Adriana Karembeu masse Michel Cymès !

  • l’année dernière
Adriana Karembeu masse Michel Cymès !
Transcript
00:00 (Bruit de téléphone)
00:02 (Bruit de téléphone)
00:04 -Là, y a les aborigènes. -Voilà.
00:06 -Oh là là ! -Donc là, y a un désert et là, y a une ville.
00:08 -Ça veut dire quoi, des aborigènes ? Ils travaillent dans les arbres, hein !
00:10 (Rires)
00:12 -Les aborigènes, c'est les gens un petit peu
00:14 qui marchent à pieds nus, qui sont dans la forêt
00:16 avec des grands bâtons, là. Ils coupent pas les arbres.
00:18 Ils vivent dans la nature. Donc là,
00:20 vraiment, je me dis, mais où est-ce que je suis tombée ?
00:22 Qu'est-ce qui leur passe dans leur cerveau ?
00:24 -Les aborigènes, là, qui coupent les arbres, ils sont méchants.
00:26 -Les aborigènes, c'est pas trop le...
00:28 -Les gars, j'ai vraiment besoin, là, maintenant, d'une nuit de réflexion.
00:30 Et je vais prendre ma décision demain matin.
00:32 -Peut-être que je viendrai vous éliminer en pleine nuit,
00:34 parce que des fois, j'ai des flashes.
00:36 (Rires)
00:38 -Non mais si !
00:40 -C'est bon, celui-là. -Oh, Miguel !
00:42 Réveille-toi, tu dégages !
00:44 (Rires)
00:46 -Moi, la tropézienne, j'adore ça. J'aime bien manger le matin.
00:48 Et j'aime bien manger un fruit avec,
00:50 en même temps. Donc, je me suis dit que j'allais mettre des fruits dedans.
00:52 -J'ai compris. En fait, tu mets ton petit déj
00:54 dans la tropézienne. Tu vas mettre le chocolat,
00:56 le café... -Ouais, les cornflakes...
00:58 -C'est que je partagerais bien un petit déj
01:00 avec toi sans tropper, moi, avec ce programme.
01:02 -Là, je suis en stress. Je suis pas à mon avantage.
01:04 Je commence pas à m'énerver.
01:06 -Je vais pas te dégager. -Sinon, je vais faire un pain trop long.
01:08 (Rires)
01:10 -Amérique... Californie, Massachussetts ?
01:12 (Rires)
01:14 -Tout ça,
01:16 tout le team, quoi !
01:18 La grande ville américaine.
01:20 -Tu sais que je suis auto-déjà-dit.
01:22 Je travaille.
01:24 Je suis en clientèle. Je suis en clientèle, là.
01:26 (Rires)
01:28 Tu sais que j'ai ouvert mon petit bureau d'esthétique.
01:30 -Mariline !
01:32 Bien, ma chérie !
01:34 -À ce point-là ?
01:36 -C'est stylé, quoi. C'est magnifique.
01:38 Et puis là, le body en velours, ça va autant...
01:40 C'est magnifique !
01:42 On adore ! -Oui, et vous n'êtes pas
01:44 la seule à trouver ça magnifique.
01:46 -J'aurais été un mec, j'aurais craqué directement.
01:48 -Vraiment ? -Ouais, vraiment.
01:50 -Bon, on va vous laisser toutes les deux si ça continue.
01:52 -Juste une dernière chose.
01:54 T'es allée chez le coiffeur pendant les vacances parce que t'as un très beau mouvement
01:56 sur le cheveu.
01:58 T'as un très, très beau mouvement. Enfin, je voulais te le dire
02:00 parce que, voilà, ça m'a
02:02 un peu... Voilà.
02:04 -Je sais pas. Attends. Fais voir la clip.
02:06 (Applaudissements)
02:08 Oui. Une jolie vague.
02:10 Une très, très jolie vague.
02:12 -Là, c'est vraiment pour détendre. -Hm-hm.
02:14 -Si t'en as marre, tu le dis.
02:16 -Tiens, sans le dire. -Si ça t'embête, tu laisses le dire.
02:18 (Rires)
02:20 -J'ai senti que ça te fait un plaisir fou de me masser le ventre des vents.
02:22 -Alors, là, vous allez donc
02:26 travailler. Vous allez inspirer
02:28 profondément.
02:30 -J'ai compris, maintenant.
02:32 On va dire qu'il m'a fallu peut-être 17 ans
02:34 en traversant tout ce que j'ai passé
02:36 pour peut-être comprendre est-ce que c'était le mot bonheur.
02:38 Il fallait peut-être que je descende
02:40 peut-être aussi bas. Je dirais que je ne changerais
02:42 rien à ma vie, mais je ne le referais pas.
02:44 Je repasserais pas par ces étapes-là.
02:46 Donc voilà, maintenant, en regardant en arrière,
02:48 je suis fière du travail accompli, mais jamais,
02:50 jamais, je ne voudrais revivre un seul moment
02:52 de tout ce qui s'est arrivé.

Recommandée