Le coup de gueule en direct de Jean-Jacques Bourdin qui veut "arrêter la radio"

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Le coup de gueule en direct de Jean-Jacques Bourdin qui veut "arrêter la radio"
Transcript
00:00 Il y a un résidu de vomiteau d'orégano sur ce plateau parce que moi je fais partie des électeurs à vomir d'orégano.
00:08 Donc tu es à vomir.
00:10 Il faut le dire, dans ton cas, il n'a pas complètement tort, je suis désolé.
00:14 C'est très horrible, tout sans venir en France.
00:19 Vous faites partie de quelle catégorie ? Parce qu'il y a deux catégories selon lui, les bourbons ou les catous.
00:26 Vous n'allez pas faire comme Guénaud quand même, qui dit ce qu'il pense.
00:28 Mais ce n'est pas pareil, parce que moi je respecte les auditeurs.
00:30 Et que je suis justement, je me mets à la place de l'auditeur, qui n'en peut plus de tout ça.
00:37 Je vais vous dire, comme je suis exaspéré comme l'auditeur, il y a deux solutions.
00:41 Soit j'arrête la radio le matin, j'arrête carrément, pourquoi pas, après les vacances, peut-être que je ne reviendrai pas après les vacances.
00:49 Parce que je commence à en avoir ras-le-bol.
00:51 Vous n'avez quand même pas une part de responsabilité, vous, nous, les frondeurs.
00:56 Vous êtes gonflé, monsieur. Ça fait cinq ans que la gauche socialiste lutte pour éviter ce désastre.
01:01 Certains disent que vous avez saboté le quinquennat de François Hollande et que vous avez participé à la défaite d'hier.
01:06 On a essayé de défendre la gauche, on a essayé de défendre le parti socialiste, contre ceux qui l'ont liquidé, contre Hollande.
01:12 Ce n'est pas un peu facile d'accuser François Hollande ?
01:14 Deux adversaires qui revendiquent le même soutien.
01:18 A gauche, l'ancienne ministre Myriam El Khomri, avec Emmanuel Macron selon son affiche.
01:23 A droite, Pierre-Yves Bournazel, investi par les Républicains, mais qui s'affirme majorité présidentielle.
01:30 Hier, BFMTV révélait que Benoît Hamon avait salué, je vous jure j'ai entendu ça, il avait salué tous ses supporters un à un.
01:38 Il y en avait combien, Benoît, exactement, de supporters ? Voilà, deux.
01:43 Ça va vite.
01:45 Emmanuel Macron, dans le cadre d'une conversation privée entre nous, m'a accordé son soutien à titre officiel
01:50 en m'indiquant que je pouvais l'indiquer sur mes documents de campagne.
01:54 Mais pourquoi est-ce qu'Emmanuel Macron ne l'indique pas lui-même, du coup, pour du soutien ?
01:58 Est-ce que vous pensez que j'aurais pu indiquer que j'ai le soutien officiel d'Emmanuel Macron sans avoir son accord ?
02:03 C'est exactement ce dont l'accuse son adversaire.
02:06 Ce pictogramme sera affiché dans les transports en commun à Madrid dans les prochains jours.
02:10 L'objectif est d'interdire le manspreading, cette tendance qu'ont certains hommes à prendre trop leur aise,
02:15 jusqu'à empiéter sur les sièges voisins.
02:17 Une fâcheuse habitude régulièrement dénoncée sur les réseaux sociaux est déjà bannie à New York et Tokyo.
02:22 Mais pour certains internautes, des hommes, tout cela va beaucoup trop loin et ils répliquent
02:27 en matière d'incivilité, ils ne sont pas les seuls.
02:29 Salut !
02:29 *Musique*

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