un Serbe.
01:55:07 Quelle autre nationalité aurait pu produire un tel athlète?
01:55:13 Les Serbes sont habitués de penser par eux-mêmes, ont souvent été abandonnés dans
01:55:17 l'histoire, ont dû se débrouiller par eux-mêmes pour survivre.
01:55:20 Vous êtes un exemple pour moi de survivance.
01:55:24 Autant que le Québec est aussi un exemple de survivance.
01:55:28 Plus je découvre la Serbie, plus je trouve des points en commun et toute
01:55:34 la profondeur de cette société-là.
01:55:36 Donc, Novak Djokovic ne pouvait pas arriver ailleurs que de ce coin-là de la planète.
01:55:41 Et merci pour tout, madame Alex Kovic.
01:55:43 Merci à vous. Vous savez, on est
01:55:46 on est toujours dans cette servitude volontaire, comme vous allez mentionner tout à l'heure.
01:55:52 Si on n'accepte pas ça, on n'est pas obligé, comme vous venez de dire,
01:55:57 on n'est pas obligé d'accepter.
01:55:59 Djokovic, vous savez, dans ces milieux-là, dans la mondanité,
01:56:04 parmi les têtes couronnées, les milliardaires, etc.,
01:56:08 on peut comprendre que ce n'est pas facile de se débrouiller.
01:56:12 Il était très diplomate longtemps, mais au moment où il a compris qu'il
01:56:17 s'agit de la vie et que, écoutez, c'est un homme qui est très riche.
01:56:22 Il aurait pu dire, voilà, je vous paye et vous me dites que je suis vacciné.
01:56:26 Oui, il aurait pu, effectivement, mais il a gardé ses convictions.
01:56:29 Très d'accord.
01:56:30 Il n'a pas voulu faire ça.
01:56:31 Il a voulu montrer que là, stop, vous n'irez plus.
01:56:35 Vous ne passez pas cette barrière.
01:56:37 Et donc, c'est ça.
01:56:38 Il a voulu montrer au monde entier qu'on peut refuser.
01:56:42 Et ça, c'est ça qui est important.
01:56:44 Et c'est pour cette raison-là que je dis que c'est un homme fort, intègre, courageux.
01:56:50 D'ailleurs, revenons à la petite enfance.
01:56:52 Pour conclure avec ça, un enfant conçu et voulu, apparemment,
01:56:57 puisqu'il n'y a pas de masochisme moral, fort, qui est un combattant.
01:57:01 Ça, le caractère, on le voit, parce que de toute façon, il ne rate pas.
01:57:05 À chaque fois, c'est la victoire.
01:57:08 Mais puisque vous me dites des léanges sur mon peuple d'origine,
01:57:13 sur les Serbes, évidemment, je dirais tout simplement,
01:57:16 on a juste le malheur d'avoir, comme à la tête de la Serbie,
01:57:21 un homme qui est traître à la nation.
01:57:23 Mais je ferme la parenthèse parce que ça, c'est un Serbo-Allemannais.
01:57:28 Bon, peu importe.
01:57:30 Mais moi, je dirais à la fin,
01:57:34 oui, le peuple serbe est un peuple combattant parce qu'on avait
01:57:38 une histoire très, très dure, très douloureuse,
01:57:41 comme les Arméniens, comme d'autres peuples.
01:57:45 Mais moi, à titre personnel, je dis toujours,
01:57:49 il existe 40 justes dans tous les peuples.
01:57:56 Et je les ai rencontrés en France, au Canada, aux États-Unis, en Allemagne,
01:58:03 en Espagne, en Italie, en Russie, en Afrique, en Chine, même en Chine,
01:58:09 où je suis allée et j'ai enseigné il y a longtemps,
01:58:12 un certain temps, dans les années 2000.
01:58:15 Donc, les 40 justes existent dans tous les peuples.
01:58:19 Alors, j'aime mon peuple, évidemment,
01:58:20 mais je pense que notre combat devrait être international.
01:58:26 Parce que voilà, c'est pour ça.
01:58:28 On vous a trouvés, vous, au Canada.
01:58:30 Et pourquoi on vous a trouvés?
01:58:32 Parce qu'on est dans la commune des saints.
01:58:34 On est tous ensemble.
01:58:35 Maintenant, je parle à notre langage, qui est le langage de nos pères.
01:58:38 On est tous unis dans l'énergie spirituelle.
01:58:42 Et ça, on peut trouver sur tous les continents.
01:58:45 Et uniquement avec cette énergie unie sur tous les continents,
01:58:50 on peut gagner la bataille. On ne peut pas gagner la bataille dans un seul pays.
01:58:53 Le mal était global.
01:58:57 Le combat et la victoire devraient être aussi global.
01:59:01 Merci pour tout, madame Aleksjkovic.
01:59:03 On va terminer là-dessus.
01:59:04 Ça a été fort intéressant.
01:59:06 Puis, c'est ce que vous disiez.
01:59:09 Notre travail, c'est d'informer et ensuite de résister.
01:59:13 Merci beaucoup, madame Aleksjkovic,
01:59:15 pour tout ce que vous avez fait de votre part ce matin.
01:59:17 Merci beaucoup.
01:59:19 Merci à vous.
01:59:20 Bonjour à tout le monde, à tous ceux qui nous ont écoutés, qui nous écouteront.
01:59:24 Et comme on dit en serbie, "Jiveli".
01:59:28 Voilà. Ça veut dire?
01:59:30 Ça veut dire
01:59:32 la longue vie à tous.
01:59:36 Merci beaucoup. Voilà.
01:59:38 Quel beau témoignage. Merci, madame Aleksjkovic.
01:59:40 Bye bye.
01:59:41 Pour tous commentaires, nous vous invitons à nous écrire.
01:59:45 Studio@radio-infosyt.com
01:59:49 ...
01:59:53 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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